Ne les oublions pas !
Le 27 août 1944, La Celle-Guenand (Indre-et-Loire) : 10 victimes = 2 maquisards tués au bourg et 8 civils tués au lieu-dit Repinçay, sur la route de Saint-Flovier, par une colonne de la Wehrmacht qui avait fait halte la veille au Grand-Pressigny.
"Souvenez-vous de ... Massacrés par les allemands le 27 août 1944 - Le temps effacera leurs noms sur cette pierre mais leur esprit blessé en ces lieux restera."
Ne les oublions pas !
Le 28 août 1944 : Combats de la libération, qui firent plusieurs victimes parmi les FFI à Gaye dans la Marne.
Le Monument aux FFI de Gaye se dresse un peu à l'écart du bourg, sur le bord de la D 76 qui relie Gaye à Marigny, au Sud-Est de Sézanne.
Il a été érigé à la mémoire des 12 FFI de Sézanne, Gaye, Meix et Saudoy, qui ont été tués lors des combats de la Libération, le 28 août 1944
Ma citation de la semaine:
"Sans la conscription il ne peut y avoir ni puissance ni indépendance nationales."
(Napoléon Bonaparte)
LES QUATRE SERMENTS des ROY de FRANCE :
I er SERMENT :
- À LA COURONNE est attaché le serment de défendre la couronne (la France) contre l'ambition des puissants et de la garder fidèle à l'Eglise romaine ;
c'est par ce serment que sont réaffirmés l'inaliénabilité de la couronne, ainsi que l'existence d'une loi universelle opposable à l'arbitraire politique.
2ème SERMENT :
- À LA MAIN de JUSTICE est attaché le serment de rendre justice aux petits et aux faibles, et à tous, sans distinction de leur race, de leur origine, de leurs opinions et de leur religion ;
par ce serment est affirmé le caractère de magistrature de la royauté, ainsi que les principes de laïcité, de liberté de conscience, et de respect de la dignité des personnes.
3ème SERMENT :
- À L'ÉPÉE est attaché le serment de défendre la France et ses citoyens contre les agressions et les atteintes à sa souveraineté, avec le concours de son peuple, et de garantir la paix ; par ce serment est affirmé l'autorité du Roi comme chef des armées et le principe de la responsabilité des citoyens dans la défense de la patrie et la paix .
4ème SERMENT :
- À l'anneau est attaché le serment de demeurer fidèle à son peuple, de respecter sa parole, de se garder de tout orgueil, et de bannir la haine et le mensonge ; par ce serment sont réaffirmés la qualité dépoux du souverain pour la France, et l'humilité de sa personne.
LE ROI :
Le Roi est fondamentalement le représentant de la France .
il transcende les querelles partisanes et se porte garant des intérêts fondamentaux de notre pays et vise à se personnifier la France.
Mais, le Roi est aussi le garant de la souveraineté, de l'unité et la continuité de la France. Il est également le garant du bien commun au sein de la société civile, et l'arbitre des institutions. Cela constitue le domaine régalien dans lequel il exerce son autorité.
En conclusion, il n'y a pas LA monarchie. Mais différents systèmes monarchiques, dont l'organisation dépend principalement des "Lois fondamentales du Royaume".
A ce titre, le système Capétien est unique en son genre, tout comme l'est la tradition Royale française qui n'a JAMAIS fait preuve en 1 300 ans, des dérives ou abus que les préjugés, mensonges, craintes ou naïvetés font endosser à notre Royauté française.
VIVE le LIEUTENANT de DIEU !!!
VIVE le ROY !!!!
« RESTONS PRUDENTS ! »
Ne tournons pas autour du pot : les chiffres du chômage du mois de juillet, publiés hier, sont moins mauvais qu’ils le furent il y a encore peu de mois.
Et c’est bien pour ceux qui ont soit retrouvé un emploi soit échappé à la suppression du leur.
Mais de là à dire que « Ca y est, la tendance commence à s’inverser et nous avions bien raison d’inviter les français à patienter pour constater les effets bénéfiques de notre politique »…..
Il y a une grande marge que je suggère de ne pas combler trop hâtivement ni trop artificiellement.
Car nous savons bien « qu’après la pluie vient le beau temps » et que les gesticulations et autres parades pour gommer son incapacité à prendre les bonnes décisions sont bien dérisoires face à une réalité qui se soucie peu qu’on la travestisse à longueur de journée….
Si, en effet, on y regarde de plus près, on s’aperçoit aisément que, si le nombre de chômeurs en catégorie A baisse légèrement (environ 2500) c’est essentiellement dû à l’injection massive de crédits publics (bonjour l’accroissement du déficit et donc de la dette !) pour créer des « emplois d’avenir » dont la capacité à générer de vrais emplois dans l’avenir est plutôt aléatoire.
Et que, sur l’autre « versant », l’emploi de ceux qu’on dénomme les séniors continue à se dégrader, ce qui signifie que l’articulation entre la fin de carrière, de plus en plus chaotique pour un grand nombre, et la retraite, dont l’âge légal de départ ne manquera pas d’être repoussé malgré les dénégations de tous les pleutres qui nous gouvernent, ne s’améliore pas, loin de là !
Sans compter la catastrophe que représente la sortie du marché du travail de la somme colossale d’expérience et de potentiel de toutes celles et tous ceux qui sont priés en priorité de monter dans les charrettes au motif qu’après un certain âge on ne serait plus performant : quelle lourde erreur !
Et ce n’est pas le déjà oublié « contrat de génération » qui aura permis d’inverser une tendance lourde installée dans les gènes structurels de notre société avec la stratégie des pré-retraites très précoces menée il y a trente ans pour penser conjurer la montée du chômage.
Et puis, lorsqu’on agglomère tous les chiffres, ceux de l’ensemble des catégories concernées, il y a bel et bien, encore en juillet, une augmentation de plus de 13000 personnes en situation de demande d’emploi non satisfaite.
Pas de quoi pavoiser, donc.
Mais surtout pas de quoi persévérer dans l’erreur en continuant à mener des analyses lénifiantes et surtout totalement éloignées de la réalité qui ne peuvent que semer un trouble grandissant dans l’esprit de nos concitoyens.
Car prétendre, comme le fait pour ses derniers commentaires en la matière l’ineffable Rebsamen, que la tendance est bonne, malgré l’apparence des chiffres, « parce que la reprise de la croissance est là », c’est tout bonnement surréaliste quelques jours seulement après le constat amer qu’après le rebond intéressant du 1er trimestre, notre croissance s’est stoppée net au second.
D’autant plus que le ralentissement de la croissance chinoise va conduire, malgré les mesures prises par les dirigeants de ce pays, à une pause dans le redéveloppement de la croissance mondiale qui ne manquera de créer des soubresauts sur les économies en fragile convalescence des pays européens qui ont fait des efforts courageux pour s’adapter à la nouvelle donne mondiale.
Ce que, redisons-le sans être pour autant lourd, notre pays n’a pas exactement fait, contrairement à nos voisins plus vaillants….
Et pendant ce temps-là, les rats quittent le navire. Et il y a quelque chose de pitoyable à constater, avec la démission d’EELV du remuant François de Rugy, combien l’écart s’accroît dramatiquement entre la situation réelle du pays et les petits jeux personnels de ceux qui, sachant que l’aventure hollandaise s’achève bientôt, ne savent plus comment accrocher le petit maroquin qui viendra remplir avantageusement, pensent-ils, le CV dont la consistance pourrait s’avérer utile plus tôt que prévu…..
Si, avec tout cela, la « chère »Marine ne maintient sa fort avantageuse position actuelle, c’est que je n’y comprends plus rien dans l’art de diviser, non pas pour mieux régner, mais pour essayer de s’accrocher lamentablement à un pouvoir qui s'échappe irrésistiblement !
Ce jeudi 27 août 2015,
Guy GEOFFROY
Député/Maire Les Républicains de Combs-La-Ville
Chers ami(e)s,
"Depuis 52 jours, Alep n'a plus d'eau. Le peuple a soif. Il meurt littéralement de soif. Nous en appelons à la conscience de la France".
Le 26 août 1346 : Bataille de Crécy (guerre de Cent Ans).
La bataille de Crécy opposa à partir du milieu de l'après-midi du 26 août 1346 l'armée du royaume de France à une armée venue d'Angleterre pour saccager et piller les terres proches des rivages de la Manche. Cette bataille violente et sanglante où les monarques respectifs, Philippe VI de Valois et Édouard III, furent présents et actifs, se conclut au soir du second jour par une victoire écrasante de l’armée anglaise, pourtant en infériorité numérique, sur la chevalerie et l'infanterie française et de ses alliés, qui accusèrent des pertes très importantes du fait de l'indiscipline et des lacunes du commandement. Cette grande bataille marqua le début de la guerre de Cent Ans et le retour d'une technique traditionnelle d'archerie.
Voici, un nouveau livre que je me permets de vous conseiller:
L’armée du roi de France
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Une plongée simple et directe dans l’évolution de l’armée et de l’Etat aux XIIIe et XIVe siècles : c’est ce que nous propose le grand médiéviste Xavier Hélary dans une thèse remaniée pour le grand public.
Avec l’évolution de la levée des armées, on touche aussi à la transformation de l’Etat. A cet égard, le règne centralisateur de Philippe Le Bel tranche nettement avec celui de ses prédécesseurs.
Le roi Philippe tente non seulement d’imposer des impôts permanents, qui seront finalement abandonnés au regard de l’opposition à la levée des taxes, mais il porte aussi un coup important au système féodal en convoquant « l’arrière-ban » à l’ost de 1302. Il se permettait ainsi de passer outre le pouvoir des seigneurs locaux qui étaient jusque là seuls habilités à réunir hommes ou argent auprès de leurs propres vassaux.
La société n’en demeure pas moins plurielle, avec des territoires administrés ici par des abbayes, là par des comtes, quand ce ne sont pas des bourgeois qui ont la haute main sur certaines villes et le roi sur ses propres terres.
Une société où, en dépit d’un sentiment d’honneur et de devoir très fort dans la caste chevalière, le contrat écrit est déjà largement répandu, à charge à la personne qui s’estime lésée de défendre son cas devant un parlement de justice.
Ceux-ci sont souvent saisis dans les litiges liés à l’armée du roi de France, tel administré estimant qu’il est devrait être exonéré de ses charges et tel autre pensant que le roi lui demande trop d’apports.
Un vrai livre d’histoire, accessible au grand public, qui permet des analogies avec les temps actuels. •
L’armée du roi de France, de Xavier Hélary (éd. Perrin, 21 euros)
LES IRRESPONSABLES AU POUVOIR
PAR SAR LE PRINCE CHARLES DE BOURBON PARME.
Chers amis,
Le gouvernement est rentré de vacances, les petits français reprennent le chemin de l'école, leurs parents celui du travail et les feuilles d'impôts commencent déjà à tomber dans vos boîtes. Colchiques dans les prés, c'est la fin de l'été…
Ces derniers jours ont été riches en actualité politicienne. Notamment, nous avons appris que Monsieur François Rebsamen donnait sa démission, préférant sa charge de maire de Dijon à son portefeuille ministériel au travail, à l'emploi, la formation professionnelle et au dialogue social.
Quelle mouche l'a piqué ? Pourquoi avoir préféré son fauteuil indéboulonnable d'édile au siège éjectable ministériel ? Le navire sombre-t-il ? Une place chaude vaut-elle mieux que le service de la France ?
Pourtant, après seize mois d'exercice de la fonction ministérielle, notre homme devrait avoir pris sa vitesse de croisière, maîtriser ses dossiers, connaître ses hommes et enfin pouvoir toucher les premiers fruits de ses efforts. Le moment devrait enfin venir d'être à la hauteur des difficultés des chefs d'entreprises et des chômeurs qui attendent toujours l'inversion de la fameuse courbe… Le moment devrait être atteint du retour de la croissance. Depuis le temps que M. Hollande la voit à l'horizon, comme la vigie crie terre, M. Rebsamen semble partir au moment inopportun. Non ? Alors c'est que je n'ai rien compris…
Je n'ose imaginer un seul instant que nos gouvernants puissent préférer leur intérêt personnel à celui de la nation. Ni qu'ils aient l'incroyable vulgarité de se moquer de nous depuis trois ans.
Pourtant… Pourtant c'est une méthode éprouvée. En 2007, déjà, Madame Royal, notre chère Ségolène, appuyait le financement de tous ses projets sur la croissance et non sur une trésorerie réelle. Elle ne fut point élue, mais le mythe de la croissance sauveteuse et le mirage des réformes auto-financées par le miracle économique a trouvé en François Hollande un thuriféraire zélé. L'actuel président ne fut-il pas le mari, non le conjoint, non l'ex-compagnon, non le père des enfants, ou je ne sais quoi encore de l'ancienne candidate ?
Mais à attendre que le mythe se réalise pour avancer, en effet, nous n'avançons guère. Pendant ce temps, les autres nations européennes font le travail de fond que nous devrions avoir déjà terminé pour relancer notre économie par des réformes profondes. La conjoncture finira bien par s'améliorer, en effet, et le monde développé repartira de l'avant, la France à sa remorque, sans s'être donné la peine des réformes nécessaires. Alors nous aurons les miettes de la croissance et, nous qui étions la première puissance mondiale il y a deux siècles, postulons encore pour la sixième place sur deux cent Etats, nous dégringolerons d'une place ou deux encore. On ne pourra même pas parler de miettes de croissance.
Pourquoi cette mollesse et ce mensonge ? Pourquoi cette incapacité à agir ? L’État dépense sans cesse plus, mais pour maintenir son poids écrasant, accumulant des dettes abyssales sur la tête de nos enfants, hypothéquant même notre propre avenir, car l'addition, nous la réglons déjà. Lorsque le Président proclame « Ce n'est pas cher, c'est l’État qui paie », il commet un véritable crime, et je vois déjà, dans cette simple phrase, le symptôme majeur. Nos gouvernants sont irresponsables et transmettent à leurs séides cette incurie. C'est déjà ici qu'il faudrait porter un remède.
Nous avons idée de la réforme institutionnelle qu'il conviendrait d'instaurer en France pour rendre le pouvoir de nouveau responsable de ses actes. En attendant, c'est à chaque citoyen de se retrousser les manches, encore une fois.
Allons, chers amis, courage ! Dans la grisaille, l'avenir ne cesse pas de nous appartenir ! Prochainement je vous parlerai de notre place dans le monde.
Charles
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