14 juillet, prise de Jérusalem par Godefroy de Bouillon. Le reste RABJe ne fête pas le même 14 juillet que vous. Je ne fête pas une prise faite par des bourgeois misérables contre la France et contre le peuple. Aujourd'hui je fête la prise de Jérusalem par les croisés. Vive la France. Vive les croisades et mort aux bourgeois !!!“Je ne fêterai pas votre révolution.

On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.

Mais je prendrai le deuil de vos pauvres victimes.

Elles seules ont droit à ma vénération.

Je ne fêterai pas l’espérance trahie

Du peuple demandant l’arbitrage royal

Jusqu’alors rendu juste, équitable et loyal

Mais au nom d’une foi par votre orgueil haïe.

Je ne célèbrerai pas votre intolérance.

Ni vos sacrilèges, ni vos profanations.

Ni les grands mots ronflants de vos proclamations

Prônant la liberté dont vous priviez la France.

Je ne fêterai pas l’infâme Cordelier

Faisant assassiner, par sa triste colonne,

En l’église du Luc, près de six cents personnes

Dont cent cinquante enfants réunis pour prier.

On ne pardonne pas les Oradours-sur-Glane

Et vous seriez fondés d’en tarer les nazis

Si vous n’aviez, chez nous, fait pire aussi

Vous êtes précurseurs, Messieurs, et non profanes.

Quand vous jetiez aux fours, par vous chauffés à blanc,

Les mères, les enfants, les vieillards, les mystiques,

Vous disiez faire le pain de la République…

Mais Amey, mieux qu’Hitler, les y jetait vivants !

Car c’est bien cet Amey, de sinistre mémoire,

L’un de vos généraux prétendu glorieux,

Qui fut l’instigateur de ce supplice odieux…

Vous avez, aussi vous, eu vos fours crématoires.

Et Turreau trouvait tant de plaisir à ces jeux

Qu’il faisait ajouter, quand manquaient les dévotes,

Et malgré tous leurs cris, les femmes patriotes…

Votre fraternité les unissait au feu.

Je ne fêterai pas vos tanneries humaines

Dont votre chirurgien, Pecquel, fut l’écorcheur,

Ni son ami Langlois, de Meudon, le tanneur…

Ni votre grand Saint-Just disant qu’en ce domaine

Peau d’homme vaut bien mieux que celle du chamois

Que celle de la femme plus souple et plus fine…

Vous étiez sans culottes, alors ça se devine

Vous vous en fîtes faire en peau de villageois.

Quand vous abominez les gardiens sataniques

De l’affreux Buchenvald écorchant de leur peau

Nos morts, les laissant nus en leurs chairs en lambeaux

Avez-vous des remords ou restez-vous cyniques ?

Je ne fêterai pas les enterrés vivants

Dans les puits de Clisson et ceux de mon bocage

Ni du fameux Carrier les célèbres mariages

Voulus républicains mais surtout révoltants.

Attachant l’un à l’autre, une fille et son père,

Une mère et son fils, un prêtre et une sœur,

Et nus, bien entendu, pour que leurs massacreurs

Aient, humiliant leur mort, à rire et se distraire.

Quand, en les entassant dans barques à sabords

On les faisait sombrer dans les eaux de la Loire.

Et le fleuve royal garde encore leur mémoire,

Il apparaît plus triste à l’approche du port.

Je ne fêterai pas, non plus, la guillotine,

Ce symbole attitré de la révolution.

Ce moyen fraternel d’abreuver nos sillons,

Comme vous le chantez d’un sang que moi j’estime.

Je ne chanterai pas votre révolution.

Elle a fait trop couler de sang, de pleurs, de larmes.

De notre vieux royaume elle a rompu le charme

Et fait perdre, au pays, sa noble vocation.

Vous avez tout brûlé, chez nous, châteaux, chaumières,

Etables et clochers. Vous traîniez les enfers

Pour faire du bocage un immense désert

Sans une âme qui vive et sans pierre sur pierre…

Vous n’aviez pas pensé que tout le sang versé

Au terroir de l’amour serait semence vive.

Il germe en attendant nos prochaines métives ;

Il fleurira, demain, épi de liberté.

La liberté de croire en un Dieu qui pardonne.

En un ordre qui met, au sommet, le devoir

Le courage et la foi. Qui veut que le pouvoir

Ne dépende jamais du nombre et de la somme…

Pierre d’ANGLES Janvier 1989


Le 14 juillet  2025

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Pour moi et comme d'habitude, est uniquement dédié au Saint d'Anjou, Jacques Cathelineau premier généralissime de la " grande armée catholique et royale" ,  mort le 14 juillet 1793 et inhumé à Saint Florent le Vieil. 

Requiescat in pace.

Non à la Commémoration de la prise de la Bastille et non au 14 juillet comme fête nationale française !

Vive le Roy Louis XX !!!


Groupe UDR : un an au service des Français !

Chers amis, chers compagnons,

Il y a un an, nous avons fait le choix du courage : celui d'une droite libre, de l’union des amoureux de la France, de l’alliance pour l’alternance. Nous avons dépassé le politiquement correct et le pseudo « front républicain » pour bâtir l’Union des Droites pour la République. 

Depuis douze mois, nos députés défendent la France silencieuse : celle des Français qui travaillent, qui entreprennent et qui transmettent. L’UDR s’est constituée pour porter leur voix. Nous avons agi en leur nom, tout au long de cette année à l’Assemblée nationale et dans le débat public.

Ce sont d’abord nos trois éditions du Grand Forum des Libertés : à chaque rendez-vous, des invités prestigieux ont enrichi nos débats, comme l’ex-Président du Medef Pierre Gattaz ou l’ancien directeur du FMI Jacques de Larosière. Nous y avons porté des propositions audacieuses : réduction du périmètre de l’État, baisse de la fiscalité, et retraite par capitalisation (vous pouvez retrouver l'intégralité de nos propositions en cliquant ici).

Ce sont aussi nos « RDV de l’UDR » organisés chaque mois avec les interventions de personnalités reconnues et engagées : les accords franco-algériens avec l’ancien ambassadeur Xavier Driencourt, la relance économique avec l’économiste Christian Saint-Etienne, la fin de vie avec la Présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs Claire Fourcade ou encore l’éducation avec la spécialiste Anne Coffinier.

Mais l’UDR, c'est surtout un combat permanent à l’Assemblée nationale pour défendre les Français face aux folies de la gauche et aux lâchetés du bloc central. L’UDR ne se contente pas de proposer ; l’UDR agit !

En décembre dernier, aux côtés de nos alliés du Rassemblement national, nous avons conforté notre solide alliance et fait reculer le gouvernement en empêchant l’adoption du pire budget de la Ve République. Grâce à cette action, nos compatriotes ont échappé à plusieurs mesures inacceptables : la désindexation des pensions de retraite sur l’inflation, le déremboursement de médicaments essentiels, l’augmentation du malus automobile et la flambée des prix de l’électricité.

En commission et dans l’hémicycle, avec notre intergroupe UDR-RN, nous avons également obtenu l’abrogation des absurdes ZFE, la mise en place du test TPE/PME pour que chaque nouvelle norme soit désormais examinée à l’aune de son impact sur nos petites entreprises et la suppression du très bureaucratique et très coûteux « Haut Commissariat à la simplification ».

Un an d’initiativesUn an de combats parlementaires acharnésUn an au service des Français.

Avec votre soutien, l’UDR poursuivra sa mission : porter haut les couleurs d’une droite fidèle et enracinéeAdhérezrenouvelez votre engagement, faites un don, parlez de l'UDR autour de vous, chaque soutien et chaque action compte.

Merci pour votre confiance. 

Éric Ciotti
Président de l’Union des Droites pour la République

 

Le 13 juillet 1380 :

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Mort de Bertrand du Guesclin Connétable de France

Bertrand Du Guesclin meurt d'une maladie au cours du siège de Châteauneuf-de-Randon.

Ayant entendu dire que le Connétable de France s'apprête à rendre l'âme, le capitaine Anglais de la place de Châteauneuf vient lui-même lui remettre les clés de la ville.

Profondément affecté par la mort de son Connétable, le Roi Charles V lui accorde l'insigne honneur d'être enseveli en la Basilique des Rois de France à Saint-Denis ; honneur partagé dans l'histoire avec Arnault Guilhem de Barbazan et le Maréchal de Turenne.

Il participe à de nombreuses batailles : guerre de Cent Ans, guerre de Succession de Bretagne, première guerre civile de Castille, etc. au service de la Navarre et de la France.

Né en 1320 à La Motte-Broons, en Bretagne, fils de Robert II du Guesclin, vassal du Duc de Bretagne, Bertrand du Guesclin a pour devise : « Le courage donne ce que la beauté refuse ». Elle s'explique par sa laideur, qui lui vaut le surnom de «Dogue Noir de Brocéliande». Dans la Guerre de Succession de Bretagne, Bertrand du Guesclin prend fait et cause pour le camp français contre le parti breton pro-Anglais de Jean de Montfort. Il sert donc d'abord Charles de Blois, cousin du Roi de France, prétendant à la couronne du Duché de Bretagne.

Il soutient le siège de Rennes en 1357. L'un de ses faits d'armes les plus célèbres est la prise de la forteresse du Grand-Fougeray, non loin de Rennes après y avoir pénétré avec plusieurs compagnons déguisés en bûcherons. Efficace et novateur, du Guesclin utilise de nouvelles techniques de combat rompant avec la guerre chevaleresque : pratique la guérilla, coups de mains, embuscades et sièges de forteresses. Le « Dogue Noir de Brocéliande » interdit tout pillage et violence contre les non-combattants, tout en s'assurant que ses hommes soient bien rétribués après les combats.

En 1364, il bat les Anglo-Navarrais à Cocherel ; puis est fait prisonnier à la bataille d'Auray la même année ; une fois libéré par Charles V, contre rançon, il libère le Royaume des grandes compagnies de mercenaires ou écorcheurs, en les menant en Castille pour se placer au service de Henri de Trastamare, alors en guerre contre Pierre le Cruel. Bertrand du Guesclin a porté de nombreux titres : Chevalier de Pontorson, Capitaine de Normandie et du mont Saint-Michel, Seigneur de La Motte-Broons, Duc de Longueville, Chambellan, Connétable de France et Connétable de Castille, roi de Grenade et duc de Molina, etc.

Charles V le Sage, grâce à son Connétable de Bretagne, a récupéré presque toutes les terres françaises prises par Édouard III après le Traité de Brétigny et laisse un Royaume de France unifié et pacifié.


Une nouvelle dédicace personnelle à mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek et une amie pierrefittoise d'origine polonaise: Alexandra Rosinski 

"Vivre parmi les décombres"

Photographie du soulèvement de Varsovie.

Dans cette photo touchante d'août 1944, nous voyons une jeune mère, un père et leur nouveau-né enveloppés dans une couverture, câlins, entourés d'amour. Les sourires des parents contrastent avec le contexte dramatique de la guerre.

La famille est Barbara et Tadeusz Jabło – Scy et leur fille, Basia, née début août 1944 – exactement au moment où le monde s'effondrait au-dessus de leurs têtes. Barbara a accouché dans le sous-sol d'une maison en ruine dans la rue. Hopielna, sous le feu, quand les débris tombaient du plafond. Malgré la guerre, la famine et la mort, la vie est née. Cette photo bouge encore et nous rappelle que même dans les moments les plus sombres, l'espoir peut naître.

Survécu à l'enfer d'une rébellion. Après sa chute, ils ont fini dans un camp de transition à Pruszków, d'où ils ont réussi à s'échapper à leur maison familiale à Milanówek. Mme Barbara a lutté avec un visiteur pendant de nombreuses années et est morte à l'âge de 78 ans.

Sa fille, Basia - le nouveau-né sur la photo, est décédée en 2012.

(elle est née le 28 août au sous-sol, à Polna 9 Street).

Auteur de la photo : Henryk Powmigacz/Musée de l'insurrection de Varsovie 


Le 10 juillet 1804.

Aucune description disponible.

L'aigle est choisi comme emblème par Napoléon pour représenter son règne.

C'est a l'aigle romaine, symbole de Jupiter et insigne des légions romaines que Napoléon se réfère.

Ce choix se fait également en référence a l'aigle de l'empereur Charlemagne.


La fête de Saint Benoît est célébrée le 11 juillet

Aucune description disponible.

Prière à saint Benoît pour éloigner le mal 

Ô glorieux saint Benoît, abbé fervent et exemplaire, mon grand et aimable protecteur, -et combien viendront Te supplier-, garde toute influence maléfique loin de moi, tout le mal et l'ennemi.

Libère-moi des dangers de l'âme et du corps.

Intercède pour moi auprès du Seigneur pour soulager ma souffrance et les difficultés que je traverse.

Mets de côté, condamne et rejette, par la puissante intercession de la Croix, toute personne malveillante et toute malveillance qui peuvent être dirigées contre moi, contre ma famille, mes proches et mes amis. 

Protège-moi de la colère, de la haine, de la jalousie et du ressentiment, des mauvaises langues et de la diffamation : ne les laisse pas m'attaquer physiquement ou mentalement. 

Eloigne de moi toute personne qui voudrait me faire du mal dans ma vie quotidienne, au travail, en amour, à la maison. 

Délivre-moi de tout mal et de toute perversité, surtout de ce mal qui me préoccupe [le nommer]. 

Je Te demande en toute confiance et sûr(e) de Ta bonté de m'accorder Ton aimable intercession. 

Glorieux saint Benoît, par ton pouvoir illimité sur les puissances nuisibles, protège-moi et défends-moi de tout mal. Aide-moi à avoir confiance en l'Amour de Dieu pour atteindre la perfection de ma vie chrétienne, pour la santé de mon corps, de mon esprit et de mon âme. 

Amen


IN MEMORIAM MARCEL BIGEARD 🙏 (1916-2010 )

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NOM DE CODE : BRUNO  

DEVISE : " CROIRE ET OSER "

MARCEL BIGEARD , NÉ LE 14 FÉVRIER 1916 À TOUL ET MORT LE 18 JUIN 2010 DANS CETTE MÊME VILLE DE MEURTHE-ET-MOSELLE .

RÉSISTANT DURANT L ́OCUPATION , SON NOM RESTE ASSOCIÉ AUX GUERRES D  ́INDOCHINE ET D  ́ALGÉRIE . IL A LA SINGULARITÉ D  ́AVOIR ÉTÉ APPELÉ SOUS LES DRAPEAUX COMME HOMME DU RANG , 2 ÈME CLASSE EN 1936 , ET D  ́AVOIR TERMINÉ SA CARRIÈRE MILITAIRE EN 1976 , COMME OFFICIER GÉNÉRAL QUATRE ÉTOILES 

( GÉNÉRAL DE CORPS D  ́ARMÉE ) .

LE GÉNÉRAL BIGEARD DEMEURE À CE JOUR LE SECOND GÉNÉRAL FRANÇAIS , DERRIERE LE GÉNÉRAL RAOUL SALAN , LE PLUS DÉCORÉ DE

L ́ ARMÉE FRANÇAISE , TOTALISANT TOUTEFOIS PLUS DE CITATIONS QUE LE SUSNOMMÉ .

LE 27 SEPTEMBRE 1974 , LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE , VALÉRY GISCARD D  ́ESTAING , LUI REMET LA DIGNITÉ DE GRAND-CROIX DE

L ́ ORDRE DE LA LÉGION D  ́HONNEUR ALORS 

QU  ́IL EST TOUJOURS EN SERVICE ACTIF .

UNE FONDATION PORTANT SON NOM EST CREEÉ EN 2011 .

LES HONNEURS MILITAIRES ONT ÉTÉ RENDUS AU GÉNÉRAL MARCEL BIGEARD , LE MARDI 22 JUIN 2010 À 11 HEURES , DANS LA COUR 

D  ́HONNEUR DE L ́HÔTEL NATIONAL DES INVALIDES , À PARIS . SES OBSÈQUES RELIGIEUSES SE SONT DÉROULÉES  LA VEILLE EN LA CATHÉDRALE DE TOUL , SA VILLE NATALE .

LE CERCUEIL DU GÉNÉRAL BIGEARD A ÉTÉ EXPOSÉ DANS LA NUIT DU LUNDI 21 JUIN AU MARDI 22 JUIN DANS UNE CHAPELLE ARDENTE DRESSÉE EN LA CATHÉDRALE SAINT-LOUIS DES INVALIDES , " L’ ÉGLISE DES SOLDATS ."

PLUS DE 2000 PERSONNES , DONT DE NOMBREUX MILITAIRES , ONT RENDU UN ULTIME HOMMAGE AU GÉNÉRAL MARCEL BIGEARD , 

LORS DE SES OBSÈQUES EN LA CATHÉDRALE DE TOUL OÙ L ́ÉMOTION ÉTAIT PALPABLE .

" C  ́EST UN HOMME QUI ÉTAIT UN HÉROS ET UN EXEMPLE . IL M  ́AVAIT DONNÉ UN CONSEIL : 

ÊTRE SOUPLE COMME LE CUIR MAIS TREMPÉ COMME L ́ACIER POUR ÊTRE ET DURER ," A DECLARÉ LE MINISTRE DE LA DEFENSE , HERVÉ MORIN , FAISANT RÉFÉRENCE À LA DEVISE DU 3 ÈME RÉGIMENT DE PARACHUTISTES ET

D  ́INFANTERIE DE MARINE DE CARCASSONNE 

(AUDE) , QUE LE GÉNÉRAL BIGEARD AVAIT COMMANDÉ DE 1958 À 1960 .

SUR LE CERCUEIL , RECOUVERT DU DRAPEAU FRANÇAIS , AVAIENT ÉTÉ POSÉS LA GRAND-CROIX DE LA LÉGION D  ́HONNEUR , LE KÉPI ET LA CASQUETTE KAKI DE PARA DU GÉNÉRAL , ALORS QU  ́UNE GERBE DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE AVAIT ÉTÉ DE POSÉE AU PIED DE LA DÉPOUILLE .

 L ́ENSEMBLE DE L ́EFFECTIF DU 3 ÈME RPIMA , AINSI QUE DES CENTAINES DE MILITAIRES ,

DONT 500 PORTE-DRAPEAU , ONT ASSISTÉ AUX OBSÈQUES .

AU PREMIER RANG , FIGURAIENT GABY ET MARIE -FRANCE , LA VEUVE ET LA FILLE DU MILITAIRE , AINSI QUE PLUSIEURS PERSONNALITÉS POLITIQUES .

LE GÉNÉRAL MARCEL BIGEARD AVAIT FORMULÉ LE SOUHAIT , HÉLAS NON EXHAUCÉ , DE 

" REJOINDRE SES CAMARADES TOMBÉS AU COMBAT " PAR SES CENDRES DISPERSÉES AU-DESSUS DE DIÊN-BIEN-PHU ( VIETNAM ).

AU REGARD DU REFUS FORMEL SIGNIFIÉ PAR LES AUTORITÉS VIETNAMIENNES , SES CENDRES REPOSENT À FRÉJUS AU MÉMORIAL DES GUERRES D  ́INDOCHINE .

 NOUS LE SOUVENIR , À VOUS MON GÉNÉRAL 

L ́ IMMORTALITÉ .

 

     " UNE CERTAINE IDÉE DE LA FRANCE ! " 


Le rapport du projet Dinah

Fini le gaslighting et le déni ; les preuves de l'agression sexuelle du 7 octobre sont concluantes

Andrew Fox 

J'ai vu des choses que personne ne devrait jamais voir. En tant que rapporteur d'une visite d'officiers supérieurs à la retraite en Israël, j'ai eu accès aux preuves du massacre du 7 octobre sur une base de Tsahal à Glilot. Ces preuves allaient au-delà de la tristement célèbre vidéo de 49 minutes. J'ai vu des photos si explicites et horrifiantes qu'elles m'ont fait reculer. Aujourd'hui encore, le simple souvenir de ces images me serre la gorge et me donne la chair de poule. Des corps de femmes nues, mutilées et ligotées de manières indescriptibles. Lors d'entretiens avec les médias britanniques, je n'ai pas pu décrire ces scènes en détail. Elles étaient trop explicites pour être décrites publiquement avant l'heure décisive.

Sur les réseaux sociaux, j'ai appris qu'il était inutile de partager ce que j'avais vu. Chaque fois que j'essaie de parler des atrocités sexuelles commises par le Hamas le 7 octobre, une foule pro-Hamas débarque avec des huées et des accusations, prétendant qu'il s'agissait de « propagande sioniste ». Ils se sont contentés de justifier le massacre d'innocents ce jour-là, mais pendant 21 mois, cette marée de robots, de faux comptes et de compagnons de route du Hamas a diffamé les survivants et les premiers intervenants. Pendant 21 mois, ils ont exigé des « preuves » des viols et des tortures, puis ont méprisé toute preuve en la qualifiant de fausse.

Eh bien, désormais, ils ne peuvent plus le nier. Un nouveau rapport exhaustif publié cette semaine par une équipe d'éminents experts israéliens en droit et en genre, le Projet Dinah, expose la vérité avec des détails atroces et documentés. Intitulé « En quête de justice : le 7 octobre et au-delà » , il confirme sans équivoque ce que beaucoup d'entre nous savaient déjà : le Hamas a systématiquement utilisé le viol et les violences sexuelles comme arme de guerre lors du massacre du 7 octobre. Les preuves rassemblées sont accablantes et détruisent le mensonge selon lequel ces atrocités n'étaient que de simples rumeurs ou des inventions israéliennes. Ce rapport dit la vérité ; une vérité à la fois terrible à affronter et impossible à nier.

Le Projet Dinah a été créé au lendemain du 7 octobre par cinq juristes et experts israéliens chevronnés en matière de violences sexistes. Pendant près de deux ans, ils ont minutieusement collecté tous les éléments de preuve relatifs aux crimes sexuels commis lors de l'assaut du Hamas et après. Le résultat est un rapport de 80 pages, décrit par ses auteurs comme « l'analyse juridique la plus complète à ce jour » des crimes sexuels et sexistes commis le 7 octobre et contre les otages israéliens par la suite. Ce rapport introduit un nouveau cadre juridique et probatoire pour poursuivre ces crimes en tant que crimes contre l'humanité et clarifie ce qui s'est réellement passé.

Ces conclusions confirment l'horreur dont j'avais connaissance depuis plus d'un an, ayant eu le privilège de rencontrer certains des auteurs. Selon le rapport, les violences sexuelles commises par le Hamas n'étaient ni isolées ni accidentelles ; elles étaient intentionnelles, généralisées et systématiques. Les attaques du 7 octobre ont été coordonnées pour maximiser la terreur et l'humiliation des civils israéliens, en utilisant le viol et d'autres formes de torture sexuelle comme armes de guerre tactiques. Cette conclusion est d'une importance capitale ; elle indique que ces actes n'étaient pas les actes irréfléchis de quelques individus, mais s'inscrivaient dans une stratégie planifiée visant à déshumaniser et à terrifier une population. Du génocide des Yézidis par Daech aux enlèvements de Boko Haram, nous avons vu la violence sexuelle reconnue comme une arme de guerre dans d'autres zones de conflit. Nous comprenons désormais que le Hamas mérite la même honte.

Vous devriez lire le rapport vous-même, si vous le pouvez. Je n'aborderai pas les conclusions en détail ici, mais des atrocités sexuelles ont été documentées dans au moins six endroits le 7 octobre : le festival de musique Nova, la route 232, la base militaire de Nahal Oz et les communautés de Re'im, Nir Oz et Kfar Aza. Dans chacun de ces endroits, les terroristes du Hamas ont eu recours au viol et aux violences sexuelles dans le cadre de leur stratégie d'attaque, ciblant aussi bien les femmes que les hommes. La plupart des victimes n'ont pas survécu pour raconter leur histoire ; beaucoup ont été assassinées pendant ou après les agressions. D'autres restent trop traumatisées pour parler. Comme le souligne le rapport, les violences sexuelles en temps de guerre sont souvent un « crime parfait ». Les auteurs tuent leurs victimes ou comptent sur leur silence, né du traumatisme et de la honte. Cela a rendu la collecte de preuves extrêmement difficile, mais pas impossible.

Malgré ces difficultés, des preuves accablantes ont été rassemblées. Le Projet Dinah a compilé de nombreux témoignages et données médico-légales, notamment des témoignages de survivants, des rapports de témoins oculaires, des déclarations de premiers intervenants et des documents visuels. Dix-sept témoins oculaires ont décrit des viols collectifs, des mutilations sexuelles et des victimes laissées nues, ligotées et brutalisées. Les équipes médicales de la morgue de la Choura ont enregistré des blessures génitales, notamment des blessures par balle, et des signes de torture trop explicites pour être décrits. Les images GoPro du Hamas et les communications interceptées ont capturé des moments de viol et de vantardise sadique. Des schémas distincts ont émergé : les victimes ont été violées, mutilées, exécutées, humiliées. L’horreur n’a pas pris fin le 7 octobre : en captivité, des otages, hommes et femmes, ont été agressés, déshabillés, menacés de viol et soumis à des humiliations sexuelles pendant des semaines et des mois.

Tout cela mène à une conclusion incontournable : le Hamas a commis des atrocités sexuelles organisées et intentionnelles le 7 octobre, dans le cadre de son offensive. Ces actes n’étaient pas des incidents isolés commis par des individus déments ; ils faisaient partie intégrante de la stratégie globale de l’opération. Les terroristes étaient animés par une idéologie génocidaire extrême qui déshumanisait totalement les Juifs, considérant le corps des femmes juives comme un simple champ de bataille. En faisant du viol une arme, ils cherchaient non seulement à tuer, mais aussi à détruire la dignité et l’âme d’un peuple. Il s’agissait d’un crime de guerre, systématiquement planifié et approuvé, et il doit être traité comme tel par le monde.

Et pourtant, étonnamment, au cours des 21 derniers mois, de nombreuses personnes ont refusé d’accepter que tout cela se soit produit. 21 mois de déni et de manipulation des victimes et de ceux d’entre nous qui ont été témoins des preuves de première main.

Des déclarations officielles du Hamas aux tweets des activistes occidentaux, une campagne acharnée a été menée pour nier, minimiser ou minimiser les récits de viols et de tortures sexuelles du 7 octobre. Les porte-parole du Hamas ont catégoriquement nié tout crime sexuel ce jour-là, affirmant absurdement que leurs combattants n'avaient commis aucun acte de ce genre. Leurs partisans et apologistes ont amplifié ces dénégations. On a tout entendu : « Il n'y a aucune preuve ! », « C'est de la propagande israélienne ! », « Ils ont inventé des viols de masse pour justifier le bombardement de Gaza. »

J'ai vécu ce contrecoup dès que j'ai tenté d'en parler. Sur les réseaux sociaux, le déni était féroce. Les trolls se multipliaient, accusant quiconque partageait des récits de viols commis par le Hamas de mentir ou de propager des clichés « islamophobes ». C'était une inversion grotesque de la réalité : ils défendaient ou ignoraient les véritables violeurs et meurtriers, tout en dépeignant les victimes et ceux qui disaient la vérité comme les méchants. La cruauté de ce déni est indéniable. Imaginez survivre à un viol, ou savoir que votre fille a été violée et massacrée, et voir des pans entiers de personnes dire en substance : « Non, on n'y croit pas. Ça n'a pas eu lieu. » C'est une forme de gaslighting à grande échelle, qui ajoute un traumatisme supplémentaire à celui des survivants et des personnes endeuillées.

Pourquoi tant de personnes étaient-elles si désireuses de nier les viols ? Parce que reconnaître ces atrocités briserait leur récit. S'ils admettaient que des terroristes du Hamas ont brutalement violé et mutilé des Juifs le 7 octobre, ils devraient alors affronter la véritable barbarie de ce jour-là, une barbarie qui sape toute tentative de romancer ou de justifier les actions du Hamas. Reconnaître la vérité humaniserait également les victimes israéliennes d'une manière que certains militants anti-israéliens ne souhaitaient pas. Il leur est bien plus facile de scander des slogans lorsqu'ils se persuadent que les histoires de femmes violées ne sont que de la propagande.

Le rapport du Projet Dinah aborde explicitement cette question. Il vise à rétablir la vérité, à mettre les faits noir sur blanc afin que personne ne puisse continuer à prétendre que ces crimes n'ont pas eu lieu. Il remplace les mensonges et les doutes par des faits, des données et des témoignages.

En lisant ses pages, j’ai ressenti à la fois une justification et une colère brute.

Justification, car enfin, un document définitif, minutieusement documenté, confirmait ce que moi et d'autres disions : oui, c'est arrivé. Les viols ont eu lieu. Les tortures sexuelles ont eu lieu. Les preuves sont là.

Colère, car rien de tout cela n'aurait dû être nécessaire. Les crimes eux-mêmes étaient suffisamment horribles ; devoir se battre pour convaincre le monde qu'ils ont eu lieu constitue une seconde injustice. Ces victimes ont existé, et leurs souffrances étaient réelles. Pour restaurer leur dignité, nous devons d'abord dire la vérité sur ce qui leur a été fait.

Certains se demandent : si ces atrocités étaient réelles, pourquoi Israël n'a-t-il pas immédiatement inondé les médias de preuves ? La réponse est évidente pour tous, sauf pour les pro-Hamas sur les réseaux sociaux. Les autorités israéliennes disposaient certes de preuves abondantes, mais les rendre publiques était une décision extrêmement délicate. Par décence humaine élémentaire et par respect pour les morts, Israël a choisi de ne pas divulguer au grand public les images et séquences les plus crues. Imaginez ce que cela impliquerait : diffuser des photos de femmes israéliennes violées, mutilées et massacrées. Ce sont les filles, les épouses et les mères de quelqu'un. Afficher leurs corps violés sur Internet ou à la télévision serait non seulement extrêmement traumatisant pour leurs familles, mais aussi une atteinte post-mortem aux victimes elles-mêmes. Les responsables israéliens craignaient à juste titre que la publication de telles images soit trop crue, trop irrespectueuse envers les morts et les survivants qui tentent de reconstruire leur vie, sans parler du traumatisme profond qu'elle représenterait pour le grand public.

Lors de ma visite de la salle des preuves à Glilot, l'atmosphère était contrôlée. Des officiers supérieurs retraités ont pu visionner les images et les photos brutes à huis clos. Ceux qui les ont vues n'avaient aucun doute quant à la réalité de ces horreurs. J'ai vu d'anciens soldats endurcis quitter la salle, écœurés et réduits au silence, le visage marqué par le choc.

Israël a fait preuve de retenue pour préserver une certaine dignité aux victimes. Cruelle ironie : cette même retenue a été cyniquement exploitée par les négationnistes, qui ont invoqué l'absence de preuves sanglantes publiques comme « preuve » que rien ne s'était passé. En réalité, les preuves ont toujours existé. Elles ont simplement été traitées de manière responsable, sans sensationnalisme.

Aujourd'hui, la vérité est connue et peut être partagée avec le grand public. Le rapport du Projet Dinah fournit des descriptions détaillées et des données agrégées qui illustrent l'ampleur et la nature des violences sexuelles sans étaler de sang sur les réseaux sociaux. Il nous permet de discuter des faits avec dignité, en nous appuyant sur des recherches et des témoignages. Les journalistes, diplomates ou militants n'ont plus aucune excuse pour répéter les dénégations du Hamas. Les preuves sont méticuleusement documentées par un panel d'experts juridiques et financées en partie par le gouvernement britannique (qui n'est guère une organisation de propagande israélienne). Ce rapport est la réponse à tous ceux qui ricanent encore en se demandant « Où sont les preuves ? » face aux viols du 7 octobre. Le voici, noir sur blanc. Lisez-le et pleurez (si vous avez une âme).

C'est une question personnelle pour moi, comme cela devrait l'être pour toute personne dotée d'une conscience. Je ne suis pas Israélien, mais en tant qu'être humain, en tant qu'homme, en tant qu'ancien soldat et écrivain de guerre qui s'est tenu sur ce sol calciné de la périphérie de Gaza et a ensuite retenu ses larmes en discutant avec des survivants et des familles d'otages, je me sens obligé de faire valoir leur vérité. Nous devons veiller à ce que les viols et les tortures sexuelles du 7 octobre soient reconnus mondialement pour ce qu'ils étaient : des crimes contre l'humanité. La déshumanisation pratiquée par le Hamas, où des civils juifs ont non seulement été tués, mais aussi humiliés au plus profond d'eux-mêmes, doit être fermement condamnée par toute personne honnête, quelles que soient ses opinions politiques sur le conflit israélo-palestinien.

La question est désormais : que fera le monde à ce sujet ? Reconnaître la vérité est la première étape. Vient ensuite la responsabilisation. Aucun combattant du Hamas ayant participé à l'invasion du 7 octobre ne devrait échapper à la justice, même si la victime de son viol n'a pas survécu pour témoigner contre lui. Les faits et les preuves sont suffisants pour les inculper collectivement de crimes de guerre sexuels. Le rapport exhorte également les organismes internationaux à agir : il appelle le Secrétaire général de l'ONU à inscrire officiellement le Hamas sur la liste noire des organisations utilisant la violence sexuelle comme arme de guerre. (Étonnamment, cela ne s'est pas encore produit ; un scandale en soi.) Il établit une feuille de route pour poursuivre ces crimes devant des instances telles que la Cour pénale internationale. En bref, il exige justice.

Je suis indigné qu'il ait fallu autant de temps et d'efforts. Je suis furieux face au déni qui a forcé les survivants à hurler dans le vide pendant des mois. Je trouve un certain réconfort à savoir que les faits ont enfin percé les mensonges du déni. À ceux qui préfèrent encore détourner le regard ou colporter des théories du complot : honte à vous. À ceux qui ont courageusement rassemblé ces preuves et parlé, à l'équipe du Projet Dinah, aux survivants qui ont rompu le silence, aux premiers intervenants qui ont témoigné de leurs découvertes : merci. Vous avez rendu service non seulement à Israël, mais à l'humanité tout entière.

Dans le récit biblique, Dinah était une femme qui avait survécu à un viol horrible, et ses frères avaient réclamé justice (malgré la violence) contre les coupables. Aujourd'hui, le Projet Dinah perpétue cet héritage de manière plus éclairée, par la vérité et le droit. Maintenant que la vérité est connue, nous ne devons pas la laisser passer sous silence. Les innocents du 7 octobre méritent qu'on se souvienne pleinement de leur mort, mais aussi de leurs souffrances. Nous leur devons d'être indignés et de veiller à ce que plus jamais une telle barbarie ne soit ignorée ou niée.

Les preuves sont là ; le monde doit y faire face. Pour le bien de notre humanité commune, nous devons demander des comptes aux auteurs de ces horreurs, quel que soit le temps nécessaire. Ne pas le faire serait une trahison impardonnable envers les victimes et envers la vérité elle-même.


Ma citation du jour:

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« Il est vieux comme le diable, le monde qu’ils disent nouveau et qu’ils veulent fonder dans l’absence de Dieu… Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de la fidélité ! »

(François Athanase Charette de La Contrie, général royaliste de la guerre de Vendée).