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Départementales 2015:

Hier soir, celui que le Président Jacques Chirac appelait: "Le meilleur d'entre nous": Alain Juppé (notre ex Premier Ministre), était en Seine Saint Denis à Montreuil en meeting pour la campagne des élections départementales. Pour moi, le meilleur d'entre nous dans le 93, il s'appelle: Christian Demuynck et sur ma circonscription: Stanislas Francina. Bonne journée à tous mes sincères ami(e)s.


Bien amicalement,

JPR


Gaulliste jusqu'à la mort !

Le 2 mars 1916, la 10e compagnie du capitaine de Gaulle est entourée de tous côtés par l’ennemi. Elle repousse plusieurs assauts. Le capitaine de Gaulle, blessé à la cuisse gauche, est porté disparu. Fait prisonnier, il est soigné à l’hôpital de Mayence.

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Info Pierrefitte:

Départementales 2015.

Une photo du dernier tractage sur le marché de Pierrefitte pour les élections départementales de mars prochain sur notre canton, autour u binôme UDI et du suppléant UMP a été prise samedi dernier. Souvenez-vous de la célèbre chanson de Patrick Juvet: "Ou sont les femmes ?". Eh bien moi, là,  je dis: "ou sont les adhérents et sympathisants UMP de notre ville de Pierrefitte parmi ces gens sur cette photo ???". Moi, j'en compte avec le suppléant UMP: 2 !!!! 
 
Un peu comme leur premier tract de campagne ou la place faite (tant dans l'écrit ou tant par notre logo) est minable et scandaleuse.  Nous ne sommes pas un bouche trou ou les supplétifs (voire pire...) de nos partenaires de l'UDI mais le premier parti de la Droite républicaine française et d'opposition au niveau national ! Tout ça, c'est terriblement éloigné des fondements même du gaullisme que nous représentons notamment à l'UMP !
 
Le nom de notre commune est juste mentionné pour dire qu'elle fait partie du canton !!! Alors, que le Conseiller général sortant n'est autre que le Maire PS de Pierrefitte: Monsieur Michel Fourcade. C'est comme ça qu'ils vont battre le FN (?!) ou même faire mieux...! 
 
J'aurais tendance à dire: "tout ça pour ça !".  J'espère pour la Droite républicaine locale, pour son présent et surtout pour son avenir que les prochaines publications de ce dit binômes UDI seront d'un autre calibre ?!  J'attends avec impatience leur vrai projet...Si cela est positif, intéressant et surtout utile pour les pierrefittoises et pour les pierrefittois que je défends au quotidien de toutes mes forces, alors, j'en parlerai positivement et en ferai même la publicité sur mon blog et autour de moi...
 
« L'avenir ne nous apporte rien, ne nous donne rien ; c'est nous qui, pour le construire, devons tout lui donner, lui donner notre vie elle-même. » (Simone Weil)
 
Merci à mes adversaires de l'intérieur de respecter ma liberté d'expression. Elle nécessite pas de faire de votre rêve une réalité, c'est à dire mon départ de l'UMP. Car, c'est pour lui que je me bats ainsi que pour mes concitoyens.  J'ose simplement dire tout haut ce que de nombreuses personnes pensent tout bas !
 
Je souhaite être le garant de mon Mouvement: l'UMP sur ma circonscription, c'est à dire réagir lorsqu'il est malmené voire pas respecté à sa juste mesure, idem quand cela arrive ou arrivera aux pierrefittoises et aux pierrefittois.
 
JPR
 
 

Info Pierrefitte:

Une citation tout à fait appropriée au sujet du conflit qui m'oppose depuis plus d'un an à mon supérieur hiérarchique au niveau local sur le plan de l'UMP:

"On n'est tenu d'obéir aux princes séculiers que dans la mesure requise par un ordre fondé en justice. Et c'est pourquoi, si les chefs ont une autorité usurpée, donc injuste, ou si leurs préceptes sont injustes, leurs sujets ne sont pas tenus de leur obéir, sinon peut-être par accident, pour éviter un scandale ou un danger".

Saint-Thomas d'Aquin (1225-1274)


Info Pierrefitte:

Mesdames et Messieurs,

Au sujet de mon dernier article dans le Journal Municipal de Pierrefitte du numéro de mars/avril 2015, il y a eu une regrettable erreur. J'ai écrit: "La Nation se rencontre de ce que nous..." alors qu'il fallait bien sûr comprendre: "La Nation se rend compte de ce que nous...". Merci de votre compréhension, toutes mes excuses et bien des choses à ceux qui profiteraient de ma bourde pour me tirer encore dessus (certains d'entre eux ne risquent pas de faire une telle erreur... !). 

Amitiés,

Jean-Pierre Renard
Conseiller municipal UMP de Pierrefitte


Il y a 200 ans aujourd'hui, l’Empereur Napoléon Ier débarquait à Golfe Juan.

"Qui pourra jamais expliquer, peindre ou comprendre Napoléon ? Un homme qu’on représente les bras croisés, et qui a tout fait ! Qui a été le plus beau pouvoir connu, le pouvoir le plus concentré, le plus mordant, le plus acide de tous les pouvoirs ; singulier génie qui a promené partout la civilisation armée sans la fixer nulle part ; un homme qui pouvait tout faire, parce qu’il voulait tout ; prodigieux phénomène de volonté, domptant une maladie par une bataille, et qui cependant devait mourir d’une maladie dans un lit après avoir vécu au milieu des balles et des boulets ; un homme qui avait dans la tête un code et une épée, la parole et l’action". (Honoré de Balzac)

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28 février 1791 : quatre cent nobles tentent de sauver le Roi:

Après la découverte de la fuite des tantes du roi l'émotion est forte. Après les femmes, c'est le tour des ouvriers et artisans du faubourg Saint-Antoine de manifester leur indignation. Ils s'attaquent au donjon de Vincennes. Pendant ce temps, quatre cent nobles tentent de prendre les Tuileries. C'est le complot des « Chevaliers du poignard ».

Les chevaliers du poignard sont un groupe constitué lors de la Révolution française, le 28 février 1791 aux Tuileries.

La contrainte où vivait le roi Louis XVI, remarquée par des courtisans attachés au monarque et à sa famille, avait éveillé le zèle de quelques-uns d’entre eux, et fait concevoir le dessein de l’en délivrer. On a parlé d’une entreprise formée pour l’enlever et le conduire à Rouen par la rivière, entreprise qui ne fut peut-être qu’en projet, mais une autre, encore plus mal concertée, fut tentée par des jeunes gens de la cour.

Le bruit ayant couru qu’un attentat se préparait contre le roi Louis XVI, plusieurs centaines de gentilshommes se présentèrent aux Tuileries, le 28 février 1791. Ayant transformé en arsenal les armoires du château, ils y avaient caché des pistolets, de courtes épées, et jusqu’à des poignards, et venaient, portant pistolets et poignards, se mettre à son service.

Soupçonnant quelque complot, les chefs de la garde nationale, vinrent se plaindre au roi de l’évasion méditée, qu’ils appelaient une trahison. Le monarque ne trouva d’autre moyen d’épargner à ces jeunes gens de plus grands malheurs que de les désarmer lui-même, et de les engager à se retirer. Cependant, forcés de passer entre deux haies de gardes nationaux, ils ne le firent pas sans essuyer des huées, des propos insultants, et même des coups.

Le peuple parisien immortalisa cette journée en donnant le titre dérisoire de « chevaliers du poignard » à ceux qui, accusés d’avoir voulu enlever le roi et sa famille, restèrent tachés de ce nom pour avoir tenté sans succès de soutenir les débris d’une monarchie qui s’écroulait de toutes parts.