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Info Pierrefitte:

J'ai assisté ce matin, avec quelques amis, à la traditionnelle  Assemblée Générale du Comité de Pierrefitte du Souvenir Français en mairie. Puis, j'ai fais un rapide tour sur le marché de Noël minable de notre ville (pas du tout à la hauteur d'une commune de 28.000 habitants !). Puis, en fin de journée, toujours avec quelques amis,  j'ai assisté au traditionnel concert de Noël à l'église de ma paroisse: St Gervais St Protais, de l'orgue, de la flûte et de la clarinette, oeuvres de Vivaldi, Bach, Haendel et de Loeillet par Jean-Luc Olivaux et Philippe Ortega.

Bonne nuit à tous.

Bien amicalement,

JPR


Info Pierrefitte:

Pour votre information, j'ai proposé au Délégué UMP de la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis: Monsieur Patrick Saunier d'échanger nos idées au sujet de la préparation du prochain Conseil municipal de notre ville, lors d'une rencontre...

JPR

 


" Rappelle-toi de la gloire du Père
Rappelle-toi des divines splendeurs
Que tu quittas t'exilant sur la terre Pour racheter tous les pauvres pécheurs O Jésus ! t'abaissant vers la Vierge Marie Tu voilas ta grandeur et ta gloire infinie Ah ! du sein maternel Qui fut ton second Ciel Rappelle-toi. "

  POÉSIE N°24 '' JÉSUS MON BIEN AIME RAPELLE -TOI " (OCTOBRE 1895)

Sainte Thérèse de Lisieux

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Voici, un nouveau livre que je me permets de vous conseiller:

Description lucide et sans langue de bois de la menace totalitaire représentée par le "jihadisme 2.0", ce nouveau livre d'Alexandre del Valle écrit avec l’intellectuelle chrétienne syrienne Randa Kassis sort dès ce 28 novembre en librairie.

En spécialiste de la désinformation et de l’islamisme radical, Del Valle explique d’emblée - avec son co-auteur, la courageuse militante laïque syrienne (chrétienne) - que « le double but de Da’ech (Etat Islamique) et des islamo-terroristes en général n’est pas du tout de tuer pour tuer, ce qui reviendrait à méconnaître les lois du terrorisme, mais plutôt de provoquer un « syndrome de Stockholm » généralisé chez les publics arabes et occidentaux psychologiquement terrorisés. L’objectif des psychopathes de l’Etat islamique et de leur Calife « Ibrahim » (alias Abou Bakr al Baghdadi) est également de « susciter du même coup une fascination lugubre au sein de la minorité active d’êtres humains qui est naturellement fascinée par la barbarie (…) ».

« La stratégie de la sidération »

« La guerre livrée par le totalitarisme islamiste est au moins autant psychologique et médiatique que militaire ou terroriste. L’extrême efficacité marketing de ces insoutenables mises en scène ne doit jamais être sous-estimée ou mise sur le compte de la simple folie, car cette stratégie de la sidération explique pourquoi des villes et villages entiers de Syrie et d’Irak ont été conquis par l’EI très souvent sans que les jihadistes n’aient eu à combattre. Le but des égorgeurs de Da’ech est avant tout de saper le moral de l’ennemi et de faire parler d’eux au maximum grâce au pouvoir multiplicateur quasi infini des réseaux sociaux. Cette stratégie de guerre sémantique et psychologique est fondée sur de vieilles méthodes connues de tous les manipulateurs-désinformateurs : sidération de la proie, retournement sémantique, renversement des rôles, culpabilisation et diabolisation de la cible et de ses alliés. Elle ne doit surtout pas être sous-estimée par des Occidentaux complexés et réceptifs aux arguments d’autres islamistes, quant à eux apparemment plus « modérés », qui leur assènent chez nous la même propagande subversive et culpabilisante selon laquelle il y aurait un « complot occidental » contre le monde musulman ».

Dans leur chapitre sur la genèse et l’histoire de Da’ech, les auteurs rappellent que le premier à avoir « professionnalisé» à l’échelle planétaire et de façon très moderne cet atroce modus operandi alliant barbarie et vidéo-sidération (égorgements en direct posté sur le web) fut Abou Moussab al-Zarqaoui, l’ex-chef d’Al-Qaida en Mésopotamie et précurseur de Da’ech. C’est par ces assassinats-décapitations « live » que l’Etat islamique a réussi à supplanter la vieille garde d’Al-Qaida et même la figure charismatique de Ben Laden, désormais presque ringardisé par les « nouveaux barbares 4 G » de Da’ech… En effet, ces derniers ne sont pas de simples « intégristes obscurantistes », comme on l’entend ou le lit souvent dans les médias occidentaux. Mais ils sont au contraire ultramodernes, à leur manière, bien plus « interconnectés », « mondialisés » et férus de réseaux sociaux ou de smartphone que leurs anciens mentors aux méthodes de communication périmées.

« La dénonciation de la soi-disant « islamophobie », carburant ressentimental des totalitaires verts

Del Valle-Kassis poursuivent en s’en prenant au mythe de l’« islamophobie » dont seraient coupables les Occidentaux et que les coupeurs de tête de l’Etat islamique mettent en avant pour justifier leurs atrocités: cette vulgate victimiste, carburant de tous les totalitarismes, pénètre non seulement depuis des décennies les pays musulmans, mais aussi les sociétés d’Occident qui offrent d’ailleurs en pâture leurs propres citoyens musulmans aux prédicateurs barbus, eux-mêmes appuyés et formés par nos étranges « amis » du Golfe et autres « alliés » obscurantistes, fabricants de fanatiques. Il s’agit par conséquent de ne pas prêter le flanc aux arguments subversifs des fous de Dieu et de traiter chez nous, avec la plus grande fermeté, les propagandistes islamistes qui viennent fanatiser nos jeunes premièrement en se posant en « défenseurs » des musulmans « victimes de l’islamophobie » et deuxièmement en distillant une conception théocratique de l’islam totalement opposée à nos valeurs, sous prétexte de « droit à la différence » et de respect du pluralisme.

L’exemple terrifiant de la Mosquée de Lunel, de tendance Tablighie (école ultrafondamentaliste indopakistanaise très présente en Europe), où ont été fanatisés à leurs débuts les jihadistes français partis combattre en Syrie, est là pour faire réfléchir et prendre la mesure de la nature désormais endogène et nationale de la menace islamo-terroriste qui est D’ABORD idéologique et fruit d’un prosélytisme que nos dirigeants politique ont lâchement laissé prospérer sur notre sol depuis des décennies et ce, en toute impunité.

Concernant le conflit syrien, les auteurs expliquent tout aussi clairement et avec moult exemples et détails que « la rébellion sunnite syrienne est dominée, et ceci depuis le début de l’insurrection armée, par des "fanatiques barbus " et que nous devons avoir le courage de ne pas céder à l’islamiquement correct qui consiste à croire que l’on pourrait jouer la carte "d’islamistes modérés" face au régime syrien qui est d’ailleurs loin d’être sur le point de s’écrouler...

La Syrie n’est pas la Libye…

Pour répondre aux inconscients adeptes du « regime change » qui auraient souhaité renverser, dès 2012, le régime de Bachar al Assad, quitte à mettre en place des adeptes de la Charià, Del Valle-Kassis rappellent dans cet essai riche en informations croustillantes sur les Alaouites, les multiples groupes islamistes, les rapports de force régionaux, etc, que les précédents de l’Irak (2003) et de la Libye (2011) sont là pour montrer que le renversement, par des bombardements aériens meurtriers, de dictatures qui persécutent leurs opposants islamistes n’a jamais eu pour effet de rendre ces derniers plus pacifiques… Encore moins de « calmer leur colère » qui trouve d’ailleurs toujours de nouveaux prétextes »… De ce fait, et fort des douloureuses expériences régionales passées, les auteurs expliquent « qu’une intervention militaire occidentale déclenchée, même au tout début de l’insurrection anti-Assad, aurait accéléré le chaos et serait à la fois dramatique pour les minorités religieuses (notamment alaouite, chrétienne, ismaélienne ou chiite) et irréaliste diplomatiquement, car elle exclut d’office toute négociation avec le pouvoir qui demeure, qu’on le veuille ou non, incontournable ».

Ils rappellent que « la rébellion syrienne n’a depuis longtemps déjà plus grand-chose de syrien puisqu’elle est dominée par des légions jihadistes internationales dont le projet politique n’est pas du tout la nation syrienne et encore moins la démocratie, mais le Califat universel… Le fait qu’entre 3000 et 4000 « volontaires » occidentaux aient rejoint cette internationale jihadiste en dit long sur le chaos syrien ».

« Choisir entre le choléra de l’islamisme jihadiste en intervenant contre la peste d’une dictature militaire n’aurait pas plus de sens stratégique que de cohérence. Car d’un point de vue géopolitique, la Syrie est devenue aujourd’hui, avec l’Irak et le Liban, le théâtre majeur d’un affrontement régional auquel se livrent par procuration l’Iran chiite et ses ennemis sunnites du Golfe, Arabie saoudite en tête, dans le cadre d’une triple guerre totale : politique, religieuse et économique. L’enjeu est ni plus ni moins le leadership du monde musulman et l’extension de la profondeur stratégique de chacun des deux camps ».

Après avoir fait un rappel historique sur la Syrie et la région, les auteurs consacrent une partie cruciale de leur ouvrage à la terrible guerre civile régionale qui oppose, d’une part, l’axe chiite-alaouite pro-iranien et, de l’autre, l’axe sunnite prosaoudien (puis proturc, proqatari, etc), ceci « sur fond de « nouvelle guerre froide » opposant également (de l’Ukraine au dossier du nucléaire iranien), les puissances occidentales à la Russie et à ses alliés, dont la Chine, qui refusent toute ingérence de l’Occident dans les affaires de l’Etat syrien.

Si la situation en Syrie semble actuellement sans issue, cela vient aussi du fait que des Etats de la zone et même que certaines puissances mondiales n’ont cessé d’attiser le conflit et se nourrissent de l’hétérogénéité syrienne au lieu de proposer des solutions de paix réalistes qui passent forcément par un dialogue avec des éléments du régime de Damas. Mais les auteurs ne se contentent pas de s’indigner, comme nos va-t-en-guerre à la BHL, ou de prôner une hypothétique et stupide intervention contre le régime d’Assad, dont on a vu les résultats catastrophiques avec les cas irakien et libyen… Ils proposent au contraire de réelles solutions de sortie de crise fondées sur la realpolitik et le pragmatisme. Celles-ci passent par un dialogue avec toutes les forces, notamment les Alaouites et le régime baathiste en place, ceci afin de mettre en place une « plateforme de négociation" qui viserait à élaborer un projet de «  réconciliation nationale » susceptible de concilier, à terme, à la fois la stabilité nationale, le respect de la laïcité et la pluralité religieuse qui ont existé en Syrie depuis l’avènement du parti Baath et que les partisans de la Charià voudraient supprimer...

Ainsi, selon les auteurs, la double clé politique et géopolitique pour mettre fin à cette terrible guerre civile réside, premièrement, au niveau interne, dans la solution fédéraliste ou confédérale, la seule qui puisse assurer la paix et un « vivre ensemble » sans qu’un groupe n’en tyrannise un autre - mais en laissant toutefois les ministères régaliens aux baathistes-alaouïtes - et deuxièmement, au plan externe, dans la prise en compte des positions non seulement de l’Occident et des autres alliés de l’opposition syrienne, mais aussi de celles de la Russie et de l’Iran, alliés du régime syrien, donc incontournables. Car aucune paix ne sera possible et durable sans cet équilibre. Il est donc aberrant de n’écouter, comme s’en est contenté hélas le président Hollande jusqu’à aujourd’hui, que les puissances sunnites du Golfe ,marraines du jihadisme wahhabito-salafiste, et leur ami néo-ottoman turc, alliés objectifs de Da’ech et ennemis du chiisme, des alaouites « apostats » et de leurs protégés chrétiens de Syrie.

Un livre à lire !  Alexandre del Valle et Randa Kassis, Le chaos syrien, minorités et printemps arabes face à l’islamisme, Dow éditions, 22 euros, Cartes, Lexique, Index.

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Voici, pour votre information, la liste complète des Sénateurs français qui ont osé voter en faveur de l’Etat palestinien sous la direction des terroristes du Hamas, ceux qui ont voté contre, ceux qui se sont abstenus et ceux qui n'ont pas pris part au vote:

Jeudi 11 décembre, le Sénat français a adopté la proposition de résolution sur la reconnaissance de l’État de Palestine présentée, en application de l’article 34-1 de la Constitution, par Gilbert ROGER, Éliane ASSASSI, Esther BENBASSA, Didier GUILLAUME et Jean-Vincent PLACÉ et plusieurs de leurs collègues par 153 voix contre 146. Honte à eux ! Bravo et merci à ceux qui ont voté contre cette infamie et sauvé l'Honneur de la France.

Ont voté pour

Leila Aïchi Jacques Chiron Nathalie Goulet Gérard Miquel
Michèle André Karine Claireaux Sylvie Goy-Chavent Thani Mohamed Soilihi
Maurice Antiste Laurence Cohen François Grosdidier Marie-Pierre Monier
Alain Anziani Yvon Collin Didier Guillaume Franck Montaugé
Aline Archimbaud Pierre-Yves Collombat Annie Guillemot Aymeri de Montesquiou
Guillaume Arnell Hélène Conway-Mouret Claude Haut Christian Namy
Éliane Assassi Jacques Cornano Odette Herviaux Alain Néri
David Assouline Roland Courteau Robert Hue Georges Patient
François Aubey Cécile Cukierman Pierre Jarlier François Patriat
Dominique Bailly Ronan Dantec Geneviève Jean Daniel Percheron
Delphine Bataille Yves Daudigny Éric Jeansannetas Marie-Françoise Perol-Dumont
Marie-France Beaufils Marc Daunis Gisèle Jourda Jean-Vincent Placé
Esther Benbassa Annie David Philippe Kaltenbach Hervé Poher
Claude Bérit-Débat Michel Delebarre Antoine Karam Christine Prunaud
Michel Berson Michelle Demessine Bariza Khiari Daniel Raoul
Alain Bertrand Jean Desessard Georges Labazée Claude Raynal
Jacques Bigot Félix Desplan Joël Labbé Daniel Reiner
Michel Billout Évelyne Didier Françoise Laborde Alain Richard
Marie-Christine Blandin Claude Dilain Bernard Lalande Sylvie Robert
Maryvonne Blondin Jérôme Durain Serge Larcher Gilbert Roger
Éric Bocquet Alain Duran Pierre Laurent Yves Rome
Nicole Bonnefoy Josette Durrieu Jean-Yves Leconte Jean-Yves Roux
Jean-Pierre Bosino Vincent Eblé Claudine Lepage Patricia Schillinger
Yannick Botrel Anne Emery-Dumas Jean-Claude Leroy Jean-Pierre Sueur
Corinne Bouchoux Frédérique Espagnac Michel Le Scouarnec Henri Tandonnet
Jean-Claude Boulard Christian Favier Marie-Noëlle Lienemann Catherine Tasca
Martial Bourquin Jean-Jacques Filleul Jeanny Lorgeoux Nelly Tocqueville
Michel Boutant Thierry Foucaud Jean-Jacques Lozach Jean-Louis Tourenne
Michel Bouvard Jean-Claude Frécon Roger Madec René Vandierendonck
Henri Cabanel André Gattolin Philippe Madrelle Yannick Vaugrenard
Jean-Pierre Caffet Catherine Génisson Jacques-Bernard Magner Paul Vergès
Pierre Camani Jean Germain Hermeline Malherbe Michel Vergoz
Claire-Lise Campion Samia Ghali Christian Manable Jean-Pierre Vial
Michel Canevet Dominique Gillot François Marc Maurice Vincent
Thierry Carcenac Jacques Gillot Didier Marie Dominique Watrin
Jean-Louis Carrère Éliane Giraud Rachel Mazuir Richard Yung
Françoise Cartron Jean-Pierre Godefroy Michelle Meunier  
Caroline Cayeux Brigitte Gonthier-Maurin Jacques Mézard  
Bernard Cazeau Gaëtan Gorce Danielle Michel  

Ont voté contre

Pascal Allizard Gérard Dériot Loïc Hervé Philippe Nachbar
Michel Amiel Catherine Deroche Michel Houel Louis Nègre
Gérard Bailly Jacky Deromedi Alain Houpert Louis-Jean de Nicolaÿ
Gilbert Barbier Marie-Hélène Des Esgaulx Christiane Hummel Claude Nougein
François Baroin Chantal Deseyne Benoît Huré Jean-Jacques Panunzi
Philippe Bas Yves Détraigne Jean-François Husson Philippe Paul
Christophe Béchu Catherine Di Folco Jean-Jacques Hyest Cyril Pellevat
Jérôme Bignon Élisabeth Doineau Corinne Imbert Cédric Perrin
Jean Bizet Éric Doligé Sophie Joissains Jackie Pierre
Jean-Marie Bockel Philippe Dominati Chantal Jouanno François Pillet
François Bonhomme Marie-Annick Duchêne Christiane Kammermann Xavier Pintat
Philippe Bonnecarrère Nicole Duranton Roger Karoutchi Louis Pinton
Natacha Bouchart Jean-Yves Dusserre Guy-Dominique Kennel Rémy Pointereau
Gilbert Bouchet Louis Duvernois Claude Kern Ladislas Poniatowski
François-Noël Buffet Jean-Paul Emorine Marc Laménie Hugues Portelli
Olivier Cadic Philippe Esnol Robert Laufoaulu Sophie Primas
François Calvet Dominique Estrosi Sassone Daniel Laurent Catherine Procaccia
Christian Cambon Hubert Falco Jean-René Lecerf Henri de Raincourt
Agnès Canayer Françoise Férat Antoine Lefèvre Michel Raison
Jean-Pierre Cantegrit Michel Forissier Dominique de Legge André Reichardt
Vincent Capo-Canellas Alain Fouché Jean-Pierre Leleux Bruno Retailleau
Jean-Noël Cardoux Jean-Paul Fournier Jean-Claude Lenoir Charles Revet
Jean-Claude Carle Christophe-André Frassa Philippe Leroy Didier Robert
Gérard César Pierre Frogier Gérard Longuet Bernard Saugey
Patrick Chaize Jean-Claude Gaudin Vivette Lopez René-Paul Savary
Pierre Charon Jacques Gautier Michel Magras Michel Savin
Daniel Chasseing Jacques Genest Didier Mandelli Bruno Sido
François Commeinhes Bruno Gilles Alain Marc Abdourahamane Soilihi
Gérard Cornu Colette Giudicelli Hervé Marseille André Trillard
Jean-Patrick Courtois Alain Gournac Hervé Maurey Catherine Troendlé
Philippe Dallier Jean-Pierre Grand Jean-François Mayet Alex Türk
Mathieu Darnaud Daniel Gremillet Colette Mélot Michel Vaspart
Serge Dassault Jacques Grosperrin Michel Mercier Hilarion Vendegou
Isabelle Debré Pascale Gruny Brigitte Micouleau Jean Pierre Vogel
Robert del Picchia Charles Guené Albéric de Montgolfier François Zocchetto
Vincent Delahaye Jean-Noël Guérini Jean-Marie Morisset  
Francis Delattre Joël Guerriau Philippe Mouiller  

Abstentions

Luc Carvounas François Fortassin Jean-Baptiste Lemoyne Catherine Morin-Desailly
Joseph Castelli Jean-Marc Gabouty Anne-Catherine Loisier Robert Navarro
René Danesi Joëlle Garriaud-Maylam Jean-François Longeot Yves Pozzo di Borgo
Daniel Dubois Françoise Gatel Jean-Claude Luche Jean-Pierre Raffarin
Vincent Dubois Mireille Jouve Philippe Marini Jean-Claude Requier
Michel Fontaine Jacques Legendre Alain Milon Simon Sutour

N’ont pas pris part au vote

Gérard Larcher, Président du Sénat Jean-Léonce Dupont Élisabeth Lamure Pierre Médevielle
Philippe Adnot Bernard Fournier Jean-Jacques Lasserre David Rachline
Annick Billon Jacqueline Gourault Valérie Létard Stéphane Ravier
Nicole Bricq Teura Iriti Claude Malhuret Gérard Roche
Alain Chatillon Alain Joyandet Jean-Pierre Masseret Jean-Marie Vanlerenberghe
Gérard Collomb Fabienne Keller Jean Louis Masson

Ile-de-France : la droite gagnante d'après l'IFOP pour la première fois depuis 1998‏

Chers Amis,

Je me permets de porter à votre connaissance un récent sondage réalisé par l’IFOP pour Paris Match sur les intentions de votes aux prochaines élections régionales de 2015.

Ce sondage est le premier qui, depuis 16 ans, nous donne gagnants en Ile-de-France.

Dans une hypothèse de premier tour où tous les partis de droite comme de gauche présenteraient des listes autonomes, celle de l'UMP que je conduirais recueillerait 23% des intentions de vote, contre 21% pour Jean-Paul Huchon.

Au second tour, l’écart se creuserait davantage puisque nous l’emporterions à 41% contre 38% pour le candidat socialiste.

Vous retrouverez tout le détail de cette étude sur le site de l’IFOP : http://www.ifop.com/media/poll/2869-1-study_file.pdf

Cette dynamique que nous avons su impulser, nous devons l’amplifier !

Vous êtes déjà plus de 6000 sympathisants et 1000 élus à avoir rejoint mon comité de soutien pour les régionales, que me fait l’honneur de présider Gérard LARCHER.

Je vous invite, si vous ne l'avez pas déjà fait, à m'apporter votre soutien en remplissant le formulaire suivant :

https://docs.google.com/forms/d/14ogZQzOYXto7qI6hn3W9QOdpehtm10BR7OubjTwfJ3w/viewform?usp=send_form

Les mois qui viennent seront décisifs et je sais pouvoir compter sur votre entière mobilisation pour faire campagne à mes côtés.

Amicalement,

Valérie Pécresse (Conseillère Régionale UMP d'Ile de France)


Info Pierrefitte:

Décidément, les communistes et leur leader: Farid Aïd sont sans gênes, ne respectent rien et ont oublié qu'ils ne sont plus aux affaires depuis un bout de temps ! Merci à Monsieur le Maire: Michel Fourcade d'avoir fait respecté la loi et la pluralité de toute l'opposition républicaine et démocrate.

JPR

Lettre du Maire


Info Pierrefitte:

J'ai demandé solennellement au Président par intérim de l'UMP 93, le Sénateur Philippe Dallier de jouer le rôle important de médiateur dans le conflit qui m'oppose au Délégué UMP sortant de la 2ème circonscription: Monsieur Patrick Saunier, étant donné que ce dernier, à ce jour n'a pas encore souhaité répondre à ma proposition de trêve (qui reste plus que jamais d'actualité et donc valable !)...

JPR