La nouvelle Affaire Dreyfus !

Au cours de la Troisième République, il y a eu la fameuse "Affaire Dreyfus" qui divisa la société française pendant 12 ans, les uns croyant en l'innocence du capitaine Dreyfus les autres en sa culpabilité.
La presse et l'opinion publique ont joué un rôle majeur dans cette erreur judiciaire, condamnant d'emblée un homme pour son identité et son caractère.
Cette affaire était basée sur un dossier vide et des preuves non tangibles.
Plusieurs illégalités survinrent durant l'instruction et le procès...

Ca ne vous rappelle rien ?
L'Etat qui intervient et dirige la Justice, la presse et l'opinion publique qui s'acharnent sur un homme en raison de sa personnalité, les dossiers vides, les illégalités commises...
La différence ?
Au lieu d'une affaire, il y en a plusieurs.
Une seule a réussi à atteindre le Capitaine Alfred Dreyfus et sa famille. Avec Nicolas Sarkozy, l'histoire est différente. Une affaire ne suffit pas. Alors on en sort une autre, puis une autre, puis encore une autre, espérant finir par réduire cet homme à néant, et peu importe que cela touche la famille.
Aux "anti-Sarkozy" les "Sarkozystes" s'opposent.
Là encore, la société est touchée à plusieurs niveaux : politique, juridique, médiatique, diplomatique, social, débordant même sur l'international...

L'Histoire se répète dit-on...
Les ressemblances sont frappantes.
Il ne nous reste qu'à attendre la conclusion : innocent. Et ce sans passer par la case "erreur judiciaire".
Certain(e)s ironiseront "Allons donc ! Voilà qu'on ressort encore l'Affaire Dreyfus ! La théorie du complot et de l'acharnement..."
Mais nous, les Sarkozystes, n'en doutons pas une seule seconde : il y a acharnement contre Nicolas Sarkozy.
Et plus cet acharnement continuera, plus notre détermination à faire éclater la vérité sera grande.
Plus il sera humilié, plus nous le supporterons.
Plus il sera attaqué, plus nous le défendrons.
Plus ses proches seront les victimes collatérales de cet acharnement, et plus l'esprit protecteur propre à la famille se renforcera dans nos rangs.
Et la plus belle des victoires sera, en plus de la reconnaissance par tous de son innocence, son retour à la place qui est la sienne : la présidence de la République Française.

Clémence Roux