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UN MOIS AVEC MARIE


DOUZIÈME JOUR
Pénitence, pénitence !


Le 19 septembre 1846, Notre-Dame apparaissait à Mélanie et à Maximin de La Salette. Son beau visage était baigné de larmes :
« Si mon peuple ne veut pas se soumettre, dit-Elle, je suis forcée de laisser aller le bras de mon Fils ; il est si lourd, si pesant que je ne puis plus le retenir. Depuis le temps que je souffre pour vous ! Jamais vous ne pourrez reconnaître les peines que je me donne pour vous. »
Ce qui appesantit si fort le bras du Seigneur, que notre céleste Mère ne peut plus nous préserver de ses coups, ce sont les jurons, les blasphèmes, la violation du repos dominical et des lois du jeûne, de l'abstinence, le mépris de la Messe, le dimanche surtout, tous les péchés de la chair, de l'orgueil, de la vanité, etc...
« Je hais le péché et l'ai en exécration » (1), déclare le Seigneur par son prophète.
Le 11 février 1858, l'Immaculée renouvelle à Bernadette ses avertissements : « Pénitence, pénitence ! » redit-elle.
Célestes avis tombés dans une terre ingrate : le flot des iniquités monte, monte toujours... La Grande Guerre passe sans provoquer l'amendement.
La Vierge au grand Cœur maternel se montre en 1917 à Fatima. Elle insiste de nouveau sur la nécessité pressante de changer de vie et de faire pénitence :
« La guerre (de 1914-18) va finir vite. Mais si l'on ne cesse d'offenser le Seigneur, il ne s'écoulera pas un long temps avant qu'une autre, pire, commence... A cause de ses nombreux péchés, le monde sera bientôt châtié par la guerre, la famine, les persécutions contre l'Église et le Saint-Père... »
Il ne tenait qu'à nous d'éviter les malheurs annoncés, mais les esprits étaient faussés, les cœurs pervertis, les volontés aveulies. Ce fut partout une effrayante recrudescence du mal.
Alors, la guerre se déchaîne, atroce, en Espagne d'abord, puis en d'autres pays. La conflagration devient à peu près universelle. Presque seul, le Portugal demeure un oasis de paix, parce qu'il s'est montré docile aux avis de Notre-Dame.
Instruits par la souffrance, hâtons-nous de l'imiter. Notre Mère nous y invite ; notre Mère dont le Cœur, navré de nos malheurs, est inlassable dans ses interventions miséricordieuses.
Même à présent, si nous savons nous ressaisir, écouter le céleste Message, fuir le péché et faire pénitence, le châtiment pourra être très adouci et rapidement terminé.
Que la crainte et l'amour s'unissent pour nous y décider : « Si vous ne faites pénitence, vous périrez tous » (2), nous dit le divin Maître.
« C'est dans la conscience individuelle que doit s'élaborer le redressement national et mondial. »
Demandons-nous donc chacun, loyalement, devant Dieu, si nous acceptons avec résignation les douleurs qui nous atteignent et si nous accomplissons courageusement tous les devoirs que la situation impose plus impérieusement que jamais aux âmes qui veulent vivre de la foi et de la charité.
Le péché qui se multiplie, le règne de l'égoïsme et de la sensualité chez un trop grand nombre de chrétiens sont parmi les causes profondes de l'immense épreuve de l'humanité, aussi ne peut-on travailler efficacement au retour de la paix et de l'amour fraternel parmi les hommes sans s'attacher à une réforme énergique de soi-même, à une prière plus fréquente et plus fervente, à une générosité plus grande dans l'esprit de pénitence et de réparation.
N'oublions pas, n'oublions jamais que les exigences spirituelles et morales d'une vie vraiment chrétienne demeureront toujours les conditions sine qua non de la tranquillité dans l'ordre, c'est à-dire de la paix et de la prospérité de notre cher Pays.
Marie n'a jamais failli à aucun de ses devoirs.
Puisons dans le Cœur de notre Mère admirable les nobles audaces et les saintes énergies qui feront de nous de véritables chrétiens et d'excellents Français.


PRIÈRE (Sub tuum)

Nous avons recours à votre protection, sainte Mère de Dieu, ne rejetez pas les prières que nous Vous adressons dans nos besoins ; mais délivrez-nous toujours de tous les dangers, ô Vierge glorieuse et bénie.


Marie, notre Espérance, ayez pitié de nous.
(300 j. - Pie X, 1906)

(1) Psaumes.
(2) Luc XIII, 3.


"Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi, pécheur"

« L'invocation du Nom de Dieu s'accompagne de sa manifestation immédiate, car le nom est une forme de sa présence.

Le nom de Jésus - JESCHOUAH, veut dire Sauveur.

La prière du cœur... y attire Jésus par l'invocation incessante : Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi, pécheur.

Dans cette prière qui est celle du publicain évangélique, c'est toute la Bible, tout son message réduit à son essentielle simplicité : Confession de la Seigneurie de Jésus, de sa divine filiation, donc de la Trinité ensuite de l'abîme de la chute qui invoque l'abîme de la miséricorde divine.

Le commencement et la fin sont ramassés ici dans une seule parole chargée de la présence sacramentelle du Christ dans son nom.

Cette prière résonne sans cesse au fond de l'âme, même en dehors de la volonté et de la conscience ; à la fin, le nom de Jésus résonne de lui-même et prends le rythme de la respiration, en quelque sorte est "collé" au souffle, même pendant le sommeil :
"Je dors, mais mon coeur veille"

Jésus attire dans le cœur, c'est la liturgie intériorisée et le Royaume dans l'âme apaisée. Le nom remplit l'homme comme son temple, le transmue en lieu de la présence divine, le christifie. C'est l'expérience de Saint Paul qu'on peut mieux comprendre à la lumière de cette prière :
"Ce n'est plus moi, c'est le Christ qui vit en moi". »


 


Merci de diffuser.


Cette pièce est la preuve vivante des atrocités que certains MILLIONS d'hommes et de femmes ont subies et qu'il ne faut surtout pas oublier !

Alors faites en sorte que cette pièce soit  jouée partout...!

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Un certain 11 Octobre à ne pas oublier !


1941 Un train de juifs déportés de Suczava passe par la gare de Czernovitz (capitale de la Bucovine, R.S.S. d'Ukraine). Il est stoppé par les nazis et les gardes roumains afin de décharger les cadavres des juifs morts au cours du voyage dans des wagons glacés et bourrés de monde. Le train reprend alors sa route vers le ghetto de Czernovitz.
- Les nazis fusillent 400 juifs à Belgrade.
- Les juifs de Czernovitz sont parqués dans un ghetto, leurs biens confisqués. Par la suite, les internés seront déportés en Transnistrie.
1942 Au cours d'une Aktion dirigée contre les juifs d'Ostroviec (province de Kielce, Pologne), 11 000 juifs du ghetto et des villages environnants sont rassemblés et déportés au camp d'extermination de Treblinka, où ils périssent tous.La communauté juive de la ville remonte au XVIIIe siècle.
- Environ 4 200 juifs de Lubartov (province de Lublin) sont déportés aux camps d'extermination de Sobibor, Belzec et Maïdanek, où tous périssent. Parmi eux se trouvent
1 000 juifs qui, un an auparavant, avaient été déportés de Slovaquie à Lubartov. Cette dernière ville est déclarée " purifiée de ses juifs ". Pendant plus d'un an, un groupe de partisans juifs combat dans les forêts, dirigé par Samuel Jegier et Mietek Gruber.
- 3 000 juifs de Bicheva (province de Lublin) sont déportés au camp d'extermination de Belzec.
1944 Au cours d'une Aktion, les SS fusillent 208 jeunes juifs d'Ujvidek (Yougoslavie), qui travaillent sur la voie ferrée. 12 juifs survivent.
- 20 malades mentaux juifs de Venise sont internés dans le camp de concentration tristement célèbre de Risiera di San Sabba, près de Trieste, le seul camp nazi en territoire italien. Le soir du même jour, 5 ou 6 d'entre eux ont déjà été tués par les SS gardant le camp.


Shabbat Shalom Lekoulam dans la Simha. Brahots vé Néshikots à 
toutes mes "soeurs" et à mes "frères" 
juifs de la communauté de notre ville de Pierrefitte Sur Seine du 
fond du coeur de la part de de votre "frère" judéo/chrétien.
Bien amicalement,
JPR

Sainte Thérèse de Lisieux:

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« Je crois que les Bienheureux ont une grande compassion pour nos misères, ils se souviennent qu'étant comme nous fragiles et mortels, ils ont commis les mêmes fautes, soutenu les mêmes combats et leur tendresse fraternelle devient plus grande encore qu'elle ne l'était sur la terre, c'est pour cela qu'ils ne cessent de nous protéger et de prier pour nous. »

 LETTRE 263, A L’ABBE BELLIERE, AOÛT 1897 

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« Ma joie, c’est de lutter sans cesse 
Afin d’enfanter des élus. 
C’est le cœur brûlant de tendresse 
De souvent redire à Jésus : 
Pour toi, mon Divin petit Frère 
Je suis heureuse de souffrir 
Ma seule joie sur cette terre 
C’est de pouvoir te réjouir. »

 POÉSIE N°45, MA JOIE, JANVIER 1897