Sainte Thérèse de Lisieux:
« Je crois que les Bienheureux ont une grande compassion pour nos misères, ils se souviennent qu'étant comme nous fragiles et mortels, ils ont commis les mêmes fautes, soutenu les mêmes combats et leur tendresse fraternelle devient plus grande encore qu'elle ne l'était sur la terre, c'est pour cela qu'ils ne cessent de nous protéger et de prier pour nous. »
LETTRE 263, A L’ABBE BELLIERE, AOÛT 1897
« Ma joie, c’est de lutter sans cesse
Afin d’enfanter des élus.
C’est le cœur brûlant de tendresse
De souvent redire à Jésus :
Pour toi, mon Divin petit Frère
Je suis heureuse de souffrir
Ma seule joie sur cette terre
C’est de pouvoir te réjouir. »
POÉSIE N°45, MA JOIE, JANVIER 1897
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