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Le système Braouezec et ses turpitudes !!!‏

SCOOP : Stéphane PEU* RECONNAIT L'EXISTENCE DE PASSE-DROITS EN MATIERE D'ATTRIBUTION DE LOGEMENTS SOCIAUX A SAINT-DENIS!

Dionysiens : j'attire votre attention sur une conférence de Presse du 14 juin dernier tenue par Stéphane Peu ( l'alter ego de P Braaouezec tel que ce dernier le définit), adjoint au maire chargé du logement, président de Plaine-commune habitat ( source : le jsd.fr !!!):

"Logements: PCH fait le point sur les conditions d’attribution.
Le plus gros bailleur de Plaine commune s’est exprimé par la voix de Stéphane Peu* lors d’une conférence de presse.
Le logement social bénéficie en France d’une excellente image. À un détail près, les règles d’attribution, « peu lisibles, qui sont entachées d’une suspicion de favoritisme ». Au vu de l’enquête réalisée par TNS Sofres en mai dernier, Stéphane Peu, président de Plaine commune habitat, a voulu remettre les pendules à l’heure.
« Le temps des passe-droit est révolu », a-t-il insisté lors d’une conférence de presse, le 14 juin, avec cinq des huit membres de la commission d’attribution de PCH!!!

INCROYABLE:S'il est révolu, il a existé, voici donc une reconnaissance pure et simple de l'existence de passe-droits en matière de d'attibutions de logements sociaux à Saint-Denis.

Alors faut-il croire maintenant S Peu lorsqu'il dit que le temps des passe-droits est révolu ou bien fallait-il le croire lors de ses mandats précédents lorsqu'il disait que les passe-droits n'existaient pas ? Et dans les autres domaines ( marchés publics, subventions)comment ça marche ? Dites-nous un peu Mr Peu ou laissez répondre votre mentor P Braouezec!!!


Cet élément d'une conférence de presse repris par le jsd ( et validé par son directeur de rédaction contacté par mes soins ce matin)grèvera t-il la subvention de 825 OOO euros annuellement versée au JSD?

« Nemo auditur propriam turpitudinem allegans ».

Didier Labaune (Conseiller Municipal UMP/Parti Radical de St Denis)
http://www.saintdenislabauneump.blogspot.com/

*Stéphane Peu a été intégré à l’équipe Braouezec en 1994 comme chargé de mission à l’Hôtel de ville. Il est depuis 1995 adjoint au logement et aux relations internationales…Il est de fait responsable de la situation du logement à Saint-Denis.


Cher(e)s Ami(e)s,
 
Xavier LEMOINE, maire de Montfermeil, est l'invité sur I télé,  de Robert MENARD, dans l'émission :
 
Ménard Sans interdit, aujourd'ui jeudi 16 juin à 17h45 sur le thème de l'armement des policiers municipaux.
 
Bien amicalement,
Jean-Pierre Renard

Les tefilines

Juste avant la Guerre des Six Jours, en juin 1967, le Rabbi de Loubavitch avait lancé sa première campagne mondiale, encourageant tous les Juifs à mettre les Téfilines. Je demandais une fois au Rabbi la raison de cette campagne, et il me répondit “ Il y a deux raisons à cela : la première, c’est que le traité Roch Hachana déclare que dès qu’un Juif a mis au moins une fois les Téfilines, il entre dans une “ catégorie spirituelle ” bien supérieure ; d’autre part, lorsqu’un juif de Miami verra des photos de Juifs priant devant le Mur Occidental avec des Téfilines, il aura lui-même envie de mettre les Téfilines ”. Quelques jours plus tard, j’avais rendez-vous avec un ami. Tôt le matin, mon ami frappa à ma porte, entra et me vit prier avec mon Talit et mes Téfilines. Puis nous nous retrouvâmes pour le petit déjeuner. Mon ami, moi et le comptable qui était juif. Ce dernier me demanda pourquoi je ne mangeais rien : mon ancien client répondit à ma place, affirmant que je mangeais cachère : “ D’ailleurs quand je suis entré dans sa chambre, il priait avec “ des trucs ” sur sa tête et son bras ”. Le comptable demanda “ Vous mettez les Téfilines ? ” Je répondis par l’affirmative et demandai à mon tour : “ Et vous ? ” “ Je n’ai plus mis les Téfilines depuis cinquante ans ; mais récemment, j’ai vu une photo de Juifs priant devant le Mur Occidental avec les Téfilines et j’ai eu envie de les mettre moi-même ”. Il entra dans ma chambre et mit les Téfilines pour la seconde fois de sa vie !

L’année suivante, je retournai aux Etats-Unis. Un soir, mon hôte invita plusieurs couples et, la conversation tourna autour de la religion. L’un des hommes présents n’arrêtait pas de poser des questions sur les Téfilines : je lui dis : “ On dirait que vous vous intéressez beaucoup aux Téfilines ! ”“ Oui, répondit-il, et pourtant cela fait vingt ans que je ne les ai pas mis ! ” “ Mais vous devriez ! “ « Comprenez-moi : je possède une boulangerie et nous travaillons toute la nuit. Si vous voulez me mettre les Téfilines, venez dans ma boulangerie à six heures et demi ”. Le lendemain, à six heures et demi, il mit les Téfilines. Il savait exactement comment les mettre et quelle bénédiction prononcer. “ Puisque vous savez les mettre, vous pourriez les mettre facilement tous les jours ! ” remarquai-je. « Il répondit qu’il ne possédait pas de Téfilines et que ce n’était pas une dépense à laquelle il songeait. Cependant, si quelqu’un lui en offrait, il s’engageait à les mettre chaque

Ce soir-là, je pris l’avion pour New York. Le lendemain matin, après la prière, j’écrivis une lettre au Rabbi pour lui demander des conseils pour mes affaires et je décrivis ma rencontre. Je terminais ma lettre en annonçant au Rabbi que je reprenais l’avion le soir même pour Londres . Quand j’entrai dans la synagogue du Rabbi, un des secrétaires m’annonça que le Rabbi avait répondu à ma lettre. Dans cette réponse, le Rabbi accordait sa bénédiction pour la poursuite de mes affaires, mais continuait :

“ Pensez-vous qu’il soit correct qu’un Juif qui a mis hier les Téfilines pour la première fois depuis vingt ans doive attendre encore six semaines pour que vous lui achetiez des Téfilines et qu’il puisse refaire la Mitsva ? Vous devez lui acheter des Téfilines aujourd'hui même et vous arranger pour qu’il les obtienne aujourd’hui. Vous devez agir ainsi même si cela signifie que vous ne pourrez pas passer Chabbat avec votre famille ! Et quand ce Juif verra combien il est important pour vous qu’il ne rate pas un seul jour le mérite de mettre les Téfilines, cette Mitsva aura une importance particulière pour lui ”. Je ne peux décrire tous les obstacles que je rencontrai. Mais en quelques heures, je réussis à acheter des Téfilines, je les apportai à l’aéroport , m’arrangeai avec la compagnie aérienne pour les acheminer jusqu’à Detroit où mon ami accepta de les récupérer et de les transmettre au boulanger. J’informai le Rabbi de cette heureuse conclusion. Par la suite, je rencontrai à nouveau le boulanger de Detroit. Il me dit que, depuis, il n’avait pas manqué de mettre les Téfilines un seul jour. Même lorsqu’il dut une fois marcher longtemps dans la neige avant le coucher du soleil un jour où sa voiture était tombée en panne :

“ Du fait que vous vous êtes tant investi pour que je possède des Téfilines le jour – même, les Téfilines sont particulièrement importants pour moi! »




Le Secrétaire général
 


 

 

" La place des femmes dans la société :
un rendez-vous avec la modernité
"

Mardi 21 juin 2011
de 15h30 à 19h00

A l’Assemblée Nationale
Salle Victor Hugo – 101, rue de l’Université – 75007 Paris

La reconnaissance des mêmes droits aux hommes et aux femmes a été l’objet d’un combat

 qui n’est pas achevé.

Encourager la parité c’est d’abord apporter des réponses concrètes aux inégalités qui perdurent entre les femmes et les hommes, afin de donner aux femmes la place qu’elles méritent dans la société.

  • Quelle place pour les femmes dans la société aujourd’hui et pour l’avenir ?
  • Comment permettre aux femmes d’accéder davantage aux postes à responsabilité ?
  • Comment permettre aux deux parents de mieux concilier leur vie familiale
  • et leur vie professionnelle ?
  • Comment lutter contre les situations de précarité dont sont victimes les femmes ?
  • Comment rendre effective la parité entre les hommes et les femmes en politique ?

- Venez en débattre et réservez dès maintenant votre place en confirmant votre présence à

www.projet-ump.fr/inscription
(Réponse obligatoire – nombre de places limité)

- Vous pouvez aussi nous faire parvenir vos propositions pour contribuer à ce grand débat en nous les adressant sur le site Internet www.projet-ump.fr

Vous trouverez, en cliquant sur ce lien, une invitation personnelle.

Pensez à vous munir d’une pièce d’identité pour pouvoir entrer à

l’Assemblée Nationale

Merci pour votre engagement

Jean-François COPÉ

 

 

 




ISRAEL
Le vice-ministre des Affaires étrangères Danny Ayalon a déclaré mercredi, lors d'un entretien avec le ministre italien de l'Intérieur Roberto Maroni qu'Israël avait réussi à stopper l'offensive diplomatique palestinienne prévue pour septembre à l'Onu. Selon Ayalon, Israël reçoit des assurances de nombreux pays rejetant le refu s palestinien, affirmant leur préférence pour la poursuite de négociations directes entre les deux parties. Ayalon a qualifié de "provocation qui mènera à la violence, toute initiative unilatérale".

AIDEZ JEAN PIERRE RENARD À RETROUVER DU TRAVAIL !

Je suis ouvert à toutes propositions de votre part. Je suis à la recherche d'un nouvel emploi. Je ne serai pas difficile...! Il est vital (sur tous les plans !) pour moi, de retravailler au plus vite ! D'avance merci à vous tous.

Je suis à la recherche d'un emploi. Voici, mon CV:

Jean-Pierre RENARD                                                                                Permis B, véhiculé

109 rue Etienne Dolet

93380 PIERREFITTE

Tél: 06 .69.10.63.37

Adresse E-mail :[email protected]

42 ans. Célibataire.

 

Persévérant, rigoureux,  travailleur et aimant surtout beaucoup le contact humain.

 

COMPETENCES

 

Informatiques : Environnement Windows, Word maîtrisés. Notions d’Excel

Organisation d’évènementiels

Relance téléphonique

Gestion de clientèle

Suivi et contrôle de l’exécution des travaux

 

EXPERIENCE PROFESSIONNELLE

 

1991 : Gestionnaire de commande chez  CITROEN, Saint-Denis (93)

1992 – 2005 : Commis dans une entreprise de Menuiserie PME– SARL JEAN RENARD, Pierrefitte (93)

1997 : Coordinateur d’une campagne électorale aux Législatives

2004 : Directeur de Campagne aux élections Cantonales

2006 : Agent du Patrimoine à la Médiathèque de la ville du Raincy, pendant 7 mois.

2007-2008 : Bibliothécaire à la ville de Neuilly-Plaisance, pendant 20 mois.

2008-2009 : Responsable des fournitures pour la Mairie de Neuilly-Plaisance

 

FORMATION

 

1985 : Niveau seconde / Autodidacte

1992 : Membre de la Commission économique d’un parti politique

2005 : Stage informatique Windows et Word - Chambre de Métiers de Seine-Saint-Denis

2006 : Stage à la Mairie du Raincy à L’Urbanisme

2010 : Stage de remise à niveau en informartique dans une structure municipale à Pierrefitte Sur Seine

 

CENTRES D’INTERETS

 

Histoire de France et des civilisations

Musées et événements culturels

Ecriture

Monde Associatif (actif dans diverses associations).


Contrairement à ce qu’affirmait François Mitterrand dans les années 1990, nous n’avons pas tout essayé contre le chômage. En la matière, je pense que la cause du chômage est triple : il y a ceux qui ne peuvent pas trouver d’emploi, ceux qui ne veulent pas trouver d’emploi et ceux qui ne savent pas trouver d’emploi.  Pour ceux qui ne peuvent pas trouver d’emploi, parce que la croissance est mauvaise, il convient de mettre en place des réformes structurelles afin de soutenir la croissance de long terme ; pour les autres, il convient d’ores et déjà de prendre des mesures d’urgence, qui touchent au régime de l’indemnisation du chômage, au droit du travail et à la politique de formation.

Voici mes quatre propositions pour enrayer le chômage à court terme.

1. Moduler les indemnités du chômage en fonction de l’employabilité des demandeurs d’emploi

Il s’agit de mettre fin à l’absurdité du principe de non différenciation des allocataires de l’indemnité du chômage. Parce que nous ne sommes pas égaux devant le chômage, nous ne pouvons rester égaux devant son indemnisation.

Dans mon esprit, le versement des indemnités du chômage devrait en effet être modulé en fonction de l’employabilité des demandeurs d’emploi. Un homme de 30 ans, diplômé, demeurant en Ile de France, ne devrait pas être indemnisé de la même manière qu’un homme de 50 ans, sans diplôme, demeurant dans un bassin désindustrialisé. L’indemnité ne peut être la même dès lors que le préjudice n’est pas le même.

Je propose donc de distinguer les demandeurs d’emploi en fonction de plusieurs critères, définis en concertation avec les partenaires sociaux et qui affecteraient à chaque demandeur d’emploi un indice d’employabilité. Cet indice servirait ensuite à calculer la durée d’indemnisation du chômage qui irait, par exemple, de six mois pour une personne dont l’employabilité est très forte, à dix-huit mois pour une personne dont l’employabilité est très faible.

J’ajoute que, dans mon esprit, l’indice d’employabilité ne doit déterminer que la durée du versement de l’allocation chômage et non le taux de l’allocation chômage.

2. Ouvrir le droit aux indemnités du chômage après une rupture du contrat de travail du fait du salarié

L’idée est la suivante : le salarié qui démissionne aurait droit aux indemnités du chômage. Pour cela, il doit avoir passé au moins deux ans dans l’entreprise, auquel cas il aurait droit à une allocation chômage équivalente à 100% de son salaire pour une durée fixée à un mois par année passée dans l’entreprise dans la limite de six mois.

Il peut paraître étonnant, voire contradictoire, de vouloir lutter contre le chômage en permettant au salarié de quitter plus facilement l’emploi  qu’il occupe, mais la contradiction n’est qu’apparente.

En effet, je suis convaincu que cette mesure sera en réalité très peu utilisée, mais elle permettra au salarié d’exercer une pression positive sur son employeur qui, craignant de voir le salarié quitter l’entreprise, consentira à davantage d’efforts en matière salariale.

Cette modification des relations entre l’employeur et le salarié, qui interviendrait sur le marché du travail, aurait ainsi des conséquences sur le marché des biens et des services par l’augmentation de la demande globale via l’augmentation du pouvoir d’achat des travailleurs. Cela entraînerait inévitablement une diminution du chômage.

Surtout, cela libérerait intellectuellement et moralement de nombreux salariés à qui l’on permettrait de prendre en mains leur destin.

3. Créer les Centres Municipaux de la Recherche d’Emploi Encadrée et à Temps Plein

Il s’agit de confier aux communes deux compétences supplémentaires : le placement des chômeurs dans l’emploi et le versement de l’allocation chômage. Je suis convaincu en effet que, concernant la lutte contre le chômage, la commune est l’échelon pertinent : elle a une connaissance très fine de sa population et serait en mesure d’adapter au mieux le service au public.

L’idée est la suivante : dès le lendemain de son inscription au Centre Municipal  afin de recevoir son indemnité chômage, le demandeur d’emploi serait convoqué par un agent qui lui formulerait la proposition suivante : « souhaitez-vous que l’on vous aide dans vos démarches de recherche d’emploi où souhaitez-vous les effectuer par vous-même ? »

Si le demandeur d’emploi souhaite effectuer ses recherches d’emploi de façon autonome, on lui laissera trois mois pour le faire, période au cours de laquelle on ne lui demandera aucun compte.

Au bout de trois mois en revanche, il effectuera ses recherches au Centre Municipal, où il passera 35 heures par semaine. Il y aura son bureau avec un ordinateur et un téléphone. Il s’inscrira à des ateliers de recherche d’emploi ou à des cycles de formation et tous les déplacements nécessaires à ses recherches seront pris en charge par la collectivité.

Outre le fait que cette formule permet d’apporter une aide à ceux qui peinent à chercher un emploi de manière efficace, elle permet de ne pas altérer l’employabilité du demandeur d’emploi en le maintenant dans un cadre proche de celui de l’entreprise.

4. Moduler le Droit Individuel à la Formation en fonction des catégories d’emploi

Il s’agit ici de suivre le même principe que celui qui prévaut depuis 1945 dans notre système de sécurité sociale : « payer selon ses capacités, recevoir selon ses besoins ».

Les entreprises financent déjà la formation professionnelle à hauteur de leurs capacités, mais les salariés ne reçoivent pas en fonction de leurs besoins.

Je suis convaincu pour ma part que le cadre supérieur, qui a déjà bénéficié, aux frais de la collectivité, d’une excellente formation initiale, ne devrait pas bénéficier du même droit à la formation que la personne peu qualifiée qui risque de voir son emploi disparaître et pour laquelle la formation professionnelle constitue peut-être la seule chance de maintien dans l’emploi.

Je propose donc de concentrer les crédits de la formation  professionnelle vers les personnes qui ont le moins bénéficié de la formation initiale – dans une logique de rattrapage – et dont l’emploi est en péril, par exemple parce qu’ils travaillent dans un secteur déjà condamné.

Vijay Monany ( Conseiller Municipal UMP en Seine-Saint-Denis. Il est le chef de file de la droite à Pierrefitte-sur-Seine. Il est par ailleurs consultant en management et Maître de conférences à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris où il enseigne le management.)