Campagne des cantonales pour le canton de Pierrefitte/Villetaneuse:
Ce matin, avec 3 compagnons (dont le Délègué UMP de la 2ème circonscription de Seine Saint Denis: Patrick Saunier) et mon ami: Vijay Monany nous avons tracté sur le marché de Pierrefitte pour la campagne des cantonales sur le canton de Pierrefitte/Villetaneuse de ce dernier. Il m'a annoncé une très bonne nouvelle: quelque serait son résultat lors de l'élection, ils restera sur notre ville pour les prochaines échéances...!
Tous avec Vijay Monany pour libèrer le canton de Pierrefitte/Villetaneuse !
J'ai assisté hier soir à une soirée-débat à Pierrefitte dans le cadre de la campagne pour le canton de Pierrefitte/Villetaneuse avec: le candidat: Vijay Monany; Bruno Beschizza (Conseiller Régional UMP); Christian Demuynck (Sénateur/Maire UMP de Neuilly-Plaisance); Mike Borowski (Délégué UMP de la 1ère circonscription de Seine Saint Denis); Madi Seydi (attachée parlementaire du Sénateur Christian Demuynck); Thierry Meignan (Patron de l'opposition au Blanc-Mesnil)et de Beatrice Olivier (Conseillère Municipale UMP de Pierrefitte). La réunion fut trés interessante de part les interventions des invités et des quelques interventions de pierrefittois et de pierrefittoises parmis les plus de 50 présents dans la salle communale Ambroise Croizat...
Jean-Pierre Renard et Bruno Beschizza
Vijay Monany et le Senateur Christian Demuynck
Bruno Beschizza; Vijay Monany; Beatrice Olivier et Christian Demuynck
Christian Demuynck et Bruno Beschizza
Une soirée à ne pas manquer !
Vendredi 18 mars, à 20h30, soutenu dans ses initiatives solidaires par la ville, le Lions Club Neuilly-Dhuys vous convie à la soirée cabaret "Monmartre en folie". Réservez dès à présent votre place pour une soirée féerique, à l'acceuil de la Mairie (6 rue du Général de Gaulle), à l'ATCI (11 rue du Général de Gaulle), sur le site de la Ville www.mairie-neuillyplaisance.com ou sur place le soir de la représentation
Christine PERCHAUD, ma suppléante aux élections cantonales de Saint-Denis Nord-Ouest est allée à la rencontre des femmes de Saint-Denispour leur offrir des roses blanches à l’occasion de la Journée mondiale de la Femme.
Au-delà du symbole, en l'accompagnant c’est un véritable hommage que j'ai voulu rendre aux femmes de notre ville, souvent pilier de leur famille.
L’occasion de dire STOP aux violences physiques et/ou psychologiques que subissent certaines d’entre elles, et plus particulièrement à celles dont les droits sont bafoués : en effet, une femme meurt chaque jour sous les coups de son conjoint.
Un rappel également de l’action du Gouvernement en la matière avec la collaboration du Conseil général :Michèle ALLIOT MARIE, en tant que Ministre de la Justice et des Libertés était venue en Seine-Saint-Denis inaugurer un dispositif d’alerte par téléphone portable pour les femmes en grand danger.
Julien Mugerin
En présence de :
Trophé Andros au Stade France
Samedi soir, au Stade de France à St Denis, j'ai assisté avec mon père, au Trophée Andros (courses de voitures et de motos sur la glace. 700 tonnes !!! Avec notamment: Elodie Gossuin; Alain Prost et Jacques Villeneuve ) (il a fait 2° !!!), nous étions plus de 50.000 !!! Le grand gagnant de la soirée fut: Alain Prost. Ce fut un grand moment d'émotion sportif et de courses d'automobiles. Voici, ci-dessous, quelques photos souvenirs de cette fameuse soirée:
Lampedusa : pendant que les clandestins sont accueillis, le maire est poursuivi !
La voiture d'Alain Prost (avec lui)
Alain Prost et Jacques Villeneuve
À droite, la voiture de Jean-Pierre Pernault (avec lui)
La voiture d'Alain Prost (avec lui)
"Nous allons fixer des objectifs ambiteux: passer de 600 000 à 800 000 jeunes en alternance dans les trois ans qui viennent et 1 000 000 à terme"
"il en va de l'avenir de milliers de jeunes qu'il faut aider à percer le plafond de verre qui les empêche de mettre un pied dans l'entreprise"
La taxe d'apprentissage sera réformée pour accompagner l'augmentation du nombre d'apprentis
La formation par apprentissage d'un jeune coûte entre 2500 et 10 000 euros par an en fonction de l'âge et du type de diplôme préparé.
Il est donc nécessaire de dégager des financements supplémentaires pour permettre l'augmentation du nombre d'apprentis.
Une grande partie de ces financements proviendra de la réforme de la taxe d'apprentissage.
Actuellement, la taxe d'apprentissage, dont le produit atteint deux milliards d'euros, est divisée entre le « quota » (52% du montant), réservé au financement des formations en apprentissage, et le « barème » (48% du montant), que les entreprises peuvent affecter librement aux premières formations technologiques et professionnelles.
De manière à stabiliser le montant de la taxe dédié à ces formations, le barème sera sécurisé en valeur absolue. Le surplus de la taxe lié à la croissance de la masse salariale sera donc uniquement affecté aux formations en apprentissage.
Cette réforme devrait permettre de dégager entre 60 et 90 millions d'euros supplémentaires chaque année pour accompagner la montée en charge du nombre d'apprentis.
A partir de 2015, 350 millions d'euros de plus par an seront ainsi disponibles pour financer de nouvelles formations en apprentissage
Mettre en place un système de bonus-malus et relever le quota d'alternants
Dans les entreprises de plus de 250 salariés, le quota de 3% d'alternants sera relevé à 4% et modulé en fonction de l'effort de l'entreprise
A ce jour, les entreprises de 250 salariés et plus sont soumises à la contribution supplémentaire à l'apprentissage (CSA), équivalente à 0,1% de la masse salariale, lorsqu'elles ne comptent pas au moins 3% de jeunes en alternance dans leurs effectifs.
Ce système est injuste : les entreprises qui emploient des jeunes en alternance sans atteindre 3% sont soumises à la même contribution que celles qui ne font aucun effort en ce sens.
Ce système pourrait être plus ambitieux : le développement de la formation en alternance est une mission d'intérêt général et les moyennes et grandes entreprises peuvent y contribuer davantage.
C'est pourquoi trois modifications seront apportées au système actuel :
Le taux d'alternants actuel dans les entreprises de 250 salariés et plus est évalué à 1,7%.
A terme, le respect du quota porté à 4% devrait permettre d'embaucher 135 000 jeunes en alternance supplémentaires par an.
Par ailleurs, les entreprises qui dépassent la nouvelle obligation légale, soit 4% d'alternants dans l'ensemble des effectifs, bénéficieront d'un bonus d'une valeur de 400 euros par contrat et par an.
Ce bonus sera valable pour toute embauche supplémentaire d'un jeune en alternance, au dessus du quota de 4% et jusqu'au seuil de 6%.
Mesure « zéro charges » : une exonération totale de charges sociales pendant 6 mois pour toutes les entreprises de moins de 250 salariés qui embauchent un jeune en alternance supplémentaire.
Dans les entreprises de moins de 250 salariés, toute embauche supplémentaire, par rapport à l'année précédente, d'un jeune en alternance bénéficiera d'une exonération totale de charges sociales pendant 6 mois.
Les contrats éligibles seront les contrats d'apprentissage et les contrats de professionnalisation pour un jeune de moins de 26 ans. Cette aide s'appliquera à compter du 1er mars 2011.
La mesure présente au moins trois avantages :
La mesure devrait contribuer à augmenter de 25% le nombre de contrats en alternance dans les entreprises de moins de 250 salariés.
Il est raisonnable d'en attendre 50 000 contrats en alternance supplémentaires en 2 ans.
Programme d'investissements d'avenir (Grand Emprunt national)
Ce programme en faveur de l'alternance est doté de 500 millions d'euros. Ces crédits se divisent en deux actions :
250 millions d'euros seront consacrés au financement de 50 projets de développement de l'appareil de formation, visant à soutenir la création, l'extension ou la reconversion de centres et organismes de formation accueillant les jeunes travailleurs en alternance, en privilégiant les projets axés sur les métiers de demain.
250 millions d'euros seront consacrés à la création de 15 000 places supplémentaires ou la consolidation de solutions d'hébergement en direction des jeunes. Cela ouvrira de nouvelles possibilités d'hébergement pour les jeunes adultes engagés dans une formation en alternance.
Le programme est organisé dans le cadre d'un appel à projets permanent de 2011 à 2014.
Les projets accorderont une priorité aux métiers de demain et aux pratiques innovantes (à titre d'exemple, l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication, les cursus bilingues, la formation visant des métiers émergents, activités numériques, activités retenues comme prioritaires lors des Etats généraux de l'industrie).
Un correspondant est à la disposition des porteurs de projets dans chaque direction régionale de la Caisse des Dépôts (CDC)
Informations complémentaires : site de la CDC (consultations investissements d'avenir)www.caissedesdepots.fr
Les contrats d'objectifs et de moyens pour l'apprentissage (COM)
Après l'obtention du diplôme, l'apprentissage constitue une voie d'excellence et d'insertion durable dans 86 % des cas dans les 3 ans après la fin du contrat.
Le gouvernement souhaite, en partenariat avec les conseils régionaux, atteindre à l'horizon 2015 près de 800 000 jeunes en formation en alternance dont environ 600 000 en apprentissage et à terme un million d'apprentis.
L'augmentation quantitative et qualitative de l'apprentissage nécessite une nouvelle génération de contrats d'objectifs et de moyens (COM apprentissage) conclus dans chaque région par le préfet de région et le président du conseil régional pour la période 2011-2015.
Les contrats d'objectifs et de moyens (COM apprentissage) vont permettre l'augmentation du nombre réel de places de formation par apprentissage et concerneront en priorité les opérations d'investissement, puis le fonctionnement des formations.
Simplifier les procédures
Simplifier les conditions requises pour devenir maître d'apprentissage
Le maître d'apprentissage est un salarié ou l'employeur lui-même (cas fréquent dans l'artisanat). Le maître d'apprentissage a pour rôle de former le jeune au métier auquel celui-ci se prépare, en collaboration avec l'équipe de formateur et d'enseignants du centre de formation d'apprentis.
En l'état actuel de la législation, des conditions restrictives sont posées pour devenir maître d'apprentissage notamment de conditions d'ancienneté qui peuvent dans de nombreuses entreprises être sources de difficultés pour les entreprises.
C'est pourquoi il est proposé d'assouplir les conditions d'ancienneté pour devenir maître d'apprentissage en abaissant les seuils trop restrictifs.
Permettre la succession de deux contrats de professionnalisation
En l'état actuel de la législation, des conditions restrictives sont posées pour enchaîner deux contrats de professionnalisation à durée déterminée.
C'est pourquoi il est proposé d'assouplir et d'adapter les conditions pour enchaîner deux contrats de professionnalisation à durée déterminée lorsque le deuxième contrat permet d'acquérir une qualification supérieure reconnue.
Ouvrir plus de possibilités pour les saisonniers
La possibilité de signer un contrat en alternance avec deux employeurs distincts pour les saisonniers permettra de faciliter l'emploi durable de ces salariés et de mieux répondre aux besoins des entreprises.
Valoriser le statut des apprentis
A l'instar des étudiants, les apprentis accèdent à des niveaux de qualification et de diplôme de plus en plus élevés.
C'est pourquoi il est proposé à ces « étudiants des métiers » de plus de 18 ans d'accéder aux prestations offertes aux étudiants de l'enseignement supérieur comme l'accès aux résidences universitaires, l'accès aux meilleurs tarifs de restauration (CROUS) et à des réductions étudiantes (loisirs, culture, transport).
Accompagner les entreprises
Optimiser l'action des développeurs de l'apprentissage
Près de 300 développeurs de l'apprentissage sont chargés dans les territoires d'informer les employeurs sur les contrats en alternance et de les aider dans la phase de conclusion du contrat. Ils sont présents au sein des réseaux consulaires : chambres de commerce et d'industrie, chambres de métiers et de l'artisanat ou encore dans le BTP.
Des objectifs davantage ciblés et territorialisés seront proposés aux développeurs de l'apprentissage pour renforcer leur action auprès des jeunes et des entreprises notamment celles qui n'ont pas habituellement recours à l'apprentissage
Faciliter l'accès à l'information
Développer les fonctionnalités du « portail de l'alternance » www.contrats-alternance.gouv.fr
Ce Portail Internet propose actuellement plus de 60 000 offres d'alternance en ligne. Il est destiné à faciliter les démarches des jeunes âgés de moins de 26 ans en vue de l'obtention d'un contrat de professionnalisation ou d'un contrat d'apprentissage.
Il repose sur un partenariat entre l'Etat et différents organismes comme Pôle emploi, les réseaux consulaires (Chambres de commerce et d'industrie, chambres de métiers et de l'artisanat) du MEDEF, de la CGPME et de l'UPA, ainsi que du Centre INFFO.
L'objectif est de permettre de faciliter la rencontre entre jeunes et employeurs et à terme :
Le contrat d'autonomie
Lancé en 2008 le contrat d'autonomie est un dispositif dédié aux jeunes âgés de 16 à 25 ans domiciliés dans un quartier couvert par un contrat urbain de cohésion sociale (CUCS).
Déployé dans 35 départements, ce dispositif expérimental consiste en un parcours d'accompagnement court et intensif vers l'insertion professionnelle, matérialisé par un contrat établi entre le jeune et un organisme d'aide au placement rémunéré aux résultats.
La situation de l'emploi des jeunes dans les quartiers de la politique de la ville justifie la poursuite d'une prestation d'accompagnement dédiée à ce public au moyen d'un contrat d'autonomie rénové, en tirant parti de l'expérimentation mise en œuvre depuis.
Ce dispositif a montré l'efficacité d'un accompagnement intensif et personnalisé pour un public confronté à de multiples difficultés d'insertion professionnelle.
Là où le contrat d'autonomie a fonctionné il sera poursuivi car lorsque les opérateurs encadrement efficacement les jeunes, c'est un formidable outil pour les insérer dans l'emploi.
La rémunération des opérateurs sera fonction des résultats avec un objectif global d'au moins 60% d'insertion durable.
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