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  L'avenir de la ville ou repose les Rois de France !    

       Mon ami: Monsieur Julien Mugerin (Le Délégué des jeunes UMP pour la Seine Saint Denis; Ancien candidat aux cantonales à St Denis et de nouveau candidat aux cantonales sur St Denis, le mois prochain) avec le Sénateur/Maire UMP de Pavillons Sous Bois: Monsieur Philippe Dallier. Lui aussi, il représente l'avenir de notre Mouvement en Seine St Denis ! C'est aussi l'espoir d'une vie meilleure pour tous les dionysiennes et tous les dionysiens aprés que cette ville ait été plongée dans le plus profond des abîmes sur tous les niveaux par la majorité socialo-communiste !...J'espère que toutes les forces de Droite à St Denis seront unies derrière sa personne pour l'échéance de mars 2011, qu'ils aideront Julien et qu'ils oublieront pour un temps, leurs ambitions personnelles pour le bien de leurs concitoyens qui ont tellement besoin de changement et d'une véritable opposition unie proposant de véritables idées au sujet de leur quotidien !

Photo 367 




Le ''droit au retour'' des Palestiniens face à l'Etat juif d'Israël : 2e clé

DR 2011La résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations unies, votée le 29 novembre 1947, recommande le partage de la Palestine en un Etat juif et un Etat arabe. Et pourtant…

En 2003, deux Israéliens Yossi Beilin et Ami Ayalon, et deux Palestiniens Sari Nusseibeh et Yasser Abed Rabbo, lancent l'initiative de Genève : le collectif "2 Peuples, 2 Etats, Israël Palestine". Dans le texte fondateur, en préambule, ils stipulent : " l’Etat d’Israël comme Etat du peuple juif, l’Etat de Palestine comme Etat du peuple palestinien". Et pourtant…

Le 14 juin 2009, lors de son discours à l'université Bar Ilan, le Premier ministre de droite, Binyamin Netanyahou, opère une remise en cause absolument gigantesque pour un héritier de Menahem Begin et Zeev Jabotinsky, en reconnaissant un Etat palestinien aux côtés d'Israël et déclare :" si les Palestiniens reconnaissent l'Etat d'Israël comme un Etat juif, nous serons prêts à la création d'un Etat palestinien démilitarisé aux côtés de l'Etat d'Israël". Et pourtant…

Et pourtant, Mahmoud Abbas et la direction palestinienne n'ont pas la volonté ou le courage, ou les deux à fois, de répondre positivement à cette opportunité. Le président de l'Autorité palestinienne avait déjà préventivement rejeté la main tendue par Netanyahou en déclarant le 27 avril 2009 : "Un Etat juif, c'est quoi ça ? Vous pouvez vous faire appeler comme ça vous plaît, mais moi je ne l'accepte pas et je le dis publiquement". Le 20 septembre dernier, le Raïs palestinien raille l'exigence du gouvernement israélien de reconnaître Israël comme "Etat juif": "si les Israéliens veulent appeler leur Etat "le grand empire israélien juif sioniste", qu'ils fassent comme bon leur semble, cela m'est complètement égal". Le 11 octobre dernier, Nabil Abou Rodeina, conseiller politique de Mah moud Abbas, affirme : " les Palestiniens refusent le préalable d'une reconnaissance du caractère juif d'Israël, un Etat issu d'une partition de la Palestine et dont les Arabes forment encore 20% de la population, la question de la judaïté de l'Etat n'a rien à voir avec le sujet". A noter également la réaction du président égyptien Hosni Moubarak qui fut de dire que "personne n'accepterait la demande de Netanyahou que les Palestiniens reconnaissent Israël comme un Etat juif".

Tout le nœud du problème est là, tel est le dilemme palestinien : reconnaître le caractère juif de l'Etat d'Israël signifie, de facto, la fin du "droit au retour".

Alors que pouvons-nous répondre, lorsque nous sommes interpellés par ceux qui affirment que "les réfugiés palestiniens ont le droit, d'après les Conventions internationales, de rentrer chez eux", sur le territoire israélien? Il faut donc revenir aux "fondamentaux". En voici donc la deuxième clé :

Aucune loi, convention ou résolution internationale n'appelle à "un droit au retour" en Israël. Des résolutions demandent une solution du problème des réfugiés palestiniens. Bien que le problème de ces réfugiés ait été provoqué par une guerre imposée par les nations arabes, Israël s'est pourtant engagé à participer à un effort international pour la solution du problème et ses compensations.

Le problème des réfugiés est le résultat de la guerre israélo-arabe de 1948, lorsque cinq armées arabes envahirent le tout nouvel Etat d'Israël. Lors de cette guerre, 700.000 Palestiniens quittèrent leurs maisons dans l'Etat nouvellement créé. La plupart d'entre eux le firent volontairement pour éviter de se trouver au milieu de la confrontation, suivant ainsi les appels des leaders arabes qui promirent que tous ceux qui partaient, pourraient revenir après la "rapide victoire sur les Juifs". Dans quelques cas, des Palestiniens furent obligés de partir à cause de groupes ou d'organisations luttant en faveur d'Israël. parmi ceux qui partirent, un tiers se rendit en "Cisjordanie" (Judée-Samarie, sous contrôle jordanien), un tiers dans la bande de Gaza (sous contrôle égyptien) et le reste se dispersa entre la Jordanie, le Liban et l a Syrie. Ces pays arabes, à l'exception de la Jordanie, refusèrent d'envisager l'absorption et l'intégration de ces réfugiés, arguant que cela nuirait au "droit" des réfugiés de retourner dans leurs maisons, en Palestine. La plupart d'entre eux réside ainsi dans des camps de réfugiés, une situation tragique qui persiste depuis plus de 60 ans.

Parallèlement, un problème de réfugiés juifs se créa avec la naissance d'Israël. Entre 1948 et 1951, près de 800.000 Juifs furent expulsés des pays arabes ou forcés de fuir à cause de la violence antisioniste. Près de 500.000 de ces réfugiés fuirent vers Israël à partir de pays tels que l'Irak, la Tunisie, la Syrie, l'Egypte, le Yémen, l'Algérie, la Libye et le Maroc et furent immédiatement intégrés dans la nouvelle nation.

Il n'y a aucune base dans les conventions internationales pour un "droit au retour" des Palestiniens.

Les résolutions 242 et 338 des Nations Unies ne font aucune référence à un "droit au retour", elles font uniquement mention du besoin de résoudre le problème des réfugiés palestiniens. Les résolutions internationales sur lesquelles se basent habituellement les Palestiniens pour exiger leur "droit", comme la résolution 194 de l'Assemblée générale de décembre 1948 et aussi l'article 12 de la Convention internationale sur les Droits civils et politiques de décembre 1966, n'imposent aucune obligation et n'ont aucun caractère coercitif.

En outre, ces résolutions sont incompatibles avec les conditions et la réalité de la situation actuelle.

Un afflux de plusieurs millions de Palestiniens signifierait un bouleversement de la démographie et la fin "de facto" de l'Etat d'Israël", ce qui demeure apparemment le but ultime de Mahmoud Abbas en refusant le caractère juif d'Israël.

Il semble donc que la reconnaissance de l'Etat d'Israël n'est que virtuelle, car la négation du caractère juif et l'exigence du "droit au retour" témoignent de la volonté de la direction palestinienne d'aboutir à la destruction de "l'entité sioniste". Sur ce point, force est de reconnaître la franchise du Hamas.

Logiquement, mais y a-t-il jamais eu une logique au Proche-Orient, deux peuples pour deux Etats signifie que le peuple juif vive en Israël et le peuple palestinien dans son Etat palestinien. Apparemment, c'est encore trop pour Mahmoud Abbas, qui, bien entendu, ne serait pas prêt, dans l'absolu, à accepter qu'un Juif puisse rester sur le territoire de l'Etat palestinien, tout en trouvant normal que nous conservions nos concitoyens arabes. Mais en outre, il exige l'absorption par Israël des réfugiés palestiniens depuis au moins quatre générations…


 Alors, nous le disons aux Obama, Medvedev, Merkel, Sarkozy et à tous les autres dirigeants, avec toute la force que nous permet un des rares consensus de notre pays, nous avons été, dans ce domaine, au bout de toutes les concessions possibles, tous gouvernements confondus. Nous sommes un peuple avide de paix, prêt à négocier, mais Auschwitz et Massada ainsi que nos concitoyens originaires des pays arabes nous imposent d'avoir de la mémoire et Tsahal en est le garant.

Le peuple palestinien n'a pas eu la chance, jusqu'à aujourd'hui, d'avoir un leader courageux qui comprenne que les Juifs ne renonceront jamais à l'essence même du sionisme, à savoir, le Peuple juif sur sa Terre d'Israël.


Nos pensées, vont ce soir, à Guilad Shalit, détenu depuis 1692 jours par le Hamas. Ses parents sont toujours sans nouvelles. Les visites, même celles de la Croix-Rouge, lui sont interdites…

Marc Femsohn

Photo : REUTERS © 2011 

Ehoud Barak
Selon le ministre de la Défense, Ehoud Barak, «un Etat d’Israël indépendant, fort, prospère et pacifique constitue une vengeance pour les morts». Barak s’est exprimé au cours d'une cérémonie organisée dans l’enceinte de l’assemblée générale des Nations-Unies, en l’honneur de la Journée internationale de commémoration des victimes de la Shoah.

À faire circuler tous azimuts...

horrifiée que de tels groupes existent ! Est-ce vraiment possible ? Pourquoi laisser continuer à

s'exprimer tant de haine ? A plus de vous lire.

Le groupe "113":

extrait de leurs chansons :

J' crie tout haut : " J'baise votre nation "

On remballe et on leur pète leur fion.

Faut pas qu'y ait une bavure ou dans la ville ça va péter,

Du commissaire au stagiaire: tous détestés !

A la moindre occasion, dès qu' tu l' peux, faut les baiser.

Bats les couilles les porcs qui représentent l'ordre en France.



Le groupe "Sniper":

extraits de leur chanson "J'aime pas" :

J'aime pas ce pays la France et le latin, son système son baratin.

Extraits de leur chanson "La France" :

Pour mission exterminer les ministres et les fachos

La France est une garce et on s'est fait trahir

On nique la France sous une tendance de musique populaire

Les frères sont armés jusqu'aux dents, tous prêts à faire la guerre

Faudrait changer les lois et pouvoir voir Bientôt à l'Élysée des arabes

et des noirs au pouvoir. Faut que ça pète !

Frère, je lance un appel, on est là pour tous niquer

La France aux français, tant qu' j'y serai, ça serait impossible.

Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever. Faut leur en

faire baver la seule chose qu'ils ont méritée.

T'façon j'ai plus rien à perdre, j'aimerais les faire pendre. Mon seul

souhait

désormais est de nous voir les envahir. Ils canalisent la révolte

pour éviter la guerre civile.



Salif:

extrait d'un de ses écrits

Allez-y, lâchez les pitts, cassez les vitres,

quoi Rien à foutre, d' façon en face c'est des flics

C'est U.N.I.T.Y., renoi, rebeu, babtou, tway

Mais si on veut contrôler Paris, tu sais que ça sera tous ensemble.

Ca y est les pitts sont lâchés, les villes sont à chier, les vitres

sont cassées,

Les keufs sont lynchés, enfin, ça soulage, Faut que Paris crame.

On redémarre la guillotine, pire qu'à Djibouti. La France pète,

J'espère que t'as capté le concept.



Ministère Amer:

extrait de la chanson "Flirt avec le meurtre" :

j'aimerais voir brûler Panam au napalm sous les flammes façon

Vietnam tandis que ceux de ton espèce galopent où 24 heures par

jour et 7 jours par semaine J'ai envie de dégainer sur des f.a.c.e.s d.e

c.r.a.i.e

dommage (....) que ta mère ne t'ait rien dit sur ce putain de pays

me retirer ma carte d'identité, avec laquelle je me suis plusieurs

fois torché.



Smala:

extrait de la chanson "meurtre légal" :

Quand le macro prend le micro, c'est pour niquer la France guerre

raciale,

guerre fatale oil pour oil, dent pour dent organisation radicale,

par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères Gouers (Français)

c'est toi qui perd. Flippe pour ta femme tes enfants pour ta race. On

s'est installé ici c'est vous qu'on va mettre dehors

Extrait de la chanson "Du miel les abeilles" :

La France est un pays de putes Mafia etc

je suis fier d'être rebeu. J'peux pas trahir mon couscous au lait caillé.

J'ai passé toute ma jeunesse à racaille (...)

Comme le gros Nacine, le gros Nordine, mes potos

Les Algériens, danger ils ont du mal à nous gérer

Les Algériens, danger le passé on l'a mal digéré



Lunatic:

extraits de leur chanson "Temps mort" :

ALLAH à Toi seul l'homme doit toute son adoration, les vrais savent.

On a pas oublié, l'or que le pape porte au cou est celui qui nous a

été pillé.

Allo c'est B2O encore en chien d' chiennes, les hyènes

ressentent la tumeur et moi j' suis d'humeur palestinienne.

Qui veut la paix, prépare la guerre, j' te l' rapelle.

vote pour emmener les porcs à la morgue,

Eh négro ! C'est l'heure d' manger,

Brûler leur sperme en échantillons, souder leurs chattes

J'suis pas le bienvenu, mais j' suis là,(...),

j' suis venu manger et chier là.

Quand j'vois la France les jambes écartées j' l' encule sans huile.

Zont dévalisé l'Afrique... J'vais piller la France Tu m' dis "la France

un pays libre" (...) attends-toi à bouffer du calibre. J'rêve de loger

dans la tête d'un flic une balle de G.L.O.C.K.

Extraits de leur chanson "Mauvais Oeil" :

Les colons nous l'ont mis profond. A l'envers on va leur faire,

On est venu récupérer notre dû

Dans vos rues on va faire couler votre pu

Attends toi à plus d'un attentat

Ici en France, loin des ambiances "pétard" 14 juillet

Microphone ouvert et nos actions s'amorcent féroces

A.L.I., Booba, Lunatic, Hauts de seine, on te saigne.

Extraits de leur chanson "Guerre/Jihad" :

on repartira avec leur argent, leur sang et leurs pes-sa

(sapes=fringues)

La France n'est pas territoire neutre.

Mes troupes sont mobilisées

Ils ont leurs paradis fiscaux

fauton impose nos lieux de non-droits

Et si c'est ça qu'ils veulent on va s'armer et s'entourer d'Khos

Extraits de leur chanson "Islam" :

Mains on reste pratiquants, délinquants

Nos psaumes récitées

Par nos mômes de cité à cité.

Nique la justice

Y'a qu' dieu qui peut me juger

Rien qu' j' dors plus, sur cette terre de colons impurs

L pour ma Loi suprême représentée par le Iislam.

Extraits de leur chanson "Violence/délinquance" :

J'aime voir des CRS morts

J'aime les pin-pon, suivis d'explosions et des pompiers

Un jour j' te souris, Un jour j' te crève

J'perds mon temps à m' dire qu' j' finirais bien par leur tirer d' ssus

Lunatic dans la violence incite, extraits de leur chanson "Racisme" :

Et si ma haine diminue C'est qu' les porcs sont morts et qui m' reste

plus qu' dix minutes.

On met leurs femmes sans dessous. Mais attention y'a tension quand

j' vois un porc chez moi.

A rien apprendre sauf que les porcs sont à pendre.

Extraits de leur chanson "l'Effort de Paix" :

J'suis venu en paix, pour faire la guerre aux bâtards....

Chante pour que les porcs rampent ....

J' leur veux la guerre, donc laisse-moi en paix frère...

On vend du shit aux blancs...


La démocratie, comme disait Charles De Gaulle, c'est le gouvernement du peuple exerçant sa souveraineté sans entrave !

     Quant à la démocratie, comme disait Charles De Gaulle, c’est le gouvernement du peuple exerçant sa souveraineté sans entrave. Ce n’est ni plus ni moins cela. La France est un Etat républicain qui compte la démocratie parmi ses principes, confondue avec la souveraineté nationale et populaire.

     On peut ensuite détailler des critères démocratiques... propres à l’exercice de la citoyenneté ainsi que, par exemple, dans le monde du travail. L’association intégrale du capital et du travail que je préconise est une forme de démocratie dans l’entreprise. Mais revenons, pour le coup, à la démocratie comme essence, en premier lieu, de la souveraineté nationale et populaire !


Dîner annuel du CRIF: retrouvez le discours du Président de la République française: Monsieur Nicolas Sarkozy:

 Pavillon d'Armenonville - Paris -- Mercredi 9 février 2011


Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs,

Je suis heureux de me retrouver une fois de plus parmi vous pour ce diner annuel du CRIF qui est devenu au fil du temps un rendez-vous républicain où se trouvent assis à la même table les représentants de toutes les religions, de toutes les croyances et de toutes les opinions. L'esprit d'ouverture, de respect mutuel qui préside traditionnellement à ce dîner est exemplaire de la façon dont nous devrions apprendre à vivre ensemble avec nos différences.

Monsieur le Président, je ne répondrai pas point par point à votre discours si dense. Permettez-moi seulement d'y faire écho en reprenant pour commencer quelques uns des mots que j'ai prononcés il y a trois ans devant la KNESSET, sur un sujet qui me tient très à cœur :

« Au Moyen-Orient se mélangent et s'affrontent depuis des millénaires des peuples qui ont donné à l'humanité tout entière ce qu'il y a sans doute de plus élevé dans la pensée, de plus beau dans la religion, de plus important dans le savoir. Au Moyen-Orient, tous dans leurs prières parlent d'amour, de justice et de paix. Au Moyen-Orient, tous aiment la vie. Tous sont les enfants d'Abraham. Et tous ont la Bible en partage.

Ayant bu à la même source, ayant partagé si souvent la même histoire, au Moyen-Orient, ils ont tout pour se comprendre et s'entendre. Et cette terre pour laquelle ils se battent avec tant de désespoir, cette terre qui les a tous vus naître, cette terre où reposent leurs morts, cette terre dans laquelle s'inscrit le souvenir de leurs souffrances et de leurs joies qui se ressemblent tant, cette terre dont on pressent, en regardant ce qui a été accompli en Israël, ce qu'elle pourrait donner à force d'intelligence, de travail et de courage, cette terre qui pourrait devenir un paradis pour tous et grâce à laquelle la misère pourrait être vaincue si elle n'était si souvent ruinée par la guerre, cette terre qui pourrait être si féconde si tous la travaillaient ensemble au lieu de verser sur elle le sang des innocents, cette terre devrait unir les peuples au lieu de les opposer. (...)

Juifs, chrétiens, musulmans, doivent se rappeler la parole du Prophète Isaïe :
« Je ferai de Jérusalem mon allégresse. Et de mon peuple ma joie. On n'y entendra plus jamais le bruit des pleurs et le bruit des cris.
Ils bâtiront des maisons, ils les habiteront.
Ils planteront des vignes, ils en mangeront les fruits.
Ils ne travailleront plus en vain et ils n'auront plus des enfants pour les voir périr. »

L'amitié franco-israélienne est une profonde et sincère amitié.
La paix pour Israël et pour la Palestine est une nécessité pour la paix du monde. »

Qu'il me soit permis de rajouter que les vrais amis d'Israël doivent convaincre Israël que la meilleure des sécurités pour elle, c'est l'existence d'un État palestinien moderne et démocratique, en paix et viable. Nous tous qui, pour des raisons différentes, sommes attachés à Israël -- et en ce qui me concerne, c'est toute ma vie politique que j'ai affirmé cette amitié ; Israël et sa sécurité sont pour la France, non-négociables --, mais dans le même temps, la France dit aux dirigeants d'Israël : « vous devez négocier pour construire la paix ». Il n'y aura pas de sécurité pour Israël sans la paix. Et nous qui sommes des amis solides, inébranlables, nous avons ce devoir de vérité. Je tenais à vous le dire ici, au CRIF, comme je l'ai dit à la Knesset. C'est si facile de tenir un discours pour une salle, un discours pour une soirée. C'est plus difficile de bâtir pour l'avenir et de bâtir pour la vie. C'est un engagement, je vous le dis, qui est très structurant pour la France.

Bien-sûr, il y a les évènements de Tunisie et d'Egypte. Ils ont, ces évènements, une dimension sans doute historique. Ces peuples, je veux dire le peuple tunisien et le peuple égyptien, avec une audace qui les a surpris eux-mêmes, ont dit avec force qu'ils voulaient vivre autrement. Nul n'a le droit de les condamner pour ce qu'ils ont eu le courage de dire.

Ce début d'un printemps des Peuples est positif parce qu'il est authentique.

Les manifestants de Tunisie ou d'Égypte n'ont pas crié « à bas l'Occident », ils n'ont pas crié « à bas l'Amérique », ils n'ont pas crié « à bas Israël ». Ils n'ont pas prôné un retour vers le passé d'un âge d'or islamique mythifié. Et ces manifestants ne se sont attaqués à aucune minorité, Monsieur le Président.

Je me garderai bien de conclure trop vite ; qui peut dire quelles seront les étapes à venir ? Nous avons eu déjà tant de mal à distinguer les étapes récentes. Et qui peut exclure des dérives brutales ou totalitaires ? Personne.

Mais c'est donc notre devoir d'aider ces mouvements ; ce qui ne veut pas dire nous ingérer, avec parfois un certain manque de dignité.

C'est notre devoir car ce sont nos valeurs dont ces peuples se réclament. Et je veux poser cette question : pourquoi ce qui est bon pour nous leur serait interdit ? Et au nom de quelle fatalité le monde arabe serait-il exclu de cette marche inexorable des peuples vers la liberté ?

Je disais c'est notre devoir, mais je veux dire c'est notre intérêt.
C'est notre intérêt car vous l'avez dit Monsieur le Président, les démocraties ne se font pas la guerre.
Quelle meilleure garantie pour la sécurité d'Israël que d'avoir à ses côtés des États qui seraient devenus démocratiques et des peuples libres qui n'auraient pas à chercher ailleurs, quoi, la compensation de leurs propres frustrations ?

Vous connaissez ma conviction : la meilleure garantie de sécurité pour Israël c'est l'existence à ses côtés d'un État palestinien démocratique, viable et souverain.

Je suis convaincu qu'il est possible, qu'il est urgent, de relancer le processus de paix.

Je suis convaincu qu'une reprise des négociations directes serait un signal supplémentaire d'espoir pour tous les peuples de la région.

Les paramètres d'un accord de paix sont connus depuis longtemps. Je ne sous-estime nullement les difficultés de cette négociation mais je vous le dis comme je le dis aux deux camps en présence : le risque de paix est bien moins dangereux que les risques de l'immobilisme.

J'affirme d'ailleurs que la paix entre les Israéliens et les Palestiniens est un problème pour chacune de nos démocraties, parce que sur ce conflit qui n'en finit pas se nourrit le terreau du terrorisme et de l'extrémisme dont nous souffrons aussi.

Vous le savez je plaide également pour une reprise des discussions entre Israël et la Syrie. Malgré le mur de méfiance accumulée, je suis convaincu que cette paix-là aussi est possible.
Et quelle transformation stratégique pour Israël si une normalisation accompagnait une restitution du Golan ! Elle conduirait à un changement radical de la situation des mouvements qui chaque jour, depuis le Liban ou depuis Gaza, menacent Israël !

Je n'oublie pas non plus notre compatriote, j'ai dit notre compatriote car dès mon élection j'ai dit que Gilad SHALIT je le voyais comme un Français et que toucher à Gilad SHALIT, c'était s'attaquer à la France. Il vit aujourd'hui son 1690ème jour de captivité et d'isolement à Gaza. Je l'ai dit à ses parents Noam et Aviva, jamais nous n'abandonnerons leur fils à son sort. Un sort que rien, je dis bien rien, ne saurait justifier ! Rien.

Il est un dernier point de notre politique étrangère dont je veux dire un mot ici : l'Iran. Que les choses soient claires : le monde ne peut pas accepter un Iran  doté de l'arme nucléaire et de missiles dont la portée s'allonge d'année en année, en violation complète de la loi internationale. Un iran qui, il est vrai, chaque jour alimente l'extrémisme.

 
A travers des sanctions croissantes il ne s'agit pas de punir le peuple iranien mais de faire comprendre à ses dirigeants que le coût de leur politique irresponsable se fera tous les jours plus lourd, pour eux et pour leur régime. Jamais je n'accepterai que des dirigeants iraniens menacent de rayer Israël de la carte. Et cette position la France l'a affirmée à de multiples reprises. Jamais la France n'acceptera cela.

Soyez certain Monsieur le Président que le droit d'Israël à vivre en paix et en sécurité, c'est une priorité diplomatique et stratégique pour la France. Mais je veux dire avec la même force que le conflit du Proche-Orient ne doit pas avoir d'impact sur les relations que des Français entretiennent avec d'autres Français.
Nous devons donc à tous les niveaux de la société et de l'État faire œuvre de pédagogie.
J'en appelle à la responsabilité de chacun, individuellement, et à la responsabilité de tous.
Le jugement en appel des tortionnaires et des assassins d'Ilan HALIMI est de ce point de vue, je le crois, exemplaire. Non seulement il a permis d'établir la terrible réalité mais il a rappelé que dans notre pays, agresser ou tuer quelqu'un en fonction de sa religion ou de son origine était un facteur aggravant.
Il a rappelé, aussi, que personne ne pouvait se prévaloir d'un conflit qui se déroule à des milliers de kilomètres pour justifier son crime.
Il a rappelé à des criminels qui ont cherché à se faire passer pour des soldats qu'ils n'étaient que des criminels, des criminels du plus bas étage qui soit, parce que criminels et lâches.
Des lâches qui ont préparé leur traquenard avec soin et qui n'ont pas laissé la moindre chance à leur victime. Une victime qu'ils ne connaissaient même pas mais qui était juive.
Des lâches qui se sont relayés pendants des jours et des jours auprès d'un jeune homme qui ne leur avait rien fait pour lui infliger un calvaire de dément.
Je suis heureux du jugement qui a été prononcé. Je suis heureux qu'il ait pu rendre à la famille d'Ilan HALIMI confiance dans son pays. Et puisque j'étais ministre de l'Intérieur à l'époque où Ilan a été martyrisé, je puis vous dire que je porte comme un douloureux souvenir le fait que nous n'avons pu retrouver Ilan HALIMI que quelques minutes avant sa mort. Cela restera pour moi un échec, malgré tous les moyens et toutes les forces que nous avions engagés.

Bien sûr, ce travail de pédagogie ne passe pas uniquement par les seules décisions de justice.

L'Ecole doit jouer un rôle essentiel. Les enseignants font un travail important, je leur en suis reconnaissant.

Les médias, et plus particulièrement ce média fédérateur qu'est la télévision, jouent eux aussi un rôle essentiel.
Et qu'il me soit permis ici de féliciter ici le groupe France Télévisions pour le travail de mémoire que le service public accomplit.
Cette politique mérite d'être saluée et d'être encouragée.
Je connais peu de chaînes de télévisions en Europe qui, comme les chaînes du groupe France Télévisions, ont diffusé à des heures de grande écoute une série documentaire comme les commandos de la mort qui a permis à des millions de téléspectateurs français de découvrir l'horreur de la Shoah par balle qui fit plus d'1,5 millions de morts à l'Est de l'Europe.

Enfin je crois pouvoir annoncer, en espérant ne pas trahir de secrets, qu'au mois de mars prochain, France Télévisions rediffusera Shoah, le film de Claude LANZMANN, dans sa version intégrale soit plus de 9 heures de programmes. En tant que Président de la République, je veux dire que je suis fier de cette télévision là.

Mais comme vous venez de le souligner à l'instant, la haine de l'autre, Monsieur le Président, trouve un terreau trop fertile dans la crise économique, sociale et morale qui secoue aujourd'hui le monde.
Les boucs émissaires ; vous appelez ma vigilance, vous avez raison. Mais puisqu'il en est ainsi, je voudrais conclure mon propos en disant un mot du judaïsme. Ce sont des sujets qui m'ont toujours passionné et sur lesquels j'ai des convictions.

Je veux dire en tant que chef de l'Etat, que le judaïsme a contribué à forger l'identité de la France et chacun d'entre vous, continue à participer à cette alchimie subtile qui fait de nous des Français.

Si la France a des racines chrétiennes, je l'ai rappelé et pourquoi le nier puisque c'est la vérité, la France a aussi des racines juives.
La présence du judaïsme est attestée en France avant même que la France ne soit la France, avant même qu'elle ne soit christianisée.
Il existe en France des bains rituels juifs contemporains de nos églises romanes et des synagogues aussi ornées que des chapelles baroques.
Oui le judaïsme fait partie des racines de la France et chaque Français, quelle que soit sa confession ou son origine, peut en être fier.
Cette longue histoire deux fois millénaire est bien une histoire commune même si personne n'oublie qu'elle a été tachée, déchirée, par la haine et la persécution.

Il ne faut pas oublier les expulsions, les spoliations, les conversions forcées, le port de la rouelle auquel fera sinistrement écho bien des siècles plus tard un autre morceau de tissu jaune.
Je n'oublie pas que la République qui avait émancipé les juifs condamna DREYFUS aux travaux forcés pour ensuite reconnaître et annuler cette monstrueuse injustice.
Je n'oublie pas la période sombre de la collaboration qui vit la Loi mise au service d'une politique antisémite odieuse.
Je n'oublie pas que les forces de l'ordre françaises, sous l'uniforme français, se présentèrent au petit matin du 16 juillet 1942 au pied d'immeubles soigneusement sélectionnés pour arrêter des Français, les parquer au Vel'd'hiv pendants trois jours et trois nuits avant de les envoyer dans des trains français vers les camps de la mort.
Je n'oublie pas ces femmes et ces enfants arrachés au sommeil pour être projetés contre un mur de haine par ceux-là mêmes dont la mission aurait été de les assister et de les protéger.

Je n'oublie rien de tout cela mais notre France n'est pas celle-là, justement parce qu'elle regarde cette histoire en face.
Notre Histoire de France c'est l'Histoire que nous avons construite ensemble, une histoire qui nous est commune et que personne ne peut venir nous contester, vous contester.
Car devant l'Histoire de notre pays, il n'existe pas de communautés ou de minorités. Il existe une seule et même communauté de destin, une communauté qui s'est voulue, un jour de 1789, communauté nationale.
Nous appartenons tous, vous et moi, à cette Histoire-là et à cette France-là.
Cette France, c'est la France qui a vu en des temps très anciens, il y a plus de 15 siècles, juifs et chrétiens pleurer ensemble la mort de Saint HILAIRE, évêque d'Arles et dont les chroniques nous disent que les chants hébreux couvraient de leur plainte ceux des chrétiens.
C'est la France du Salomon de Troyes, le Rabbin RACHI qui vivait en Champagne au XIe siècle et dont l'enseignement talmudique rayonna sur toute l'Europe médiévale.
C'est la France de l'Abbé GREGOIRE montant à la tribune exiger une citoyenneté pleine et entière pour les juifs de France.
C'est la France de ZOLA, c'est la France des CAMONDO, cette lignée qui s'est éteinte pour avoir versé tout son sang pour la France et qui nous a laissé son nom et ses magnifiques collections, faisant ainsi du Peuple Français son seul héritier.
C'est la France de PROUST, c'est la France des Justes, qui vit des milliers de Français de toute condition sauver l'Honneur de la France en sauvant des innocents traqués et pourchassés par la gestapo.
Ces Justes dont les petits enfants peuvent faire désormais le pèlerinage à Yad Vashem grâce à la fondation France- Israël et au magnifique travail de Nicole GUEDJ.

Cette France là, cette France de BLUM, de MANDEL, de CASSIN, de MENDES, sans doute de Robert BADINTER et de l'abolition de la peine de mort.
La France de Simone VEIL et de la liberté des femmes à disposer d'elles mêmes.

Cette France-là est notre bien commun, quelle que soit notre confession ou nos origines.

Voilà la France que tous ceux qui vous ont précédés portaient dans leur cœur alors même que la France semblait les abandonner. Eux savaient bien que la France ne se résumait pas à un vieux Maréchal, à son gouvernement et à ses délateurs.
La France qui incarnait, alors, leur espérance n'était pas celle de la collaboration.
C'était la France de Londres, la France Libre, la France de la Résistance.
La France du Vercors, des Glières, du Chambon sur Lignon.

Et ce n'est pas un hasard, Monsieur le Président, si la communauté juive française est la communauté juive la plus importante d'Europe. Il y a, parmi d'autres, une raison à cela que tous nos compatriotes devraient savoir, depuis bientôt deux mille ans, les juifs participent à la vie et à l'histoire d'un pays qui est le leur.

Je sais et je comprends la place particulière que l'Etat d'Israël occupe dans le cœur des juifs du monde entier.
Pour la France l'existence de l'Etat d'Israël est une exigence de la conscience universelle et jamais les juifs de France, jamais, n'auront à choisir entre leur conscience et leur Patrie.

Parce que la France, la France fidèle à elle-même est le pays de la liberté de conscience, le pays dont toutes les valeurs s'opposent irréductiblement au racisme et à l'antisémitisme.
Et pour nous Français la liberté religieuse n'est pas négociable.

Ceux qui croient, ceux qui prient dans le respect des lois de la République ont le droit au respect et à la protection de la République. C'est cela la laïcité.
La prière est silencieuse, la prière n'offense personne, la prière n'agresse personne.

En revanche toute atteinte contre un lieu de culte ou une sépulture doit être regardée comme une atteinte à la République et à ses valeurs fondamentales.
Car c'est alors une forme de sacrilège non plus contre une religion en particulier mais contre toutes les religions, contre toutes les croyances et au fond contre l'Humanité.
Ces attaques ne sont d'ailleurs pas réservées à la seule communauté juive. Mosquées, chapelles, cimetières catholiques ou musulmans ne sont pas épargnés par ce vandalisme religieux.
Chacun, en France, a le droit de ne pas croire en Dieu, personne n'a le droit de le blesser dans ce qu'il a de plus cher en violant la tombe de ses Pères.

Cependant, chacun comprendra aisément que dans le cas des synagogues et des cimetières juifs, ces violences prennent un écho très particulier. Car ces violences font le même bruit que celui des vitrines brisées pendant la nuit de cristal et comment ne pas penser à ce qui a suivi...

C'est pour cette raison que la République s'est mobilisée, j'étais alors ministre de l'Intérieur, et l'on m'indiquait que quand une synagogue brûlait, c'était un acte de vandalisme d'un lieu public. Non, je n'ai pas accepté cette classification, cette banalisation, car la banalisation n'est rien d'autre que la complicité. Et à cette date, nous avons, vous et nous, engagé un programme de sécurisation de bâtiments appartenant à la communauté juive.
Une nouvelle convention signée en 2010 avec le ministre de l'Intérieur a permis de compléter et de terminer l'immense travail déjà accompli.
Cette détermination n'est peut-être pas étrangère à la baisse de 43% des violences antisémites en 2010 et cela après la hausse enregistrée au moment de la crise de Gaza.

Alors, Monsieur le Président, en concluant votre propos, vous citiez ce vieux proverbe Yddish qui dit qu'un juif est « heureux comme Dieu en France », eh bien permettez-moi de vous dire que mon seul souhait et mon seul objectif, c'est que chacun de vous puisse tout simplement ne jamais cesser se sentir heureux et fier d'être Français. La France a besoin de tous ses enfants. Ici, c'est notre pays, ici c'est votre place, ici vous contribuez à l'identité et au rayonnement de la République Française.

Je vous remercie.

 


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Expression direct du Groupe UMP dans le Journal municipal de Pierrefitte Sur Seine

Président du 20 depuis le 12 novembre 2010, Nicolas Sarkozy compte, plus que jamais, jeter les bases de la gouvernance mondiale qu'il appelle de ses voeux depuis 2008.

Ainsi, lors de son voyage de 4 jours en Inde, le Président de la République a rappelé que la France se battait pour qu'une grande démocratie comme l'Inde intègre le Conseil de Sécurité des Nations-Unies. Au même titre que la Chine, les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Russie, Nicolas Sarkozy souhaite, comme Barack Obama que ce grand pays "fidèle à son idéal de paix et de liberté" devienne un membre permanent du Conseil de Sécurité.

C'est dans ce contexte, que Nicolas Sarkozy a plaidé pour la fin de l'isolement nucléaire de l'Inde, dû à un embargo de la communauté internationale vieux d'une trentaine d'années. Ainsi, plusieurs accords ont été signés entre la France et l'Inde pour l'installation de deux réacteurs nucléaires EPR.

Autre chapitre économique, plusieurs autres contrats ont été signés en Inde avec les représentants de grands groupes français comme: Thalès, EADS ou Michelin.

Une visite politique et économique qui montre une nouvelle fois la volonté de la France de faire évoluer de manière forte les relations internationales classiques vers une gouvernance mondiale établie.

Tous les élus du groupe UMP transmettent aux pierrettoises et aux pierrefittois, leurs voeux sincères pour cette nouvelle année 2011, ainsi que leurs souhaits de bonne santé.

Béatrice Olivier

 


Galette des rois UMP à Pierrefitte Sur Seine

       J'ai assisté hier soir à Pierrefitte Sur Seine à la traditionnelle galette des rois UMP pour la 2ème circonscription de Seine Saint Denis organisée par notre nouveau Délègué UMP de circonscription: Monsieur Patrick Saunier. Avec différents élus des trois villes de: Pierrefitte/Villetaneuse et de Pierrefitte et comme invité d'honneur: le Sénateur/Maire UMP des Pavillons Sous Bois: Monsieur Philippe Dallier, qui nous a encore fait un discours qui a passionné toute l'assistance ! 

      Il en a profité pour rappeler aux militants qu’ils ne devaient pas rougir de leur appartenance à l’UMP étant donnés les réformes, les actions mises en place par le Gouvernement sous l’égide du Président de la République Nicolas SARKOZY : réduction des déficits publics, réactions rapides face à la crise, rénovation urbaine, plans pour l’emploi, Grand Paris, etc…

    L’occasion fut également saisie par l’ensemble des intervenants pour renvoyer dos à dos les socialistes, les Verts et les communistes comme responsables de la situation désastreuse des 3 villes de la circonscription et sur l’ensemble du département

   J'ai encore démontré que je n'étais pas tout à fait mort !...

Photo 366 
Jean-Pierre Renard et le Sénateur/Maire UMP de Pavillon Sous Bois

Photo 374 
Le Sénateur/Maire UMP de Pavillon Sous Bois

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Le Sénateur/Maire UMP de Pavillon Sous Bois


Photo : REUTERS © 2011

GUILAD SHALIT
Le président Nicolas Sarkozy a exprimé son soutien mercredi aux parents de Guilad Shalit. "Toucher à Guilad Shalit c'est s'attaquer à la France", a-t-il déclaré, avant d'ajouter que "jamais nous ne l'abandonnerons à son sort (...) que rien ne saurait justifier".

Que vois-tu ?

Lorsque Rav Arye Levine était encore directeur du Talmoud Thora a Yerouchalaim, il appeal un jour son fils dans son bureau (ce dernier était enseignant). Le Rav se fit a la fenêtre qui donnait sur la cour ou les enfants s’amusaient. Le Rav demanda alors a son fils qu’est ce qu’il voyait, ce dernier répondit :
« Je vois Chlomo qui s’amuse embêter son ami, Ytshak qui joue a la balle avec Yaacov et Moche qui n’a pas l’air d’etre presse de rentrer en classe, peut être n’a il pas révisé ses leçons aujourd'hui ! »
Le Rav lui répondit « Ce n’est pas du tout ce que je vois ! Je vois Dov Ber qui a un pantalon troué, Mendel qui n’a pas de manteau et Avraham qui n’a rien mange durant la recréation ! S’il a le ventre vide, comment peut il se concentrer sur ses études ?! »

Aussitôt, le Rav fit appeler l’enfant et lui donna quelques pièces pour qu’il s’achete a manger !

Shabbat chalom !