Ma deuxième citation de la semaine:
"Le courage est comme l'amour: il veut de l'espérance pour nourriture".
Napoléon
Ma deuxième citation de la semaine:
"Le courage est comme l'amour: il veut de l'espérance pour nourriture".
Napoléon
Mes première citation de la semaine:
« Le premier crime de la Révolution française fut la mort du Roi, mais le plus affreux fut la mort de la Reine »
Chateaubriand.
Tu ouvriras certainement ta main à ton frère
Un jour, le Gaon Rabbi Yé’hezkel Abramsky, auteur du livre «‘Hazon Yé’hezkel», est venu rendre visite au Admour de Gour, Rabbi Israël Alter,et il le trouva assis en train d’étudier la paracha de la semaine, qui était la parachat Réé. Rabbi Yé’hezkel lui dit: «J’ai du mal à comprendre la signification du verset :
«c’est pourquoi Je vous ordonne en disant: tu ouvriras certainement».
Que signifie la double expression «Je vous ordonne en disant» ? Le mot «en disant» paraît superflu.»
Le Admour répondit: «J’ai dans la poche une réponse, mais je crains de la donner.
- Pourquoi? s’étonna Rabbi Yé’hezkel.
-Parce quec’est un enseignement typiquement ‘hassidique», répondit le Admour avec un sourire. Rabbi Yé’hezkel lui dit: «Si c’est la vérité, nous accepterons la vérité de celui qui la dit.»
Le Admour dit: «J’ai entendu au nom de Rabbi Its’hak de Warka que les Sages ont dit: «Celui qui donne un sou à un pauvre reçoit six
bénédictions, et celui qui donne des bonnes paroles à un pauvre reçoit onze bénédictions.» C’est donc une mitsva spéciale de dire de
bonnes paroles à un pauvre quand on lui donne de la tsédaka, à cause de la peine qu’il a d’avoir besoin des autres. Par conséquent c’est la signification du verset: «Je t’ordonne», Hachem nous ordonne, «pour dire», que tu dises au pauvre quand tu lui donnes de la tsédaka: «tu ouvriras certainement la main», que ton coeur n’en souffre pas, le jour viendra où tu t’enrichiras toi-même et tu auras besoin d’ouvrirla main et de donner aux autres…
Shabbat Chalom à tous !
LETTRE AU PRESIDENT DE L'EUROPE
Monsieur le Président,
L’Europe peut être un espoir pour beaucoup. L’Union des Etats permet non seulement une plus grande solidarité intra-européenne, c’est d’ailleurs ce qui s’est fait récemment lors de la crise économique (bien qu’il y ait eu des réticences) mais aussi une plus grande efficacité à l’extérieur pour résister à la guerre économique qui fait rage actuellement et va perdurer.
Certes, il y a eu des difficultés et si l’Union européenne peut être source d’espoir, bâtir l'Europe impose de préserver ses racines judéo chrétiennes et greco-romaines.
On ne peut bâtir une union des Etats-nations d'hier que sur des fondements solides. Or récemment, vos services ont osé diffuser un calendrier destiné aux jeunes Européens qui omettait sciemment de faire référence à toute fête chrétienne. Noël, Pâques et autres fêtes sacrées n’ont pas été mentionnées (à peine une allusion aux sapins de Noël !). Comme si cette fête majeure de la Chrétienté pouvait être rayée d’un trait de plume ! C’est véritablement une honte ! Cette volonté incompréhensible est dangereuse et criminelle.
« Laïcité ! » me direz-vous ? Comment expliquer alors que les fêtes d'autres religions soient mentionnées, autrement que part un anti-cléricalisme d'un autre âge ?
Nous vivons aujourd’hui une guerre contre l’islamisme intolérant et sectaire, nos troupes interviennent en Afghanistan, des dizaines de nos soldats y ont trouvé la mort. Des hommes et des femmes sont pris en otages et tués au nom de cette guerre contre l’Occident, contre l’Europe, contre la Chrétienté.
Des millions de Musulmans vivent chez nous, la plupart sont des démocrates, acceptant nos racines, nos valeurs, d’autres ne font pas mystère de leur volonté d’imposer, comme leur demandent les extrémistes, la charia. Beaucoup de nos pays luttent contre l’obscurantisme. Faut-il rappeler les lois votées par les parlements nationaux interdisant le port du voile intégral, le malaise des Européens contre certains aspects de cet Islam intolérant, bousculant les consciences. Faut-il rappeler la montée des extrémistes « anti-Islam », aux réactions parfois excessives et lit d’un autre obscurantisme.
La réponse à ces mouvements aurait dû être l’affirmation sereine de notre Chrétienté, de nos racines. En aucune façon, elle ne peut être l’oubli matiné de honte de ce que nous sommes. Ce serait une formidable victoire des extrémistes islamistes et un encouragement pour les islamophobes.
Ces calendriers, vos calendriers, révèlent notre tendance à l’auto-flagellation permanente. Comment oublier les cathédrales et les églises qui illuminent nos pays ? Les rois, les papes et les saints qui font la fierté de notre histoire commune ? Saint Louis et Jeanne d’Arc deviendraient-ils des parias ? Charlemagne un affreux dictateur ? Enfin, faudra-t-il un jour s’excuser d’avoir été et d’être toujours ce que nous sommes ?
Vos services, Monsieur le Président, ont failli, ils doivent être sanctionnés, les calendriers supprimés.
Mais il me vient deux idées, vraisemblablement absurdes :
- Pourquoi ces calendriers ? Est-ce une bonne façon d’utiliser les fonds européens, des millions d’euros ? Est-ce le rôle de l’administration européenne de devenir libraire ? N’a-t-elle rien d’autre à faire ?
- Pourquoi ces omissions honteuses ? Qui sont les hommes et les femmes de votre administration qui en sont les responsables ? Ne faudrait-il pas les interroger d’abord et les punir ensuite ? Car ce qu’ils ont fait est inqualifiable, dangereux voire criminel. Ils sont soit des propagandistes de l’extrême, soit des provocateurs, soit des ignorants imbéciles.
Or, Monsieur le Président, personne ne vous a entendu présenter vos excuses aux Chrétiens d’Europe. Jusqu’à la preuve du contraire, tous les pays européens sont majoritairement issus d’une grande histoire, celle de la Chrétienté, même si cette histoire n’a pas été toujours pacifique et noble, elle est !
Vous avez commis une grande faute contre l’histoire, contre l’Europe, contre les hommes.
Pr Bernard DEBRE
Ancien Ministre
Député de Paris
Membre du Comité consultatif national d'éthique
Voeux au Raincy
Ce soir, avec 6 amis de Pierrefitte Sur Seine, j'ai assisté à la traditionnelle cérémonie des voeux du Député/Maire UMP du Raincy: Eric Raoult dans sa ville.
J'y ai retrouvé de nombreuses connaissances (dont: le Sénateur/Maire UMP de Neuilly-Plaisance: Monsieur Christian Demuynck; Corinne Raoult; le Sénateur/Maire UMP de Pavillons Sous Bois: Philippe Dallier; le Député UMP d'Aulnay Sous Bois: Gerard Gaudron; le Député/Maire UMP de Villemomble: Patrice Calmejane; le Conseiller Général UMP du Raincy/Clichy Sous Bois: le Docteur Ludovic Toro; le Conseiller Général UMP de Neuilly-Plaisance: Pierre Facon et des élus de toute la Seine Saint Denis).
J'ai encore montré que je n'étais pas tout à fait mort ! Même si je suis sur une liste noire sur le plan politique (parce que je me suis trompé plusieurs fois de directions et à cause de mon caractère trop affirmé.) (heureusement qu'il me reste quelques amis pierrefittois et quelques rares autres !) et que je ne trouve plus personne pour me redonner une chance sur le plan professionnel (tout ca à cause de trés mauvaises décisions et attitudes au sujet de ma vie privée, qui m'ont presque détruit.) !
Jean-Pierre Renard et Madame Corinne Raoult
Jean-Pierre Renard et Monsieur Eric Raoult
Jean-Pierre Renard et 5 amis militants UMP de Pierrefitte Sur Seine: Christian; Danny; Joseph; Christianne et Michel.
Tou bishvat mardi 19 janvier 2011,inauguration d un arbre pour ILAN HALIMI ZAL mairie du Raincy
Les différentes adresses où le général de Gaulle s’est rendu à Bordeaux, dans la nuit du 16 au 17 juin 1940
À l’arrivée du gouvernement provisoire à Bordeaux et de son installation, le bureau du général Charles de Gaulle, nommé le 5 juin 1940 sous-secrétaire d’État à la Défense nationale et à la Guerre, se trouvait dans les locaux de la Faculté de Droit, au n° 35 de place Pey-Berland, face à la cathédrale Saint André.
La résidence de l’ambassadeur britannique, Sir Ronald Campbell et du général Edward Spears, était située à l’hôtel Montré, au n° 4 de la rue Montesquieu.
La résidence du Président de la République, monsieur Albert Lebrun, se trouvait à l’hôtel Nesmond, l’hôtel de la Préfecture, au n° 17 de la rue Vital-Carles. C’est là que se sont succédés de très nombreux conseils des ministres.
L’État-major militaire, ainsi que le Président du Conseil, monsieur Paul Reynaud, étaient installés dans l’hôtel du général commandant la 18ème Région militaire, au n° 29 de la rue Vital-Carles.
Chronologie de la nuit du dimanche 16 juin au lundi 17 juin 1940 :
Vers 21h30, un avion britannique (modèle De Haviland Flamingo DH 95) a atterri à Mérignac (anciennement aéroport de Beaudésert), venant de Londres. Le général Charles de Gaulle descend de l’appareil : il est accueilli par le colonel Humbert et Jean Auburtin, tous deux membres du cabinet du général de Gaulle: ils lui annoncent la démission de la présidence du Conseil de Paul Raynaud, et l’informent qu’il est question que le maréchal Pétain soit chargé de former un nouveau gouvernement. Le général comprend alors qu’il a été évincé du gouvernement, et que le temps pressait.
Alors, sans perdre de temps, le général Charles De Gaulle se rend au n° 29 de la rue Vital-Carles, où résidait Paul Reynaud, ex-président du Conseil, pour le rencontrer. Il lui fait part de son intention de regagner Londres dès le lendemain matin. Il lui demande conseil pour trouver une adresse où se loger à Londres. Sur ce point, Paul Reynaud lui conseille d’aller voir son ex-directeur de cabinet, Jean Laurent. En outre, il lui propose de lui faire remettre une enveloppe de 100 000 francs, somme prélevée sur les fonds secrets dont il a la responsabilité pour quelques heures encore ! Il est environ 23h00.
Le général Charles de Gaulle quitte Paul Raynaud, et rencontre Jean Laurent, l’ex-directeur de cabinet de Paul Raynaud, qui lui remet les clefs de l’appartement qu’il possède à Londres au 4ème étage du n° 8, Seamore Place, non loin d’Hyde Park. Il est alors près de minuit.
À minuit, ayant réglé ses problèmes de logistique, le général Charles de Gaulle se rend à son bureau, au n° 35 de la place Pey Berland, pour prendre congé et remercier les membres de son cabinet.
Il est minuit passé lorsque le général Charles de Gaulle se rend à l’hôtel Montré où se trouve l’ambassade britannique pour annoncer à monsieur l’ambassadeur, Sir Ronald Campbell et au général Edward Spears, ami proche de Winston Churchill, sa volonté de repartir pour Londres, le matin du 17 juin avec le même avion prêté la veille par Winston Churchill. Le général Edward Spears lui annonce qu’il partira pour Londres avec lui.
Où le général a-t-il bien pu passer le reste de la nuit ?
Selon Max Gallo, écrivain et historien, et Jean Lacouture, journaliste, historien et écrivain bordelais, le général aurait passé la fin de la nuit à l’hôtel Normandy, au n° 7 cours du XXX juillet. Madame Anne Guérin, actuellement chargée de recherche auprès de la Direction générale des Affaires Culturelles de la Mairie de Bordeaux, penche pour cette hypothèse.
Robert Cassagneau, historien, pense qu’il s’agit plutôt d’un petit hôtel situé rue de Condé, le Majestic, où le lieutenant Geoffroy Chodron de Courcel, l’aide de camp du général Charles de Gaulle, avait réservé deux chambres. Le journaliste américain, historien et écrivain, William Lawrence Shirer, et, le journaliste et historien Henri Amouroux, optent pour cette hypothèse.
Monsieur Philippe Boda, auteur d’un ouvrage consacré à l’Hôtel de Nesmond, la résidence des Préfets de l’Aquitaine, a recueilli le témoignage de monsieur Jean-Paul Avisseau, qui était alors conservateur des Archives municipales de la ville de Bordeaux. Selon monsieur Jean-Paul Avisseau, le général Charles de Gaulle, pour des raisons d’assurance de sa sécurité personnelle, aurait été invité à passer la nuit à l’hôtel de Montré (aujourd’hui « Résidence Montré »), au n° 4 de la rue Montesquieu, où les services de l’ambassade britannique étaient logés : ainsi le général Charles de Gaulle bénéficiant de l’extra-territorialité de l’ambassade, écartait assurément le risque de se faire arrêter, sur un ordre donné par le nouveau gouvernement conduit par le maréchal Pétain, qui lui était hostile, et en particulier le général Maxime Weygand. Il est à noter que cet hôtel appartenait à la famille de monsieur Jean-Paul Avisseau. Cette version apparaît être assez vraisemblable, mais, pour autant, elle n’a jamais été citée par aucun historien.
Lundi 17 juin 1940 à 07h00, après une très courte nuit qualifiée « d’épouvantable » par le général Charles de Gaulle lui-même, le général Edward Spears, le lieutenant Geoffroy de Courcel et le général de Gaulle arrivent en voiture devant l’hôtel Normandy, et retrouvent Jean Laurent, l’ex-directeur de cabinet de Paul Reynaud, qui les attend, et qui remet au général de Gaulle les 100 000 francs ; ils passent ensuite rue Vital Carles, s’arrêtent au n° 17 à la Préfecture, pour prendre des rendez-vous fictifs pour ne pas éveiller la méfiance et brouiller les pistes des poursuivants éventuels. C’est là que le général de Gaulle rencontre Jean Mistler, Président de la commission des Affaires Étrangères, auquel il dit : « Les Allemands ont perdu la guerre… Ils sont perdus ! et la France doit poursuivre le combat… ». Arrivés à l’aéroport de Mérignac (anciennement aéroport de Beaudésert), après avoir trouvé leur avion au beau milieu d’une grande pagaille, le général Charles de Gaulle, le lieutenant Geoffroy de Courcel et le général Edward Spears embarquent à bord. Le pilote était resté à bord de son appareil toute la nuit. Finalement l’avion décolle pour Londres : il est 9 heures. Personne n’a prêté attention à eux !
Discussion :
Où le général a-t-il bien pu passer le reste de la nuit ?
- à l’hôtel Normandy ? Si le général de Gaulle avait passé la nuit dans cet hôtel, il ne serait pas arrivé en voiture au rendez-vous fixé par Geoffroy de Courcel justement devant cet hôtel.
- à l’hôtel Majestic ? deux chambres y ont été réservées par Geoffroy de Courcel, mais ces chambres n’ont pas été occupées par le général de Gaulle et son aide de camp.
- A l’hôtel Montré ? rien ne vient contredire le témoignage de monsieur Jean-Paul Avisseau : sa version est tout à fait vraisemblable. Les historiens ignorent sans doute ce témoignage.
Conclusion :
Le mystère reste entier, même s’il apparaît des vraisemblances. Peut-être même a-t-il passé la nuit à une autre adresse par grande précaution ? C’était sans doute la volonté du général Charles de Gaulle de vouloir rester dans ce mystère, car, quand monsieur Henri Amouroux lui a posé la question après la fin de la guerre : « Où avez-vous dormi cette nuit-là ? », ce dernier n’a pas voulu répondre !
Texte rédigé par Gérard Faugère
Délégué de la Fondation de la France Libre pour la Gironde.
Repris du blog: http://houmain.unblog.fr/
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