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Algérie : Interdiction formelle de la prière dans les endroits publics

Les autorités algériennes savent que les prières publiques musulmanes sont des actes de provocation et des démonstrations de force des religieux. Il y a des jours où on envierait presque les Algériens pour le discernement de leurs représentants. Spécialement si on habite aux abords de la Goutte d’Or…

Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, vient de relancer l’interdiction de pratiquer la prière, celle du vendredi notamment, en des endroits publics, situés, pour être plus précis, à proximité des mosquées.

Il arrive, en effet, que pendant la prière hebdomadaire du vendredi, plusieurs dizaines de fidèles s’agglutinent à l’extérieur des mosquées pour accomplir leur devoir religieux à même les trottoirs jouxtant les maisons de Dieu.

Ce genre de constat est visible notamment dans les mégapoles du pays, à l’instar d’Alger où les mosquées ne désemplissent pas chaque vendredi. Seulement, ce n’est pas là une raison, insiste le ministre des Affaires religieuses, pour tolérer les rassemblements des fidèles au niveau des endroits environnants aux lieux de culte. Il a indiqué : «Seul l’intérieur des mosquées est fait pour les prières et si celui-ci est rempli de pratiquants, les autres fidèles n’ont qu’à prier chez eux et non pas dehors».
[…]

Source : Le Temps d'Algérie 


Afin de mieux se connaitre !

"J'entends beaucoup de choses fausses qui se disent à mon sujet en ce moment à Pierrefitte. Alors Permettez-moi de vous éclairer:

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Je suis né en 1968 à Paris. La famille Kouppé est arrivée à Pierrefitte en 1972. Ma maman a travaillé pour la ville de Pierrefitte pendant plus de 30 ans. Nous avons habité au 114 avenue Lénine puis au 45 chemin des Joncherolles, et pour terminer au Quartier des Poètes.

Mes écoles:

Joliot Curie, Anatole France, Jean Jaurés et j'ai fait le patronage à l'école Eugène Varlin.

En Politique:

1986: Création de l'association "Quartier Nord ASSOCIATION" pour l'entraide et la solidarité.

1998: Entré au Parti Socialiste.

2005: Démission du PS.

2007: Entre au MODEM avec des responsabilités Nationales.

2008: élu comme Conseiller Municipal et communautaire centriste.

2010: Démissionne du MODEM reste du CENTRE;

Diplôme:

Titulaire du BEPC, BAC (économie et social).

Ecole de commerce diplômé en gestion des entreprises et administration.

Diplômé en assurance.

Diplômé dans l'immobilier (Socomi).

2010: Nouvèllement diplômé en sciences politiques.

Expérience professionnelle:

Animateur de centre de loisir.

Animateur de quartier (salle Brassens).

Directeur chez Tandy France.

Responsable commercial d'un agence immobilière (ORPI).

Directeur de développement chez Dicafor.

Directeur de développement d'assurance (MPI ASSURANCES).

Directeur de développement France section collectivité territoriale chez Smartwater.

Voilà, j'espère que vous me connaissez un peu mieux maintenant.

Bonne fête de noël et bonne Année 2011".

Pascal Kouppé (Conseiller Municipal et Conseiller communautaire de Pierrefitte Sur Seine)

 


LA SOI DISANT "COLONISATION" ISRAELIENNE

UNE ERREUR SEMANTIQUE DOUBLEE D’UN MENSONGE HISTORIQUE Je recopie cet article d'une importance fondamentale pour comprendre de quoi l'on parle quand on accuse Israël de "coloniser" les territoires prétenduement palestiniens et Jérusalem Est. Je publie de...s cartes des différentes époques qui démontrent le bien fondé de cet article. LA SOI DISANT "COLONISATION" ISRAELIENNE : UNE ERREUR SEMANTIQUE DOUBLEE D’UN MENSONGE HISTORIQUE Depuis son accession à la Présidence des Etats-Unis, Barak Obama critique les constructions israéliennes au-delà de la ligne verte, que la presse française traduit par le terme « colonisations ». De même, le Président Français Nicolas Sarkozy partage les condamnations de cette politique d’implantations israéliennes à l’est de Jérusalem, en recourrant à la notion de « colonisation ». S’agissant des Palestiniens, lorsqu’ils sont interrogés sur les constructions israéliennes à l’Est de Jérusalem, ils les qualifient d’obstacle à la paix, et accusent au besoin, le Président américain de faire machine arrière sur son exigence d’un gel « de la colonisation », qui brise tout espoir d’une reprise des pourparlers de paix avec Israël. Enfin, les propos israéliens traduits en français, confirment une fois encore que l’Etat juif reste les yeux rivés sur son objectif concernant la « colonisation », bien que cette politique soit unanimement condamnée sur la scène internationale. Ces déclarations laissent entendre qu’Israël est un Etat occupant (ce qui est blâmable) et qu’il se livre à une politique de colonisation (ce qui ne l’est pas moins). En réalité, l’opprobre jetée sur Israël est rendue possible grâce, d’une part, à une erreur sémantique concernant le terme de « colonisation », et, d’autre part, à un extraordinaire mensonge historique concernant la supposée « occupation ». Le terme de « colonisation » résulte en fait d’une traduction incorrecte du mot construction ou aménagement. En anglais, le mot « settlement » recouvre pas moins de 17 sens dont celui « d’installation » ou de « peuplement » mais également celui de « colonie ». De même, en hébreu, le mot « lehityachev » signifie « s’installer » ou « peupler » puisque le verbe est tiré de la racine « Ychv » qui est encore la racine du verbe « asseoir ». Les mityachvim sont ainsi des personnes qui viennent « s’installer » ou « s’implanter » même si le mot hébreu recouvre également la notion de « colons». Or, pour fustiger Israël, la presse recourt toujours à la notion de « colon » ou de « colonie ». L’emploi du vocable « colonie », permet effectivement de considérer d’emblée Israël comme étant un Etat illégitime. En effet, dans son acception européenne, le terme désigne l’établissement de forces militaires sur un autre Etat pour imposer sa loi aux ressortissants et subtiliser les richesses qui s’y trouvent. Or, cette politique est condamnable en Droit international en vertu du « Droit des peuples à l’autodétermination » qu’il faut à tout prix favoriser, au moyen de mesures ou autres pressions pour faire cesser l’injuste situation. A cette ambiguïté sémantique, vient s’ajouter le recours systématique à la notion de « territoires palestiniens occupés » pour installer dans l’opinion publique que les israéliens colonisent des terres prétendument palestiniennes. Cette notion de « territoires palestiniens occupés » est la conséquence d’un formidable mensonge historique qui résulte d’une extrapolation de la notion de « territoires occupés » repris dans la résolution 242 du Conseil de Sécurité de l’Onu. Cette résolution, adoptée le 22 novembre 1967, affirme en effet « le caractère inadmissible de l’acquisition de territoires par la guerre » et la nécessité d’oeuvrer pour « une paix juste et durable » en exigeant, selon, la formulation anglaise : « Withdrawal of Israeli armed forces from territories occupied in the recent conflict » c'est-à-dire : « le Retrait des forces armées israéliennes de (ou des) territoires occupés lors du récent conflit ». Or, au mépris de cette résolution 242, Israël s’obstinerait à poursuivre ses constructions à l’est de Jérusalem. Il est donc suggéré un règlement du conflit israélo-palestinien sur le modèle du traité de paix signé entre Israël et l’Egypte, qui s’est accompagné d’un retrait du désert du Sinaï occupé par Israël entre 1967 et 1979. La méthode ayant fait ses preuves, il suffit de calquer un processus prévoyant une restitution aux palestiniens des soi-disant « territoires palestiniens occupés ». Une fois encore, et grâce à ce terme de « territoires palestiniens occupés » Israël est décrédibilisé, culpabilisé et objet de pressions internationales puisqu’il apparaît comme étant le seul responsable de l’enlisement de la situation. En réalité, dans la résolution 242, les « territoires occupés » n’étaient pas « palestiniens » mais bien « jordaniens ». Or, grâce à une substitution tout à fait habile, ces territoires (jordaniens) sont progressivement devenus « palestiniens ». Rappelons en effet que le Royaume de Transjordanie (constitué le 25 mai 1946) a annexé la Cisjordanie et Jérusalem Est le 24 janvier 1949 et entériné cette annexion en 1950, en prenant le nom de « Royaume Hachémite de Jordanie ». La communauté internationale n’a jamais contesté cette annexion ni exigé du Roi Abdallah (assassiné le 20 juillet 1951) ou de son petit fils Hussein, qu’il restitue « les territoires annexés». Ainsi, lorsque Israël a occupé la Cisjordanie et Jérusalem Est, à la suite de la guerre des 6 jours en 1967, il s’agissait de la partie orientale de la Jordanie et non de territoires dépendant d’une supposé souveraineté palestinienne. Par la suite, le Royaume de Jordanie a renoncé officiellement à sa souveraineté sur la Cisjordanie et Jérusalem Est (juillet 1988). Il a ainsi mis fin à la représentation électorale des Palestiniens au sein du parlement jordanien et redessiné les cartes du Royaume, désormais limité à la rive orientale du Jourdain : à compter de cette date, la Jordanie cessait d’être occupée. Les Palestiniens ont immédiatement compris les conséquences dramatiques de cet abandon jordanien de souveraineté. Aussi, les Frères Musulmans se sont-ils empressés de déclarer nulle et non avenue la décision de juillet 1988 (le drapeau vert du Hamas a d’ailleurs été hissé sur l’université de Jordanie). Arafat et l’Olp ont employé une autre technique : ils ont commencé à faire glisser la notion de « territoires (jordaniens) occupés » vers celle de « territoires palestiniens occupés ». Pour ce faire, ils ont reconnu en novembre 1988, les résolutions 181 (concernant le partage de la Palestine de 1947) et 242 du Conseil de sécurité, et demandé le retrait des forces israéliennes des « territoires occupés » comme s’il s’agissait des leurs. Or, en Droit International, il était déjà trop tard puisque les territoires « jordaniens » occupés par Israël, ne l’étaient plus depuis juillet 1988. Aujourd’hui, ce mensonge historique est cultivé par les pays musulmans qui ne font pas figurer le nom « Israël » sur les cartes de géographie mais celui de « Palestine ». Fatalement, ils considèrent le régime sioniste comme étant une « occupation », vérité que défend Ahmadinejad et qu’il entend faire triompher en éradiquant l’Etat juif au moyen, le cas échéant, de sa future arme atomique. La communauté internationale, responsable pour avoir cautionné la création d’Israël, cultive également ce mensonge historique en qualifiant les « territoires occupés » visés dans la résolution 242 de « territoires palestiniens », pour atténuer les tensions entre le monde occidental et le monde musulman. Alors soit l’histoire de l’humanité doit reposer sur un mensonge historique (avec une disparition programmée d’Israël), soit la Palestine qui n’existe pas encore (et qui ne peut donc être occupée) pourra toujours s’établir sur les terres de Cisjordanie non annexées par Israël : à quelques mètres carrés près, il s’agit des frontières de 1967


Le parti des "mort-vivants !"

    Depuis la disparition de l’Union Soviétique, le Parti Communiste Français, tel un canard avec la tête coupée qui continuerait de courir, veut faire croire qu’il est toujours vivant.Lui, dont-il a été la filiale la plus disciplinée, peut-il exister sans la maison mère ?Lui qui s’est proclamé « le parti de la classe ouvrière » peut-il avoir un avenir alors qu’il n’y a plus de classe ouvrière ? Ce 90ème anniversaire est bien un enterrement… de première classe !


L’Islam intégriste, une menace pour les valeurs de l’Europe !

L’Europe est depuis plusieurs décennies un phare pour les valeurs universelles, les droits de l’homme et la démocratie. Cependant, en son sein se trouve une petite communauté ayant de plus en plus de difficulté, depuis quelques années, à y vivre dignement et en toute sécurité dans plusieurs pays de l’UE.

Ainsi à Malmö, troisième ville de Suède, on constate depuis un certain temps un exil progressif de la communauté juive qui fuit un antisémitisme en pente ascendante. Les plaintes pour propos et actes antisémites ne cessent de croître, alors qu’en parallèle il est demandé aux Juifs, entre autres, de ne plus s’afficher comme tels dans certains établissements scolaires (où l’étude de la Shoa est bannie car vu par certains élèves comme une provocation), et de ne pas s’attarder près de leurs synagogues car pouvant devenir une cible d’attentats.

Un exil provoqué par l’hostilité récurrente de la communauté musulmane de la ville car s’affichant pro-palestinienne et identifiant les Juifs locaux come des soutiens inconditionnels de l’état d’Israël. Etat vu par celle-ci comme ‘’raciste’’, ‘’nazi’’ et autres qualités du même genre. Une position que ne peut ignorer le maire de la ville, Ilmar Reepalu, qui affirme, sans honte mais avec un calcul électoral en tête, que Malmö « refuse l’antisémitisme tout comme elle refuse le Sionisme ». Une communauté représentant 40% de la population locale cela se soigne !

Ainsi sont vendus dans cette ville, pour un poste municipal, les valeurs universelles, les droits de l’homme et la sécurité de quelques centaines de juifs au nom d’un pro-palestinisme nauséabond qui n’est rien d’autre que de l’antisionisme.

Autre pays, autre ville mais même cas.....

La seconde phase de "TOUS PSG"

Le club avait promis un plan transitoire et évolutif. Après un large échange auprès de 25 représentants de groupes de supporters, le club en concertation avec les deux médiateurs Franck Borotra et Alain Cayzac a souhaité mettre en place la seconde phase suivante :

- Retour aux abonnements fixes dans les virages et quarts de virages (une fois la tribune de destination et la place d’affectation désignée par le club, l’abonné accompagné d’un maximum de quatre autres abonnés dans les mêmes conditions gardent les mêmes places jusqu’à la fin de saison).

L’ancienneté et tous les avantages cumulés par les abonnés historiques sont pris en compte pour le prix des abonnements vendus au tarif de la saison précédente dès le 16 décembre 2010 pour la seconde partie de saison.

 - Le club favorise et soutient la création d’associations responsables prêtes à supporter l’équipe et à entretenir la ferveur dans le stade.

Faisant suite aux échanges avec les médiateurs une « Charte 12e homme » reprenant les droits et devoirs des supporters a été établie pour les associations qui auront signé la « charte 12 » un quota maximum de 100 places réparties à part égales entre les deux virages par le club sera affectée nominativement, engageant la responsabilité du Président de l’association en cas d’incident.


Ce dispositif du plan TOUS PSG s’appliquera jusqu’à la fin de la saison 2010/2011, il évoluera à nouveau pour le début de la saison 2011/2012.

Source et article: PSG.fr


   Moi, qui fut abonné en Tribune Auteuil pendant plus de 9 ans. Puis,indépendant. Puis, pendant 1 an en Tribune G. Puis, enfin cette année en placement alléatoire en Tribune Auteuil et en Tribune Boulogne, je soutiens à 100% le nouveau plan de la direction de mon club de football préfèré: le Paris Saint Germain vis à vis des vrais Supporters !

Jean-Perre Renard

Le Paris Saint Germain

"Charte 12" (Douzième homme)

Le label « Charte 12 » sera attribué par le Club aux Associations partageant et défendant les mêmes valeurs que lui et prenant les engagements définis ci-après :

-    Seules les Associations signataires de la charte pourront être présentes au Parc des Princes ou dans les secteurs visiteurs des stades dans lesquels évolueront les équipes du Club. Un comité de suivi incluant des personnalités historiquement attachées au club, des responsables d’associations partenaires du PSG (SOS Racisme, LICRA, PFG…) sera chargé du respect des engagements, le comité pourra suspendre l’accord entre une association et le club dans l’hypothèse d’un manquement à la charte.

-    Les Associations signataires de la charte s’engageront à communiquer au club :
. Une copie de leurs statuts et la justification de l’enregistrement en Préfecture de l’Association.
. L’identité de leur Président et la composition de leur bureau lors de chaque changement de ceux-ci, dans un délai de 15 jours.
. La liste de leurs membres (prénom, nom, adresse) et une copie de la pièce d’identité de leurs nouveaux membres, tous les mois (sauf si cette liste est identique à celle du mois précédent).

-    Jusqu’à la fin de la saison 2010 / 2011 les associations signataires de la « Charte 12 » se verront attribuer un maximum de 100 places dans les virages, également réparties entre Auteuil et Boulogne ; la liste des 100 membres ou moins ayant été fournie au club, celui-ci désignera leur place de destination dans les deux tribunes de manière  fixe pour l’ensemble de la saison. Le Président de l’association pourra choisir son virage de destination à chaque match afin de favoriser l’organisation des évènements de soutien à l’équipe.

-    Les associations signataires de la « charte 12 » s’engagent dans l’esprit d’un soutien à leur équipe, au club, pour les valeurs communes défendues conjointement par le Club et les Associations.

Les Associations devront clairement indiquer dans leurs statuts qu’elles partagent avec le Club les valeurs suivantes, quelles s’engagent à les respecter en toutes circonstances et à les faire respecter par leurs membres :

  • La solidarité
    Soutenir le Club dans les bons comme dans les mauvais moments. Donc bannir   dans leurs expressions/actions publiques tout message injurieux contre le Club (ses joueurs, ses dirigeants, ses actionnaires, ses collaborateurs, ses partenaires,…) et toute action causant un préjudice au Club (préjudice financier, d’image, …).
  • La tolérance et le respect
    Bannir la violence, le racisme, la xénophobie, l’antisémitisme, l’homophobie, l’expression publique d’opinions politiques ou religieuses. Adopter une attitude respectueuse et «fair play » vis-à-vis des pouvoirs publics, des institutions du football, des arbitres et de fair-play, de l’équipe adversaire et de ses supporters.
  • Discipline
    Respecter les lois et règlements en vigueur dans un stade, notamment ne pas utiliser d’engins pyrotechniques, ne pas consommer de substances interdites dans un stade (alcool, drogues,….).

Soutenir et favoriser l’action du Club ou des pouvoirs publics en cas de comportements contraires aux valeurs ci-dessus, notamment en cas d’interventions en tribune.


-    Les membres de ces associations auront la possibilité d’entrer dans le stade une demi-heure avant l’ouverture publique des portes à un accès unique et dédié.
Sur présentation de leur carte d’identité et de leur carte d’abonnement, ils rentreront dans le stade sous la surveillance des stewards. Leur abonnement n’est pas cessible, ne peut être prêté ni échangé.
Un mégaphone sera autorisé par groupe, des banderoles ou des bâches validées par le club pourront être déployées.
Les animations seront conçues en relations avec le Département Supporters du club qui pourra mettre à disposition du matériel nécessaire.
Seuls les déplacements officiels encadrés et organisés par le club peuvent être proposés à ses associations.

-    La période de la demi saison Janvier 2011 / juin 2011 constitue une première phase de test : les associations au comportement conforme à leurs engagements verront leur nombre de places augmenter à parts égales dans les deux tribunes pour la saison suivante. De manière générale si l’expérience est un succès, le nombre d’associations signataires de la charte augmentera aussi.

Sources et article: PSG.fr