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AIDEZ JEAN PIERRE RENARD À RETROUVER DU TRAVAIL !

 

 

Je suis à la recherche d'un emploi. Voici, mon CV:

Je suis ouvert à toutes propositions de votre part. Je suis à la recherche d'un nouvel emploi. Je ne serai pas difficile...! Il est vital (sur tous les plans !) pour moi, de retravailler au plus vite ! D'avance merci à vous tous.

Jean-Pierre RENARD Permis B, véhiculé
109 rue Etienne Dolet
93380 PIERREFITTE
Tél: 06 61 66 63 37 ou 01.48.26.21.43
[email protected] 
40 ans. Célibataire.

Persévérant, rigoureux, travailleur et aimant surtout beaucoup le contact humain.


COMPETENCES

Informatiques : Environnement Windows, Word maîtrisés. Notions d’Excel
Organisation d’évènementiels
Relance téléphonique
Gestion de clientèle
Suivi et contrôle de l’exécution des travaux


EXPERIENCE PROFESSIONNELLE

1991 : Gestionnaire de commande chez CITROEN, Saint-Denis (93)
1992 – 2005 : Gérant d’une Menuiserie PME– SARL JEAN RENARD, Pierrefitte (93)
1997 : Coordinateur de la campagne électorale
2004 : Directeur de Campagne électorale
2006 : Agent du Patrimoine à la Médiathèque de la ville du Raincy, pendant 7 mois.
2007-2008 : Bibliothécaire à la ville de Neuilly-Plaisance, pendant 20 mois.
2008-2009 : Responsable des fournitures pour la Mairie de Neuilly-Plaisance


FORMATION

1985 : Niveau seconde / Autodidacte
1992 : Membre de la Commission économique du CNI
2005 : Stage informatique Windows et Word - Chambre de Métiers de Seine-Saint-Denis
2006 : Stage à la Mairie du Raincy à L’Urbanisme


CENTRES D’INTERETS

Histoire de France et des civilisations
Musées et événements culturels
Ecriture
Monde Associatif (actif dans diverses associations). Président d’une association de Loi 1901
.
Je possède aussi, mon propre Blog.

SOUVENIRS D’EN FRANCE

CHRONIQUE D’UN  GAMIN DE PARIS

1954 / 1968

De l’appel de l’abbé Pierre à la Chienlit

Ce livre retrace la petite histoire d’une famille Parisienne par le témoignage d’un enfant de la butte déraciné de son quartier natal à cause  de la crise du logement des années 1960.

Vous y découvrirez des personnages simples et attachants de ce Paris des   faubourgs puis l’histoire de notre banlieue racontée  avec la verve du  titi que j’étais, une description parfois émouvante de ces familles du département bâtisseuses du socle de la société moderne.

Cette France confraternelle et laborieuse qui s’exprimait aux Halles Centrales de Paris.

 La fin de la guerre d’Algérie et l’afflux de travailleurs étrangers quand cette 5ème  République en plein essor économique pouvait accueillir ces nouveaux enfants. 

 Les sentiments de ces jeunes qui ne souhaitaient rien qu’un peu plus de liberté, les  « Yéyés ». 

Le temps des copains, de l’insouciance, cette nouvelle vague vivante de ces  mômes du « baby boum » réclamant la paix au Viet Nam.

Juchés sur leur pétrolette, banane et mini jupe au vent,  ils fomentaient les évènements de Mai 68 sans même s’en rendre compte.

Ils découvraient le  confort, la  télévision, leurs idoles et toutes ces choses dont on ne pourrait plus se passer aujourd’hui.

Ils étaient tout simplement heureux de vivre cette époque formidable.

  Première partie   ► 11, rue Calmels

    Deuxième partie  ► Le déracinement

Troisième partie    Ma  banlieue des années 60  

    Quatrième partie  ►  Souvenirs et France d’aujourd’hui


Eric RAOULT (Président de l'UMP 93 et Député/Maire du Raincy) dans "C dans l'air" aujourd'hui à 17h45‏


Éric RAOULT est l'invité d'Yves CALVI, aujourd'hui à 17h45, pour son émission "C dans l'air", sur France 5.

Le sujet de l'émission est la votation suisse sur l'interdiction des minarets.



Madame, Monsieur,
 
   Vous trouverez ci joint une invitation pour la dédicace du Livre de Christian Boyer ( membre actif du comité départemental et ancien permanent de la Fédération), souvenir d'en France, qui aura lieu:
 

 

  Du mardi 8 au vendredi 11 décembre

 

 A la Brasserie Tabac de la Place Thiers  au Raincy de 12 h à 13 h 30 

    NOCTURNE LE  JEUDI 10 de 17 h 30 à 20 h 

 


LA LETTRE D'AVIVA SHALIT À SON FILS !!!

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La première vie que j'ai créée, création de mon corps, mon âme et de mon amour. J'ai entendu sa voix pendant ces 20 dernières années, depuis le moment où il est venu au monde, jusqu'à son dernier coup de téléphone.
- " Maman, je reviens à la maison, tu m'entends?"
- "Je t'entends mon fils, parfaitement, comme tes premiers pleurs."
J'entends encore tes pleurs de bébé qui m'empêchaient de dormir pendant les nuits. Je m'allongeais près de toi et te consolais lorsque tu as eu tes premières infections, j'avais peur... peur de quoi ? d'une simple grippe !

Je t'ai accompagné pour la première fois à l'école maternelle et tu m'as fait promettre de revenir te chercher. Je suis venue et depuis tant d'années, je n'ai jamais rompu mon serment.
J'ai accroché tes dessins sur le réfrigérateur et sur les murs de la cuisine, juste pour que tu saches que tu es chez toi, qu'ici est ta maison entre les dessins et les vieux souvenirs.
Tu as vite grandi sous mes yeux veillissants et fatigués. A ta Bar Mitzva, je me suis rendue compte à quel point tu avais mûri... J'etais la maman la plus fière du monde...
- " C'est mon fils, ai-je pensé, c'est mon fils "
Et quand tu as commencé à sortir le soir avec tes amis, c'est une partie de moi qui sortait avec toi, je t'enlaçais et te mettais en garde
- " Ne t'inquiète pas, maman, je suis un grand garçon "
Je me levais la nuit, je vérifiais l'heure et je me demandais où tu pouvais être, attendant avec impatience que tu rentres sain et sauf. Et seulement quand je t'entendais t'écrouler sur ton lit, que je te savais à la maison que je pouvais enfin m'endormir sereinement.
Quand tu as eu ton permis de conduire et que tu prenais la voiture, je priais pour que tu ne fasses pas d'accident, que tu ne prennes pas le volant quand il ne le fallait pas... Mais tu ne m'as pas déçue, tu rentrais à la maison, sain, sauf et heureux.
J'étais heureuse de voir que tu ne manquais de rien même si c'était au prix de nuits sans sommeil et de terribles inquiétudes.
Mon cœur a palpité plus fort encore quand tu est allé au service d'incorporation à l'âge de tes 17 ans et que tu es revenu avec fierté d'avoir eu un haut profil de soldat. Ce soir là, je n'ai pas dormi, je demandais uniquement que tu ne sois pas incorporé aux forces combattantes, que tu n'ailles pas dans des endroits dangeureux... Mais tu ne m'a pas écouté.
Tu voulais défendre ton pays. Mais ce n'est pas ton pays qui t'a grandi, c'est moi qui t'ai grandi. Moi, ta mère.
Et du jour où tu as fermé la porte derrière toi pour aller à la base militaire, encore tout ému, moi je comptais les jours en attente de ton retour.
Chaque Shabbat pour lequel tu rentrais, je priais D..., je me suis juré d'aller à la synagogue, de faire des dons pour remercier D... que tu sois revenu
et que je te lave ton linge et que je te prépare à manger.

Le jour où j'ai entendu qu'on cognait à la porte, j'ai ressenti que quelque chose n'allait pas... J'ai ouvert la porte en priant de ne pas voir ceux que j'ai vu. Deux personnes en uniforme, un infirmier et ton sergent qui m'a serré fortement la main. Je n'avais pas besoin d'écouter ce qu'il disait. Mes larmes ont empli mes yeux, ma gorge s'est serrée. J'ai compris... On montrait ta photo aux informations télévisées.
Je me suis assise et je pleurais. Je suis allée à la synagogue et j'ai prié. Je continue à prier même en plein sommeil, pour que tu reviennes.
C'est mon fils, Mon fils qui a été kidnappé à Gaza
Mon fils à moi, qui peut être ne reviendra pas.