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Calendrier IMB

Lundi 5 octobre 2009, à 19h00 précises :

Conférence organisée par l’IMB :

« Vendéens et Chouans : 1791-1796 »,

par Yves Valleteau de Moulliac, critique littéraire

Lieu : DRAC, 8 bis rue Vavin - 75006 Paris (Métro Vavin)

Possibilité de dîner : 20 € - S’inscrire auparavant au secrétariat de l’IMB : 01 45 50 20 70

Vendredi 16 octobre 2009, à 12h00 :

Basilique Saint-Denys

Messe pour le repos de l’âme de la reine Marie-Antoinette,

organisée par le Mémorial de France à Saint-Denys

Vendredi 16 octobre 2009, à 18h30, à Vienne (Autriche) :

Messe célébrée à la mémoire de

Marie-Antoinette

Reine de France et de Navarre (1774-1793)

née Archiduchesse d’Autriche (1755)

église des Capucins, Vienne (1er)

La Messe sera suivie d’un dîner au Restaurant des Augustins.

Augustinerkeller, Augustinerstrasse 1, A-1010 Wien

Réservation souhaitée jusqu’au 10 octobre 2009 auprès de :

Monsieur Xavier Vicat, IMB, Paniglgasse 9/8, A-1040 Wien.

 


Prière à Saint Ferdinand des Ternes à Paris

        En balade dans Paris, je suis allé prier à l'Eglise Saint Ferdinand des Ternes, auprés de la croix de Jésus Christ et de la statue en pierre de Sainte Thérèse de Lisieux (ou j'ai déposé un cierge). Pour moi (mon moral, ma vie privée et mon problème professionnel) ainsi que pour l'opération de mon père (Jean Renard), qui aura lieu lundi matin à l'hôpital Thonon à Paris.

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Participez aux conventions transports dans votre département

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Message de Valérie Pécresse
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Chers Amis,

Je vous rappelle que le samedi 3 octobre prochain, nous organisons simultanément dans chaque département d’Ile-de-France une « convention transports » pour débattre de ce sujet prioritaire pour des millions de Franciliens.

Voici les horaires et lieux des conventions pour chaque département :

• Paris, de 9h à 12h30 : Musée social 5, rue Las Cases, 7ème arrondissement
• Seine-et-Marne, de 10h30 à 12h30 : Salle du stade, rue Dorée, à Melun
• Yvelines, de 10h à 13h : Hall 5 du Parc des Expositions, Ile l’Aumône, à Mantes-la-Jolie
• Essonne, de 10h à 13h : Salle polyvalente du grand chêne, 24 rue du Marquis de Raies, à Courcouronnes
• Hauts-de-Seine, de 9h30 à 13h : Palais des Sports Marcel Cerdan, 141 rue Danton, à Levallois-Perret
• Seine-Saint-Denis, de 15h à 18h30 : Ecole Quatremaire, 18 rue Baudin, à Noisy-le-Sec
• Val-de-Marne, de 9h30 à 12h30 : Salle des fêtes de l'Hôtel de Ville, place Digeon, à St Mandé
• Val-d'Oise, de 9h30 à 12h30 : Salle des fêtes de l'Hôtel de Ville, à Pontoise

Pour vous inscrire et pour plus de détails (plan d’accès, intervenants…), rendez-vous sur :
http://pecresse-iledefrance.fr/agenda/convention-departementale-transports-le-3-octobre

Par ailleurs, au lendemain de chaque convention, je vous invite à prolonger le débat sur la plateforme participative www.changerliledefrance.fr que j’ai souhaité mettre en place. Vous y retrouverez la synthèse des débats de chaque convention transports ainsi que les propositions qui auront été faites à l’occasion de cette journée d’échanges. Vous pourrez voter pour les meilleures d’entre elles et nous permettre ainsi d’identifier vos priorités.

Votre participation à la journée du 3 octobre et au débat est primordiale : elle nous permettra d’établir ensemble un projet pour reconquérir la région Ile-de-France.

Je vous attends nombreux !

Fidèlement,

Valérie Pécresse
Chef de file de l'UMP




Pourquoi l'Iran fait peur ?

 

Le nucléaire n'est pas une idée neuve en Iran. A l'époque du Shah, Téhéran ambitionnait déjà un grand programme nucléaire civil et militaire, auquel la République islamique n'aura pas renoncé. De 1987 à 2003, l'Iran a poursuivi des activités illicites non déclarées à l'AIEA, et la récente révélation des installations d'enrichissement d'uranium enterrées près de la ville de Qom montre que l'Iran a transgressé toutes les règles ces six dernières années. Usage civil ou militaire, tout serait là…

L'argument avancé par le négociateur iranien Saïd Jalili n'est qu'une vaste duperie ; il n'existe aucune différence technique fondamentale entre enrichir de l'uranium à 5% pour fabriquer du combustible et l'enrichir à 90% pour obtenir de l'uranium de qualité militaire. Avec ses 11 000 centrifugeuses, Téhéran dispose de suffisamment de matières fissiles pour fabriquer la bombe. Voilà pourquoi l'Iran fait peur.

L'Iran fait peur parce que c'est le modèle pakistanais de la "bombe islamique" qui fait rêver les leaders successifs de la République islamique. C'est d'ailleurs au moment où le Régime des Mollahs semblait préoccupé par la politique de la terreur et moins attentif au développement de ses centrales atomiques que Téhéran achète les plans du fameux Dr Khan, le génie d'Islamabad, un temps fierté nationale, pour avoir mis seul au point les plans de la bombe pakistanaise. Et puis nous savons que depuis trente ans, c'est dans des domaines d'application exclusivement militaires que l'Iran mène ses recherches nucléaires.

 L'Iran fait peur parce que sa ligne de défense n'est pas cohérente. Accusé par l'Occident de contrevenir à ses engagements, en matière de respect du Traité de non-prolifération dont Téhéran est signataire, les Iraniens répètent que le nucléaire demeure pour l'Iran un droit "fondamental" ou "naturel". On exige alors une réponse technique : l'Iran affirme vouloir produire son propre combustible en grande quantité, alors qu'il ne dispose pas encore d'une centrale nucléaire opérationnelle... Les contradictions sont flagrantes, et inquiétantes. Ses finalités nucléaires sont, à l'évidence, militaires.

 L'Iran fait aussi peur parce qu'elle développe un programme balistique effrayant, judicieusement testé entre l'Assemblée générale des Nations-Unies la semaine dernière et le Sommet de Genève, le 1er octobre. Ahmadinejad a montré au monde que certains missiles sont en mesure d'emporter une charge nucléaire à plusieurs milliers de kilomètres.

 L'arsenal de destruction massive est donc fin prêt. Avec un premier constat : l'absence de panique. "On le savait". "C'était à prévoir". "Ils ne feront rien". "L'Amérique ne laissera pas tomber". On cite encore le patron du Mossad, Méïr Dagan, qui se voulait rassurant il y a quelques mois devant la Knesset, où il soutenait que la bombe iranienne ne serait pas prête avant 2014…

 La question de savoir pourquoi l'Iran aurait besoin de se doter d'une bombe atomique ne suscite pas beaucoup de réponses parmi les chefs d'Etats et de gouvernements. En fait, personne n'ose vraiment se prononcer. Seul Ahmadinejad indique la cible, répétant à l'envie deux formules : "Israël va disparaître" & "La Shoah est un mythe", redoutables lorsqu'elles sont associées.

C'est le raisonnement d'Adolf Hitler qui est emprunté par le dictateur de Téhéran : les Juifs sont responsables de la guerre (contre les Palestiniens en l'occurrence), il faut donc qu'ils disparaissent.

Comment gérer la peur ? Après le sommet de Genève du jeudi 1er octobre force est de constater que l'on est encore très loin de la formule lancée par Nicolas Sarkozy au cours de l'été 2007, sa célèbre "alternative catastrophique : la bombe iranienne ou le bombardement de l'Iran".

Pour la première fois depuis trente ans, diplomates iraniens et américains se sont parlés, directement.

Dans une sorte d'intervention conclusive depuis Washington, le Président Obama s'est contenté de résumer un nouvel épisode de sa série "Wait and See"… Attendre, pour que la nucléarisation progresse dans le sens d'une ambition qui n'a de secret pour personne. Voir, si dans les semaines à venir, l'Iran autorisera aux experts de l'AIEA les inspections promises. Et que l'on se rassure, c'est El Baradei, l'actuel directeur de l'AIEA soupçonné d'avoir fait disparaître les annexes du dernier rapport, qui doit se rendre dans les tous prochains jours à Téhéran.

Souhaitons que la "politique de l'espérance" chère à Obama n'échoue pas. Il en va de la crédibilité de la première puissance mondiale, qui est aussi le premier allié d'Israël.

Aujourd'hui, Jérusalem se retrouve la seule capitale à défendre la légitimité d'une attaque préventive de l'Iran en cas d'échec des négociations diplomatiques. Or l'absence de résultat probant, en six ans de pressions et de menaces, montre un état d'échec permanent. La double voie de la diplomatie et des sanctions n'arrête pas l'Iran.

 Une attaque de l'Iran par Israël se réduirait sans doute à la destruction des sites de Natanz et de Qom, avec pour objectif d'empêcher Téhéran d'utiliser la bombe et de dissuader tous les pays candidats au nucléaire comme la Syrie, la Birmanie, l'Arabie Saoudite, voire l'Egypte et la Turquie.

 Aux portes d'Israël avec le Hamas, le Jihad islamique et le Hezbollah, l'Iran a aussi soutenu le FIS et le GIA en Algérie, des mouvements extrémistes chiites en Irak, au Bahreïn, en Afghanistan… Le principe d'exportation de la Révolution islamique est inscrit dans sa constitution. Les pays modérés du Moyen-Orient sont aussi très conscients et très inquiets des ambitions que les Mollahs n'ont jamais cachées, et que la République islamique est capable de réaliser.

Ce soir, nous pensons à Guilad Shalit, soldat de Tsahal et citoyen français, otage du Hamas depuis 1196 jours. Cette semaine, en échange d'un signe de vie de Guilad sur bande vidéo, la libération de vingt prisonnières palestiniennes a été décidée par le gouvernement israélien.

 A la semaine prochaine,

 
Guy Senbel.   

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Un filet d’espoir pour Guilad Shalit...


Par Joanna Maman pour Guysen International News
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Le Cabinet de sécurité israélien l’a approuvé mercredi 30 septembre au matin. Vingt détenues palestiniennes seront libérées en échange d’une preuve de vie de Guilad Shalit, le soldat franco-israélien capturé le 25 juin 2006 à la lisière de la bande de Gaza par trois groupes palestiniens, dont le bras armé du Hamas.
Des années de silence. Des mois de négociations. Aucune nouvelle. Cela fait plus de trois ans que la famille de Guilad Shalit attend un signe d’espoir.

Mercredi 30 septembre, la nouvelle est tombée. Dans un communiqué rendu public en fin de matinée, le bureau du Premier ministre israélien a annoncé "la libération de vingt détenues palestiniennes en échange d’une preuve claire et récente de l’état de santé du jeune soldat".

"Il est important que le monde entier sache que Guilad Shalit est en vie et en bonne santé et que le Hamas est responsable de son état", a déclaré le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, pour justifier l'accord conclu avec le Hamas.
 
Cet accord intervient après des mois de négociations. C’est le médiateur allemand, Ernst Urlau, qui a convaincu le Hamas d’accepter un échange susceptible de relancer les négociations dans la bonne direction. Les termes du contrat sont simples : une cassette vidéo de quelques minutes contenant un message de Guilad Shalit, contre la libération d’une vingtaine de prisonnières palestiniennes.
 
Le négociateur allemand qui a déjà visionné la vidéo remettra l’enregistrement à l’envoyé spécial israélien au Caire. Celle-ci sera d’abord examinée puis authentifiée par des spécialistes et sera ensuite projetée aux membres du cabinet sécuritaire et à la famille Shalit. Ce n’est qu’ensuite que l’ordre sera donné de libérer les détenues.
 
Jeudi 1er octobre, les Israéliens commençaient déjà à remplir leur part de contrat. Une terroriste âgée de 15 ans condamnée pour tentative de meurtre a été libérée. Elle devait quitter la prison au mois de novembre. Elle est rentrée chez elle dans le village de Jellazoun, près de Ramallah.
 
Un haut responsable israélien a affirmé que les dix-neuf autres prisonnières seraient libérées vendredi dès la remise de la vidéo aux Israéliens. De leur côté, les Brigades Ezzedine al-Qassam, le bras armé du Hamas, ont confirmé l'échange lors d'une conférence de presse à Gaza. Abou Moudjahid, porte-parole du Comité de la Résistance Populaire, un autre groupe armé palestinien qui a participé à l'enlèvement du soldat, a également précisé que la vidéo durait une minute et constituait une preuve irréfutable que Guilad Shalit est en vie.
 
Un haut responsable israélien a indiqué que les prisonnières, dix-neuf femmes originaires de Judée et Samarie, et une de Gaza, étaient libérables au cours des deux prochaines années. Il a rappelé également qu’elles ne sont pas impliquées dans la mort de citoyens israéliens.
 
Le ministre palestinien chargé des Prisonniers, Issa Qaraqaë, s'est félicité de l'annonce. "Bien que n'ayant pas pris part à cet accord, nous nous réjouissons de la libération de ces prisonnières et nous nous préparons à les accueillir vendredi", a-t-il déclaré à Ramallah.
Cet accord bien que minime, représente une importante avancée dans les difficiles négociations en cours entre Israël et le Hamas.
 
Depuis sa capture, Guilad Shalit avait pu faire parvenir quelques messages à sa famille, authentifiant qu’il était en vie. Mais depuis juin 2008, personne ne connaît la situation du jeune soldat.
 
Le Président de l'Etat hébreu, Shimon Peres s’est également exprimé, en rappelant qu’un signe de vie du soldat serait "un pas important vers sa libération".