Le mal rugit encore !
Je suis obligé, provisoirement, de bloquer à nouveau la rubrique des commentaires.
Car, des malades (qui sont en grande partie à l'origine de mes ennuis !) (des briseurs de vie !) recommencent à y écrire de trés sales propos nauséabonds contre ma personne !
Je trouve cela pitoyable ! On dirait des enfants ! Restez à vos garden partys et foutez nous la paix !
La chance s'est tournée vers vous ! Et vers moi, c'est la malédiction, malheureusement !
Je ne mérite pas un seul instant, toute cette curée qui a été orchestrée contre ma petite personne !
Le mal est facile, le bien demande beaucoup d'efforts !
Comme à une certaine sombre époque de notre Histoire de France, ils n'ont même pas le courage de signer leurs immondices ! Quel courage !
Mon chien est plus respectable qu'eux !
Il faut laisser les choses mourir de leur propre venin ! L'intelligence ne se mesure pas des pieds à la tête, mais de la tête au ciel.
Si vous souhaitez faire des commentaires, vous pouvez le faire en m'envoyant un mail (si possible, pas comme les fameuses lettres immondes et si peu courageuses de certains français sous l'occupation nazie: anonymes !) à: [email protected].
Le Renard n'est pas encore mort ! Mon but, c'est de mettre fin à la spirale de la défaite et de remonter la fameuse échelle sociale (ou, j'ai complètement disparu en trés grande partie à cause de ces malades et de ces coquins, des coquines et des comploteurs grotesques qui poluent l'air qu'ils respirent ! Donc le nôtre !)...
Il est facile de haïr et difficile d'aimer. Le bien est difficile à accomplir, le mal est facile à trouver !
Pour l'instant, je suis totalement en panne de bonheur ! J'ai tout perdu (ma fortune; mes ami(e)s; mon travail; relations et ma carrière politique) pour une femme qui m'avait envoûté !
Mon rêve: pouvoir retourner un jour en Israël...
Il va falloir que je vive avec ce terrible traumatisme, avec cette épouvantable tragedie et erreur. Ce souvenir si amère qui va me hanter tout le reste de ma vie ! Et peut-être, un jour, réussir à revivre normalement ?...En attendant, la vie me pèse si lourdement !
Les gentils finissent toujours mal !
Comme disait Victor Huguo: "Le plus lourd des fardeaux, c'est de vivre sans exister !"
Jean-Pierre Renard
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