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C’est maintenant qu’il faut que l’état d’Israël adopte les mesures nécessaire à la non réitération de prise d’otage par les mouvements terroristes.



Des pourparlers sont en cours pour mettre fin au calvaire du jeune caporal Guilad Shalit.

Le premier ministre israélien semble mettre un point d’honneur a obtenir sa libération auprès du Hamas, kidnappeur en chef, et cela quelqu’en soit le prix à payer.

Israël est un petit pays, tant par sa superficie que par sa démographie, la shoah dont le but proclamé était l’extermination des juifs dans le monde, à inculqué à la population israélienne le sens de l’importance de la vie.

Chaque vie humaine est fondamentale et est considéré comme un élément indispensable à la communauté, découle de cela, et ce depuis la naissance de l’Etat, le culte de la préservation d’une population si souvent vouée aux gémonies*.

Une dimension psychologique s’ajoute à cela, chaque soldat doit avoir la certitude qu’aucun marchandage ne viendra entraver une chance d’hâter sa libération des mains de l’ennemi, cette certitude doit l’accompagner dans ses missions les plus complexes et lui permettre d’accomplir sa tache en maitrisant une partie de son appréhension.

Les parts d’histoires les plus noires de l’Etat d’Israël ont souvent été marqué par ses odieux marchandages, les différents ennemis auquel il a à faire face, connaissant le prix qui est apporté à la vie humaine ont aux cours des conflits qui ont jalonnés l’histoire récente, fait de la capture d’otage un but de guerre.

Ce fait unique dans les annales depuis l’antiquité et les trafics d’esclaves, est en soit un crime contre l’humanité, en recherchant sciemment à atteindre des individualités pour les meurtrir dans leurs chairs, plutôt qu’en combattant une collectivité.

Or depuis les premiers cas de kidnapping ou de capture, les fins tragiques se sont succéder en faisant à chaque fois monter un peu plus le degré de barbarie et d’inhumanité.
On ne compte plus le nombre de soldats capturés puis exécuter, le nombre d’aviateurs littéralement lynché après s’être éjecté ou même d’aviateur et de soldat dont l’absence de traces ou de nouvelles plongèrent leurs familles dans le désespoir.

De nombreux échanges totalement disproportionnés viennent de temps à autres confortés les terroristes dans leurs stratégie criminelle, chaque israélien capturé valant alors entre 100 et 1000 terroristes.

Or en 2006 le Hamas, maintenant maitre de son territoire, mis en place une tactique qu’il aurait voulu voir transformé en doctrine « militaire » dont la lâcheté n’a pas d’égale depuis les forfaitures provocatrices ayant servies de prétexte aux différentes agressions de l’Allemagne Hitlérienne.

Il s’agissait au terme d’actions militaires menées à l’intérieur du territoire internationalement reconnu de l’état d’Israël, de capturer comme une sorte de butin cynique et immoral des soldats qui avaient à ce moment une posture uniquement défensive dans un état de non guerre.

Cette tactique aurait pu se généraliser et devenir une forme de pression insoutenable sur le gouvernement israélien, il y a malheureusement aucun doute sur le fait que après les soldats, mes civils auraient à leur tour été pris pour cible, afin de créer le désarroi et la panique au sein de la population.

La répétition du drame de Gaza se répéta 3 mois plus tard sur la frontières nord, ou le Hezbollah mena une attaque contre une position militaire israélienne encore une fois en territoire hébreu, sans qu’il n’y ai eu aucune provocation de la part d’Israël.

On a souvent considéré que l’opération mené simultanément dans la bande de Gaza et au sud Liban fur un échec pour l’armée israélienne, or en dehors de l’interprétation militaire et de son exploitation marketing faite par les mouvements terroristes, Israël à au cours de ces opérations remportées une victoire capitale.

Celle-ci est s’est matérialisée par un coup d’arrêt net et brutale de cette pratique de prise d’otage dont tout laissait craindre qu’elle était appelée à se généraliser.
La vigueur militaire de la riposte a permis de faire prendre conscience aux mouvements terroriste de l’extrême faiblesse de leur position, coincés qu’ils sont entre la nécessité de prouver leur intransigeance et leur violence et la préservation (relative) de la vie de leurs concitoyens.

Il est d’ailleurs curieux de constater que malgré la violation évidente de toutes les règles élémentaires du droit international, aucune des instances internationales si virulentes dans la condamnation d’Israël ne s’est élevée pour demander la création d’un tribunal international pour ce crime.

Si les deux malheureux soldats tombés aux mains de la sauvagerie et de la barbarie du Hezbollah furent promptement exécutés après avoir été torturés et mutilés, il n’en fut pas de même pour Guilad Shalit.

Celui-ci est à ce jour toujours entre les mains de ses bourreaux et est soumis à un traitement inhumain, en contradiction avec toutes les conventions relatives au traitement des prisonniers de guerre dont les terroristes sont pourtant si prompts à les invoquer à leurs propos.

Depuis sa capture, aucune organisation n’a pu le rencontrer, aucune preuve de vie concrète n’a été donné, aucune communication écrite ne lui fut accordée, aucun colis n’a pu lui parvenir, il est maintenu dans un secret complet, ses promenades à l’air libre sont quasi inexistante, le traitement de ses blessures sommaires…

Et cela au mépris de la souffrance qu’il subit et de celle de ses parents.

Au delà de son dramatique cas particulier il est du devoir de l’état d’Israël de prendre des mesures de réciprocité permettant de prévenir et de dissuader des actions similaires.

Conjugué à la crainte d’opérations militaires au couts humains importants, ces mesures devrait être de nature a faire peser une sorte de réciprocité dans les traitements réservés aux terroristes capturés lors d’opérations de police légitimes.

On anticipe alors le fait que ces actions de kidnapping auront un effet direct sur les conditions de vie des terroristes emprisonnés en Israël.

Au moment ou les rumeurs de libération du caporal Shalit se multiplient, au moment ou toutes opérations militaires ont cessées, l’adoption de ces mesures paraissent envisageables.

La loi qui réunirait un éventail de mesures, pouvant être prises séparément ou simultanément, dites de réciprocité, ces mesures auraient pour effet de calquer les conditions de vie de tout ou partie des terroristes emprisonnées sur celle que les otages israéliens ont à subir.

Elles pourront être susceptibles d’allègement en cas de constatations par un organisme impartial des améliorations de traitement des otages.

Chacune des mesures pourra comporter plusieurs niveaux d’intensité qui seront alors activés par un choix politique en fonction du message à envoyer aux ravisseurs.

En donnant un caractère juridique à ces mesures par le vote d’une loi officielle par le parlement, Israël sera en mesure de prouver à l’opinion publique mondiale qu’elle agit avec mesure et contrôle, mais surtout en état de légitime défense.

La loi devant prévoir l’aspect rétorsion du déclenchement des mesures, ignorant la tentation de leur mise en place dans une autre optique que la réciprocité.

La loi doit prévoir le temps d’applications des mesures, les modalités de renouvellement des périodes ainsi que leurs suspensions en cas d’accord négocié sur la libération des otages.

La loi doit prévoir aussi le panel de terroristes auquel elle doit s’appliquer, refusant toutes mesures collectives d’office.

La loi doit prévoir les différents degrés des mesures et la rigueur de leur application.

Enfin la loi doit prévoir les mécanismes de prises de décision concernant son déclenchement, son application, et la levée des mesures.

Les mesures envisagées sont au nombre de 10 :

1/ la fin de toutes visites de familles

2/ la fin de toutes visites d'avocats

3/ la fin de toutes visites d'associations humanitaires

4/ le blocage de toutes correspondances

5/ le blocage de tout colis

6/ la mise au secret intégral

7/ la suspension de tout élément de confort

8/ la réduction des promenades à l'air libre

9/ la suspension de la mise à disposition de toutes littérature religieuse ou profane.

10/ la limitation des promenades au strict minimum

En profitant d’une période d’accalmie dans l’extrême tension déclenchée par le comportement irresponsable du Hamas, la knesset pourrait en adoptant un texte reprenant ces bases, jetée les bases d’une nouvelle gestion des rapports entre un état démocratique et des groupes terroristes.

En adoptant sur le fonds des mesures sévère mais conjoncturellement et structurellement juste, elle renverrait le poids de sa propre responsabilité a Hamas ainsi soumis à la pression de la population qui verrait les conditions de détention des siens se détériorées.

Cela deviendrait une mesure dissuasive concrète ne pouvant se heurter à la « sensibilité » (subjective et souvent unilatérale) que déclenche une opération militaire classique dans l’opinion internationale.


• je ne résiste pas pour ceux qui connaissent ma passion du latin de vous rappeler que l’expression « vouer aux gémonies » vient du latin scalae gemoniae, « les escalier du gémissement », endroit ou à Rome on exposait le corps des exécutés.
 

Serge Salfi

 

Avec notre Association les "Amis de Guilad Shalit de l'Ile de France" nous agissons ... cela avance pas à pas... mais rien n'est réellement entre nos mains !!!
Que Pessa'h devienne une délivrance réelle ... amen

N1176625495_265549_6864 

Patricia Benisti (Vice Président des"Amis de Guilad Shalit en Ile de France")


 

Pétition pour Guilad Shalit‏

De :

 BOHL ([email protected])

Envoyé :

mar. 17/03/09 11:13

À :

Jean-Pierre RENARD ([email protected])

Cher Monsieur,

C'est bien volontiers que je participe à votre pétition pour la libération de Guilad Shalit dont la prise en otage déshonore les auteurs, (dans la mesure où l'on peut attribuer de l'honneur à une organisation terroriste).

J'approuve votre initiative de faire lire une lettre de sa mère dans les écoles.

Je vous autorise à me citer parmi les pétionnaires et vous prie d'agréer ma chaleureuse considération.

                                                                                                                J.B.

Jean BOHL 25 rue Nicolo 75116 Paris. 

[email protected]


Une gouvernance économique israélienne à deux têtes


Par Guillaume Borrione pour Guysen International News

 P90_stanley_fisher Le gouverneur de la Banque d’Israël, Stanley Fischer, a annoncé mardi 10 mars un projet de plan de relance d’un montant de 4,4 milliards de shekels destiné à stimuler l’activité économique et combattre les effets de la crise économique et financière mondiale sur l’économie israélienne. De son côté, Benyamin Netanyahou a réaffirmé sa stratégie pour 2009 qui consiste notamment en des réductions d’impôts. La divergence est tangible entre la Banque centrale et l’ancien ministre des Finances d’Ariel Sharon. Des stratégies différentes mais coûteuses pour le Trésor israélien, d’autant plus que les chiffres ne sont pas au beau fixe.

Les dépenses occasionnées par le plan de relance de Stanley Fischer devraient creuser un peu plus le déficit budgétaire qui passera de 5,2% à 5,8% du PIB israélien.

Celui-ci prévoit 1,5 milliards de shekels pour des projets spéciaux 1,15 milliards pour l’industrie et l’exportation, et 1,8 milliards de shekels destinés au marché du travail.

Selon S. Fischer, il devrait préserver 15 000 familles du chômage. Une nouvelle destinée à apaiser les esprits alors qu’il s’apprêtait à annoncer dans la foulée, des chiffres peu encourageants : Une augmentation de l’octroi d’allocations chômages et des recettes fiscales négatives provenan

t de l’impôt sur le revenu.

Il a aussi profité de son allocution devant la presse pour critiquer les réductions d’impôts annoncées par le leader du Likoud, Benyamin Netanyahou. Selon lui, le coût de cette politique économique est estimé à 2,5 milliards de shekels. Cette baisse de la fiscalité est jugée peu sage par la Banque d’Israël. Les caisses de l’Etat se vident et, pour S. Fischer, l’efficacité de ces mesures est contestable en période de récession.

Jeudi 5 mars, le Premier ministre désigné Benyamin Netanyahou avait en effet annoncé qu’il maintiendrait ses promesses de baisses d’impôt pour 2009 dès la formation de son gouvernement. M. Netanyahou répondait ainsi aux différents échos dans la presse qui parlaient d’un possible report de ses réformes à 2010.

Ces réductions d’impôts viendront s’ajouter à celles qui ont déjà été effectuées par le ministère des Finances dans le cadre de son plan de réformes sur plusieurs années. Toutefois, le ministère recommande actuellement de ‘geler’ ce plan de réduction d’impôts en raison de la récession économique qui frappe le pays.

Pour Benyamin Netanyahou, il s’agit d’opérer des réductions d’impôt pour les classes moyennes et les classes les plus défavorisés économiquement afin de contrer le plongeon de l’économie israélienne dans la récession. Les petites et moyennes entreprises devraient aussi bénéficier de réductions d’impôts par la suite.

Au contraire, la Banque d’Israël table sur une relance de l’économie et une diminution du chômage par l’investissement dans l’éducation, l’emploi et les infrastructures. Des investissements qui devraient être rendus possible grâce au plan de relance annoncé cette semaine par S. Fischer.

Ce dernier prône un changement de politique économique et ne cache pas son désaccord avec M. Netanyahou. Pourtant, les deux hommes entretiennent de bonnes relations. En 2005 c’était le ministre des Finances Benyamin Netanyahou qui l’avait nommé à son poste actuel.

La Banque centrale demande ainsi un allégement des conditions d’attribution des allocations chômage. Les allocations avaient été fortement remises en cause par M. Netanyahou lorsqu’il était aux commandes de l’économie sous Ariel Sharon. Il avait été surnommé « le faiseur de pauvre ».

Celles-ci sont particulièrement rigoureuses, bien plus que dans la grande majorité des pays occidentaux. Les propositions de la Banque d’Israël sont les suivantes : allonger la durée d’indemnisation, qui est de 5 mois actuellement, et réduire la durée minimal d’activité. Il faut en effet travailler au moins un an en Israël pour pouvoir bénéficier des allocations.

Le nombre de chômeurs indemnisés devrait donc considérablement augmenter si ces propositions étaient appliquées, ce qui permettrait d’alléger le coût social de la crise. Le nombre de familles israéliennes nécessiteuses a augmenté de 30% en 2008 selon les chiffres publiés par l’Association pour l’Autonomisation Communautaire. Des chiffres qui devraient encore augmenter dans les prochains mois.

Et ce ne sont pas les seuls. Un rapport du Bureau Central des Statistiques daté du 26 février montre une chute de 20% dans les ventes de nouveaux appartements en janvier 2009 comparé à la même période en 2008. Un total de 880 nouveaux appartements ont ainsi été vendus en janvier, comparé à 1100 l’an passé.

Plus grave, le patronat israélien anticipe une baisse de 10% des exportations israéliennes en 2009, un record pour le pays. La baisse de la consommation outre-Atlantique devrait donc toucher directement les exportations à destination des USA. Les secteurs d’activité ainsi dépendants de la conjoncture internationale seront les premiers touchés par le chômage.

Une baisse des exportations qui devrait alourdir un peu plus le déficit de la balance commerciale (ou des opérations courantes) israélienne qui a atteint le chiffre de 3,8 milliards de dollars en 2008. Néanmoins, la balance des paiements est restée positive en 2008 pour un montant de 1,6 milliards de dollars, malgré une baisse par rapport à 2007 (4,2 milliards de dollars).

Cet excédent est notamment dû aux investissements directs en provenance de l’étranger en 2008 qui ont été d’un montant à peu près égal à 2007, soit 10,5 milliards de dollars. À cela s’est ajoutée une aide de 2,7 milliards de dollars du gouvernement américain.

La bourse de Tel Aviv semble connaître de son côté un regain d’investissements étrangers. Au pic de la crise financière, entre le mois d’octobre et de décembre 2008, 1,8 milliards de dollars de fonds étrangers s’étaient retirés. En janvier 2009 ils ont fait leur réapparition. 476 millions de dollars ont ainsi été investi sur les marchés financiers israéliens.


Voici, les dernières nouvelles d'Israël

Israël est le meilleur ami de la Turquie au Moyen-Orient. C'est ce qu'a affirmé jeudi l'ambassadeur turc en Israël, après une période de relative tension entre les deux pays, suscitée par l'''opération Plomb durci''. Namik Tan a ajouté qu'Ankara souhaiterait voir le Hamas intégré dans le processus de paix.«Nous savons qu'ils (les terroristes du hamas ndlr) ont fait des choses inacceptables, mais nous pensons qu'ils devraient être intégrés dans les pourparlers." 

Une délégation de dignitaires juifs reçue au Vatican a exhorté le pape Benoît XVI à faire en sorte que la Shoah soit enseignée dans les écoles catholiques. Une demande destinée à lutter contre le regain d'antisémitisme chez les générations à venir. 

Le grand rabbin de la ville de Haïfa, Shaar Yashouv Cohen, a été reçu jeudi par le pape Benoît XVI au Vatican. Cette visite, qui était prévue voilà plusieurs semaines, avait été annulée à cause de l'affaire de la levée de l'excommunication de l'évêque Richard Williamson. Le rabbin Cohen a remercié le souverain pontife pour sa condamnation officielle du négationnisme.

Sécheresse : le niveau du lac de Tibériade atteindra sa ''ligne noire'' à la fin de l'été. Le directeur de l'Office de l'eau, Ouri Shani, avertit que les autorités ne pourront éviter de restreindre les quotas d'eau aux agriculteurs et d'assécher les jardins publics pour faire face à la pénurie d'eau qui s'annonce avec un été très chaud en vue en Israël. La ''ligne noire'' est l'extrême limite que les services de l'eau se sont fixés pour stopper le pompage dans le lac (la principale réserve d'eau du pays) à défaut de causer des dommages irréparables à l'écologie et à la nappe phréatique.

Israël : des poursuites judiciaires sont intentées à un policier pour l'agression de 2 jeunes qui manifestaient contre l'évacuation de l'avant-poste de Shvout Ami, en Samarie, il y a un an et demi. Il les avait frappés, et giflés, avant de cogner la tête de l'un d'entre eux contre un container et de donner des coups de pieds aux genous du second, alors que les deux jeunes étaient menottés et à sa merci.  

Noam Shalit n'est pas très optimiste quant à la libération de son fils Guilad, après l'annonce de l'envoi de 2 émissaires israéliens au Caire. Le père du soldat captif du Hamas depuis près de 3 ans considère que l'envoi du chef du Shin Bet et du négociateur Ofer Dekel en Egypte, pour tenter de faire avancer le dossier ''revient à accélérer au point mort''. 

''Dans ce tango, nous craignons toujours de faire un pas en avant puis un en arrière ou encore 2 en  avant et 3 en arrière'', a-t-il ajouté.
 
Dans un appel lancé samedi soir aux habitants de Gaza, Noam et Aviva Shalit, les parents du soldat retenu par le Hamas, ont déclaré que la libération de Guilad était « une chance pour eux d'améliorer la vie de centaines de milliers de Palestiniens ».

Allemagne : l'association des hôteliers de Tel-Aviv, en partenariat avec le ministère du Tourisme et l'association du tourisme de Tel-Aviv, a présenté un nouveau projet au salon du Tourisme de Berlin, visant à attirer des dizaines de milliers de jeunes européens vers la grande ville côtière israélienne. 

Réagissant aux propos du Premier ministre sortant Ehoud Olmert selon lesquels « les Palestiniens n'ont pas eu le courage de signer un accord de paix avec Israël », le porte-parole du président Mahmoud Abbas, Nabil Abou Roudeineh a affirmé que la proposition israélienne « n'était pas acceptable » dans la mesure où elle n'a pas inclus la création d'un Etat palestinien « sur tous les territoires conquis en 1967 ». 
« Israël n'a présenté aucune carte et n'a pas proposé de solution juste et durable », a-t-il ajouté.

Terrorisme : 54% des Palestiniens se prononcent en faveur d'attentats en Israël contre des civils. Seuls 42% des personnes interrogées s'y opposent. C'est ce qui ressort d'un sondage réalisé conjointement par l'institut israélien Trumann et l'institut palestinien PRS. 
Ce sondage révèle encore que 44% des Israéliens estiment que l'usage de la violence a aidé les Palestiniens à atteindre les objectifs politiques qu'ils n'auraient pu atteindre par d'autres moyens.

Le chef d'état major de Tsahal affirme que l'armée israélienne doit se préparer à une éventuelle attaque contre l'Iran. Au cours de sa visite aux Etats-Unis, Gabi Ashkenazi a déclaré à Dennis Ross qu' Israël souhaitait explorer les options diplomatiques pour lutter contre la menace nucléaire iranienne,mais que l'armée israélienne devait toutefois se préparer à une offensive militaire.  

Israël : des familles ayant perdu leurs proches dans des attaques terroristes décident de créer le ''Centre Wiesenthal Israël'', chargé de capturer les centaines de terroristes libérés en échange de Guilad Shalit. Une mission calquée sur celle du centre Wiesenthal, traquant les criminels nazis à travers le monde.  
Shmouel Schijveschuurder a participé notamment à la mise en place de l'organisation, après avoir perdu cinq membres de sa famille dans l'attentat-suicide perpétré en 2001 dans le restaurant Sbarro à Jérusalem.
 
Tractations politiques : les pourparlers entre le Likoud et Kadima ont atteint un point de non retour, en raison de profonds désaccords entre les parties sur la politique étrangère et la question de la rotation du pouvoir, ont affirmé lundi des sources proches des équipes de négociations.
 
Dossier Shalit : le chef de l'aile militaire du Hamas, Ahmed Jabari, participerait aux discussions au Caire. Selon le journal Al Hayyat, le ''chef d'état-major du Hamas'', comme on l'appelle, n'avait pas quitté Gaza depuis très longtemps.
Il est chargé de la captivité de Guilad Shalit dans un lieu tenu secret et de la liste des détenus dont son mouvement exige la libération dans le cadre de l'échange avec Israël.

Sport : tennis, Shahar Peer s'est qualifiée pour les 8e de finale du tournoi d'Indian Wells en s'imposant face à la tête de série numéro 19, la joueuse russe Ana Chakvetadze en deux sets, 6/2, 6/4.

Sources: Guysen News International


Dossier Shalit

Dossier Shalit


Echec des négociations. Le bureau du Premier ministre a déclaré lundi que le Hamas est revenu sur ses accords. L'organisation terroriste a radicalement augmenté ses exigences en dépit des généreuses offres d'Israël, afin d'essouffler les négociations visant à garantir le retour du soldat captif.


Accord entre le Likoud et l'extrême droite pour la composition du gouvernement israélien

 
Benjamin Netanyahu, le 2 mars 2009 à Jérusalem
Benjamin Netanyahu, le 2 mars 2009 à Jérusalem/Gali Tibbon AFP/Archives

NEGOCIATIONS - Le parti de Benjamin Netanyahu a détaillé les portefeuilles qu’il a offerts au parti Israël Beiteinou d' Avigdor Lieberman...

Benjamin Netanyahu pactise avec l'extrême droite. Le Likoud, parti du Premier ministre israélien pressenti, a conclu dans la nuit de dimanche à lundi son premier accord de coalition avec le parti Israël Beiteinou, qui a mené une campagne électorale sur des thèmes anti-arabes.

Aux termes de cet accord, le ministère des Affaires étrangères doit revenir au chef de ce parti
Avigdor Lieberman. Le porte-parole du Likoud a également annoncé que les portefeuilles de la Sécurité intérieure, des Infrastructures, du Tourisme et de l'Intégration (des nouveaux immigrants) reviendraient à Israël Beiteinou.

Discussions secrètes avec Tzipi Livni

Parmi les autres formations, qui devraient également entrer dans la future coalition figurent le Shass (ultra-orthodoxes sépharades), la Liste Unifiée de la Torah (ultra-orthodoxes ashkénazes) ainsi deux autres partis d'extrême droite: l'Union Nationale et le Foyer Juif.

Benjamin Netanyahu espère signer d'autres accords de coalitions avec ces partis dans les prochains jours et présenter son gouvernement jeudi pour obtenir l'investiture du parlement. Il aurait également relancé des discussions secrètes avec sa rivale
Tzipi Livni dans l'optique d'un cabinet élargi, mais les négociations n'ont pas abouti.

J.M. avec agence

Sources: 20 Minutes.fr


 

lundi 16 mars 2009

COMMUNIQUE DE L' ASSOCIATION « Les Amis de Guilad Shalit en Ile de France »


Mesdames et Messieurs,

Voici, pour votre information, l'action que notre association vient de lancer aujourd'hui. Nous espérons que vous signerez cette pétition ! Nous l'avons adressé ce jour, au Président de la République française: Monsieur Nicolas Sarkozy. Cette pétition sera dans les jours qui suivent, envoyées à un grand nombre de Maires d'Ile de France ainsi qu'à certains responsables d'associations, à tous les Présidents des Conseils Généraux , au Président du Conseil Régional ainsi qu'à d'autres grands élus de notre région...

Recevez, Mesdames et Messieurs, nos sincères salutations distinguées et les plus dévouées,

Jean-Pierre Renard(Président) Patricia Benisti(Vice Présidente) Yvette Berrebi(Secrétaire Générale)


ASSOCIATION « Les Amis de Guilad Shalit en Ile de France »
8 Square du Docteur Courcoux
93260 Les Lilas

Lettre pétition pour la libération de notre compatriote : Guilad Shalit retenu en otage depuis 984 jours par les terroristes du Hamas.

Monsieur Nicolas Sarkozy,

Monsieur le Président de la République,

Depuis près de trois ans,notre, votre compatriote est retenu en otage par les terroristes du Hamas.

Depuis, qu’il est retenu en otage, Guilad n’a eu droit à aucune visite ! Même pas celle de la Croix-Rouge !


Au nom du peuple français, nous vous demandons d’accélérer vos démarches pour sa libération. Pour respecter votre promesse faite au peuple français, le 14 Juillet 2008 ! Avant qu’il ne soit trop tard ! Il doit revenir sain et sauf !


Nous souhaiterions que vous fassiez lire la lettre d’Aviva Shalit (la mère de notre, de votre compatriote), dans les écoles françaises.


Comme ce fut le cas pour la lettre de Guy Moquet !

Par avance, ses parents, sa famille, ses amis, et tous ceux que son sort a émus, vous en expriment leur profonde et respectueuse reconnaissance.


Envoyez un mail à [email protected]

Ou imprimez cette lettre et envoyez là à : Madame Yvette Berrebi 8 Square du Dr Courcoux 93260 Les Lilas

avec votre Nom, Prénom et votre adresse signer la pétition