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05 février 2009
05 février 2009
05 février 2009
Coupe de la Ligue : PSG / Bordeaux : Dure soirée...
Landreau : « Une envie terrible ! »
Extrait - jeudi 05 février 2009 à 11:35
Mickaël Landreau (Gardien de but du PSG)
LP
Landreau : « Une envie terrible ! »
Extrait - jeudi 05 février 2009 à 11:35
Mickaël Landreau (Gardien de but du PSG)
LP
Les parisiens, combattifs mais peu en réussite, ont subi l'impitoyable loi bordelaise et délaisse leur titre aux portes de la finale au terme d'une soirée cauchemardesque...
PARIS SAINT-GERMAIN 0–3 GIRONDINS DE BORDEAUX
½ finale de la Coupe de la Ligue
Buts : Bellion (15ème), Diawara (88ème) et Wendel (92ème) pour Bordeaux.
Mercredi 4 février 2009 à 20h45 (France 3 )
Les compositions :
PSG : Landreau - Ceara, Camara, Sakho, Armand - Sessegnon, Clément, Chantôme, Rothen - Kezman, Hoarau.
Banc : Edel, Bourillon, S. Traoré, Mabiala, Giuly, Pancrate, Luyindula.
Entraîneur : Paul Le Guen.
Bordeaux : Valverde - Jurietti, Planus, Diawara, Placente - Gourcuff, Fernando, Diarra, Gouffran - Chamakh, Bellion (46ème Jussiê).
Banc : Ramé, Henrique, Chalmé, Wendel, A. Traoré, Cavenaghi.
Entraîneur : Laurent Blanc.
Les chiffres
PSG : 7 tirs, dont 5 cadrés. 1 hors-jeu. 8 corners. fautes. 2 cartons jaune (Sessegnon 52', Rothen 84').
Bordeaux : 7 tirs, dont 4 cadrés. 0 hors-jeu. 3 corners. fautes. 2 cartons (Fernando 42', Diawara 71').
Le fil du match
1e : Ca commence très fort avec ce déboulé d'Armand suivi d'un centre fort détourné par Valverde.
2e : Sur un coup franc, Rothen trouve Hoarau de la tête mais Valverde capte.
3e : Sur une frappe contrée, Bellion se retrouve en bonne position mais sa frappe s'envole. Pas de round d'observation entre les 2 équipes.
12e : Bon mouvement de Chantôme qui passe à Hoarau. Le réunionnais feinte pour Sessegnon qui déclenche une frappe trop croisée et écrasée à l'entrée de la surface.
16e : BUT POUR BORDEAUX! Le couperêt tombe soudainement! Jurietti, sur son couloir, adresse un centre parfait pour Bellion, à l'affût entre Sakho et Camara. L'ancien Niçois place une tête piquée imparable.
29e : Raté de Kezman! Lancé en profondeur, le Serbe se présente en duel mais le retour de la patrouille l'oblige à frapper à distance. Valverde sort vainqueur.
38e : Joli ballet aérien dans la surface parisienne avec ce coup franc de Gourcuff. Le stratège trouve Diawara qui place un coup de tête quasi décisif pour Fernando. Landreau s'interpose.
41e : Bonne combinaison de Chantôme pour Kezman dans la surface. Légèrement excentré, l'attaquant parisien frappe en force mais sa frappe est contrée.
45e : Paris pousse! Sur un ballon de Rothen, Alou Diarra touche le ballon de la main, le bras écarté. Saïd Enjimi ne bronche pas, alors que cette main méritait peut-être penalty...
45+2e : MI-TEMPS sifflé par M. Enjimi sur un dernier cafouillage dans la surface. Après avoir ouvert la marque, les Girondins ont gérer leur avance en contenant les offensives parisiennes et en cassant le rythme aux moments opportuns. Pour Paris, il y a de la place : reste à trouver la faille.
61e : Depuis le retour des vestiaires, Paris impose son rythme mais Bordeaux gère toujours autant. En atteste cette balle en profondeur de Rothen pour Kezman dont Valverde se saisit. L'attaquant parisien manque clairement de vitesse.
63e : Quelle occasion et quel raté de Kezman! Sur un centre, Ceara trouve Hoarau qui déploit ses 192 cm pour trouver Kezman en retrait. Seul face aux cages, le serbe veut d'abord contrôler avant de frapper, mais il marche sur la balle et ne peut que frapper mollement. Cette fois, le Parc gronde...
64e : Image importante du remplacement de Kezman par Pancrate. Excédé par l'ensemble de son oeuvre et par les sifflets du Parc, Kezman sort du terrain fou de rage, enlevant son maillot et le jettant au sol avant de courir se réfugier dans les vestiaires. Sammy Traoré, consterné, s'en va ramasser la tunique bleue et rouge laissée sur le terrain...
66e : M. Enjimi, 2nd acte! Cette fois, c'est à Jurietti qu'il refuse un penalty évident sur un tacle sévère de Clément.
80e : Paris se jette à corps perdus à l'abordage, mais l'arrière garde marine veille. Ni Giuly, ni Luyindula n'arrivent à tromper la vigilance de Diawara et Planus, tous 2 intraitables.
88e : BUT POUR BORDEAUX! Ce qui devait arriver se produit avec un contre assassin. Sur un corner parisien, Bordeaux récupère la balle et Jussiê remonte le terrain avant d'adresser un centre parfait pour Souleymane Diawara. Le défenseur, sans contrôle, lobe parfaitement Landreau, venu à son encontre.
89e : Comme un symbole, la grosse frappe de Sessegnon est repoussée par Valverde. A l'affût, Luyindula tente de forcer le destin mais Valverde sort une double parade d'exception.
90+2e : BUT POUR BORDEAUX! Cette fois, la messe est dite avec cette ouverture en profondeur de Fernando pour le frais Wendel. Le brésilien se présente face à Landreau et le bat en un contre un. Bordeaux exulte, Paris est KO debout.
90+3e : FIN DU MATCH et terrible désillusion parisienne. Paris n'a pas su trouver la faille et Bordeaux a exploité à merveilles ses 3 tentatives. Au final, le score semble bien déséquilibré au vu du contenu du match.
Résumé : La leçon de réalisme
Pour résumer cette soirée, un mot semble parfait : dur. Oui, très dur. Dur de voir le score final au vu de la physionomie de la rencontre. Dur de voir Kezman saborder sa carrière parisienne. Dur d'imaginer ce qui se serait passé si ce dernier n'avait pas failli. Dur d'avoir conscience qu'entre cette 2ème déculottée de rang et une prolongation de feu, il n'y avait qu'un pas. Un pas qui porte le nom de réalisme.
Honneur aux vainqueurs bordelais. Bordeaux, une équipe qui a su trouver en Laurent Blanc le coach qui lui fallait pour tutoyer les sommets. A Chaban-Delmas, les Girondins avaient donné une leçon de football aux parisiens. Ce soir, c'est une leçon de réalisme qu'a pris Paris. Les hommes de Paul Le Guen avait pourtant bien entamé la rencontre jusqu'à cette 16ème minute et ce centre parfait de Jurietti pour la tête du vif Bellion qui, surgissant entre Sakho et Camara, se montra plus prompt que Landreau. 0-1, la leçon débute alors : de ce moment jusqu'aux derniers instants de la partie, Bordeaux n'a plus mis en danger le PSG. Au contraire, c'est Paris qui a tenté par tous les moyens de revenir au score.
Mais rien n'y fit. A chaque incursion, la dernière passe était détournée, l'attaquant repris, le parisien maladroit. Bordeaux, sûr de sa force, fit le dos rond. C'est ainsi que les occasions se succédèrent jusqu'à cette maudite 63ème minute. Sur une longue ouverture dans la surface, Hoarau remettait en retrait pour Kezman, seul face au gardien. Le serbe se montra alors pataud et marcha sur le ballon, laissant filer une occasion en or et déversant sur lui des flots de sifflets. Incompréhensible quand on connait le passé du joueur... Quelques instant après, Le Guen le sortit du terrain. Dépité, Kezman balança son maillot au sol sous une terrible bronca avant de filer aux vestiaires. Qui a dit "dure soirée"?
La leçon reprit alors. Les entrées de Luyindula, Pancrate et Giuly ne changèrent pas la donne; les offensives parisiennes restèrent stériles et frustrèrent les âmes du Parc. Celles-ci se glacèrent quand, sur un contre admirable, Souleymane Diawara venait lober Landreau. 0-2. Baissé de rideau? Non. Pour que la leçon soit bien retenue, Wendel en rajoutait une couche dans les arrêts de jeu. Cette fois, le calice est bu jusqu'à la lie, et Bordeaux, en plus de s'envoyer en finale, renvoie Paris à ses études.
Le PSG abandonne ainsi sa couronne. Il y avait peut-être la place d'arracher les prolongations et honnêtement, vu la pression parisienne constante, ça n'aurait pas été immérité. Mais le réalisme était bordelais, la maîtrise aussi. Le score lourd rajoute de la peine dans le camp parisien, qui va devoir non seulement repartir de l'avant, réfléchir à ce qui n'allait pas ce soir, et également gérer la transition Bazin et le pétage de plombs en direct de Mateja Kezman... Une dure soirée, quoi...
Hopkins974
PSG : Kezman va être sanctionné!

Le geste de Mateja Kezman n'a pas totalement occulté l'élimination du Paris-SG en demi-finale de la Coupe de la Ligue, mais il a monopolisé une bonne partie de l'attention des médias après la défaite concédée contre Bordeaux (0-3), mercredi. L'incident s'est produit à la 64e minute de jeu. Alors qu'il venait de manquer l'immanquable, l'attaquant serbe a jeté son maillot au sol, avant de céder sa place à Fabrice Pancrate et rentrer directement au vestiaire sous les sifflets du public. Le tout sans même un regard vers son banc de touche. Même s'il a depuis présenté ses excuses (forcées), Kezman ne pourra pas échapper à une sanction du club. Il a été convoqué par sa direction pour
une mise au point avant le déplacement à Nantes, samedi.
«J'ai vu son geste et je trouve que c'est un manque de respect par rapport au club, a expliqué un Paul Le Guen visiblement embarrassé. Je suis un membre du club donc je le prends aussi pour un manque de respect envers moi. J'ai toujours été guidé par l'envie d'accompagner mes joueurs, même quand ils ne jouent pas. Mais puisqu'il y a manque de respect, il y aura sanction. C'est une situation que je n'ai jamais connue, je vais aviser. J'ai besoin de parler, de l'entendre, de savoir ce qu'il va dire. Le club va certainement s'exprimer par rapport à un geste qui est inacceptable. Mais ce n'est pas à moi de le faire». «L'institution et le club sont au-dessus de tout», a ajouté le technicien.
Kezman s'excuse et reçoit le soutien de Chamakh
Lorsqu'il s'est à son tour présenté en salle de presse, l'ancien attaquant du PSV avait déjà eu le temps d'évoquer son geste avec Paul Le Guen et Sébastien Bazin. Il a d'abord tenu à «présenter ses excuses aux supporters, au coach et à (ses) équipiers», avant d'essayer de justifier son attitude. «Mon geste peut paraître étrange, mais j'ai un fort caractère, a-t-il expliqué. Je vis sans doute l'un des moments les plus difficiles de ma carrière, mais ce geste n'était pas dirigé contre le club, les supporters ou qui que ce soit. J'étais surtout en colère contre moi-même. Je comprends que ça sera difficile à faire accepter, mais je continuerai à faire du mieux possible. Je suis venu ici avec beaucoup d'ambitions, avec un statut de grand joueur et je suis très triste que les gens n'aient pu voir que 10% de Mateja Kezman depuis mon arrivée. Je suis persuadé que je peux toujours m'imposer dans ce club».
Depuis son arrivée cet été, Mateja Kezman n'est jamais parvenu à trouver ses marques au sein de l'effectif parisien. Choisi par Charles Villeneuve alors que Le Guen aurait préféré voir débarquer Jimmy Briand, il a vu sa place dans la hiérarchie des attaquants rétrogradée progressivement. Il avait jusqu'à présent fait preuve de bonne volonté, acceptant notamment d'évoluer avec la réserve parisienne, mais il est peu probable que le public parisien lui pardonne facilement son comportement. En attendant de connaître sa sanction, le buteur a trouvé un soutien en la personne de Marouane Chamakh. «C'est vrai que le public parisien a été un peu dur avec lui. (...) Il a eu une réaction humaine, à chaud. Ce sont des incidents qui arrivent souvent, a confié l'attaquant bordelais. Il a eu une réaction un peu déplacée, mais j'espère que ça va s'arranger pour lui et pour le club». Pour son premier match officiel aux commandes du PSG, Sébastien Bazin n'avait pas besoin de ça. - Emery TAISNE, au Parc des Princes
Sources: ALL PSG; site officiel du PSG et L'Equipe.fr
Mateja Kezman : « Je reprends confiance »
jeudi 29 janvier 2009
Cette semaine, Mateja Kezman a répondu aux questions du site officiel parisien. Interrogé sur son état de forme, il fait part de son enthousiasme : « La victoire de dimanche m’a redonné confiance en moi. Après la fin des vacances de Noël, je suis revenu très motivé. J’ai travaillé dur à l’entraînement et j’ai participé à un match amical avec les jeunes pour garder le rythme. Ce week-end, j’ai eu l’opportunité de jouer en coupe à Ajaccio et j’en ai profité en marquant deux buts. Je me sens donc très bien cette semaine. Je reprends confiance et je me prépare pour la réception de Caen, samedi. »
L’ancien joueur de Chelsea a également confirmé son intention de s’imposer au PSG, qu’il dit ne jamais avoir envisagé de quitter : « Depuis que je suis arrivé, j’ai été bien accueilli et je sens que les supporters me soutiennent. Ils savent que la situation n’est pas évidente pour moi. Je n’ai pas réalisé le début de saison qu’ils espéraient, mais il n’est jamais trop tard. Il reste quatre mois avant la fin de la saison et je crois que je peux encore exploser. J’ai envie de leur donner du plaisir. Ils doivent savoir que je n’ai jamais songé à quitter le club, même dans les moments difficiles. Je profite de chaque jour ici, car je le répète, c’était un rêve d’évoluer à Paris. Chaque but que j’ai marqué avec ce maillot m’a rendu fier. C’est pourquoi je reste combatif et je suis persuadé que je finirai par m’imposer. »
Enfin le Serbe évoque son intégration dans le groupe parisien : « Je comprends bien le français, mais c’est encore un peu difficile de parler. Depuis six mois, tout le monde m’aide beaucoup dans le vestiaire et je progresse jour après jour. Je pense que je me débrouillerai bientôt en français. »
(photo Yannick Vandenabeele)
04 février 2009
04 février 2009
04 février 2009
UMP : premier choc Pécresse-Karoutchi | |
J'y étais ! | |
« C’EST un véritable combat politique qu’il va falloir mener ! Nous devrons placer le meilleur à la tête des troupes et faire de ces primaires un véritable training, car Jean-Paul Huchon est un gentil polochon, mais il sait aussi être très dur ! » Visiblement, hier après-midi, Éric Raoult mourait déjà d’envie de grimper sur le ring. Le maire UMP du Raincy, en Seine-Saint-Denis, ne pouvait cacher son impatience à quelques heures du premier débat qui devait se tenir dans sa commune entre Valérie Pécresse et Roger Karoutchi, tous deux candidats à la tête de liste aux régionales en Ile-de-France. Quelque cinq cents militants UMP étaient attendus hier soir au centre culturel Thierry-Le Luron. La soirée ne s’annonçait pas pour autant sous le signe de la détente, chaque temps de parole étant minuté, sans confrontation, ce qu’a regretté à l’avance le secrétaire d’État aux Relations avec le Parlement. S’il a accepté les règles des huit débats qui vont se dérouler jusqu’en mars dans les départements d’Ile-de-France - établies entre lui et la ministre de l’Enseignement supérieur et arbitrées par Christian Estrosi - Roger Karoutchi a fait savoir que « l’interactivité de ces soirées », les « échanges » libres entre les militants et les candidats auraient été « un gage de réussite ». Une façon d’anticiper les critiques à venir. Dans l’entourage de Valérie Pécresse, « on s’étonne » de cette « s ortie » alors qu’il a « accepté les règles ». On insiste aussi sur le fait que « tout le monde a intérêt à ce que la soirée se passe bien ». L’ancien ministre et député maire de Nice, Christian Estrosi, chargé par l’UMP de veiller à la bonne organisation de ces primaires n’a pas caché son agacement. « Il a validé la règle, a estimé l’arbitre, elle devra être respectée. » Estrosi se dit très soucieux de la bonne tenue de ces primaires qui, pour l’instant, ont été émaillées de tensions entre les candidats. « Ce doit être une compétition et non un combat », a-t-il précisé, souhaitant, hier soir, indiquer aux militants que « l’image de l’UMP doit sortir grandie de ces primaires comparée à ce qui s’est passé chez les socialistes... » Il acceptera, mais sans excès, que les militants manifestent leur soutien à tel ou tel projet défendu par l’un ou l’autre des candidats lors de leurs interventions. Hier soir, six questions identiques - du transport à la sécurité en passant par l’environnement - devaient être successivement posées aux candidats. Temps de réponse autorisé : cinq minutes. Un exercice difficile à gérer. « Rester zen » Avant même le débat, Éric Raoult lui-même ne voyait pas comment il pourrait camoufler son soutien officiel apporté à Roger Karoutchi comme porte-parole de campagne. « Je ne vais pas provoquer de couac , a-t-il prévenu, mais je vais sans doute laisser fortement sentir qu’il me semble être le meilleur candidat pour vaincre la gauche en 2010. » L’entourage de Valérie Pécresse rappelait encore, hier, l’importance « de rester zen, quelles que soient les circonstances ». Un sondage, publié sur le site de campagne de la ministre, les conforte dans cette attitude de confiance. Cette étude de l’institut Ifop, réalisée par Internet, confirme la sérieuse avance de Pécresse en terme de « notoriété » et de « bonne opinion ». Mais les partisans de l’élu des Hauts-de-Seine indiquent que le sondage a été réalisé début janvier, avant donc que Karoutchi ne révèle publiquement son homosexualité. Un autre sondage, publié cette semaine par VSD, indique d’ailleurs que 77 % des Français jugent cet aveux « courageux ». Mais 48 % des sondés (contre 40 %) estiment aussi que c’est « opportuniste » et 47 % (contre 40 %) pensent que « cela peut nuire à une carrière politique ».
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04 février 2009
Jean-Pierre Renard; Claude Barouch (le Président de l'UPJF) et Rachid Kacid, lors des traditionnels voeux de l'UPJF à la Mairie du XVIème arrondissement de Paris.