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Le Paris Saint Germain vise désormais le Titre de Champion de France ! Aprés, sa magnifique victoire, lors de la 23ème journée du championnat de France à Nantes(Jérôme Alonzo): (4 à 1) (2 buts de Giuly; 1 de Luyindula et 1 de Sessegnon) !!! Au général, nous sommes désormais 3ème à égalité de points du second: Bordeaux et à seulement 4 points du Leader: Lyon !!!...Voici, quelques photos du match:

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Photos: site officiel du PSG


Après l'intervention du Président de la République d'hier, le CNI réagit.

 

Paris le 6 février 2009  

COMMUNIQUE DE PRESSE


Face à la crise, le Gouvernement ne doit pas s’arrêter au politiquement correct

 

Dans le bateau France, fortement malmené par la crise, Nicolas Sarkozy nous est apparu hier soir sous les traits d'un capitaine soucieux mais déterminé. En cette période grave, il est de notre devoir de soutenir son action lorsqu'elle nous semble aller dans le bon sens tout en étant vigilant. 


Si le CNI est favorable à la réorientation de la relance avec la mise en place de ce qui est désormais un plan qui vient compléter celui de l’investissement, il juge qu’il faut aller plus loin.

« En présentant la règle des trois tiers pour la répartition des bénéfices (un tiers pour les actionnaires, un tiers pour les salariés, un tiers pour l’investissement, le Chef de l’Etat oublie-t-il volontairement le quatrième tiers que représente l’Etat et sa ponction par l’impôt (l’impôt sur les sociétés 33%) », déclare Annick du Roscoät, Présidente du CNI.

«  Nous  proposons  la règle plus logique des quatre quarts et de ramener l’IS à 25% pour reconstituer les fonds propres des entreprises non par l’assistance mais par les résultats » précise-t-elle.

 « Par ailleurs, j’ai regretté que Nicolas SARKOZY oublie les nécessaires restructurations des dépenses ubuesques de l’Etat. Pour ne citer qu’un exemple : est-il normal de considérer comme définitivement acquis des accords passés en temps de « vaches grasses » qui consistent à payer des prestations sociales, à la famille restée au pays, d’un étranger en situation régulière ? Notre pays doit faire des économies nécessaires sans se laisser arrêter par le politiquement correct.


Nous ne manquerons pas en tant qu'Indépendants de dénoncer des disfonctionnements préjudiciables à la relève de

la France

et au bien être de nos concitoyens mais aussi de faire des propositions contenues dans notre projet politique qui pourraient être mises en application pour le bien commun », conclut-elle.

par politique

Jeudi 5 février 2009

Lettre d'information du CNI  

Si vous souhaitez être destinataire de

la Lettre

d’information du CNI, il vous suffit de saisir votre adresse-mail dans la zone prévue sur le site du CNI - www.cni.asso.fr (« Lettre d’information » en bas de la page à gauche) et de cliquer sur « S’abonner ».  

Merci de votre implication en la diffusant à toutes personnes susceptibles d’être intéressées par notre mouvement.  

Bien cordialement.

Le CNI

par politique
 

Jeudi 5 février 2009

Projet de loi sur la désobéissance civile.

Christian Vanneste est intervienu hier au soir  soir sur RFI, à 19h15, sur le thème de la  désobéissance civile. Il faut se souvenir que Christian Vanneste avait déposé, en 2003,  une proposition de loi  visant à renforcer les sanctions pénales contre l’incitation à la désobéissance civile.

Une question d'activité, quand des partis poitiques demandent à leurs élus, comme le par exemple le PS et les partis de gauches qui demandent aux maires de gauche de ne pas respecter la loi sur la fermeture des écoles lors des grèves, ou les syndicats qui ne respectent pas les préavis de grèves, etc...

“Dans une république, dans une démocratie, la légitimité et la légalité sont indissociables. La loi, expression de la volonté populaire est l’expression d’un peuple souverain. Ce souverain n’est pas absolu puisqu’il doit se conformer à des principes constitutionnels sous le contrôle du Conseil Constitutionnel.

La double légitimité de la loi, fondée sur la souveraineté populaire et sur le droit naturel, ce que l’on appelle aujourd’hui les Droits de l’Homme tels qu’ils sont énoncés dans le préambule de notre Constitution, assure le caractère incontestable du droit écrit.

C’est la raison pour laquelle il est particulièrement grave de s’opposer à l’application de la loi dans un cadre républicain démocratique. Au plan des faits, de façon paradoxale, les régimes tyranniques qui n’ont pas de véritable légitimité répriment durement ceux qui s’opposent à leur arbitraire alors que les régimes républicains et démocratiques font parfois preuve de tolérance voire de laxisme.

Au plan des principes alors que les tyrannies n’ont évidement aucun droit qui légitime leur violence, les régimes républicains et démocratiques ont au contraire le droit absolu de réprimer ceux qui s’opposent à l’application de la loi au nom de je ne sais quelle idéologie subjective qui s’autoproclame vérité absolue alors qu’elle n’exprime qu’une opinion aux tendances totalitaires évidentes.

Le droit a le droit d’être fort. Les régimes républicains et démocratiques ont ce droit qu’ils n’appliquent pas toujours, que

la France

en particulier n’applique que très insuffisamment au risque de laisser le doute envahir les esprits sur la légitimité des lois, et de ceux qui les votent.

Contrairement aux arguments de ses auteurs, la désobéissance civile n’est pas une action citoyenne et réfléchie. Elle peut même s’avérer dangereuse pour son auteur ou ses complices quant elle engendre la mise en danger d’une vie, la destruction du bien public ou du bien d’autrui.

La désobéissance civile à l’encontre de la loi républicaine et démocratique doit donc être poursuivie et condamnée avec sévérité.

Lorsqu’elle est le fait de détenteurs d’une partie de l’autorité légale, elle doit être punie avec la plus grande fermeté. Lorsqu’elle est le fait d’élus de

la République

, elle doit conduire à la déchéance de leurs mandats.

Les élus incitant à la désobéissance civile et à la destruction de biens ne doivent pas pouvoir être inscrits sur la liste électorale pendant un délai de cinq ans à compter de la date à laquelle la condamnation est devenue définitive.”


CNI    

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Plan de relance : mais où est donc passée l’Europe ?


Le plan de relance présenté par le Premier Ministre François FILLON tient du cautère sur une jambe de bois. Patrick DEVEDJIAN, le nouveau Ministre chargé de la mise en œuvre du plan de relance, voudrait nettoyer les écuries d’Augias. Mais la boîte à outils, préparée par ses services pour notre nouvel Hercule  n’est pas à la hauteur de la situation. On nous propose une pelle et une balayette là où il faudrait un puissant Bulldozer. 1000 projets saupoudrés sur la France. Des projets sortis des cartons opportunément pour faire dans l’urgence. Le CNI déplore l’amateurisme auquel vient de se livrer l’ancien Secrétaire Général de l’UMP en sortant de son chapeau un plan qui n’a rien de miraculeux mais qui ressemble à s’y méprendre à un tour d’illusionniste.  

« Cette opération menée tambour battant, sans diagnostique, sans concertation et surtout sans ambition, risque de créer bien des déceptions. Notre pays est au bord du gouffre. La panne de croissance et la récession à laquelle nous sommes confrontés sont sans précédent dans notre histoire et au-delà dans celle de l’ensemble des pays européen. C’est pourquoi seule une réponse concertée de l’Europe pourrait faire face à une telle situation », déclare Annick du Roscoät, Présidente du CNI.


« Je m’étonne qu’après avoir tenu un rôle de premier plan lorsqu’il était Président du Conseil de l’Europe, Nicolas SARKOZY n’ait pas défendu, pour répondre à la dimension de la crise, la mise ne place d’un plan Marshall européen », ajoute-t-elle.
  

« Au cours de la campagne pour les élections européennes du 7 juin prochain, les listes du CNI  feront, notamment sur le plan économique, des propositions constructives et pragmatiques  qui prendront en compte  les grands investissements européens, tout en se préoccupant  essentiellement  pour la France de la sauvegarde des PME fortement menacées par les faillites, donc en répercussion du chômage qu’elles induisent », promet-elle.


TOU
BISHVAT

Source : le site de la Fraternité Judéo-Noire de France
en ligne le 6 février

Juste rappel des fêtes :
Tou BiShvat

Par Guershon Nduwa


Tou bi Shvat : le lundi 9 février.

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Vayikra XIX, 23-25

« Quand vous serez entrés dans le pays, et que vous y aurez planté toutes sortes d’arbres fruitiers, vous en regarderez les fruits comme incirconcis ; pendant trois ans, ils seront pour vous incirconcis ; on n’en mangera point. La quatrième année, tous leurs fruits seront consacrés à l’Eternel au milieu des réjouissances. La cinquième année, vous en mangerez les fruits, et vous continuerez à les récolter. Je suis l’Eternel, votre D.ieu. »
Mishna Rosh Hashana I, 1 :
« Il y a quatre dates de nouvel an. Le 1er Nissan, c’est le nouvel an des rois et des fêtes de pélerinage. Le 1er Eloul, le nouvel an pour la dîme du bétail[...]. Le 1er Tishri , le nouvel an pour les années, la shmita et le jubilée, pour les récoltes et les légumes.[...] Le 15 Shvat, le nouvel an des arbres. »

Le 15 du mois de Shvat (Tou bi Shvat ) est le nouvel an des arbres fruitiers .
Cette date correspond à la fin de la saison pluvieuse en Israël.
Les arbres ont leur Nouvel An, car la Torah prescrit de compter leurs années pour n’en consommer les fruits qu’après la quatrième. Cette loi ne s’applique qu’aux fruits produits en Israël. L’âge des arbres se compte à partir du moment où ils s’implantent en terre (la graine pousse, la greffe s’accroche, etc.). L’arbre doit d’abord passer trois Rosh Hashana, puis ce n’est qu’au Tou bi Shvat suivant que ses fruits pourront être consacrés aux Cohanim (prêtres). Enfin, encore un an plus tard, lors du Tou bi Shvat suivant, le peuple peut en consommer les fruits à son tour.

Cette fête ne s’accompagne pas d’obligation particulière. Ce n’est pas un jour chômé. L’usage de Tou bi Shvat est de consommer des repas de fruits, en commençant par les sept par lesquels la Terre d’Israël est évoquée dans la Torah. Il est préférable de les goûter en respectant l’ordre suivant instauré par les Sages :
le blé (on mange une pâtisserie à la farine de blé, ou du pain) l’orge (une pâtisserie ou une boisson à l’orge) l’olive la datte le raisin la figue la grenade On a aussi l’habitude de faire planter un arbre aux jeunes enfants. Cependant naturellement, on ne plante pas d’arbre le Shabbat. On ne plante pas non plus d’arbre en Israël, pendant une année de shmita.