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De qui vous moquez-vous Monsieur le Sénateur ? Vous qui m'avez poussé à la dépression ! Vous qui m'avez menacé de me poursuivre en justice, pour avoir osé dire et écrit une certaine vérité ! Vous qui m'avez envoyé au chômage (moi, qui ai fait le maximum pendant 20 mois, dans les deux missions professionnelles que vous m'aviez confiez à vôtre Mairie de Neuilly-Plaisance ! Malgré les dires de certains !), parce que j'étais redevenu ami avec Eric et Corinne Raoult (que j'ai trahi pour l'Amour d'une femme et non pour obtenir une place ou des hônneurs !) (et parce que je me suis défendu contre deux de vos prôches collaborateurs, dont l'un m' a frappé et qui m'ont tous les deux, trés gravement diffâmés ! Dont les noms et les prénoms ne figurent à aucun endroit dans ce billet d'humeur et de coeur !) ! Vous avez en fait deux visages: un gentil, pacificateur et "amis" de tous les membres de l'UMP 93 et un autre ou vous êtes prêt à détruire sur tous les plans, les gens comme moi, qui ne vous servent plus à rien et dont les combats ou les causes ne sont pas les vôtres ! Et là, Monsieur Christian Demuynck, ce n'est pas de la diffamation, mais un fait qui m'a presque détruit ! Et, je ne suis pas le premier ! Et malheureusement pas le dernier ! Je vais tous vous prouver en 2009, qu'il faudra encore compter sur ma présence ! Tant au niveau politique, ou je souhaite travailler avec toutes les composantes de l'UMP dans ma ville de Pierrefitte (Monsieur Couvreur; Madame Couvreur; le Docteur Alex Bazeli; Christian Gambier; Danny Gambier; Michel Swiatek; Serge Gassiot; Patrick Saunier ainsi qu'avec tous les autres Membres et sympathisants ! ) Mais aussi avec d'autres forces vivent de nôtre antre de Pierrefitte ! Puis, au niveau de mon association de Loi 1901:"Les Amis de Guilad Shalit en Ile de France". Puis, au niveau professionnel, ou j'espère, soit revenir auprès de mon père spirituel en politique (que je n'aurais jamais dû quitter !): Eric Raoult ou ailleurs...

Jean-Pierre Renard

Jp.renard@hotmail.fr_001



La lettre de fellicitations du Président de l'UMP 93: Monsieur Eric Raoult (qui est actuellement malade, je lui souhaite du fond du coeur, un prompt rétablissement à lui qui est mon seul et unique père spirituel vivant sur le plan politique !), suite à ma réélection comme Membre du Comité départemental de l'UMP 93

Jp.renard@hotmail.fr  


De nouvelles tombent ont été profanées ! Elles sont musulmanes ! Certaines juives. Elles sont avant tout celles de soldats morts pour la France. Des hommes morts dans des combats au corps à corps, percés à la baïonnette, sous les obus, morts dans des souffrances inimaginables. Quelles furent leurs dernières pensées à l’heure fatidique, leur dernière vision, leur espoir et surtout leur peur ?

Ces hommes ont mérité d’être respectés !

Des hommes morts dans la force de l’âge ne méritent certainement pas pas cette profanation !

Et pourquoi d’ailleurs ? Parce qu’ils sont musulmans ? Parce qu'ils sont juifs? Pitoyables arguments, minables prétextes!
N’est-il donc pas possible pour ces esprits embrouillés d’honorer les morts !

S’ils avaient une once d’honneur, ils devraient aujourd’hui avoir honte de ce qu’ils ont commis ! Ces tombes profanées sont celles de héros français!

Dans toutes les civilisations dignes de ce nom les morts sont toujours respectés.

La France fût une grande Nation guerrière.

Durant sa longue histoire, elle eut de nombreux morts venant de tous ses territoires aux cultures et aux croyances différentes.

Ces hommes, venues de loin et morts sur les fronts de France et d’ailleurs, méritent d’être honorés comme des français. Tout simplement parce qu’ils sont français par le sang. Celui qui a abreuvé les sillons de nos champs de batailles !

Le respect est le minimum que doivent les descendants de notre Nation à ces hommes.

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Gérard Brazon


Comme d'habitude la presse courageuse se livre à un jeu bien curieux envers notre Ministre de la justice!
Madame Rachida Dati semble ne plus avoir les faveurs d'une certaine presse qui l'encensait il y a encore peu.
Certains se pose LA question primordiale: A-t'elle encore les faveurs de la Présidence? Comme celle-ci ne dit mot, les dents s'aiguisent et déjà les chiens (comme disait feu François Mitterrand) sont prêts à mordre.
On l'a dit ambitieuse, téméraire, autoritaire et que sais-je encore! Mais que serait-elle et où serait-elle si elle n'avait pas ses "défauts" ou ses "qualités" suivant le moment et le lieu. Avons-nous besoin d'une personne qui ne serait pas ambitieuse ni téméraire ni autoritaire à ce poste?
Le personnel judiciaire se plaint ! Les magistrats ne l'aiment pas! 
Mais est-ce tous les magistrats? ce n'est pas sûr!
Mais certains magistrats n'aiment pas être bousculés. Y compris quand ils se trompent dans leur jugement.
Alors Madame Rachida Dati qui est l'exemple d'une réussite de l'ambition et de la mixité doit-elle disparaître pour les médias?
Cette femme qui est l'exemple que l'on peut devenir Ministre en France en étant femme, issues des banlieues et de parents d'immigrés.
Nicolas Sarkozy est bien le seul Président à avoir donné cette chance. Pour ma part, je suis ravis d'avoir  une femme indépendante d'esprit, directe, franche du collier et libre de ses pensées. Que cela ne plaise pas à tout le monde et particulièrement à des machos, il fallait s'y attendre! J'espère simplement que le Président de la République saura mettre fin à ces petits jeux malsains d'une presse en mal de biche à achever. D'ailleurs, il se profile à l'horizon, une autre figure de la femme encensée par la presse hier et en difficultée aujourd'hui: Madame Rama Yade.
Mais pour d'autres raisons, celle-ci devra dans les jours à venir, subir le même sort des médias.
La presse a toujours les griffes et les dents aiguisées pour l'hallali quand elle sent que le seigneur du moment les autorise en ne disant rien!
Espérons que le Président retrouve la parole.

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Gérard Brazon


Sainte Odile

Au temps du roi mérovingien Childeric II, Aldaric ou Etichon, troisième duc d'Alsace, tient sous son emprise toute la vallée du Rhin, de Strasbourg à Bâle. Si Aldaric est chrétien, il n'en demeure pas moins barbare dans ses attitudes et ses colères font plus souvent parler son épée que son coeur.

Princesse reniée

En 660, alors qu'il attendait avec impatience la naissance de son fils premier-né, lui naquit une petite fille aveugle. Devant les pleurs de sa femme, Béreswinde, il renonça à faire tuer cette "punition divine" à condition que le bébé disparut aussitôt. Odile fut emmenée à Scherwiller, à une trentaine de kilomètres d'Obernai. Bientôt Odile ne fut plus en sécurité chez la nourrice et, à un an, dut reprendre la route pour Palma (actuellement Baume les Dames), près de Besançon, où elle franchit les portes d'un monastère.

Pendant toute son enfance, Odile était entourée du silence et de la paix des moniales qui essayaient de lui faire oublier sa cécité : elle apprit à se diriger seule dans le cloître, à reconnaître les appels de la cloche, à chanter par coeur les offices, faisant la joie de ses mères adoptives.

L'évêque Ehrhardt de Ratisbonne et son frère Hydulphe, abbé de Moyenmoutier, arrivèrent un jour au monastère pour baptiser la petite aveugle selon l'ordre divin qu'ils avaient eu en songe. Devant la communauté, Ehrhardt prononça les paroles sacramentelles : "Odilia Je te baptise au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit". Odilia veut dire : soleil de Dieu. Au moment où l'eau coula sur son front, Odile ouvrit les paupières... Elle voyait ! Après la guérison, l'évêque fit avertir Aldaric qui n'eut aucun geste de repentir. Il avait maintenant quatre fils et une fille, sa fille aînée était oubliée. Odile demeura donc à Palma chez les religieuses qui lui apprirent aussitôt à écrire et à lire dans les livres saints. La souffrance et la cécité l'avaient mûrie : elle faisait preuve d'une force d'âme et d'un détachementextraordinaires. Au fur et à mesure que les mois passaient, Odile sentait grandir en elle le désir de connaître sa famille. Par l'intermédiaire d'un pèlerin, Odile fit parvenir une lettre qui émut son frère Hugues au point qu'il osa affronter son père. L'heure du pardon n'avait pas encore sonné, Aldaric ne voulait pas revoir sa fille mais Hugues écrivit cependant à sa soeur de venir au château, pensant que la vue d'Odile ferait tomber la colère de son père. Hélas, à l'arrivée de sa fille aînée la colère d'Aldaric redoubla : il frappa son fils qui mourut des suites des blessures. Ce fut le dernier accès de colère du terrible barbare qui, désespéré par la mort de son fils préféré, installa sa fille dans son palais et assura sa subsistance. Mais une princesse devait être mariée et Aldaric trouva un prétendant. Odile, voulant devenir religieuse, s'enfuit du palais, poursuivi par l'armée de son père. Elle passa le Rhin et alors que son père allait la rattraper, elle pria et un rocher de la Forêt Noire s'ouvrit pour qu'elle puisse si cacher. Voyant cela son père se laissa fléchir et offrit à Odile le Honenbourg et toutes ses dépendances pour qu'elle fonde un monastère et qu'elle prie pour lui.

Abbesse bienveillante

Les travaux commencèrent rapidement pour transformer le Honenbourg en un monastère. Odile qui est une âme d'oraison couvrit de chapelles tout le sommet de la colline dont la première fut dédiée à Notre-Dame, puis une autre à Saint Jean-Baptiste qu'Odile vénérait particulièrement depuis son baptême. Un jour après la fin des travaux de cette chapelle, Odile et ses soeurs virent une grande lumière. Les Anges et l'Apôtre Pierre étaient apparus pour consacrer la chapelle. Jusqu'au début du siècle, les missels alsaciens comportait chaque année une fête de la Consécration Angélique. De jour, de nuit, par petits groupes qui se succédaient, les moniales chantaient sans cesse la louange de Dieu. L'Abbesse était la plus ardente à la prière; elle aimait la mortification, mais elle était douce pour ses filles. Ainsi elle tempéra les règles monastique pour que chacune arrive à les vivre sans soucis.

Peu de temps après la construction du monastère, Aldaric mourut. Avertie par une vision, Odile le sut en Purgatoire et se mit en prière jusqu'à ce que Notre-Seigneur lui apparut pour lui apprendre l'entrée de son père en Paradis. Une chapelle, dite des larmes, se dresse encore aujourd'hui sur la terrasse du couvent; la tradition assure qu'une pierre creusée par les genoux de la sainte existe encore devant le maître-autel.

Le Honenbourg était le refuge des pauvres et des pèlerins qui savaient y trouver bon accueil. Un vieillard tomba en montant vers le monastère. Odile le rencontra un moment plus tard et, comme pour le soulager, il fallait de l'eau, Odile implora le secours de Dieu, frappa le rocher avec sa crosse. Depuis la source désaltère les pèlerins et guérit de nombreux malades des yeux. Mais la preuve était faite que tous ceux qui désiraient du secours ne pouvaient parvenir au sommet de la colline. Un autre monastère fut construit en bas avec un hôpital. Aucun des deux couvents ne voulait se passer de la présence d'Odile qui allait donc d'un cloître à l'autre. Sur le dur chemin elle aidait les malades et les infirmes. De toutes parts on venait la voir car on savait que ses mains étaient bénies. Parfois lorsqu'elle pansait des blessés ou des lépreux, les plaies se fermaient et les douleurs s'apaisaient. Sa préférence allait aux aveugles en souvenir de son infirmité.

Mais ses compagnes la voyaient de plus en plus lasse. Sentant la faiblesse la gagner, Odile se rendit à la chapelle Saint-Jean-Baptiste; une dernière fois elle s'adressa à ses filles puis, à l'heure de l'office elle les envoya à l'église. Quand les moniales revinrent de l'office, Odile les avait quittées. Leur peine était grande d'autant plus que leur mère était partie sans avoir communié. Elles se mirent en prière et Odile revint à elle. L'Abbesse réclama le ciboire, se communia et quitta définitivement la terre, le 13 décembre 720.

Laissant la suite à ses nièces, Sainte Eugénie et Sainte Gundelinde, la montagne devint la Sainte Montagne de l'Alsace et un grand foyer culturel. Au douzième siècle, Sainte Herrade de Landsberg, amie de Sainte Hildegarde de Bingen, composa pour des soeurs, une encyclopédie spirituelle, philosophique et pratique, du nom de Hortus Deliciarum : Jardin des délices. Elle est encore actuellement l'une des références littéraires et iconographiques du douzième siècle rhénan.

Père Raphaël Steck

 

 

Sainte Odile 14 décembre, Fête Locale

+ 720)

Elle ne fut pas la bienvenue. On attendait un garçon et ce fut une fille. Puis on s'aperçut qu'elle était née aveugle. Son père, Adalric, comte d'Alsace voulut la tuer comme c'était encore l'usage en ces temps mérovingiens. Mais sa mère la sauva et Odile fut accueillie par l'abbaye bourguignonne de Baume-les-Dames.

Quand elle fut plus âgée, elle revint à la maison où son père s'était calmé. Odile refusa de se marier puisqu'elle avait voeu de virginité quand elle était à Baume-les-Dames. Il lui offrit le château de Hohenbourg dont elle fit un monastère. Elle y adjoignit un hospice pour les lépreux.

Ces détails sont peut-être légendaires, mais il est sûr qu'elle fonda un monastère qui fut prospère, qu'elle était priée quelques années après sa mort pour guérir de la cécité et, surtout, que le mont Sainte Odile est, aujourd'hui encore, un pèlerinage très fréquenté et un haut lieu de la vie spirituelle.

 

Patronne de l'Alsace. Mont Sainte Odile.

 

 


 

JULES VALLES (St Denis) suite


Aujourd’hui enfin, à J+7 (!!!) depuis la chute de la grille, le problème d’affaissement de la cour d’école à Jules Vallès a été pris au sérieux. (cf. photo prise à 12h ce jour : mise à jour de conduites d’égouts défectueuses et remplacement par éléments neufs, barriérage plus efficace, en attendant des travaux plus importants encore).
Pour mémoire, le directeur de l’école avait observé et signalé pour la première fois le mouvement de terrain il y a un an…
J’ai également adressé un courrier aux directeurs de 15 autres établissements scolaires (pour commencer) pour leur demander de bien vouloir me faire part d’éventuels problèmes similaires rencontrés dans leur école.

PJ : échanges mails avec C. Chenard directrice générale adjointe de la ville de Saint-Denis, responsable de ce dossier.

Tx Vallès
"[email protected]"
Mardi, 9 Décembre 2008, 19h13mn 10s
À :[email protected]

Bonsoir, Suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je vous confirme que toutes les mesures de sécurité ont été prises, à savoir le barriegage le long des grilles blanches afin de sécuriser les abords de cette zone dans l'attente des résultats des sondages de sols.

Recevez, Monsieur, mes salutations distinguées


Christiane Chenard-Tran



Tr : ECOLIERS EN DANGER A JULES VALLES
DIDIER LABAUNE
Mercredi, 10 Décembre 2008, 10h05mn 47s
À :Christiane CHENARD-TRAN

A Christine Chenard, Directrice Générale adjointe, Ville de Saint-Denis

Suite à notre conversation téléphonique d'hier, vous trouverez ci-joint copie du document envoyé dès dimanche dernier 7 décembre 2008 au Maire de Saint-Denis D. Paillard, au Président de Plaine Commune, Député de la 2ème circonscription, Conseiller Municipal et ex-instituteur à l'école Jules Vallès Patrick Braouezec.
Merci de me tenir informé.

Bien reçu votre message d'hier soir 19h13, en quoi le barriérage qui figure sur la photo ci-jointe empêche la grille de tomber (au delà de cette barrière)? Suivant M. Schneider, la barrière est là pour empêcher les enfants de monter sur la grille.

Salutations

D. Labaune (Conseiller Municipal UMP de St Denis)