Servir la France  !

 

ImageHéritier des quarante rois qui ont fait la France, le Prince Jean d’Orléans est le fils du Comte de Paris. Descendant légitime de la dynastie nationale française, Dauphin de France, il assume pleinement la tradition de dévouement de sa famille au service de la patrie. Il se définit comme prince chrétien et prince français.

Titulaire d’un MBA et d’une double maîtrise en Droit et Philosophie, après avoir travaillé pendant 10 ans comme consultant, il a créé en 2007 la société Avenir et patrimoine. Le but de cette société est de promouvoir le patrimoine historique et culturel français, en France et à l’étranger, et de le rendre accessible au grand public : éducation à l’art, utilisation des nouvelles technologies, développement des métiers.
Prince tourné vers l’avenir, il parcourt depuis 10 ans la France. Il rencontre les acteurs de la vie économique, politique, sociale, culturelle et caritative. Il s’est acquis une vision précise, profonde et générale de notre pays. Il complète cette démarche par des voyages à l’étranger où il est reçu non seulement comme le témoin du passé de la France mais encore comme une incarnation de son avenir.
Symbole d’unité, principe vivant d’identité, il représente la permanence nécessaire à la bonne évolution d’un monde en mouvement. Entre les conséquences de la mondialisation et les besoins d’enracinement, il sait pouvoir occuper utilement une place actuellement vacante et pourtant indispensable à l’intérêt national. De nombreux grands pays européens profitent, chacun à leur manière, du bienfait de la légitimité naturelle offerte par les familles princières ou royales. Une telle présence a le mérite de garantir la pérennité du bien commun des familles, des entreprises et de la nation.

Généalogie  
 

Généalogie

Le mot du Prince

 

 

ImageJe n'ai qu'un mot à vous dire en cette fête d'anniversaire de l'Unité Capétienne. Un mot qui est un nom, un nom qui nous rassemble toujours et en toute occasion, qui définit notre unité, qui en est le principe et quien constitue la fin : je veux dire la France

La France, c'est ma passion. C'est la vôtre, c'est la nôtre. Servir concrètement la France, c'est mon but.
À ma place et dans cette tradition qui nous est chère, incarnée aujourd'hui par mon père, Comte de Paris, Chef de la Maison de France, dont je rappelle qu'il a été décoré pour fait d'armes et que son frère, mon oncle François, est mort au Champ d'Honneur.
Les Capétiens ont acquis leur légitimité par la sueur et par le sang, Par le service des autres et non en vertu de quelque théorie abstraite. Le principe vient confirmer le fait ; et le fait à son tour confirme le principe en un service effectif.
Le service suppose une préparation. Je remercie tous ceux qui m'ont aidé dans mon éducation. Ma mère y a veillé avec attention et constance : je lui en suis reconnaissant et je tiens à lui rendre hommage.
Philosophe par goût personnel, c'est aux incitations de ma grand-mère que je dois d'avoir fait du Droit, aux indications de mon grand-père d avoir fait de l'économie. Cette formation diverse et somme toute, complète, il se trouve que je l ai acquise en partie en France et en partie en Amérique.
Je sais aussi ce que je dois à mes maîtres, quelques-uns prestigieux comme Marcel Clément, comme Pierre Boutang. Et, je ne dois pas oublier tous ceux qui, dans la discrétion, ont rempli un rôle d éveilleurs de l esprit et du cSur et dont beaucoup sont morts aujourd'hui. Selon l'antique et toujours vivante tradition familiale, j'ai tenu à faire un service militaire long, ce qui m a permis de commander en France un peloton de chars et d'entraîner certaines troupes qui partaient pour la Bosnie.
C'était l'indispensable préalable. Maintenant voilà dix ans que je poursuis des voyages en France et à l'étranger, tou­jours selon la même tradition capétienne. Je me souviens de cette phrase de mon grand-père : « Plus on voulait que j'ap­prenne les choses par cSur, plus l'envie me prenait d'aller sur le terrain découvrir les choses par moi-même ».
Le Liban, le Maroc, la Tunisie, la Louisiane, le Québec, la Pologne, la Roumanie... Partout c'est un accueil chaleureux pour des rencontres utiles : culturelles, scientifiques, sociales et politiques. La francophonie est évidemment un sujet de prédilection.
En France, j'ai pour ainsi dire visité toutes les régions. À chaque fois, tous les sujets essentiels sont abordés : culture, patrimoine, économie, entreprises familiales, éducation, science et environnement, développement local et urbanisation, il n'est rien que je n'étudie de près, grâce à d'excellentes organisations locales. Sans oublier le social et, en particulier, le handicap et l'enfance en difficulté.
Colloques, conférences, visites se succèdent. Tout cela est pour moi instructif. Mais il ne s'agit pas seulement de m'ins­truire, je veux « faire », « agir », et j'ai créé à cet effet l'association Gens de France, dont le but est de m'aider dans cette Suvre à la fois une et multiple.
C'est ainsi que s'acquiert peu à peu une vision ; mieux : une expérience. Et c'est aussi de cette façon que peu à peu se façonne la réalité d'un acteur de la vie civile.
Vous savez que, de nos jours, les princes doivent travailler. Louis-Philippe avait déjà compris cette nécessité pour être dans son temps, comme l'ont toujours été les princes d'Orléans.
En même temps que ma vie de prince, j'ai mené une vie professionnelle active comme consultant et comme banquier. Voici qu'aujourd'hui je fais converger mes deux vies, professionnelle et princière, en associant ma passion pour le patri­moine et l'histoire à une activité professionnelle de mise en valeur de l'héritage français, par le mécénat, par le conseil et par le moyen de conférences et de colloques.
La quarantaine est passée pour moi. Me voici au milieu du gué. Il reste encore beaucoup à faire. Que ce soit sur le plan personnel, professionnel ou public. Je le sais, je le dis et je le ferai. Comme toujours, à ma manière.
L'important, c'est que je contribue, à ma place, à la présence de la Maison de France dans l'espace public. Elle a encore des services à rendre à la France et aux Français. Nous sommes prêts pour cette mission. Et, pour ma part, je suis heu­reux et fier de ma vocation.

Le Prince Jean d'Orléans, Duc de Vendôme

ImageJean d’Orléans est né le 19 mai 1965. Il est le fils de S.A.R. le prince Henri d’Orléans, comte de Paris, chef de la maison de France, et de S.A.R. la princesse Marie-Thérèse d’Orléans, duchesse de Montpensier, née duchesse de Wurtemberg. Il a quatre frères et sœurs : Marie (1959), François (1961), Blanche (1962) et Eudes (1968).

Dauphin de France, héritier de la couronne, Jean de France est le descendant direct de Louis-Philippe, roi des Français, et, par les femmes, de la duchesse de Berry et de Charles X.

Il est apparenté à la plupart des familles royales régnant en Europe.

A Amboise, en 1987, année de la célébration du millénaire capétien, le Prince Jean a été titré duc de Vendôme par son grand-père, le comte de Paris.

Dans son parcours universitaire, Jean de France a eu le souci constant de développer ses capacités d’analyse et de réflexion, et d’approfondir sa connaissance des réalités politiques, sociales et économiques contemporaines.

Titulaire d’une maîtrise de philosophie, à la Sorbonne, son mémoire a porté sur l’actualité de la notion de bien commun.

Il a également obtenu une maîtrise de droit, en se spécialisant dans le domaine des relations internationales.

Il a terminé son cursus avec une maîtrise en administration des affaires (MBA) qu'il a passée à Los Angeles (Californie).

Il a effectué son service national comme officier : après quatre mois de classes à l’école de cavalerie de Saumur, il a été affecté au commandement d’un peloton de chars de combat AMX au 7e régiment de Chasseurs à Arras.

Sa vie professionnelle l’a ensuite conduit à exercer des responsabilités dans le domaine du conseil en management et organisation d’entreprise, puis dans le secteur bancaire.

Sa vie actuelle, très active, se partage entre ses responsabilités professionnelles, ses activités associatives et les obligations de sa charge.

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