Aujourd'hui, c'est ma fête et comme pour mon anniversaire, personne ne va encore me la fêter, je serai tout seul abandonné par tous et surtout par mon Don du ciel: la femme de ma vie: Nawal ! Même si il y aura au mieux, les pépites d'or qu'elle m'offrira à travers ses belles paroles et déclarations...!
Aprés encore un week-end encore complètement pourri et raté, malgrés tous mes efforts, je vais retourner à mon travail, ou encore malgrés tous mes efforts, on ne me fait pas de cadeaux ! Ou plutôt, on me durci de plus en plus les choses ! Pourquoi ? À eux aussi, que leur ai-je fait ? Je n'y comprends absolument rien ! Je dois malgré tout tenir coute que coute étant donné ma ruine et mes dettes !
J'ai passé une partie de la soirée d'hier, comme ce matin, à pleurer ! Parce que mon Don du ciel vit et passe ses nuits à côté d'un autre que moi ! Malgré tout ce que j'ai éssayé de lui prouver et ce que j'ai fait pour qu'elle m'accepte ! Mes prières ne servent à rien ! Sans Nawal: ma déesse, mon diamant, mon ombre, l'étoile de mon coeur, mon combat...ma vie n'a plus aucun sens ! Ce matin, la vie me dégoute ! Et j'aimerais tellement la quitter ! Mais, je n'en ai pas encore la force ! Dommage ! Car, je souffre tellement, c'est horrible ! J'ai perdu l'appétit. La politique par rapport à mon tout petit coeur qui saigne si abondamment, j'en suis vraiment à des annéees lumière !
Dehors, il y a un magnifique soleil bleu. Alors, que dans mon coeur, il fait si noir ! Sans mon Don du ciel: la femme de ma vie: Nawal, il n'y a pas du tout de lumière pour moi !
J'espère que vous appréciez un tout petit peu, le contenu de ce blog ?
Jean-Pierre Renard
Le chef de l'opposition Binyamin Netanyahou n'avait pas encore réagi officiellement à l'annonce des contacts amorcés cette semaine entre des représentants du gouvernement israéliens et des délégués syriens. Il l'a fait pour la première fois, donc, jeudi après-midi, lors d'une réunion du Likoud qui s'est tenue à Metsoudat Zeev, à Tel Aviv.
Il a déclaré : "Aujourd'hui, tout le monde est d'accord, à droite comme à gauche, pour dire que le processus diplomatique ne peut pas servir de refuge aux politiciens en détresse". Et de poursuivre: "La majorité du public comprend que le Premier ministre a fait accélérer le rythme des pourparlers avec la Syrie, et a choisi le bon moment pour le faire, afin de détourner l'attention des enquêtes dont il fait l'objet".
Netanyahou a ajouté: "M. Olmert, qui est enfoncé jusqu'au cou dans les enquêtes, n'a pas le droit moral de mener des négociations vitales pour l'avenir d'Israël. Il est évident qu'il préférera assurer sa survie personnelle au détriment des intérêts nationaux. Renoncer au plateau du Golan, c'est faire de cette région un avant-poste de l'Iran".
Netanyahou a poursuivi : "Si ce que dit le ministre syrien des Affaires étrangères est vrai et si le gouvernement israélien est réellement prêt à se retirer du Golan, il s'agit d'un renoncement politique et sécuritaire sans précédent. Cela rappelle les échecs de la seconde guerre du Liban et l'incapacité du gouvernement à faire cesser les tirs de roquettes sur le sud du pays".
Le leader du Likoud a alors adressé un appel à tous les partis politiques, les engageant à œuvrer pour des élections anticipées: "Je demande à toutes les formations, de droite comme de gauche, de restituer aux électeurs leur droit de vote et de fixer une date pour de nouvelles élections. Celui qui sera élu pourra mener les affaires de l'Etat et faire face aux enjeux, dans le domaine de la sécurité, de l'économie, de l'éducation et de la paix";
La ministre des Affaires étrangères Tsippi Livni est enfin sortie de son mutisme pour donner son avis sur l'affaire Olmert-Talansky qui fait couler beaucoup d'encre ces derniers temps et secoue sérieusement toute la classe politique en Israël.
Après avoir prudemment gardé le silence, Livni a donc décidé jeudi après-midi de s'exprimer sur la question, et elle l'a fait lors d'une rencontre avec des journalistes à Jérusalem. Elle a tout d'abord déclaré que "Kadima devait commencer à envisager, dès maintenant, tous les scénarios possibles et se préparer notamment à la tenue éventuelle d'élections anticipées".
Elle a ajouté: "La situation a changé depuis hier (c'est-à-dire depuis les déclarations d'Ehoud Barak, qui a réclamé la démission d'Olmert), et Kadima doit désormais prendre des décisions car il est impossible d'ignorer les événements des derniers jours".
Elle a encore estimé que le problème ne portait pas uniquement sur l'enquête judiciaire et qu'il n'était pas question seulement de délits ou d'une affaire personnelle dans laquelle le Premier ministre était impliqué. "Il s'agit de questions de valeurs et de normes qui influeront sur la confiance du public dans la politique israélienne", a-t-elle tenu à souligner.
Livni a également déclaré qu'elle n'acceptait pas les propos tenus par certains proches d'Olmert disant que "tout le monde agit ainsi". Elle a affirmé que l'argument était mauvais et risquait d'introduire des normes condamnables en politique. Livni a encore indiqué qu'elle était en faveur de Primaires au sein de son parti (Kadima).
Des membres influents de Kadima, proches du Premier ministre, n'ont pas apprécié les propos de Tsippi Livni. Ils ont déclaré qu'il était regrettable que Livni permette ainsi à Ehoud Barak de fixer les démarches à suivre au sein du parti.
Quant au leader de la formation parlementaire du Likoud, Guideon Saar, il a estimé qu'on ne pouvait pas parler de valeurs et de normes et rester dans le gouvernement Olmert. "Les valeurs s'expriment par des actes et par un exemple personnel", a-t-il ajouté.
La Knesset s'est réunie lundi matin, pour une session extraordinaire, en l'honneur du président français Nicolas Sarkozy, qui effectue une visite d'Etat de trois jours en Israël en compagnie de son épouse et d'une importante délégation.
Arrivé dimanche après-midi, le président français a été reçu par le président de l'Etat Shimon Pérès. Lors de l'entretien entre les deux hommes, Nicolas Sarkozy a déclaré : "Vous prenez de mauvaises décisions, notamment en ce qui concerne l'extension des implantations et la construction dans le quartier Est de Jérusalem qui ne sont pas bonnes pour Israël".
Reprenant les propos tenus lors de son arrivée à l'aéroport Ben Gourion, le président français a rappelé que "la meilleure et seule garantie pour l'Etat d'Israël était un Etat palestinien indépendant et démocratique, aux côtés d'Israël". Il a ajouté : "La France croit en une paix entre les Israéliens et les Palestiniens". Et de préciser : "Le peuple français est avec vous, nous voulons vous aider sur le plan diplomatique, économique et également militaire si vous le souhaitez".
Au cours du dîner offert dimanche soir par Ehoud Olmert en l'honneur de Nicolas Sarkozy et de son épouse, le Premier ministre a notamment déclaré que "les relations entre la France et Israël s'étaient resserrées ces dernières années". Il a ajouté que le président français continuerait à lutter contre l'antisémitisme. Nicolas Sarkozy, prenant la parole à son tour, a indiqué que sa visite en Israël revêtait pour lui une grande importance.
Il a précisé : "Vous êtes une grande démocratie, la France soutient toutes les initiatives de paix ainsi que le cessez-le-feu, les pourparlers avec la Syrie et tout ce qui peut mener à une accalmie". Sarkozy a ensuite salué les efforts déployés par les Israéliens, soulignant qu'il comprenait les souffrances qu'ils avaient endurées. Et de poursuivre : "La paix dépend avant tout des Palestiniens, vous devez vous accepter et nous vous aiderons, sur le plan politique et économique. La France ne tolérera pas que la sécurité d'Israël soit remise en cause".
Dans la matinée de lundi, Nicolas Sarkozy et sa suite ont effectué une visite au mémorial de la Shoah de Yad Vashem, à Jérusalem avant d'être reçus au parlement israélien. La présidente de la Knesset, Dalia Itsik, a ouvert la séance en déclarant : "La guerre que nous menons n'est pas seulement destinée à protéger notre foyer national, elle a pour but également de protéger votre foyer. Ne dites-pas en France que le terrorisme ne vous atteindra pas. Ce terrorisme ne connait aucune limite. Le réacteur nucléaire développé en Iran et le terrorisme islamiste en Europe et dans le monde risquent de toucher Paris après Jérusalem et Tel Aviv". Itsik a terminé son discours en s'exclamant : "Vive la France".
Le Premier ministre Ehoud Olmert a ensuite prononcé son discours de bienvenue en soulignant les rapports amicaux entre la France et Israël. Il a salué les positions "courageuses" du président français concernant le nucléaire iranien.
Après l'allocution d'Olmert, le chef de l'opposition, Binyamin Netanyahou, est monté à la tribune pour prendre la parole. Il a notamment rappelé les revendications des Palestiniens sur toute la terre d'Israël en précisant qu'Israël ne devait renoncer ni à la Judée-Samarie ni au Golan.
Le président français a commencé son discours en déclarant qu'il existait entre Israël et la France une amitié qui avait résisté aux turbulences de ces dernières décennies. Sarkozy a évoqué la tragédie de la Shoah et la renaissance de l'Etat d'Israël. Il a fait part de son admiration pour Israël, "un Etat moderne tourné vers le futur".
Nicolas Sarkozy a ensuite déclaré : "Au nom du peuple français, je veux dire mon amitié et mon respect à ce grand peuple d'Israël qui a accompli la promesse que tous les Juifs depuis la dispersion se transmettaient de génération en génération de revenir en "ce lieu où naquit le peuple juif, où se forma son caractère spirituel, religieux et national".
Parlant de ces "ces femmes et pour ces hommes d'exception" qui ont fondé l'Etat juif, il a affirmé : "Croyants ou non croyants, chacun d'entre eux ce jour là ne put sans doute s'empêcher de se remémorer la parole biblique que tous les Juifs au monde n'avaient jamais cessé d'apprendre à leurs enfants : "Et l'Eternel dit à Moïse : Monte sur cette montagne et regarde le pays que je donne aux enfants d'Israël".
"Je suis venu vous dire, a poursuivi Nicolas Sarkozy, que le peuple français sera toujours aux côtés d'Israël lorsque son existence sera menacée", a ensuite déclaré Nicolas Sarkozy. Il a dénoncé la menace iranienne en affirmant que "le terrorisme ne se justifie pas, il se combat". Il a ajouté : "La France est l'amie d'Israël. J'ai toujours pensé cela, je l'ai toujours ressenti et je ne transigerai jamais".
Ceux qui appellent de manière scandaleuse à la destruction trouveront la France face à eux pour leur barrer la route". Il a ensuite affirmé : "Le programme nucléaire appelle une réaction d'une extrême fermeté de la part de la communauté internationale. Israël n'est pas seul. La France réclame des sanctions contre Téhéran. L'Iran avec l'arme nucléaire est inacceptable".
Le président français a ensuite appelé à la création d'un Etat palestinien indépendant, moderne, démocratique et viable tout en précisant que "nul ne pouvait espérer rétablir les droits du peuple palestinien en niant ceux d'Israël*. Et d'ajouter : "Il faut que cette violence cesse et que cette haine qui dresse les peuples les uns contre les autres cesse". Il s'est ensuite élevé contre le fondamentalisme et contre l'antisémitisme. "Il faut que la paix arrive parce que vous avez trop souffert. Les Israéliens et les Palestiniens ont partagé la même souffrance. Votre avenir ne pourra se construire que sur le pardon et non sur la vengeance. Je suis le représentant d'un pays qui a pardonné".
Sarkozy a évoqué le sort du soldat Guilad Shalit et a ajouté: "Je vous demande de nous faire confiance parce que nous voulons vous aider". Il a ensuite parlé du projet de l'Union méditerranéenne dans lequel est inclus Israël "afin que les enfants de la Méditerranée cessent de se haïr". Le président français a également précisé que "la France soutiendrait tous les projets économiques régionaux".
Le président Sarkozy a terminé son discours en s'exclamant : "Vive la France, vive Israël, vive la paix qui est une nécessité pour les Israéliens et les Palestiniens".
A l'issue d'une campagne quelque peu mouvementée, c'est finalement Gilles Bernheim, grand rabbin de la synagogue de la rue de la Victoire à Paris, qui a été nommé dimanche soir, à une large majorité, au poste de Grand Rabbin de France. Il a été élu au second tour, pour un mandat de sept ans, par 184 voix contre 99. Au premier tour, il était déjà largement en tête avec 180 voix, contre 102 attribuées à son adversaire, le grand rabbin Yossef Haïm Sitruk, qui achève ainsi son mandat après 21 ans de bons et loyaux services. Pour écouter l'interview que le Grand Rabbin Gilles Bernheim nous a accordée la semaine dernière, cliquer ici.
Le Consistoire central a également désigné son nouveau président pour un mandat de quatre ans : c'est le docteur Joël Mergui, actuel président du Consistoire de Paris, qui a été élu à ce poste, succédant ainsi à M. Jean Kahn qui ne se représentait pas. Le docteur Mergui, 50 ans, a obtenu 170 voix au second tour contre 99 attribuées à son adversaire, Zvi Ammar, président du Consistoire de Marseille.
Le Grand Rabbin Gilles Bernheim est né en 1952 à Aix-les-Bains. Après le décès de son père, le jeune Gilles Bernheim, âgé de 15 ans, est allé s'installer à Strasbourg avec sa mère, qui était professeur de Mathématiques. Il a poursuivi ses études à l'école Aquiba et fréquentait le mouvement de jeunesse religieux Yechouroun. Après son baccalauréat, Gilles Bernheim est entré à l'école rabbinique et a suivi en même temps des études universitaires. Quelques années plus tard, il a obtenu l'agrégation de philosophie et était considéré comme le plus jeune agrégé de France.
Gilles Bernheim a ensuite séjourné en Israël pour y étudier dans une yeshiva. De retour en France, il est devenu aumônier des étudiants. Par la suite, il a été nommé au poste de grand rabbin de la Synagogue de la rue de la Victoire, à Paris. Il a également pris la direction du département "Tora et Société" du Consistoire de Paris qui lui a permis notamment d'apporter son aide aux jeunes rabbins venus le consulter sur les problèmes qu'ils rencontraient et de les orienter, entre autres dans leurs relations avec les autorités. Il dirige aussi la commission d'éthique médicale de cette institution.
Le grand rabbin Bernheim, qui donne régulièrement des conférences dans des cercles variés, est considéré comme un homme orthodoxe et ouvert, très attaché à Israël et s'intéressant de près aux questions diverses se posant au sein de la société française. En outre, il est le vice-président des amitiés judéo-chrétiennes. Il a publié plusieurs ouvrages dont "Un Rabbin dans la Cité" (i997) et "le rabbin et le cardinal" (2008).
Le grand rabbin Gilles Bernheim est marié et il est le père de quatre enfants. Deux de ses filles vivent en Israël où elles poursuivent des études universitaires.
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Dimanche 22 juin, Gilles Bernheim, le Grand rabbin de la synagogue de la Victoire, a été élu Grand rabbin de France par 184 voix contre 93 pour le sortant Joseph Sitruk. Gilles Bernheim est élu pour un mandat de sept ans qui prendra effet le 1er janvier 2009.
Le nouveau Grand rabbin de France, âgé de 56 ans, est agrégé de philosophie. Il a beaucoup œuvré dans les relations judéo-chrétiennes. Il se veut d'abord "le rabbin des rabbins" et le "guide de la communauté". Gilles Bernheim a été élu sur un programme "pour l'avenir du judaïsme en France" dans lequel il s'est engagé à "diriger de façon moderne, accessible et transparente", à "renforcer les piliers de la vie juive" (rabbinat, éducation, casherout), à "rassembler les juifs dans la solidarité et l'ouverture" et "à représenter l'ensemble de la communauté avec le souci du dialogue et de l'exemplarité". Il veut "pratiquer le dialogue et la recherche du consensus", "travailler en équipe" et également "prendre position" c'est-à-dire "énoncer une position juive sur les problèmes de l'heure pour éclairer la communauté". Sa première préoccupation quand il prendra ses fonctions -le 1er janvier 2009- sera d'améliorer la formation des rabbins. Il veut valoriser leur fonction, les aider dans leurs débuts auprès des communautés, leur "offrir un plan de carrière".
Enfin le même jour, Joël Mergui, président du Consistoire de Paris, a été élu président du Consistoire Central. Il succède ainsi à Jean Kahn, qui avait décidé de ne pas se représenter après avoir exercé cette fonction pendant 13 ans. Joël Mergui a obtenu au second tour 166 voix contre Zvi Ammar, président du Consistoire de Marseille, qui en a obtenu 99. Les deux autres candidats Paul-Olivier Seligman et Charles Sulman se sont retirés après le premier tour.
Haïm Musicant, directeur général du CRIF, a félicité au nom de son organisation Gilles Bernheim et souhaité "rendre hommage au Grand rabbin Joseph Sitruk "qui a contribué au développement du judaïsme pendant ses mandats". Le CRIF espère qu'il pourra avoir "une relation cordiale" avec le nouveau Grand rabbin tout comme avec le nouveau président du Consistoire central, rendant également hommage à Jean Kahn. Il espère aussi "que ces élections contribueront à l'unité de la communauté juive" française.
Gilles Bernheim élu grand rabbin de France (Le Figaro)
Photo : © 2008 Alain Azria |
AFP/Getty Images/archives ¦ Photo non datée de Gilad Shalit avant sa capture
Le président français Nicolas Sarkozy a appelé lundi le mouvement palestinien Hamas à libérer un soldat israélien, Gilad Shalit, qui a également la nationalité française et est détenu depuis deux ans dans la bande de Gaza.
"Je veux dénoncer de la façon la plus forte la captivité de notre compatriote Gilad Shalit. Je veux lancer un nouvel appel aux ravisseurs: il faut libérer Gilad", a affirmé M. Sarkozy lors d'un discours devant la communauté juive et arabe francophone d'Israël dans un hôtel de Jérusalem.
"On ne construira pas la paix ainsi en retenant des otages. Nous allons multiplier les initiatives pour obtenir sa libération", a-t-il ajouté.
Gilad Shalit a été capturé le 25 juin 2006 par trois groupes armés palestiniens, dont l'un relevant du Hamas, lors d'une opération meurtrière de commando en territoire israélien, en bordure de la bande de Gaza.
M. Sarkozy a par ailleurs qualifié la situation à Gaza de "drame humanitaire pour la population, qui n'est pas acceptable".
"Il n'y pas de solution militaire à la crise actuelle, dont le règlement passe d'abord par l'établissement d'un cessez-le-feu complet", a-t-il poursuivi.
Le Hamas et Israël ont commencé jeudi à observer une trêve dans la bande de Gaza, laborieusement négociée par l'entremise de l'Egypte après des mois de violences meurtrières
20Minutes.fr avec AFP
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