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  • Kadima remporterait des législatives !

    Le parti centriste Kadima remporterait des élections législatives en Israël s'il était dirigé par la ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni, selon un sondage publié ce soir.

    Le Kadima obiendrait 30 mandats de députés, contre 28 au Likoud (droite), 14 au parti travailliste, 11 au Shass orthodoxe sépharade, et 9 à Israël Beyténou (droite nationaliste), sur un total de 120 à la Chambre, selon ce sondage de l'Institut Géocartographia réalisé dans des conditions non précisées et publié par la chaîne publique de la télévision israélienne.

    Les autres formations représentées au Parlement seraient respectivement les listes arabe: 10, Meretz (gauche laïque): 7, Judaïsme Unifié de la Torah (orthodoxe ashkenaze): 4, Union nationale (extrême droite): 4, et enfin une nouvelle liste écologiste avec 3 élus.

    Toujours selon ce sondage, 65% des Israéliens pensent que les fonctions de Premier ministre peuvent être assumées indifférement par un homme ou une femme, 24% préfèrent que ce soit un homme, et 11% penchent plutôt pour une femme.

    La fin de la législature est prévue en novembre 2010, mais plusieurs responsables politiques ont appelé à un scrutin anticipé après la mise en cause du Premier ministre Ehud Olmert, chef de Kadima, dans une nouvelle affaire de corruption.

    AFP

 

Livni en tête des sondages en cas de dissolution

NOUVELOBS.COM

Le parti centriste Kadima remporterait des élections législatives s'il était dirigé par la ministre des Affaires étrangères, qui réclame la démission d'Ehoud Olmert, accusé de corruption.

La ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, pressentie pour diriger le parti centriste Kadima

La ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, pressentie pour diriger le parti centriste Kadima

(c) Reuters

Un sondage publié mardi 3 juin au soir indique que le parti centriste Kadima remporterait des élections législatives en Israël s'il était dirigé par la ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni, alors que le Premier ministre Ehud Olmert, du même parti, est poussé à la démission.
Accusé de corruption, sa mise à l'écart est réclamée par sa propre ministre des Affaires étrangères et collègue du parti Kadima Tzipi Livni et par son ministre de la Défense et partenaire travailliste Ehud Barak. Le Premier ministre a fait savoir qu'il ne démissionnerait que s'il était inculpé.

Le centre en tête du sondage


Selon l'étude d'opinion, Kadima obiendrait 30 mandats de députés, contre 28 au Likoud (droite), 14 au parti travailliste, 11 au Shass orthodoxe sépharade, et 9 à Israël Beyténou (droite nationaliste), sur un total de 120 à la Chambre, selon ce sondage de l'Institut Géocartographia réalisé dans des conditions non précisées et publié par la chaîne publique de la télévision israélienne.
Les autres formations représentées au Parlement seraient respectivement les listes arabe: 10, Meretz (gauche laïque): 7, Judaïsme Unifié de la Torah (orthodoxe ashkenaze): 4, Union nationale (extrême droite): 4, et enfin une nouvelle liste écologiste avec 3 élus.
Toujours selon ce sondage, 65% des Israéliens pensent que les fonctions de Premier ministre peuvent être assumées indifférement par un homme ou une femme, 24% préfèrent que ce soit un homme, et 11% penchent plutôt pour une femme.

Craintes sur l'accord de paix

La fin de la législature est prévue en novembre 2010, mais plusieurs responsables politiques ont appelé à un scrutin anticipé après la mise en cause du Premier ministre Ehud Olmert, chef de Kadima, dans une nouvelle affaire de corruption.
Il est accusé d'avoir touché illicitement durant des années d'épaisses enveloppes d'un homme d'affaires juif américain.
L'homme d'affaires a affirmé lui avoir versé près de 150.000 dollars en liquide quand il n'était encore que ministre ou maire de Jérusalem. Cet argent aurait servi à financer les campagnes d'Ehud Olmert, mais l'homme d'affaires, Morris Talansky, a laissé entendre qu'il pourrait aussi avoir servi à satisfaire le goût du luxe d' Ehud Olmert.
Ehud Olmert a rompu avec la pratique habituelle en refusant de se soumettre aux questions des journalistes qui l'accompagnaient lors du vol de nuit Tel Aviv-Washington.
Les responsables israéliens, palestiniens et américains partagent la crainte que la crise politique en Israël conduise à des élections législatives anticipées et porte un coup d'arrêt au processus de paix israélo-palestinien lancé en novembre à Annapolis sous l'égide de George Bush.
Ce processus est censé aboutir à un accord sur les contours du futur Etat palestinien avant le départ du président américain de la Maison blanche, en janvier, mais, en dépit des déclarations de bonnes intentions des deux parties, il s'est avéré jusqu'ici lent et difficile.

Les nouvelles confidences
de Carla Bruni

Samuel Potier (lefigaro.fr), avec Le Parisien
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(Christophe Ena / AFP)
(Christophe Ena / AFP) Crédits photo : AFP

Dans un livre à paraître jeudi, la Première dame de France aborde aussi bien sa relation avec le président qu'avec Rachida Dati, et son futur à l'Elysée. Morceaux choisis.

Carla Bruni lève le voile. Discrète, presque effacée lors des voyages officiels, elle a finalement choisi de se livrer longuement dans un ouvrage, «la véritable histoire de Carla et Nicolas» (Editions du Moment), de Valérie Bénaïm et Yves Azéroual. Un livre où, fait rare, une Première dame de France parle de sa relation avec le président de la République. De leur rencontre, également, lors du fameux dîner chez Jacques Séguéla en novembre 2007. «Un dîner de copains» organisé par le célèbre publicitaire, qui avait confié avoir «vécu en direct le coup de foudre présidentiel. Ils ne s'étaient jamais vus et je pense qu'ils ne se quitteront plus jamais.»

Une rencontre arrangée, confie-t-elle. «En arrivant, j'ai compris que c'était un blind date. Il y avait trois couples et nous deux, deux célibataires. Cela (le coup de foudre, ndlr) a été immédiat, confirme Carla Bruni, citée dans Le Parisien de mercredi. Je ne m'attendais pas à quelqu'un de si drôle, de si vivant. Son physique, son charme, son intelligence m'ont séduite. Il a cinq ou six cerveaux, remarquablement irrigués. Je n'ai pas connu de crétins auparavant, ce n'était pas mon genre. Mais lui, ça va très, très vite».

Six mois plus tard, son admiration reste intacte : «C'est inimaginable ce qu'il travaille. Il est comme nous tous, un peu comme Sisyphe, il aime porter la pierre. Mais il est de bonne composition. Trois rayons de soleil et il trouve la vie magnifique.»

«Je n'ai aucune intention de changer de métier»

Sa rivalité avec Rachida Dati ? «Je la vois fréquemment, elle me fait beaucoup rire. Les rumeurs doivent prendre leurs sources dans le fait que c'est une amie de l'ex-femme de mon mari. Mais il n'y a vraiment aucune hostilité entre nous. Je lui ai même envoyé deux adresses d'amis pour ses réunions d'appartement dans le VIIe arrondissement durant sa campagne municipale.»

Pour son avenir, Carla Bruni se fixe deux priorités : «agir globalement sur la pauvreté dans le monde et lutter contre l'ignorance». Mais elle n'oublie pas sa carrière artistique, avec la sortie le 21 juillet de son troisième album, dont le titre n'est pas encore connu. «Je n'ai aucune intention de changer de métier. J'ai une fonction, mais ce n'est pas un métier. Je ne suis qu'une chanteuse de folk. Je raconte des petites histoires qui sont les mêmes que les vôtres. Il n'y a rien de subversif. Ce qui va changer, c'est que je ne vais pas faire de scène. Le temps que mon mari reste président de la République. Il va falloir s'y habituer». Une ligne à tenir pendant encore quatre ans… ou neuf ans.


Enfant-Martyr, Enfant-Roi, en lui nous reconnaissons tous les enfants victimes de la folie des hommes…

Louis_XVII_dix_ans

Mardi 10 juin 2008, retrouvons-nous tous à 18h15 devant la Mairie du IIIe arrondissement,
2, rue Eugène Spuller. Hommage à  Louis XVII, à l’initiative de l’Association Marais-Temple- Louis XVII.

Louis XVII. Le portrait oublié ?

Comme nous le dit si bien le professeur Pierre Magnard :
« La République est né d'un crime. Non contente de perpétrer un régicide, il a fallu qu'en la personne du Roi, elle décapite la Nation, la coupant de son principe. Aussi n'y a-t-il rien qui lui pèse plus lourd que l'héritage que son forfait lui interdit d'assumer, rien à quoi elle répugne davantage qu'à la mémoire vive qui la rattacherait à une origine qu'elle a délibérément reniée; Parce qu'elle a des problèmes avec son passé, la République a des problèmes avec son histoire et plus largement avec sa culture »

En rendant hommage à Louis XVII nous entendons rendre hommage à tous les enfants oubliés, martyrs de la folie des hommes.

Nous demandons aussi que la France se souvienne et se réconcilie avec son histoire.

 

PETITION LOUIS XVII
À petits pas, aidés par une légère brise, nous avançons, tous ensemble !… Lire plus…
Signez notre pétition en ligne en cliquant sur ce lien : pétition


Hommage à LOUIS XVII

LOUIS XVII, âgé de dix ans, s’éteint de maladie le 8 juin 1795, à l’issue d’une réclusion inhumaine de presque trois ans dans la Tour du Temple. Cette tour aujourd’hui disparue se trouvait entre le square du Temple et la mairie du III e arrondissement. A la suite des cérémonies qui ont eu lieu à Saint-Denis en 2004 par la dépose solennelle de son cœur, des habitants du III e ont voulu rendre un hommage annuel à l’Enfant-Roi mort dans le quartier alors que sa famille a été anéantie.

Coeur-LXVII-StDenis

Cœur de Louis XVII. Abbaye de Saint-Denis

Prison-temple

La prison du Temple

En effet, son père Louis XVI, puis sa mère Marie-Antoinette et sa tante sont partis d’ici pour mourir sur l’échafaud. Seule a survécu sa sœur morte en exil. Il y a 200 ans commençait le démantèlement de la Tour du Temple.

Mardi 10 juin 2008

18 h 15
Cérémonie civile devant la Mairie du III e arrondissement, 2 rue Eugène Spuller :
Musique : des élèves du conservatoire du centre de Paris interpréteront des œuvres de Boccherini, de Gluck et de Monsieur de Saint-George.
Présentation et salutation des personnalités par Paul Meillon, président de l’association Marais-Temple.

Dépose d’une gerbe.
Dominique Perrin-Sabourdin, docteur es lettres, habitante du quartier : Madame Elisabeth au Temple.
Sébastien Mahieuxe interprétera les airs chantés par Louis XVII accompagné par sa sœur Madame Royale au piano pendant leur emprisonnement.
Jacques Charles-Gaffiot, historien, président de l’association Louis XVI : Valeur et symbole du testament de Louis XVI, le 25 décembre 1792.
Conclusion et temps de silence, avant de se rendre à l’église à travers le square du Temple.

19 h 30 
Messe de Requiem en l’église Sainte Elisabeth,195 rue du Temple 75003 Paris,présidée par Monseigneur Patrick Chauvet, vicaire général,en présence du pasteur Alain Joly de l’église réformée des Billettes,du père Dominique Dyeop, chapelain de l’ordre de Malte et du père Xavier Snoek curé de la paroisse.

Vous pouvez nous aider à subvenir aux frais de la cérémonie en faisant  un don à l’ordre de l’association Marais-Temple- Louis XVII ; un reçu vous sera adressé.
De plus vous pouvez adhérer à l’association Marais-Temple à partir de 15 euros dans ce cas vous serez alors informé régulièrement de notre action.

Association Marais Temple, Maison des associations : 5 rue Perrée 75003 Paris - Association loi 1901-JO n°1034 3.011998.

Cte-Paris-LXVII
Le 8 juin 2005, autour de la bannière brodée présentant l’enfant Roi, Monseigneur le Comte de Paris, Chef de la Maison de France, Leurs Altesses Royales le Prince et la Princesse Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme, et Monsieur le Duc de Beauffremont s’unissaient dans le devoir de mémoire !

Communiqué de Presse

Chers Amis,

Je tiens à vous annoncer, qu'étant donné que le CNI (dont je suis actuellement adhérent) s'apprète à quitter l'UMP, j'ai pris la décicision de rejoindre La Droite Libre de Rachid Kacid et d'Alexandre Del Valle, qui est une des composantes de notre Mouvement: l'UMP et surtout qui est aux côtés du Président de la République: Monsieur Nicolas Sarkozy ! J'entends m'investire pleinement dans cette struture. D'abord, à Pierrefitte. Puis, ensuite, dés que cela sera possible, dans d'autres villes de notre département de la Seine Saint Denis... Bien sûr, en complète entente  et cohésion avec mon père spirituel: le Sénateur/Maire UMP de Neuilly-Plaisance: Monsieur Christian Demuynck !

                Le Délègué de ville UMP de Pierrefitte Sur Seine

                                     Jean-Pierre Renard


 

Déclaration de candidature de Patrick Gaillard à la présidence des jeunes populaires


Monsieur le Secrétaire général,


Je tenais à vous informer que je souhaite présenter ma candidature à la présidence des Jeunes populaires, afin de succéder à Fabien de Sans-Nicolas.
Cette candidature s’inscrit dans une démarche réfléchie, qui vise à faire de notre mouvement de jeunes un outil du renouveau militant de l’UMP. 

        1- L’UMP a pu connaître deux grands succès électoraux au cours de l’année 2007 en parvenant, grâce aux remarquables efforts de Nicolas Sarkozy, a parler aux Français de ce dont plus personne dans le monde politique et médiatique n’osait leur parler. En analysant avec justesse les besoins, les craintes et les aspirations de nos compatriotes, il est arrivé à briser la routine des thèmes autorisés par les media et à convaincre les Français qu’ils étaient entendus. Le Président de la République a également donné à voir à tous ceux pour qui les réformes dans notre pays sont une nécessité vitale qu’ils étaient une force collective, et que finalement la France qui veut travailler, qui aime son pays et qui ne supporte pas le consensus complaisant autour des situations de privilège, était majoritaire. 
         
          2- Aujourd’hui malheureusement, la ferveur qui accompagnait les campagnes électorales de 2007 s’est un peu perdue. Tout comme les succès étaient fondés sur la récupération de la parole par la droite, dans une attitude de liberté pour assumer tous les aspects de nos idées, la morosité actuelle est consécutive d’une espèce de ‘’retour à la normale’’, dans lequel les journalistes recommencent à donner des représentations fausses des idées de droite sans être valablement contredis. 

Cela tient à ce que toutes les personnes qui peuvent maintenant parler au nom de l’UMP (ministres, parlementaires, etc.) n’assument pas, comme Nicolas Sarkozy peut le faire, l’attachement sans complexes à leur valeur de droite, et qu’elles se retranchent dans la réserve gouvernementale pour justifier leur modération. On peut par exemple regretter que personne aujourd’hui ne fustige réellement l’archaïsme et l’égoïsme de catégories professionnelles coalisées pour la défense de leurs privilèges (enseignants, services publics, etc.).
Vous avez d’ailleurs nettement perçu ce phénomène, puisqu’en nommant Frédéric Lefebvre comme porte-parole, vous redonnez une visibilité à cette droite sûre d’elle-même et convaincue de la nécessité de sortir le pays du socialisme rampant, qui nous séduisit tant durant la campagne présidentielle. 

           3- Ce que doit être un mouvement de jeunesse. Un mouvement de jeunesse doit être une force militante qui entretient l’image de l’action collective et de la ferveur, qui brise les représentations journalistiques en montrant aux électeurs de droite qu’ils sont nombreux – et même majoritaire – à soutenir les réformes initiées. Il doit également être en mesure de défaire symboliquement la porté des manifestations de protestation en montrant que les soutiens au Président de la République savent également s’engager et se mobiliser.


Le mouvement de jeunesse que je souhaite organiser doit être une force de liberté qui veut aller plus loin, plus vite et plus fort dans les réformes, afin de porter une soutien populaire de droite sur le gouvernement, pour contrebalancer la pression médiatique de gauche. Il doit également conserver captif l’électorat le plus radical en lui donnant à exprimer son impatience et en lui donnant à comprendre qu’il est entendu par les cadres du mouvement, et que ses attentes sont prises en compte. 

          4- Les moyens avec lesquels il faut rompre. Les Jeunes populaires sont, depuis leur création, bien trop associé à l’image d’un militantisme mondain. Il faut impérativement faire évoluer cela, afin qu’il puisse, comme l’ensemble de l’UMP, être un lieu ouvert à l’ensemble des milieux sociaux, et notamment aux plus modestes, car se sont les principaux supporters des réformes gouvernementales.

Il faut également être davantage circonspect quant à l’utilisation des outils informatiques. On ne peut construire un mouvement politique sur des sites Internet et une stratégie de communication. Ces moyens doivent rester des outils au service du militantisme et de la formation doctrinale, en aucun cas un principe d’action.

D’une façon générale, il me semble que les Jeunes populaires doivent prendre leurs distances avec les moyens ayant précédemment courts, car ils étaient trop exclusivement tournés vers une population étudiante et aisée, qui de toute façon ne votera jamais pour la gauche – au vu de son extraction sociale – et qui fera toujours passer ses études devant le militantisme, car ils n’ont pas un intérêt vital à ce que les réformes aboutissent (contrairement aux militants les plus fervents), dans la mesure où ils conçoivent de s’expatrier pour assurer leur réussite financière et professionnelle.

A mon sens, il y aurait une erreur à miser exclusivement sur une population urbaine et indolente, avec qui il est certes aisé de rester en contact par clavier interposé, mais qui ne fera jamais aucun effort collectif, et ne cherchera pas davantage à se former politiquement.


             5- L’organisation à privilégier. En conséquence, il me semble important que pour pouvoir jouer son rôle de soutien de droite au gouvernement, la nouvelle organisation des Jeunes populaires comporte les aspects suivants :

- Etre une force militante numérique et déterminée, recrutant plutôt dans les milieux sociaux pour qui les réformes sont une nécessité absolue, et qui demeurent attachés à leur pays.

- Etre organisé autour d’un maillage sans faille du territoire avec des chefs locaux impliqués. De cette façon, les jeunes gens qui voudront s’informer et soutenir les politiques initiés par le gouvernement trouveront un interlocuteur à proximité de chez eux, et les cadres sur le terrain auront une connaissance immédiate des forces militantes disponibles, ainsi que de leur degré de motivation.

- Disposer d’un réseau de blogs actifs pour montrer aux militants que dans n’importe quelle ville du pays un responsable jeune organise régulièrement des rencontres avec des débats d’actualité, des conférences, des formations, des visites de personnalités.

- Pouvoir ponctuellement être une force populaire qui manifeste dans la rue en soutien aux réformes, contre les privilégiés coalisés et les agitateurs professionnels. La faiblesse militante de la gauche est telle qu’il est facile de reprendre l’avantage numérique et la ferveur de la campagne présidentielle.

- Sur le plan médiatique il faut être radicalement offensif contre la gauche en renvoyant systématiquement ses représentants à leurs turpitudes, aux politiques antisociales du gouvernement Jospin, et à leur abandon des travailleurs français. Il ne faut pas plus être complaisant à l’égard de la fausse objectivité des media, et retrouver la liberté de ton de la présidentielle en fustigeant les donneurs de leçons que notre électorat ne supporte pas.

- De la même façon, il ne faut pas hésiter à être outrancier, car cela rassurera les jeunes les plus radicaux, tout en étant excusé par la fougue de la jeunesse. Ces excès calculés auront pour intéressante conséquence de donner une image de modération et de sérénité au gouvernement. Ce dernier aura cependant une force populaire sur sa droite, qui l’incitera à l’action.


            6- Les raisons pour lesquelles je souhaite être président. Aujourd’hui âgé de 27 ans, et après 13 ans de militantisme, je pense être suffisamment expérimenté et conserver assez d’enthousiasme pour faire des Jeunes populaires une force militante indispensable à l’UMP, mais aussi et surtout :

- Parce que je fais partie de ces patriotes qui ont été convaincus par le discours de Nicolas Sarkozy et que je ne veux surtout pas qu’il ralentisse le rythme par défaut de soutien.

- Parce que je dispose d’une grande expérience militante acquise dans différents courants patriotiques et gaullistes, que je n’ai pas peur de me ‘’salir les mains’’ dans l’organisation des activités militantes et que je dispose d’un bon réseau de cadres déterminés.

- Parce que j’ai également une formation universitaire pointue, qui m’a permis d’objectiver mon engagement, et de construire rationnellement la doctrine dans laquelle j’inscris mon action, ce qui me permet de la défendre efficacement.

- Parce que j’ai fondé la légitimité de mon engagement sur des combats difficiles, au service de nos idées, dans des villes très populaires, comme Nanterre, et que je sais, de cette façon, ce qu’est le combat idéologique contre les forces de gauche, l’hostilité médiatique et la mauvaise foi partisane.

- Parce qu’enfin toutes les personnes pour qui j’ai pu travailler ainsi que tous les militants qui ont œuvré sous mon autorité m’ont toujours reconnu de réelles qualités d’organisateur. Sous ma présidence, les Jeunes populaires sera un mouvement sérieux, bien tenu, réellement décentralisé et efficacement organisé.


D’autre part, ma candidature a reçu les encouragements d’un certain nombre de personnalités de l’UMP, et le soutien total d’un de ses courants : La Droite libre.


Je vous remercie donc de bien vouloir prendre en compte ma candidature, afin qu’elle puisse être présentée au suffrage des militants. Je me tiens naturellement à votre disposition dans le cas où vous me feriez l’honneur de me recevoir, et je vous prie de croire, Monsieur le Secrétaire général, à l’assurance de mes plus respectueuses considérations .

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