0 billets
Mon coup de coeur: le film: "Il était une fois"
13 juin 2008
La Parachat de cette semaine
13 juin 2008
PARACHAT BEHA’ALOTEKHA
La course infinie
Le départ des enfants d’Israël de la montagne du Sinaï est décrit ainsi : « Ils voyagèrent depuis la montagne de D… le chemin de trois jours. L’arche d’alliance de D… voyageait devant eux le chemin de trois jours… » (Nb 10, 33).
Pour expliquer l’expression « Ils voyagèrent depuis la montagne de D… le chemin de trois jours », Rachi écrit que les enfants d’Israël ont parcouru en un jour « le chemin de trois jours » car D… tenait à les faire entrer en Israël le plus rapidement possible.
Concernant ce verset, le Chem miChemouël (Behaalotekha 5670) propose un commentaire lumineux : jusqu’ à présent, l’arche sainte résidait au milieu du campement d’Israël. Le peuple entourait l’arche et appréhendait une certaine perception du divin. Puis, après l’inauguration du Sanctuaire, l’arche sainte marchait devant le peuple, à l’extérieur du camp comme pour signifier qu’Israël ne pouvait plus percevoir D…
Quand un père apprend à marcher à son fils, il le tient puis s’éloigne afin que l’enfant se tienne et marche tout seul. Il s’éloigne pour rendre autonome son enfant. Ce processus d’apprentissage s’est appliqué ici au niveau spirituel.
La présence divine accompagnait Israël depuis la sortie d’Egypte. Elle se manifesta avec encore plus d’intensité lors du don de la Torah et de l’inauguration du Sanctuaire. A cette époque, les enfants d’Israël n’étaient confrontés à aucun problème matériel et vivaient dans la spiritualité la plus éthérée. Mais l’intention de la création était que l’homme serve D… dans la matérialité, avec la matérialité. C’est pourquoi le projet initial de D… était qu’après avoir reçu la Torah, les enfants d’Israël entrent directement en terre d’Israël pour y semer, labourer, moissonner… et rester fidèle à la loi divine. Pour cette raison, avant que le peuple ne pénètre en Israël, D… fit comme le père qui enseigne à marcher, à son fils : Il S’est éloigné afin que du milieu de la matière, les enfants d’Israël s’approchent eux de D… Cet éloignement de la présence divine était représenté par l’arche qui marchait non plus au milieu mais devant le camp. C’est le peuple qui devait la rattrapée.
On peut ajouter à ce développement l’idée suivante : selon le texte biblique, l’arche avait trois jours d’avance. Bien sûr, ces trois jours sont à mettre en rapport avec les trois jours dont il est question dans le verset, les trois jours de chemin que le peuple a parcouru en une seule journée. A cette occasion, les enfants d’Israël ont compris qu’ils étaient parfaitement capables de se dépasser, de pulvériser le chronomètre, de maîtriser le temps. Ils en été capable quand il s’est agi d’entrer en terre promise. A présent, ils doivent renouveler l’exploit. Courir après D… n’est pas aisée mais c’est possible. La distance peut disparaître en un jour.
Pour le peuple juif, ce genre de course est le seul qui importe de gagner. A se rappeler à quelques semaines de l’ouverture des jeux olympiques…
Rabbin Jacky MILEWSKI
13 juin 2008
13 juin 2008
Fiorèse officiellement à Troyes | |
Après avoir démenti sur son site internet le transfert de Fabrice Fiorèse vers l'ESTAC, l'Amiens SC vient de trouver un accord avec le club aubois pour le transfert de son milieu de terrain droit. A 32 ans, l'ancien parisien auteur d'une bonne deuxième partie de saison avec le club picard en Ligue 2 rejoint son entraîneur Ludovic Batelli ainsi que son ex-coéquipier Titi Buengo au stade de l’Aube. Mis en ligne par McSim |
13 juin 2008
Alonzo "Un manque de reconnaissance !" | |
Malgré un amour certain pour le club parisien, Jérôme Alonzo est aujourd'hui résigné à tourner la page, ayant compris que l'on ne le retiendrait pas à Paris : "Aujourd’hui, je suis plus à ma joie d’avoir signé qu’à ma tristesse de quitter mes copains et mon club de toujours. Car j’ai quand même passé la moitié de ma carrière au PSG. Ce n’est pas rien. Mais sincèrement, aujourd’hui, je suis plus à ma joie de découvrir la ville, les dirigeants, la Jonelière, le centre-ville… (...) Dans le sport de haut niveau, je crois que rien n’arrive par hasard. Et le fait que Paul Le Guen ne veuille plus de moi et que les premiers contacts avec Nantes se nouent au même moment, ce n’est pas un hasard pour moi." Il semble néanmoins difficilement digérer la manière dont s'est déroulé son départ : "Si le respect, c’est de ne pas dire en face à un joueur, qui est là depuis sept ans, qu’on ne veut plus qu’il reste… Personne n’a eu la trempe de me le dire. J’ai croisé Paul Le Guen dans le vestiaire du Camp des Loges le lundi après la finale de Coupe de France. Il m’a serré la main et il est parti. Il s’est abstenu de me dire quoi que ce soit. Mais je ne suis pas amer. Je ne veux pas faire de procès. Cela m’intéresse à peine d’en parler. Ce que je garde du PSG, c’est sept ans de bonheur, des amitiés indéfectibles, un amour avec le public que personne ne peut toucher… Après, que Paul Le Guen ne veuille plus de moi, ce n’est plus ma guerre comme disait Rambo (rires). S’il estime que le petit Edel est une meilleure doublure que moi, et bien Inch Allah." Invité à approfondir sur cette comparaison avec le gardien de la CFA cette saison, Alonzo, tout en annonçant ne pas vouloir polémiquer, fait alors preuve d'une réelle rancoeur envers son désormais ex-entraîneur, partant même sur des sentiers glissants en évoquant leurs cotes de popularité respectives auprès des supporters : "C’est une question de choix. S’il estime que le gamin est meilleur ou qu’il peut plus apporter au groupe que moi, libre à lui de penser ce qu’il veut. Je ne rentre pas dans la polémique. Je sais qu’en l’état actuel des choses, la meilleure doublure possible pour le PSG, c’est moi. Je le sais et tout le monde le sait. Si lui est le seul en France à penser que non, qu’il mène sa barque comme il l’entend. Sans démagogie, Pedro (Pauleta) et moi, on a noué un truc très fort avec les supporters du PSG. Lui est en dessous de ça et peut-être que cela le fait chier. Je suis très fier de ce que j’ai fait au PSG en sept ans. J’étais parti pour être la doublure de Lionel Letizi et faire trois matchs. J’en ai fait 101 ou 102 je crois." Le soutien qu'il a reçu du nouveau président parisien n'aura pas suffi : "Il m’a téléphoné. Il m’a dit qu’il ne voulait pas qu’on se quitte comme ça. Il voulait qu’on se rencontre. Je lui ai dit : « Président, c’est trop tard. La boucle est bouclée ». Et il a compris. Le manque de reconnaissance, malheureusement, fait partie intégrante du sport de haut niveau. Le fait que certains dirigeants du PSG ne m’aient pas offert une sortie plus digne, cela les regarde. C’est une affaire entre eux et leur conscience. Moi, mes gars dans le vestiaire et les supporters, nous savons ce que nous valons. Et c’est tout ce qui compte pour moi aujourd’hui." Interrogé ensuite sur sa future expérience nantaise, il a tout de même évoqué à nouveau le Paris Saint-Germain à propos d'un éventuel retour : "J’ai signé deux ans et j’aurai 37 ans à la fin de mon contrat. Aujourd’hui, l’optique, c’est d’aller jusqu’à 38 ou 39 ans mais c’est vraiment prétentieux de penser ça. Je vais aller au bout de mon contrat comme j’ai toujours fait dans tous les clubs où je suis passé. Et puis après, on verra bien. Qui sait ? Peut-être jouer un an de plus si tout se passe bien. Peut-être intégrer l’encadrement ici. Peut-être repartir à Paris. Je ne sais pas." On aura en tout cas compris que cela ne devrait pas être le cas si Paul Le Guen est toujours en place... Mis en ligne par Baghib! |
Finale des 16 ans entre le PSG et l'OM au Touquet
12 juin 2008
12 juin 2008
Témoignage à une grande Maison !
|
Des temps sombres, temps de « guerre de tout le monde contre tout le monde », aggravée par la persistance des incursions sarrasines… Et vinrent des temps cléments !
Découvrir cette histoire à laquelle nous sommes liés, de Naples à la Sicile:
http://www.realcasadiborbone.it/fra/archiviostorico/cs_011.htm
Portemont, le 28 mai 2008
Lundi 16 juin 2008 à 20 heures, Soirée de Gala du quatorzième anniversaire de l’Association Unité Capétienne à l’invitation de En l’honneur de Leurs Altesses Royales le Prince et la Princesse de Bourbon des Deux Siciles Duc et Duchesse de Castro. Cercle de l’Union Interalliée Renseignements
|
À part mon père spirituel: le Sénateur/Maire UMP de Neuilly-Plaisance: Christian Demuynck, voici mes principaux modèles en politique:
12 juin 2008
12 juin 2008
Visite du Chef de l'Etat au Liban: au service de l'unité pacifiée du pays !
En se faisant accompagner de l'ensemble des chefs des partis politiques représentés au Parlement, Nicolas SARKOZY offre une image forte : celle de l'Union Sacrée de la nation française, tout entière engagée en faveur de l'unité pacifiée de la nation libanaise.
La France est arrimée au Liban par des liens d'amitié anciens, et tous les efforts déployés par notre diplomatie depuis un an indiquent assez qu'elle poursuivra cet engagement qui plonge ses racines dans l'Histoire.
Dans le même temps, Nicolas SARKOZY adopte, dans le jeu politique libanais, une position plus équilibrée que ce ne fut le cas dans le passé : il convient en effet, si nous voulons jouer efficacement un rôle de médiateur, que nos prises de positions ne renforcent pas les divisions partisanes, si funestes et parfois si sanglantes, au Pays du Cèdre.
Cette inflexion était nécessaire et s'inscrit, d'ailleurs, dans un renouvellement global de la politique étrangère de la France au Moyen-Orient, plus conforme à nos convictions, à nos intérêts et aux nouveaux équilibres dans cette région du globe.
Patrick DEVEDJIAN
Secrétaire Général de l'UMP