Previous month:
mars 2008
Next month:
mai 2008

0 billets

L'insurrection du ghetto de Varsovie

     Le 19 avril 1943, les nazis décident de déporter les derniers Juifs et pénètrent en force dans le ghetto encerclé : 16 officiers et 850 soldats participent à l'action. La résistance est pourtant très importante.

Affiche en deux parties : HALT à gauche, STOJ à droite.
Affiche en allemand et en polonais du 23 avril 1943 annonçant que le ghetto est bouclé :
le général SS Jürgen Stroop interdit à quiconque d'entrer dans le ghetto sous peine de mort.
Tous les laissez-passer antérieurs sont annulés.

     3000 Juifs participent à l'insurrection, mais seulement 600 sont armés, et mal armés. Ils profitent de leur connaissance du terrain, font communiquer entre eux les appartements en abattant des murs, se battent dans les caves transformées en "bunkers". Le combat est inégal, désespéré, ils le savent.

Photo du mur du ghetto dans lequel il y a une brèche. On ne distingue rien de l'intérieur du ghetto à cause de la fumée.
De la fumée sort d'une brèche du mur entourant le ghetto.

Les combats sont acharnés, les nazis doivent détruire les immeubles et prendre les caves, les unes après les autres.

Photo prise depuis l'entrée étroite d'une cave. Au fond, une couchette recouverte d'une couverture à carreaux.
Un dortoir aménagé par les combattants du ghetto dans une cave.
(Photo prise par les SS après la fin des combats).

Le général Jürgen Stroop doit faire venir des renforts: plus de 2000 hommes avec des chars, pour briser la résistance du ghetto.

Photo d'un groupe d'officiers allemands.
Le général SS Stroop, à droite, discute avec des officiers de la Wehrmacht, au 4ème jour de la révolte du ghetto de Varsovie.

Billet de banque polonais, avec une surimpression

Billet de banque polonais, avec une surimpression en polonais :
« LE GHETTO COMBAT »
Ce billet a circulé dans Varsovie.

Photo très contrastée : au fond, très clair, immeuble en cours de destuction avec de la fumée. Au premier plan, très sombre, 3 silhouettes de soldats allemands autour d'un canon.
Les soldats allemands doivent tirer au canon sur les immeubles dans lesquels se sont réfugiés les combattants juifs.
A la fin de la bataille, le ghetto sera rasé.

La fin du ghetto

A la fin, les Juifs sont pris ou se suicident. Bien peu réussiront à quitter le ghetto par les égouts.

Photo dans une rue pleine de gravats. Deux hommes en civil, hirsutes, lèvent les bras. Ils sont entourés par quatre soldats allemands armés, avec casques, qui les regardent.
Deux combattants juifs sont pris dans les ruines du ghetto.

Photo du mur du ghetto : une trentaine de personnes y son collés, tournant le dos, les mains en l'air appuyées sur le mur. Au sol des gravats. On ne voit pas de soldats.
Des Juifs capturés sont alignés contre le mur du ghetto. Au fond, une des portes du ghetto.
On remarquera qu'il s'agit presque exclusivement d'adultes. Pour la plupart, les enfants avaient déjà été pris.
7000 juifs furent exécutés sur place, 6000 autres périrent dans les incendies et la destruction du ghetto,

Photo d'une rue du ghetto. A gauche un immeuble brûle, des flammes sortent du premier étage. Sur la droite de la rue, assez loin, des groupes de civils marchent dans la fumée en s'éloignant de l'objectif.
Des Juifs capturés durant l'insurrection sont emmenés vers la "Umschlagplatz" (voir plan ci-dessus) dans un ghetto en flammes.

     Ceux qui ne veulent pas être capturés et déportés, se suicident à l'arrivée des S.S. C'est ce que fera le 8 mai 1943 le chef de l'Organisation Militaire Juive, Mordechaj Anielewicz.

Photo d'une femme qui se jette d'un balcon.
Femme accrochée à un balcon et qui va se jeter dans le vide à l'arrivée des SS.
Photo d'une façade d'immeuble de 4 étages. Un homme est e train de tomber, dans le vide, entre le 4ème et le 3ème étage.
Un homme se jette dans le vide du haut d'un immeuble. (Photo prise par les S.S. qui indiquent en légende "Bandit qui se suicide pour éviter l'arrestation")


     Le général Jünger Stroop peut déclarer à la mi-mai 1943, « le Quartier juif de Varsovie n'existe plus !» mais l'esprit des combattants du ghetto reste vivant.


Italie : Berlusconi proclame
sa victoire

C.J (lefigaro.fr) avec AFP et AP
Silvio Berlusconi votait dimanche à Milan. (AFP)
Silvio Berlusconi votait dimanche à Milan. (AFP)

D'après les premières projections, la droite menée par le « Cavaliere » remporterait les deux chambres du Parlement, obtenant au Sénat une large majorité absolue. Le candidat de la gauche Walter Veltroni a reconnu sa défaite.

Les législatives italiennes ont offert un come-back éclatant à Silvio Berlusconi. D'après des projections comme des résultats partiels, l'insubmersible «Cavalière» remporterait, avec une marge plus confortable que prévue, les deux chambres du Parlement. Des résultats partiels officiels portant sur 20% des bureaux de vote de la péninsule montrent que sa coalition de droite, formée du Peuple de la liberté (PDL), de la Ligue du Nord et d'un mouvement autonomiste sicilien, s'imposerait au Sénat avec 45, 47% des voix, contre 40,16% pour la gauche menée par l'ancien maire de Rome Walter Veltroni. D'après les calculs de la Rai, les troupes de Silvio Berlusconi décrocheraient 164 des 315 sièges du Sénat, soit la majorité absolue, contre 139 à la gauche. La droite est également donnée gagnante de 8,8 points à la Chambre des députés.

Fait surprenant, le milliardaire s'est fait très discret et n'est pas apparu à la télévision. Proclamant sa victoire, sans attendre les résultats définitifs des élections qui devraient tomber mardi au plus tard, il a même annoncé que «des mois difficiles» attendaient les Italiens. Au cours de cette interview téléphonique, accordée à la Rai Uno, il a précisé la composition de son gouvernement, qui réunira douze ministres dont quatre femmes. Pour son troisième mandat en tant que président du Conseil italien, Silvio Berlusconi a martelé que son nouveau cabinet restera aux affaires jusqu'àu terme de ses fonctions dans cinq ans, ajoutant ressentir une grande responsabilité à l'idée de reprendre les rênes de l'Italie.

Sa large avance, qui lui assure un gouvernement stable, a un goût de revanche. Lors des législatives de 2006, seulement 24.000 voix d'écart lui ont ravi la victoire. De son côté le leader de la gauche italienne Walter Veltroni a reconnu sa défaite, estimant que le résultat était «clair» et a téléphoné à son rival victorieux pour le féliciter.

Berlusconi : «Je suis prêt à porter la croix du gouvernement»

Le score décevant de la gauche au Sénat est une surprise pour les observateurs qui, sur la base des dernières enquêtes d'opinion publiées il y a deux semaines, misaient sur un match serré à la Chambre haute et une meilleure tenue de la gauche. L'héritage de 20 mois de gouvernement Prodi aura été trop lourd à porter.

Le Figaro


Démocratie !

250e_ahmad_tibi_15_04_08


Le député arabe israélien Ahmed Tibi a déclaré au forum de Doha qu'« Israël n'était pas une démocratie mais un Etat qui pratique l'apartheid ». Tsipi Livni, a répondu que « le simple fait que vous soyez un député de la Knesset qui puisse s'exprimer, prouve que nous sommes une démocratie ».


Tsipi Livni au Qatar : Un voyage

Par Hanna Mesguishe pour Guysen International News
   P90_livni                        Pour la première fois depuis 7 ans, la chef de la diplomatie israélienne a décidé d’œuvrer pour renouer les liens entre Israël et le Qatar. Après un entretien avec son homologue omanais, en marge du 8ème Forum de la démocratie, du développement et du libre-échange de Doha, Tsipi Livni devrait rencontrer plusieurs officiels qataris.

La chef de la diplomatie israélienne développe depuis de nombreuses années des rapports privilégiés avec les autorités qataries.

Des relations que cette dernière compte bien mettre à profit lors de son voyage de trois jours dans le pays, à l’occasion du 8e Forum de la démocratie, du développement et du libre-échange.
Les rencontres avec les responsables locaux se sont succédées, et les sujets essentiels de l’échiquier régional ont été débattus.

Dès son arrivée, dimanche soir 13 avril, Tsipi Livni, accompagnée par des dizaines de gardes du corps, s’est entretenue, sur un ton plutôt "amical et convivial", avec le Premier ministre local, Hamad ben Jassem ben Jabr al-Thani.

"Sept responsables arabes ont décliné l’invitation que nous leur avons lancée quand ils ont su que vous veniez. Ne me causez plus tant de problèmes" a déclaré en plaisantant, le ministre des Affaires étrangères qatari, Youssef ben Alawi ben Abdallah, également convié à la réunion.

En effet, l’ancien président iranien, Mohammad Khatami, le président du parlement libanais, Nabi Berry ou encore l’ancien ministre des Affaires étrangères libanais, Fawzi Salloukh, ont refusé de participer à ce forum, du fait de la présence de la ministre israélienne.

Une impression de déjà-vu pour les organisateurs de l’évènement. En 2006, c’est Tsipi Livni elle-même qui avait annulé son voyage à Doha à la dernière minute, expliquant qu’elle ne pouvait se retrouver à la même table que les membres du Hamas, également conviés à ce sommet.

Et si l’atmosphère était plutôt détendue au cours des rencontres israélo-qataries, la ministre israélienne a bien su garder en tête ses objectifs.
Elle a ainsi exhorté les ambassadeurs étrangers à œuvrer pour la libération des trois soldats détenus par les terroristes du Hamas et du Hezbollah, Guilad Shalit, Ehoud Goldwasser et Eldad Regev.

Après avoir loué les efforts déployés par le Qatar pour la résolution du conflit israélo-palestinien, Tsipi Livni n’a par ailleurs pas manqué d’aborder les thèmes fondamentaux de la scène proche-orientale, à savoir le dossier nucléaire iranien.

Et dans une volonté de renforcer l’unité des pays du Golfe persique contre la menace de la République islamique, cette dernière a déclaré au journal qatari "al Wattan" : "l’Iran constitue une véritable menace mondiale et régionale et nous ne saurions tolérer un Iran doté de l’arme nucléaire".

Autre sujet de discussion : la Syrie et les éventuelles négociations de paix avec Israël.
"Nous sommes conscients que la terre est un vrai problème. Un problème qui devra être débattu au cours de négociations avec Damas. Même avec Ahmed Qorei (le chef des négociations palestiniennes — ndlr) nous parlons de la terre" a expliqué Tsipi Livni au journal 'le Qatar tribune'.

Après un discours très attendu ce lundi soir devant le parlement qatari, la chef de la diplomatie israélienne devait s’entretenir avec l’émir omanais, le cheikh Hamad Bin Khalifa al-Thani, et le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.

Du ministre jordanien des Affaires étrangères, Salah Bachir, au président du Parlement européen, Hans-Gert Pöttering, en passant par l’ancien Premier ministre français, Dominique de Villepin ou l’ex-secrétaire américain à la Défense, William Cohen, ce sont autant de personnalités qui ont pu assister au "réchauffement des relations" israélo-qataries.

A noter que depuis la seconde Intifada, les liens entre les deux pays avaient plus ou moins été suspendus.

En janvier 2007, Shimon Pérès s’était certes rendu à Doha, afin d’assister à un débat parrainé par la BBC, mais pour ce qui est de Tsipi Livni, il s’agissait de son premier voyage dans un pays arabe autre que l’Egypte ou la Jordanie.

Une visite que beaucoup se sont alors empressés de qualifier d’historique. Reste maintenant à voir quelle en sera la portée politique…

Monsieur le Maire de Paris: Bertrand Delanöé faites comme le Prince de Monaco a fait pour son club, demander aux propriétaires du PSG de renvoyer tout de suite, le duo: Cayzac/Le Guen!

9638 062c40aa099b11dda16cbdfe406428bd 9649 9651 9654 9656 9660

9666 Nous avons une nouvelle fois perdu chez nous, au Parc des Princes! Cp_480288567beceune Roma_1259 Roma_1261 Cette fois-ci, pour la 33ème journée du championnat, contre l'OGC Nice (le club de Lionel Letizi. Voire Photo) (2 à 3) (buts de: Peguy Luyindula  et de Pedro-Miguel Pauleta) devant plus de 36.000 Supporters! La prestation de notre Gardien de But n°1: Mikaël Landreau a été encore été pitoyable! Il ne mérite plus du tout sa place de titulaire, ni en championnat et ni en Coupe de France! Il doit être remplacé pour jusqu'à la fin de la saison par notre Gardien de But n°2: Jérôme Alonzo! Au général, nous sommes à nouveau 18ème donc relégable en Ligue2!!! C'est pour cela que les propriètaires du club avec le Maire de Paris: Monsieur Bertrand Delanöé doivent dés aujourd'hui pousser vers la sortie le duo Cayzac/Le Guen et faire revenir immédiatement l'âme du club pour l'éternité: Luis Fernandez...Vous voyez, je ne suis pas un crétin sans cervele! Car, dans cette affaire, je me moque de l'étiquette socialiste du Maire de paris: Monsieur Bertrand Delanöé! C'est d'abord, la survie et le maintien du club de mon coeur (que je supporte depuis plus de 11 ans!) qui prime!

Jean-Pierre Renard