Un dionysien célèbre:
22 février 2008
envoyé par clemtom
envoyé par clemtom
J'ai le plaisir de vous annoncer solennellement, que mon amie sincère: Madame Evelyne Nicole, ma fait l'immense l'honneur de me choisir comme son Suppléant pour l'élection cantonale ou elle se présente à St Denis, sur le canton Nord-Est. La ville ou mon grand-père: Louis Renard est né! Ma grand-mère et ma tante allaient faire leurs courses au marché! Pour répondre à certains esprits chagrins, ce n'est ni une alliance de circonstance!Ni une fausse amitié!Je vais tout faire, pour que ma candidate ne regrette pas de m'avoir choisi! J'ai pu constater, hier soir, lors de la séance du Conseil Municipal de St Denis (ou je me suis déplacé, pour la soutenir!), combien mon amie sincère: Evelyne Nicol, était indispensable aux dionysiens, ainsi qu'à toute la Droite locale! Elle m'aura aussi et surtout permi de laver l'honneur de ma famille et cela n'a pas pas de prix! Pour finir, je tiens à rafraichir à ceux qui souhaiteraient se passer de mon amie sincère: Evelyne Nicol, qu'elle a été la seule à qualifier la Droite républicaine pour le second tour des Législatives sur notre circonscription en 20 ans (en 2002 et en 2007)!!! À méditer sérieusement par ces soi-disants bien penseurs (noveaux ou anciens, sur la scène politique dyonisienne)...!
Jean-Pierre Renard
Propos recueillis par Bruno Jeudy - Le figaro - 20/02/2008 | Mise à jour : 20:39
À 21 ans, le fils cadet du président de la République est candidat dans le canton sud de Neuilly. Entretien exclusif.
Avec les mêmes intonations de voix, une ressemblance de traits prononcée mais les cheveux blonds mi-longs et une tête de plus que son père, Jean Sarkozy entame à 21 ans une carrière politique. Un an plus tôt que son père, qui fut élu conseiller municipal de Neuilly à 22 ans. Candidat dans le canton de Neuilly-Sud, il veut «se battre », dit-il, pour sa ville. Il ne redoute pas le «combat politique» et assume les «risques». Y compris médiatiques. Pour Le Figaro, il explique les raisons de son choix.
LE FIGARO. Pourquoi vous présenter aux cantonales dans le canton de Neuilly-Sud ?
Jean SARKOZY. Je suis candidat parce que j'ai le sentiment que, pour moi, le moment est venu de m'engager au service d'une ville que je connais par cœur et que j'aime. J'ai envie d'être utile à cette ville pour laquelle j'ai un attachement profond, sincère. J'avais envie de me battre et notamment pour les autres. J'ai des choses à prouver.
N'avez-vous pas peur de gêner le président de la République ?
Non. C'est une élection locale. Le président de la République est, par nature, une personnalité d'envergure nationale. Ma démarche est une démarche humble et tout à fait locale. Je n'ai pas l'intention de m'arroger le droit d'investir le champ de la politique nationale.
Ne redoutez-vous pas de conforter ceux qui dénoncent une «monarchie élective» ?
Monarchie élective ? C'est quelque chose que je ne comprends pas. La démocratie se porte bien en France, il ne faut pas raconter n'importe quoi. Cette critique est particulièrement de mauvaise foi. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il y a du suspense, que les élections ne sont pas jouées d'avance à Neuilly.
Avez-vous l'investiture de l'UMP ?
Je ne suis pas le seul candidat de la majorité présidentielle. J'ai sollicité l'investiture UMP auprès du secrétaire départemental Jacques Gautier, et le soutien du Nouveau Centre auprès d'Hervé Marseille.
Qu'en pense Arnaud Teullé qui avait été initialement investi par l'UMP dans ce canton ?
Bien sûr, c'est une décision prise en accord avec Arnaud. Il a fait le choix de se présenter aux élections municipales et veut y consacrer toute son énergie.
Qui allez-vous soutenir entre Arnaud Teullé et Jean-Christophe Fromantin, le candidat investi par l'UMP ?
Je vais respecter la plus grande neutralité. Je ne souhaite pas intervenir dans le débat des municipales. Je réserverai à l'isoloir le secret de mon vote.
Vous faisiez équipe avec David Martinon et Arnaud Teullé. N'avez-vous pas l'impression d'avoir trahi l'un puis l'autre ?
Je n'ai jamais trahi personne. Je regrette sincèrement l'incompréhension qui s'est installée. J'ai apporté à la campagne ma contribution franche et loyale. J'ai averti très régulièrement le candidat des problèmes que nous rencontrions. Je l'ai fait de la façon la plus franche qui soit.
Que vous inspirent les accusations dont vous êtes l'objet ?
On fait des raccourcis. C'est le débat politique qui veut ça. Je ne m'en offusque pas. Je m'engage dans une campagne, je sais quelles en sont les règles et je les respecte. Mais je ne me considère pas comme une personnalité, encore moins comme une personnalité médiatique. Je sais que la campagne sera exigeante.
Avec cette candidature, allez-vous abandonner le théâtre et le droit ?
Je suis passionné par l'art dramatique, c'est vrai, comme je le suis par plein de choses. Je souhaite poursuivre ma formation de juriste. Mais aujourd'hui, je m'investis pour ma ville et je me mets au service des Neuilléens du canton sud. Je serai un conseiller général pleinement disponible. Je suis un bosseur, j'aime le travail bien fait.
Quels conseils vous a donnés votre père, le président de la République ?
Le président ? Il ne m'a donné aucun conseil. Mon père ? Il m'a dit de rester moi-même et de prendre mes responsabilités. Je suis un militant UMP, je suis très conscient des enjeux. C'est un combat particulièrement noble, même si je sais qu'il y aura des difficultés.
Qu'avez-vous répondu à Patrick Devedjian, qui vous avait conseillé de «vous mettre au vert» ?
Je n'ai pas eu de contact avec le secrétaire général de l'UMP. Ce n'est pas parce que mon père s'est investi en politique que ça m'interdit de m'investir pour ma ville. Ce n'est pas une nomination, c'est une candidature. C'est un risque à prendre, c'est un risque assumé.
Aujourd'hui, c'est la fête d'une de mes meilleures amies (sincère, elle!), une grande et trés ancienne pierrefittoise: Madame Aimée Bertaud.
Jean-Pierre Renard
17:59 | 20/02/2008 Le Point.fr
Par Jamila Aridj et Charlotte Chaffanjon
Comme Le Point.fr l'annonçait en exclusivité mercredi en début d'après-midi, Jean Sarkozy sera le candidat de l'UMP aux élections cantonales partielles de Neuilly. Sa suppléante sera Christiane Basset, adjointe au maire de Neuilly.
Le fils cadet du président de la République qui, la semaine dernière, avait mis de côté ses ambitions municipales depuis l'annonce de l'investiture par l'UMP du candidat dissident de droite Jean-Christophe Fromantin, briguera donc un siège au conseil général des Hauts-de-Seine, département présidé par son père de 2004 à 2007.
La candidature incertaine d'Arnaud Teullé
Jean Sarkozy âgé de 21 ans, a expliqué que cette décision avait été prise "en plein accord" avec Arnaud Teullé, qui était jusqu'à présent candidat sur ce canton et qui conduit également, sans le soutien de l'UMP, une liste aux municipales à Neuilly. Les deux hommes se sont récemment opposés à la candidature de David Martinon pour les municipales de Neuilly. Selon Jean Sarkozy, Arnaud Teullé "souhaite se consacrer exclusivement à la campagne des élections municipales".