Interdisons les grèves pendant les vacances !
Chers amis, chers compagnons de l’UDR,
Chaque année, lors des fêtes de Noël, la vie des Français est gâchée par une poignée de grévistes qui prennent en otage les transports en commun. À l'approche de Noël, ces mouvements sociaux constituent un chantage qui prive des millions de familles de la joie de se retrouver et de partager des moments essentiels. Cette année encore, la grève illimitée de la SNCF, à partir du 11 décembre, fait de la « greviculture » de certains syndicats une tradition nationale.
Il est temps d'agir pour protéger les Français, leur liberté de travailler et de circuler.
Le groupe UDR vient de déposer une proposition de loi ambitieuse. Inspirée par le modèle italien, elle vise à rétablir un équilibre juste entre le droit de grève, que nous respectons, et le droit fondamental et constitutionnel des Français à se déplacer librement.
Nos mesures sont claires et puissantes :
La France suit une moyenne de 114 jours de grève par an pour 1 000 salariés, un record européen. Il faut agir ! La liberté, comme le rappelle la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, consiste à « pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ». Il est donc urgent de mettre en place des règles pour que des millions de Français ne soient plus victimes de ces blocages abusifs.
Avec cette proposition de loi, l’UDR s’engage à défendre une France libre, où chacun peut circuler sans contrainte, même en période de grève. Cassons le diktat des syndicats d'extrême gauche.
Nous appelons l’ensemble des Français à nous rejoindre pour soutenir cette initiative qui incarne notre vision d’un État fort, garant des libertés et protecteur de nos concitoyens. Votre soutien est essentiel. Si vous ne l’avez pas encore fait, adhérez et faites adhérer à l’UDR !
Votre soutien est essentiel. Ensemble, nous pouvons mettre fin à cette prise en otage des Français et restaurer un équilibre juste entre les droits de chacun. En adhérant à l’UDR, vous rejoignez un mouvement déterminé à défendre les libertés fondamentales et les valeurs qui unissent notre nation.
Nous comptons sur vous. Ne laissons plus les intérêts d’une minorité l’emporter sur le bien commun.
Avec toute ma détermination,
Fidèlement,
Éric Ciotti
Président de l’Union des Droites pour la République (UDR)
Le 17 novembre 1959:
le Général de Gaulle prononce un grand discours devant les élèves de l’École Nationale d'Administration, créée par son gouvernement en 1945, sur ce que signifie la fonction « la plus importante et la plus noble qui soit dans l'ordre temporel : le service de l'État » :
« Messieurs,
Je n'ai pas besoin de vous dire combien j'apprécie les paroles que vient de prononcer le Président Cassin. J'ai l'honneur de me trouver aujourd'hui à l'École Nationale d'Administration, honneur qui se renouvelle après 14 ans, puisqu'il y a tantôt 14 ans je pus ouvrir solennellement l'École.
J'avais à ce moment-là à mes côtés un bon conseiller qui m'avait proposé cette réforme et dont les travaux furent à la base de l'ordonnance qui, la réalisée. Il est toujours bon conseiller, il est maintenant Premier ministre. J'avais à mes côtés la haute personnalité qui, à l'époque, inspirait au premier chef les études et conseils qui ont délibéré du sujet, l’était à ce moment-là à la tête du Conseil d'État et il y est encore. J'avais à ce moment-là également à mes côtés un éminent directeur. Il est toujours éminent, il est toujours directeur.
Et quant à vous, Messieurs, vous ressemblez étonnamment à ceux qui vous ont précédés, en ce sens que vous êtes, comme eux, des hommes appelés par votre vocation et vos capacités à exercer la fonction la plus importante et la plus noble qui soit dans l'ordre temporel, je veux dire : le service de l'État. Vous arrivez, bien que votre Institution n'ait pas changé beaucoup ni d'objet, ni d'aspect, vous arrivez à la veille de la vie active, à une époque où c'est l'État lui-même qui s'est profondément transformé dans ses pouvoirs. Je n’épiloguerai pas sur les causes qui ont déterminé cette mutation.
Il y a eu, certes, une cause immédiate, fortuite, contingente, mais elle n'aurait pas eu son effet si ne s'étaient pas, d'abord, accumulées les nécessités de changement des pouvoirs publics. On ne pouvait pas continuer, dans une société française moderne d'avoir des pouvoirs qui embrassaient des contradictions permanentes, qui se trouvaient disperses entre des tendances fractionnaires et opposées et qui, par conséquent, ne pouvaient proposer au pays une action forte et continue, par-dessus les intérêts et les préjugés.
Du rôle de l'État en France - je n'ai pas à vous l'apprendre - on peut dire ce que Paul Valéry disait de celui de Paris : « Il est immense et singulier ». Mais j'ajoute qu'il faut qu'il soit conforme à l'esprit du temps. Or, nous vivons à l'époque des machines, où l'efficacité, la concentration, la vitesse, sont des conditions indispensables à l'entreprise et au rendement. Ce sont donc elles qui s'imposent au fonctionnement de l'État. Aussi, l'État a-t-il dû prendre une structure et une figure très différentes de ce qu'étaient hier les siennes. Une grande réforme était donc nécessaire. Elle a été accomplie, et Dieu a voulu que, pour la première fois dans notre Histoire, cette révolution-là l'ait été sans que coulât une seule goutte de sang.
Mais, Messieurs, quelles que soient les institutions et quels que soient les hommes qui ont à les appliquer et à en répondre, il est bien évident que rien n'est possible à l'État si ses pouvoirs n'ont pas à leur disposition une administration qui soit adéquate à eux-mêmes. C'est pour cela que s'est posée, des 1945 et en prévision de ce qui devrait un jour survenir quant à ces pouvoirs, la question d'une École Nationale d'Administration.
Il était clair, en effet, que la tâche de l'État français exigeait que son administration, elle aussi, subit une transformation profonde. C'était vrai à l'intérieur, où le domaine de l'action publique est de plus en plus complexe et varié. C'était vrai Outre-mer, où les pays qui étaient naguère les au notre par « le pacte colonial » acquièrent leur personnalité nationale, tout en nous demandant les concours nécessaires à leur développement. C'était vrai à l'étranger, où la solidarité accrue, les dis- tances raccourcies, les contacts multipliés, entraînent un changement de nature dans nos relations avec les autres puissances, on il n'est plus possible à un diplomate de s'en tenir aux manèges d'autrefois, où il lui faut, au contraire, s'occuper de toutes les sortes de choses qu'embrasse la vie d'aujourd'hui.
A cette tâche croissante, diverse et compliquée qui est désormais celle de l'État, devait répondre une formation nouvelle de ceux qui ont à le servir dans son Administration. De là est née votre École.
Il fallait d'abord, que ceux qui servent aux premiers rangs constituent une élite intellectuelle et morale. Votre recrutement a été prévu en conséquence. Il fallait aussi, puisque l'activité de l'État est devenue plus grande et plus variée au point de vue national et au point de vue international, que les premiers de ses serviteurs aient acquis une connaissance aussi complète que possible de l’ensemble national et des données internationales.
Il y a la une sorte de culture générale qui doit être la base de votre formation. Il fallait encore, puisque toutes les branches dans lesquelles l'État intervient sont interdépendantes, que ceux qui auront à agir pour son compte procèdent d'un fonds commun, reçoivent une formation commune, se connaissent personnellement d'un bout à l'autre de leur carrière, bref constituent un tout homogène. De fait, cela est en train de se réaliser depuis le bas jusqu'en haut. Il fallait enfin, qu'avant de se lancer dans la vie responsable, les jeunes gens qui auront l'honneur et porteront la charge de l'action publique soient placés pendant quelques temps dans des conditions de réflexion, de travail, de sérénité, qui leur permettent de préparer leur esprit et leur caractère au grand devoir qui va leur incomber.
Eh bien, au fur et à mesure que vos promotions déferlent sur l'ancien glacis de la fonction publique, on s'aperçoit, en effet, de la transformation qui s’y produit progressivement. Au point de vue de l'esprit et à celui du fonctionnement, nos administrations se ressentent de ce sang nouveau et montrent que la cohésion nécessaire est en train de s'établir entre elles, comme d'ailleurs et en même temps à l'intérieur des pouvoirs publics. Pour ma part, c'est avec confiance que j'envisage le moment où de hauts-fonctionnaires sortis de cette École accéderont aux postes de direction.
Messieurs, en terminant, je salue votre vocation. Je vous adresse tous mes vœux pour votre carrière. Je vous félicite de l'entreprendre à une époque où l'État se renouvelle et où la France se redresse. »
Le 16 novembre 1952:
Mort de l'homme politique et surtout Monarchiste français: Charles Maurras
Après avoir reçu les derniers sacrements le 13 novembre, Charles Maurras, dont tout le monde connaît la totale surdité, dit :
« Pour la première fois, j'entends quelqu'un venir. »
Il réclame son chapelet et meurt. Peu de temps avant il a dit :
«Ma vie s'achève. J'ai beaucoup travaillé pour la France, pour ce beau pays de qui j'ai tout reçu. J'aurais aimé vivre encore quelque temps pour continuer à le servir, pour le voir sortir de ses ruines et rentrer dans son ordre monarchique et catholique, retrouver ses traditions. Toute ma vie j'ai lutté et je lutterai encore pour ce trésor de beauté, de sagesse et de sainteté. Je sais que je n'aurai pas travaillé en vain. […] Mon œuvre plaidera pour moi devant Dieu qui me jugera. »
AM ISRAËL HAÏ !
M0I CE SOIR, JE SUIS AU STADE DE FRANCE À ST DENIS AVEC MES SŒURS ET MES FRÈRES ISRAÉLIENS, POUR SOUTENIR L'ÉQUIPE NATIONALE D'ISRAËL FACE À L'ÉQUIPE DE FRANCE ! PAR SOLIDARITÉ AUSSI VIS-À-VIS DE TOUTES MES SŒURS ET VIS-À-VIS DE TOUS MES FRÈRES DE LA COMMUNAUTÉ JUIVE FRANÇAISE. DONC POUR LUTTER CONTRE L'ANTISIONISME ET CONTRE L'ANTISÉMITISME !
NOUS (CEUX QUI SOUTIENNENT PAR SOLIDARITÉ ET PAR AMOUR POUR LA CAUSE SIONISTE. QUE NOUS SOYONS JUIFS, CATHOLIQUES OU MUSULMANS) AVONS: ISRAËL 79 ÈME ÉQUIPE AU NIVEAU MONDIAL FACE À LA NUMÉRO 2 MONDIALE: LA FRANCE, CHEZ ELLE, DEVANT 16.000 (DON LES 2/3 ÉTAIENT DE NOTRE CÔTÉ !!! JE RÉPONDS AU DÉPUTÉ LFI DE MONTREUIL SOUS BOIS QUI A OSÉ DIRE QUE LES 64.000 ABSENTS C'EST PARCE QU'ILS SOUTENNAIENT LA CAUSE PALESTINIENNE...NON MONSIEUR, CELA N'A ABSENTS RIEN À VOIR. DÉSOLÉ. C'EST JUSTE QUE APRÈS TOUTE LA CAMPAGNE NAUSÉABONDE DE VOTRE PARTI: LFI CONTRE CE MATCH CONTRE ISRAËL ET DONC CONTRE LES JUIFS DE FRANCE...CEUX QUI NE SONT PAS VENUS ONT JUSTE EU PEUR 😱 POUR LEUR VIE !!! ET RIEN DE PLUS !).
BRAVO À NOTRE GARDIEN DE BUT: DANIEL PERETZ. DÔME DE FER - כיפת ברזל 👍
SURNOMMÉ AINSI DEPUIS LE MATCH D'HIER SOIR !! 🇮🇱🙏QUI A RÉALISÉ UNE EXCELLENTE PRESTATION. IL A EU LA MEILLEURE NOTE DU MATCH AVEC 8/10. AINSI QU'À L'ENSEMBLE DE NOTRE DÉFENSE.
PERSONNELLEMENT, CONTRAIREMENT À CE QUI A ÉTÉ DIT À LA TÉLÉVISION 📺, DANS LA PRESSE ÉCRITE ET À LA RADIO 📻, J'AI BEAUCOUP AIMÉ CE MATCH SPORTIVEMENT PARLANT COMME DANS LES TRIBUNES !
PROCHAIN ET DERNIER MATCH D'ISRAËL POUR CETTE LIGUE DES NATIONS EN FOOTBALL ⚽️, DIMANCHE 17 NOVEMBRE CHEZ NOS AMI(E)S HONGROIS: BELGIQUE/ISRAËL...
LONGUE VIE À ISRAËL !
BIEN CORDIALEMENT,
Jean-Pierre Renard
ANCIEN CONSEILLER MUNICIPAL GAULLISTE DE PIERREFITTE SUR SEINE
SIONISTE/CHRÉTIEN DEPUIS PLUS DE 35 ANS !!!
Pour info dans la sélection Israélienne de foot qui a joué contre l’équipe de France ce jeudi au Stade deFrance à St Denis,
Il y avait 3 arabes israéliens .
Apartheid quand tu nous tiens...!!!
Dans l’équipe d’Israël il y avait de tout :
- arabes
- éthiopiens
- ashkénazes
- séfarade
- non juif
- russe ect...
Mais avant tout ils sont Israéliens .
Vous connaissez beaucoup de pays avec cette diversité .
Mr Macron , Mr Barnier , Mr Hollande , Mr Sarkozy .
Bonne nuit à tous.
Jean-Pierre Renard
Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Sioniste/chrétien depuis plus de 35 ans !!!
Les commentaires récents