La Palestine n’a jamais été terre d’islam. Point final.
 
Que cela plaise ou non aux tenants de la conquête islamique et aux adeptes de la victimisation arabe, la vérité historique est claire : la Palestine a toujours été juive. Elle l’était bien avant Mahomet, avant l’islam, avant les califats, et elle l’est aujourd’hui sous le nom d’Israël.
 
Cette réalité, évidemment, dérange. Elle dérange les musulmans enfermés dans leur fantasme de domination, elle dérange les Arabes convaincus que toute terre foulée un jour par un pied musulman leur appartient pour l’éternité, et elle dérange la communauté internationale, toujours prompte à plier le genou devant l’idéologie de l’Islam, même au prix de la vérité.
 
Mais les faits sont têtus.
 
En 1947, l’ONU a reconnu ce lien éternel entre les Juifs et leur terre ancestrale. Et en 1948, ce lien s’est matérialisé par la proclamation de l’indépendance de l’État d’Israël sur une terre que les Juifs n’avaient jamais cessé d’habiter, sauf quand un grand nombre d’entre eux en furent chassés par les envahisseurs arabes et autres occupants. Depuis, les Israéliens, unis, ont fait refleurir cette terre désertique, l’ont bâtie, défendue, aimée, et en ont fait une démocratie florissante au cœur d’un océan de dictatures.
 
Et pour que les choses soient parfaitement claires : Jérusalem est, et restera, la capitale éternelle d’Israël.
 
Alors oui, certains musulmans éclairés, cultivés, honnêtes, reconnaissent que la Palestine n’a jamais été une terre d’islam, et qu’elle ne le sera jamais. Ce serait bien que les autres suivent. Il est temps de sortir du délire victimaire, de cesser d’agiter les mensonges comme des drapeaux, et de regarder l’histoire dans les yeux.
 
Car ce n’est pas la vérité qui doit s’adapter à l’idéologie, mais l’idéologie qui doit plier devant la vérité.
 
J’assure les israéliens de mon estime et je redis mon admiration pour le peuple juif.
 
Martine Ganem
 
 
 
 

Le 7 Août 1785. 

Mort de Louis Antoine de Bourbon.

Louis Antoine Jacques de Bourbon, infant d'Espagne, comte de Chinchón, né à Madrid le 25 juillet 1727 et mort à Arenas de San Pedro le 7 août 1785, est un prince espagnol de la maison de Bourbon. Il a été successivement infant d’Espagne, cardinal-prêtre de Santa Maria della Scala, archevêque de Tolède et primat de l'Espagne puis enfin archevêque de Séville. Louis est le fils de Philippe V d'Espagne et de sa deuxième épouse Élisabeth Farnèse. À la mort de son père, il renonce à l’état ecclésiastique.

Le 28 janvier 1776, il épouse à Tolède María Teresa de Vallabriga y Rozas (1758 – 1820), fille de Luis de Vallabriga, majordome de Charles III, et de María Josefa de Rozas y Melfort, comtesse de Castelblanco.

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Louis de Bourbon, infant d'Espagne, peint par

Anton Raphael Mengs. Musée d'art de San Diego.

https://www.lysroyaldefrancelouisxx.fr/

 


Le chiffre de la semaine

112 920 : c’est le nombre de soldats français morts au combat entre 1803 et 1815.

Si ce chiffre reste sujet à débat, selon Jacques Houdaille, 347 080 soldats seraient morts des suites de blessures ou d’épidémies, et 399 000 auraient été portés disparus ou faits prisonniers sur la même période.

On constate ainsi que le combat en lui-même ne tue pas autant qu’on pourrait le croire.

Les blessures, les infections et les maladies ont causé bien plus de ravages que les canons.

À noter que ce chiffre ne concerne que les soldats français, et n’inclut ni les alliés étrangers, ni les ennemis.

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Le grenadier blessé - huile sur toile - Horace Vernet 

 

 


Ma citation du jour:

" Assez d 'organisations internationales ! Ensuite , on ne peut plus s'en débarrasser ! Encore des fonctionnaires internationaux qui ne paieront pas leurs impôts et qui bénéficieront de privilèges . Ça suffit comme ça ! "

(CHARLES DE GAULLE (1890-1970 ) 

(Conseil des ministres du 12 février 1964 . " UNE CERTAINE IDÉE DE LA FRANCE ") 


Une nouvelle dédicace personnelle pour mon ami pierrefittois d'origine polonaise:

Michel Swiatek 

Soulèvement de Varsovie 1944.

Sur les décombres de Hospital Street, à l'ombre du Prudential détruit - un symbole du pouvoir d'avant-guerre de la capitale, se dresse un groupe d'insurgés du groupe III "Konrad". Parmi eux kpr. pchor. Janusz Paszy chien psski. Machnicki - deuxième en partant de la droite. Sur la gauche se trouve Jan Kruk ps. « La Carpe ».

Bien qu'ils sachent qu'ils n'arriveront peut-être pas à l'aube, ils ne reviendront Ils se battent avec un courage qui ne s'achète pas - en espérant que leur sacrifice ouvrira la voie à ceux qui viendront pour eux

C'est toujours la même rue D'autres fois. Varsovie aujourd'hui - reconstruite, moderne, animée de vie. Quelqu'un parle au téléphone, quelqu'un d'autre pousse la poussette avec un bébé... et au milieu de ce monde - un souvenir de ceux qui ont tout donné pour que cette ville puisse respirer à nouveau la liberté🤍❤️

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Photo de la collection du musée de l'insurrection de Varsovie 


Le 6 août 1805.

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A Boulogne où il se trouve depuis le 2 août, l'Empereur français Napoléon Ier apprend par ses agents a Vienne; que l'Autriche (financée abondamment par l'Angleterre qui craint un débarquement français sur ses plages); s'apprête a lui déclarer la guerre.

Napoléon décide immédiatement d'un plan d'attaque. (Mémoires de Bourienne).


Hélas 

Cher Jean Pierre.

La vérité personne n’en veut.

Israël se bat pour le monde entier.

Pour l’Europe 

Nous avons les mêmes ennemis.

Il n’y a pas de gazaouis innocents

C’est eux qui détiennent nos otages 

Qui les affament

Les violent

Leur font subir les pires sévices 

Sous l’indifférence 

Mais on tape sur Israël 

Qui se défend dans l’honneur

Avec une armée exemplaire.

7 fronts à eux tous seuls

Et maintenant les Druzes syriens à défendre 

Je suis fière de mon pays d’amour 

La France est devenue le paillasson du monde arabe.

Il s’en réjouissent et jubilent 

Comme quoi faire le mal

Tuer des civils un jour de grande fête juive

Égorger violer brûler des enfants

Prendre des enfants en otage 

Même un bébé de 9 mois son frère 4 ans et sa mère tués a mains nus.

Ça passe crème dans ce monde 🌍 

Ou le mal prospère 

Dans un silence de plomb.

Daisy Sylvia Bensussan Ouddiz


Le 22 mai 1965.

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Fresnay-sur-Sarthe. Elle le voit pour la première fois. Mais elle l'admire depuis 25 ans. Lui ne la connaît pas. Mais il tient à la saluer. Agent de liaison à 16 ans, rescapée de Buchenwald, elle est la France qui s'est battue. Et a vaincu. Andrée Dupont-Thiersault.