20 juin 2025
Le 20 juin 1944
Jean Zay tombait sous les balles de la Milice.
Ministre du Front populaire, réformateur de l’École et de la Culture, visionnaire et engagé, il fut emprisonné, persécuté, assassiné.
Parce qu’il était juif par son père, protestant par sa mère, franc-maçon par conviction.
Parce qu’il croyait à la République, au savoir, à la jeunesse.
Parce qu’il portait haut une certaine idée de la France.
À 39 ans, il meurt pour ses convictions.
Ses derniers mots : « Vive la France ».
Aujourd’hui, son nom résonne au Panthéon.
Jean Zay nous rappelle que la République ne se défend qu’en actes.
Il fut notamment à l'origine de la création du festival international de cinéma de Cannes.
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