Le 20 juin 1944

Received_1659132764761333

Jean Zay tombait sous les balles de la Milice.

Ministre du Front populaire, réformateur de l’École et de la Culture, visionnaire et engagé, il fut emprisonné, persécuté, assassiné.

Parce qu’il était juif par son père, protestant par sa mère, franc-maçon par conviction.

Parce qu’il croyait à la République, au savoir, à la jeunesse.

Parce qu’il portait haut une certaine idée de la France.

À 39 ans, il meurt pour ses convictions.

Ses derniers mots : « Vive la France ».

Aujourd’hui, son nom résonne au Panthéon.

Jean Zay nous rappelle que la République ne se défend qu’en actes.

Il fut notamment à l'origine de la création du festival international de cinéma de Cannes. 

Commentaires

Vérifiez votre commentaire

Aperçu de votre commentaire

Ceci est un essai. Votre commentaire n'a pas encore été déposé.

En cours...
Votre commentaire n'a pas été déposé. Type d'erreur:
Votre commentaire a été enregistré. Poster un autre commentaire

Le code de confirmation que vous avez saisi ne correspond pas. Merci de recommencer.

Pour poster votre commentaire l'étape finale consiste à saisir exactement les lettres et chiffres que vous voyez sur l'image ci-dessous. Ceci permet de lutter contre les spams automatisés.

Difficile à lire? Voir un autre code.

En cours...

Poster un commentaire

Vos informations

(Le nom et l'adresse email sont obligatoires. L'adresse email ne sera pas affichée avec le commentaire.)