07 juillet 2025
Ma citation du jour
Ma citation du jour
Décès du Député LR Olivier Marleix
Personnellement, je suis très touché par sa mort.
Nous nous étions rencontrés lorsqu'il dirigeait l'UJP (les jeunes gaullistes), il y a bien longtemps !!! J'en fut pendant un temps, adhérent. C'était un élu de la République Française, d'une très grande valeur. Du genre de mon mentor en politique: Eric Raoult!
C'était comme moi, un grand gaulliste de conviction. Le gaullisme et la souveraineté de la France chevillés au cœur ! Une passion commune pour la chose publique !!!
J'adresse mes très sincères condoléances à son épouse, à ses deux enfants ainsi qu'à son parti politique: Les Républicains (qui fut le mien pendant près de 19 ans !!! Et dont il fut Député pendant 13 ans et Président de Groupe à l'assemblée nationale pendant 2 ans).
Personnellement, il m'est arrivé de nombreuses fois, ces derniers temps de penser à en passer par la même extrémité que Monsieur Olivier Marleix après des difficultés et des déceptions sur tous les plans…!!!
Jean-Pierre Renard
Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Ancien Vice-président du Comité de Jumelage de Pierrefitte Sur Seine
Ancien membre du Comité départemental de l'UMP 93 et de LR 93 de 2002 à 2019 et en 2021
Ancien Délégué de Ville UMP de Pierrefitte Sur Seine, en 2008
Ancien candidat suppléant aux élections législatives sur la 2 ème circonscription de la Seine Saint Denis, pour LR
Ancien candidat suppléant aux élections cantonales sur le canton de St Denis, pour l'UMP
Membre de l'UDR
Le point culture de Karim Ouchikh
Qu’il me soit permis de rendre hommage ici à Georges Mandel, cette brillante personnalité politique de la IIIème République, internée par Vichy, puis déportée par les nazis, qui fut assassinée le 7 juillet 1944 par la Milice, parce que juif, en la forêt de Fontainebleau.
Aux hommes de courage, la patrie reconnaissante.
Le 7 Juillet 1585.
Le Roi de France Henri III est contraint de signer avec les Guise la paix de Nemours, qui annule toutes les mesures de tolérance à l’égard des Protestants, et prend la tête des armées catholiques. Henri de Navarre et Henri de Condé sont déclarés inaptes à la succession.
Le 10 juin 1584, le duc d'Anjou, François d'Alençon, meurt. Henri III n'a pas d'enfant et il est douteux qu'il en ait un jour. Le successeur légitime devient le chef du parti protestant de Navarre. Les catholiques ne veulent en aucun cas d'un souverain protestant qui risquerait d'imposer sa religion à tout le royaume. Ils cherchent à faire adopter une nouvelle condition à l'accès au trône : être catholique. Au printemps 1585, la Sainte Ligue revigorée prend le contrôle de nombreuses villes. Tentant de contrôler la Ligue, Henri III s'en déclare le chef le 7 juillet 1585. Pour donner des gages à la ligue, il publie l'édit de Nemours qui l'oblige à rompre avec le roi de Navarre.
Henri III révoque tous les édits de tolérance précédents : l'exercice du culte protestant est interdit. Les protestants doivent abjurer ou s'exiler. Les ministres protestants doivent sans délai quitter le royaume sous peine de mort. Pour donner des gages à la Sainte Ligue, Henri de Navarre et Henri de Condé sont déclarés inaptes à la succession au trône.
Portrait du Roi Henri III peint par François Quesnel, vers 1588.
Le 7 Juillet 1815.
Bataille de Guérande pendant la Chouannerie de 1815.
La bataille de Guérande a lieu le 7 juillet 1815, lors de la chouannerie de 1815. Elle s'achève par la victoire des impériaux qui repoussent une attaque des chouans contre la ville fortifiée de Guérande.
Guérande, dessin de Thomas Drake et lithographie d'Henri Daniaud, 1860.
Il y a 63 ans, les Français d’Algérie devaient abandonner séance tenante leurs terres, leurs biens, leurs maisons, leurs entreprises, leurs commerces, et se hâter dare-dare, d’embarquer pour regagner la métropole, bien souvent sans un sou, pour éviter d’être massacrés par les égorgeurs du FLN, dans l’indifférence voire la complicité du pouvoir gaulliste.
Faisant fi de toutes les règles d’humanité et de compassion, De Gaulle avait même donné des ordres stricts pour qu’on les laissa tomber, à l’image des harkis qui s’étaient battus pour la France, et que l’on sacrifiait désormais. Des milliers d’entre eux périront. Les plus anciens se souviennent des insultes de ce grand humaniste de Gaston Deferre, qui refusa l’arrivée de nos compatriotes à Marseille, aidé en cela par les dockers CGT du port.
Certains historiens pensent, que De Gaulle se vengeait ainsi de la population française d’Algérie, qui longtemps, lui avait préféré le Maréchal Pétain, Maxime Weygand, le général Giraud et tous les chefs militaires, comme Alphonse Juin, qui avaient contribué à la formation de l’armée d’Afrique, qui fit des merveilles en Tunisie, en Corse, en Italie et jusqu’à Berchtesgaden, redorant le blason de la France.
Et bien au même moment, à la toute fin juin 1962, un Chef d’État espagnol, Francisco Franco pour ne pas le nommer, eut, à l’égard de malheureuses familles qui erraient sur les pontons du port d’Oran, un geste des plus humains et des plus magnanimes.
Il faut rappeler l’Histoire et savoir s’en souvenir. La France et les Français paient aujourd’hui les ignominies d’un pouvoir, qui chose rare dans l’Histoire, abandonna ses propres ressortissants. La grandeur gaulliste a côtoyé les pires des trahisons, 53 ans après, l’Algérie nous insulte et nous nargue, l’Histoire n’oublie rien.
Alors que des milliers de Français, avec femmes, enfants, bébés, vieillards, s’agglutinaient le long des quais d’Oran, menacés à chaque instant d’être trucidés, Franco imposa à De Gaulle, qui le lui avait un temps refusé, d’envoyer deux bateaux, Le Victoria, et le Virgen de Africa, pour transborder vers Alicante « cette misère humaine ». Cela s’est passé les 29 et 30 juin 1962. Franco avait ordonné à sa marine de guerre et à son aviation, d’accompagner les Ferrys, pour le cas où.
2.200 passagers furent ainsi embarqués et arrivèrent à Alicante, sous les « Viva Franco » et « Viva España ». Ils avaient, eux, échappé aux sbires du FLN, qui quelques jours plus tard assassinèrent plusieurs centaines de nos compatriotes. L’ironie de l’Histoire, beaucoup de parents de ces malheureux pieds-noirs qui furent sauvés par l’Espagne, avaient combattu dans les rangs révolutionnaires durant la guerre civile, contre les armées nationales. On mesure ici toute la grandeur d’un homme d’État.
Lors de l’embarquement, les militaires espagnols s’opposèrent à la police de De Gaulle, qui, munie de listes, entendait arrêter des membres de l’OAS qui pouvaient se trouver parmi les secourus. Franco ne le permit pas. Des milliers de Français, qui s’étaient opposés au pouvoir gaulliste trouvèrent aussi refuge en Espagne en ces années-là. Sachons retenir les leçons de l’Histoire.
Michel Festivi
Ma citation du jour:
" NOTRE SYSTÈME MILITAIRE A ÉTÉ BÂTI EXCLUSIVEMENT EN VUE DE LA DÉFENSIVE .
SI L'ENNEMI ATTAQUE DEMAIN , JE SUIS CONVAINCU QUE NOUS LUI TIENDRONS TÊTE .
MAIS , S'IL N'ATTAQUE PAS , C'EST
L'IMPUISSANCE TOTALE . OR , À MON AVIS ,
L'ENNEMI N'ATTAQUERA PAS , DE LONGTEMPS .
SON INTÉRÊT EST DE NOUS LAISSER CUIRE DANS NOTRE JUS ... PUIS , QUAND IL NOUS JUGERA LASSÉS , DÉSORIENTÉS , MÉCONTENTS DE NOTRE PROPRE INERTIE , IL PRENDRA EN DERNIER LIEU L ́ OFFENSIVE CONTRE NOUS . "
LETTRE ÉCRITE PAR CHARLES DE GAULLE À
L'ATTENTION DE PAUL REYNAUD , LE 22 OCTOBRE 1939 .
" UNE CERTAINE IDÉE DE LA FRANCE ! "
Une nouvelle dédicace personnelle à mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek et à une autre amie pierrefittoise d'origine polonaise: Alexandra Rosinski
Le 6 Juillet 1944
"Miss Dior" : Résistante dans le réseau franco polonais F2. Déportée à Drancy puis Ravensbrück en aout 1944. Catherine Dior. Légion d’honneur, Croix de guerre et Croix des Combattants.
Macronistes, LFI, LR : l'alliance de la honte !!!
Chers amis, chers compagnons,
Ce que nous avons vécu jeudi à l'Assemblée nationale est un scandale. Une trahison. Une honte.
Notre proposition de loi visant à interdire les mariages arrangés entre des étrangers sous OQTF et des citoyens français n’a pas pu être examinée dans son intégralité à l’Assemblée nationale.
Pourquoi ? Parce que trois forces se sont liguées contre l'Union des droites :
La France Insoumise et ses alliés de gauche ont multiplié les manœuvres d’obstruction pour bloquer ce texte de bon sens, qui répond pourtant à une réalité vécue par de nombreux maires.
La macronie, chapeautée par Gérald Darmanin, a laissé faire. Aucun arbitrage, aucune volonté d’ordre : le désordre a été toléré, voire orchestré.
Les Républicains, enfin, étaient absents. Délibérément. Leur désertion a permis à la gauche de faire capoter ce texte. C’est une trahison de plus, au nom d’un vieux réflexe de censure contre toute initiative venant de la droite assumée.
Aucun courage, aucune cohérence. À l’image des alliances conclues en juin 2024, lors des dernières élections législatives, où la macronie, Les Républicains et la gauche ont scellé des accords électoraux de circonstance pour barrer la route à l’union des droites. Ce front du déni s’est reconstitué jeudi à l’Assemblée, dans toute sa lâcheté.
À l’UDR, nous ne baisserons pas les bras. Nous continuerons de porter une ligne de fermeté et de clarté. La défense de notre souveraineté, de nos lois et de nos institutions ne souffre aucune compromission.
Avec fidélité et engagement,
Éric Ciotti
Président de l’Union des Droites pour la République
Député des Alpes-Maritimes