♦️ Dictature totale ! ⤵️

La ministre macroniste Aurore #Bergé vient d’annoncer la création d’une « coalition d’associations » qui seront chargées de « traquer la haine en ligne » (selon leur propre définition) pour censurer davantage encore !

En lien avec l’ARCOM et conformément au droit européen (le règlement #DSA).

« Cette coalition comprend Le Crif, la Fédération des centres LGBTI +, Flag !, la Licra, M’endors pas, le Mouvement du Nid, Osez le féminisme, le Planning familial, Respect Zone, Sos Homophobie, SOS Racisme et Addam » selon Bergé

Ces associations vont être encore plus massivement « subventionnées par l’État pour pouvoir embaucher des personnes en charge de cette tâche » !…

➡️ La France transformée en Euromacronistan tyrannique devient irrespirable !

Tout ça doit être dégagé et la liberté d’expression rétablie !

Florian Philippot 

Président des Patriotes 

Ex Député européen 

Ex Conseiller régional 


« Pourquoi l’extrême gauche déteste-t-elle tant un écrivain innocent ? »

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Pour libérer Boualem Sansal, il faut nous libérer du joug idéologique de la gauche avant tout.

« L’extrême gauche, complice de mes bourreaux. »

Ce n’est pas une métaphore. Ce n’est pas une formule. C’est une cellule, des barreaux, du béton, du silence.

Nous y sommes : Boualem Sansal est en prison.

Pas en résidence surveillée. Pas dans l’exil intérieur des écrivains morts-vivants. Non. En prison. La vraie. Avec porte qui claque et surveillant qui soupire.

Et tout cela ne fait pas scandale. Pourquoi ? Parce que l’époque, cette grande couveuse de pathologies sentimentales, n’a aucune tendresse pour les innocents lucides. Elle préfère les coupables bavards. Elle chérit les voyous éducables, les égorgeurs repentis, les accusateurs systématiques. Mais un écrivain algérien, francophone, laïc, courageux et attaché à l’universel ? Trop d’irrégularités dans son dossier. Inadmissible pour le logiciel du Camp du Bien.

Le Grand Simulacre ne tolère pas les voix dissonantes

Philippe Muray l’a prophétisé : nous vivons dans l’Empire du Bien, version festive, où tout est autorisé sauf la réalité. Où la dénonciation des crimes réels est suspecte, tandis que les récits de souffrances calibrées sont distribués comme des tickets de rationnement mémoriel.

Or, Boualem Sansal a commis tous les crimes aux yeux du monde inverti :

 • Il a dénoncé l’islamisme sans génuflexion décoloniale.

 • Il a osé parler de son pays sans faire porter le fardeau à la France.

 • Il a continué d’écrire en français, avec clarté, avec précision, avec dignité — autant dire : avec trahison.

 • Il a préféré la vérité des choses au storytelling communautaire.

 • Il a écrit des livres, au lieu de brandir des pancartes.

Et surtout : il n’est pas malléable. On ne peut ni l’acheter, ni l’embrigader. L’époque, qui aime tant les anciens islamistes devenus conférenciers TEDx, ne sait que faire d’un homme qui n’a jamais pactisé.

Le monde aime les victimes qui rentrent dans le cadre

Boualem Sansal n’est pas une bonne victime. Il ne pleure pas sur commande. Il ne gémit pas à l’unisson. Il n’a pas été forgé dans les moules subventionnés. Il accuse ce qui tue. Et ce qui tue, en 2025 comme en 1992, c’est bien l’alliance du religieux fanatique et de la lâcheté occidentale.

Alors on l’abandonne. Pire : on fait mine de ne pas savoir.

Rien sur les plateaux. Rien dans les rédactions. Rien dans les tweets ornés de drapeaux.

L’extrême gauche regarde ailleurs — vers Gaza, vers les « luttes intersectionnelles », vers les dernières directives du parti.

Ils ne veulent pas libérer Sansal. Ils veulent qu’il se taise.

Les bourreaux d’aujourd’hui s’appellent “coexistence”, “respect”, “pas d’amalgame”

Muray aurait souri, jaune : la prison du XXIe siècle est pleine de tolérance. On y enferme ceux qui veulent libérer, et l’on libère ceux qui veulent enfermer. Tout est inversé. L’écrivain est le monstre, le bourreau est la victime, l’émeutier est un poète, et le penseur laïque devient un fasciste s’il ose décrire ce qu’il voit.

Et comme toujours, les fossoyeurs sont polis. Ils ne frappent pas. Ils zappent.

Il faut libérer Boualem Sansal. Et libérer ce qu’il incarne.

Ce n’est pas qu’une affaire judiciaire. C’est une radiographie morale de notre époque.

Le silence autour de Boualem Sansal est le bruit exact que fait notre monde quand il enterre l’universel. Il nous dit : tais-toi, ou on te calera dans une case. Tais-toi, ou on t’enfermera — dans une cellule, ou dans une image.

Mais Sansal parle encore. Alors libérons-le, mais avant cela, libérons-nous.

David Duquesne 


Les mots me manquent. La sidération est absolue.

Olivier Marleix était un ami de toujours.

Nous avons travaillé ensemble avec passion lui comme président de groupe moi comme président de parti.

Je pleure aujourd’hui sa disparition et pense avec douleur à sa famille.

Il avait le service de l’État et l’amour de la France chevillés au corps.

C’était un grand serviteur de la chose publique, aussi exigeant que brillant. 

Infatigable gaulliste et défenseur acharné de cette terre d’Eure-et-Loir si française qu’il aimait tant. 

L’Assemblée nationale comme la vie politique ne seront plus jamais les mêmes sans lui.

Servir la République aura été l’honneur de sa vie. Être son ami, l’un des honneurs de la mienne. 

Adieu et merci cher Olivier.

Éric Ciotti 

Président de l'UDR


🎙 Dernière Question Au Gouvernement de la session parlementaire consacrée à #BoualemSansal.

Jamais la France n’a été aussi insultée par un État à qui elle a tant donné.. Visas, aides au développement, diplomatie bienveillante, repentance sans fin jusqu’à la limite de l’indécence.

🫸 La France ne peut plus être à la fois le bailleur et le paillasson de la voyoucratie algérienne.

⏳ Si vous ne changez pas de méthode, vous ne changerez pas le résultat.

🐕 Monsieur le #Ministre, vous me pardonnerez cette métaphore canine, mais on dit qu'un chien qui mord, c'est un chien qui a mal. 

🐕‍🦺 Vous devez avoir bien mal à vos certitudes pour me faire une réponse aussi mordante. 

Groupe UDR Boualem Sansal #algerie

Olivier Fayssat

Député UDR 


"Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre. 

Plutôt mourir, mon colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure !"

Aucune description disponible.

Le 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry.

Le lieutenant Degueldre se présente devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine.

Autour de son cou, il avait noué un foulard de la Légion. 

Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. 

Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. 

Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.

« Dites lui que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur. 

Puis il refusa qu’on lui bande les yeux et, au poteau cria : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise.

Les trois premiers officiers désignés pour commander le peloton d'exécution refusent d’accomplir cette sinistre besogne. 

Ils sont sanctionnés, rayés des cadres et mis aux arrêts.

Le sous-officier remplaçant, chef de peloton, abaisse le bras. 

Les soldats qui doivent l’exécuter, émus par son courage, hésitent à tirer.

Douze coups retentissent cependant dans la nuit… mais une seule balle l’atteint au ventre.

L'adjudant chargé du coup de grâce se précipite, pour accomplir sa sinistre besogne, et constate que le condamné est toujours en vie. 

Sa tâche n'est plus d'achever un moribond, mais de tuer de sang-froid un vivant... ce n'est plus pareil. 

Sa main tremble et décharge l'arme à côté. 

Dans l'assistance c'est la stupéfaction.

Le Procureur en est agacé. 

Mécontent, il fait signe à l'adjudant de se hâter. 

Degueldre, recroquevillé, souffre. 

L'adjudant, toujours tremblant, pointe une nouvelle fois son arme vers la tête de l'officier, ferme les yeux et appuie sur la détente. 

Rien ! L'arme est enrayée !

Exaspéré par cette situation, unique dans les annales d'une exécution, le Procureur ordonne qu'une autre arme de poing soit apportée. 

Personne parmi les militaires présents n'en possède une. 

Il faut courir en chercher une ! 

Degueldre est toujours vivant, conscient.

À partir de ce moment-là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires.

Mais les ordres étaient formels ; il fallait que Degueldre soit tué ! 

Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les États-Majors, le FLN et l’Élysée…

Pétrifié par la scène, glacé d'effroi, le défenseur du condamné demeure inerte.

On remet enfin un pistolet à l'adjudant qui est écœuré par cette boucherie.

04h08, une nouvelle détonation retentit… et c’est la fin. 

La boucherie a duré 12 minutes…

Mais Roger Degueldre entre dans l'éternité...

Il aura respecté jusqu’à la fin son serment « la mort plutôt que le déshonneur ! »

Nous nous devons de ne jamais oublier son ultime message adressé au petit peuple d’Algérie : " Si je ne suis pas de leur race, ni né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours ".


Le 5 juillet 1962

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Plus de quatre mois après le cessez-le-feu consécutif à la signature des accords d’Evian du 18 mars 1962, les Algériens célèbrent leur indépendance. A Oran, survient une tragédie : une foule algérienne tue des centaines, voire plus d’un millier d’Oranais, européens et musulmans suspectés d’être partisans de l’Algérie française, et en kidnappent des centaines. Ce carnage se déroule sur moins d’une journée, sans réaction de l’Armée française obéissant aux ordres du Président de la République le général Charles de Gaulle. Un fait historique longtemps occulté par des politiciens et historiens, français et algériens. « Oran, le massacre oublié » est un documentaire de Georges-Marc Benamou et Jean-Charles Deniau.