Werner von Haeften : l’ombre fidèle du 20 juillet

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Le 20 juillet 1944, dans les profondeurs du QG de la Wolfsschanze en Prusse orientale, un jeune officier allemand pose une bombe destinée à tuer Adolf Hitler. Cet homme, souvent relégué au second plan des livres d’histoire, s’appelait Werner von Haeften. Il était le bras droit, l’alter ego, le témoin silencieux et loyal du colonel Claus von Stauffenberg, l’âme du complot visant à mettre fin au régime nazi. Mais Haeften n’était pas un simple exécutant : il fut un homme de conviction, de courage et de sacrifice, qui choisit de mourir aux côtés de son chef, dans un geste de fidélité absolue.

Une éducation noble, un choix de conscience

Né en 1908 à Berlin dans une famille prussienne de juristes et de hauts fonctionnaires, Werner von Haeften incarne la vieille élite allemande, cultivée, conservatrice mais empreinte d’une profonde rigueur morale. Après des études de droit, il s’engage dans la Wehrmacht et rejoint l’état-major, où il rencontre Stauffenberg. Leur complicité va au-delà de la hiérarchie : Haeften partage la révolte intérieure de son supérieur face à l’horreur du régime.

Ce choix n’est pas sans conséquences. Il le sait : agir contre Hitler, c’est signer son propre arrêt de mort. Pourtant, il ne recule pas. "Ce n’est pas la loyauté qui nous lie à Hitler, c’est la vérité qui nous en détache" semble résumer l’état d’esprit de ceux qui, comme lui, ont pris les armes contre leur propre commandement.

Le 20 juillet 1944 : l’attentat et l’échec

Haeften accompagne Stauffenberg à la Wolfsschanze, portant la mallette contenant la bombe. C’est lui qui surveille l’entrée, qui manipule les détonateurs, qui partage le silence et le suspense avant l’explosion. Quand Hitler survit, l’opération Valkyrie s’effondre, et les conjurés rentrent précipitamment à Berlin pour tenter un coup d’État déjà condamné.

Arrêtés au Bendlerblock, leur QG, Stauffenberg, Haeften, Olbricht et von Witzleben sont jugés sommairement et exécutés dans la nuit du 20 juillet. Sur le terrain de la cour, éclairé par des phares de camion, un peloton s’apprête à fusiller Stauffenberg. Haeften, dans un ultime geste bouleversant, se jette devant son supérieur pour prendre les balles à sa place. Geste inutile militairement, mais immense moralement. Il meurt à 36 ans, sans hésitation.

Un frère d’esprit et de sang

Le destin de Werner von Haeften se double d’un drame familial. Son frère aîné, Hans Bernd von Haeften, juriste et diplomate, fut lui aussi impliqué dans la résistance. Quelques semaines plus tard, il est pendu à Plötzensee, avec une corde de piano, après avoir déclaré :"J’ai perdu toute loyauté envers Hitler. Je le considère comme le mal personnifié dans notre histoire."

Deux frères, deux intellectuels, deux martyrs d’un sursaut moral dans une Allemagne déchirée.

Héritage et mémoire

Aujourd’hui, Werner von Haeften figure parmi les noms gravés au Mémorial de la Résistance allemande, situé au Bendlerblock même où il tomba. Des écoles, des places et des institutions honorent sa mémoire. Dans le film Valkyrie (2008), son personnage, interprété par Jamie Parker, illustre la fidélité jusqu’au boutisme de ce soldat discret mais capital. Dans des œuvres de fiction comme Fox on the Rhine, il est réimaginé comme un héros tragique, prêt à mourir les armes à la main pour défendre son commandant.

Conclusion : le courage sans gloire

Werner von Haeften n’a pas dirigé de troupes, signé de traités ou prononcé de discours célèbres. Mais il a fait ce que peu d’hommes en uniforme ont osé faire dans l’Allemagne nazie : dire non. Et il l’a fait non par haine, mais par fidélité à une autre idée de l’Allemagne, de l’honneur et de la vérité.

En se dressant devant les balles, il a fait de sa mort un acte d’élévation, une protestation silencieuse et éternelle contre la barbarie.


Une nouvelle dédicace personnelle à mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek ainsi qu'à une autre connaissance personnelle, pierrefittoise d'origine polonaise: Alexandra Rosinski:

Le 13 mai 1901, naissait Rotmistrz Witold Pilecki - l'un des hommes les plus courageux du 20e siècle, un soldat inébranlable, un symbole de sacrifice et de lutte pour une Pologne libre. 

Volontaire pour l'enfer sur Terre - Auschwitz.

L'homme qui a volontairement été en prison pour révéler la vérité sur les crimes allemands au monde.

Un soldat de l'armée nationale, un participant à l'insurrection de Varsovie, un héros sans tache.

« J'ai essayé de vivre de telle façon qu'à l'heure de la mort je pouvais être heureux plutôt que de peur. " ”

— Witold Pilecki

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En 1940, il a été délibérément arrêté pour aller au camp KL Auschwitz. Là, dans l'ombre de la mort, il a créé un réseau de conspiration et a transmis les rapports sur l'Holocauste au monde.

En train de s'échapper du camp après trois ans.

Lors du soulèvement de Varsovie, il combat comme un tireur régulier, mais embrasse rapidement le commandement de l'unité dans le célèbre Witold Reduta - un point de résistance que les Allemands n'ont conquis qu'à la fin du combat.

Il n'arrête pas de se battre après la guerre - cette fois contre l'esclavage soviétique.

Arrêté par des communistes, torturé à la prison de Mokotów, condamné à mort après un procès de manifestation.

Assassiné le 25 mai 1948 par une balle dans la tête.

Le lieu de son enterrement reste inconnu à ce jour. 


Bonjour très chers ami(e)s,

D'abord j'espère que vous allez tous bien ?

Ensuite, je tiens d'abord à remercier tout particulièrement les plus de 260 d'entre vous qui m'ont souhaité hier mon 56 -ème anniversaire 🎂.  Sur les pages de mes deux comptes Facebook . Par l'intermédiaire de Messenger. Par SMS. Et par téléphone ☎️. Malheureusement, ce 12 mai 2025 pour des raisons personnelles...ne restera pas positivement dans ma tête et dans mon cœur. À très très vite oublier !

Il faut que je me dise et que j'arrive à me convaincre pour moi cette maxime:

"l’eau sale n’a jamais empêché les plantes de pousser, alors ne laisse pas les paroles négatives et les gestes négatifs t’empêcher d’avancer". Facile à écrire ✍️ mais pas facile du tout pour un être ultra-sensible comme moi, à mettre concrètement en pratique…!!!

Que Dieu vous garde tous, quel que soit votre religion ! 

Encore une fois, je n'ai tué personne…!!! Je ne suis pas encore mort tant au sens propre qu'au sens figuré sur tous les plans…!!! Même si cette très longue période noire sur tous les plans… ne veut décidément pas se terminer sur aucun plan !!!

Encore merci beaucoup à chacun de vous pour hier.

Bien amicalement,

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine


Une nouvelle dédicace personnelle pour mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek et pour une pierrefittoise d'origine polonaise aussi: Alexandra Rosinski:

Le 12 Mai 1935.   

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Mort du maréchal Józef Piłsudski, l'un des principaux fondateurs de la République de Pologne, après le recouvrement de l'indépendance en 1918.


Bonjour très chers ami(e)s

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https://youtu.be/8_pFwQhU4kY?si=B0l_A36ubwarfJYE

https://youtube.com/shorts/H45qogTz-AY?si=OgDxoAi5Pz_5s_nD

D'abord, j'espère que vous allez tous bien ?

Ensuite, en ce qui me concerne, aujourd'hui c'est mon 56 -ème anniversaire 🎂. Déjà 56 ans !!! Cela m'effraie ! J'ai une pensée pour: mon père Jean Renard, pour ma mère Ginette Delort-Renard à qui je dois tout !!! Puis dans un second temps à mon Grand-père Louis Renard, à mes grands-parents de cœur: Pierre et Claire Lambert. Évidemment, pour ma femme: Madame Nawal Bouakra-Renard, aussi !

Puis, hier après-midi, j'ai emmené mon épouse Madame Nawal Bouakra-Renard dite Nawel Boo sur le réseau social Facebook, à sa demande, à la traditionnelle Foire de Paris à la Porte de Versailles à Paris.

Très bonne semaine à tous.

Bien cordialement,

Jean-Pierre Renard

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Représentant du Lys Royal de France en Seine-Saint-Denis


Le 16 avril 1945 :début de la bataille de Berlin.

Le 2 mai, à 4 heures du matin, le dernier commandant de la place de Berlin, Helmuth Weidling, signe la capitulation des derniers défenseurs ; le cessez-le-feu est effectif à 17 heures, heure de Berlin, tandis que le vice-ministre de la Propagande fait diffuser une proclamation destinée à faire cesser les combats.

La ville de Berlin est détruite à 33 % (jusqu'à 70 % en centre-ville); les zones aéroportuaires et leurs alentours, ont été épargnés autant que possible. Selon le plan d'invasion, les aéroports devaient être utilisables le plus rapidement possible par les Alliés après la chute de la ville. La destruction « complète » de la ville est une rumeur : la ville était trop grande pour être rasée, comme l'avaient été Cologne, Hambourg ou Dresde.

De très nombreux civils ont été tués durant les combats, d'autres sont brutalisés ou exécutés par les soldats de l'Armée rouge, ivres de vengeance contre les Allemands. Au début, ces comportements sont tolérés par l'état-major de l'Armée rouge mais, dès que l'armistice est signé et que l'occupation soviétique se met en place, ces exactions sont rapidement arrêtées par le NKVD. En 1945, 4 000 officiers soviétiques ont été jugés pour crimes contre des civils.


Adolf Heusinger

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Entre le 10 et le 20 juillet 1944, Heusinger est brièvement chef d'état-major adjoint de la Heer, à la suite de la démission pour cause de maladie du Generaloberst Kurt Zeitzler : il se trouve donc dans la Wolfsschanze aux côtés de Hitler, en train de lui montrer une carte, lorsque la bombe déposée par le Colonel von Stauffenberg explose au cours de l‘attentat du 20 juillet 1944. Comme Hitler, Heusinger n'est que blessé.

Heusinger aurait été au courant des préparatifs de cet attentat qu'il approuvait, même s'il n'y a pas pris part. Après l'attentat, il est transféré dans un hôpital par la Gestapo et mis aux arrêts. Il est ensuite emprisonné et interrogé. On le relâche cependant en octobre 1944, faute de preuves. Il est rayé des effectifs d'active et muté dans la Führerreserve ; il obtient néanmoins un poste le 25 mars 1945 au service des cartes de l'armée. Il est fait prisonnier par les Américains en mai 1945.

- En 1961, il est devenu président du Comité militaire de l’OTAN, c’est-à-dire le plus haut poste militaire de l’Alliance atlantique à l’époque.. 

 


Bonjour très chers ami(e)s,

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D'abord, j'espère que vous allez tous bien ?

Ensuite, je vous souhaite à tous, un très bon 1er mai 2025.

Pour rappel historique:

462 ans de date à date, 1er mai 1561 :

Le Roi de  France Charles IX offre des brins de muguet à la Cour en leur disant « qu’il en soit ainsi chaque année », plus de quatre cents ans plus tard la tradition perdure !

L’idée vient d’une visite dans la Drôme que Charles IX a fait à sa mère, Catherine de Médicis, l’année précédente.

En 1560, le chevalier Louis de Girard de Maisonforte remet au roi brin de muguet, venant dans son jardin de Saint-Paul-Trois-Châteaux.

La tradition est lancée au sein de la Cour le 1er mai 1561 par Charles IX en personne, elle perdure jusqu’au XIXe siècle.

Pendant quelques décennies (1890-1907) on s’offre le 1er mai une églantine rouge, symbole de la journée internationale des travailleurs.

Le 1er mai devient en effet la journée des travailleurs, sur proposition de la IIe Internationale socialiste réunit le 20 juillet 1889.

L’internationale est alors réunie à Paris au titre du centenaire de la Révolution française et de l’exposition universelle.

La décision de faire du 1er mai une journée consacrée aux travailleurs, est prise sur proposition de Raymond Lavigne.

L’expression « Fête du travail » est inventée par Jules Guesde le 1er mai 1890, première « Fête du travail » de l’Histoire.

L’objectif de cette journée est de militer pour la réduction du temps de travail : 8h par jour, soit 48h par semaine (le dimanche seul étant chômé).

Le 1er mai est chômé depuis le 23 avril 1919, date où le Sénat ratifie la journée de 8h.

Pour l’anecdote, le 1er mai devient une journée chômé et payé sous le Régime de Vichy.

Le 24 avril 1941, le maréchal Pétain instaure en effet le 1er mai comme « la fête du Travail et de la Concorde sociale ».

Ceci sur proposition de René Belin, ancien dirigeant de l’aile anticommuniste de la CGT, devenu secrétaire d’État au travail dans le gouvernement Darlan.

Hier, après avoir emmené mon épouse chez le coiffeur à Montreuil. Je lui offert un petit pot de muguet. 

Puis, j'ai effectué une démarche très romantique: j'ai acheté un petit cadenas dans une quincaillerie à Montreuil. Puis, mon épouse: Madame Nawal Bouakra-Renard dite Nawel Boo  sur le réseau social Facebook, nous sommes allés le poser sur la grille en face la Basilique du Sacré-Cœur à Montmartre à Paris. Avec écrit nos deux prénoms dessus. On a gardé les clefs 🔑. 

Puis, nous avons effectué un petit à pieds, autour de la place du Tertre. On a notamment fait un Selfie 🤳 devant le buste de Dalidida (une de mes chanteuses préférées). À l'endroit où elle a vécue et où elle est morte. 

Pour finir la journée au domicile conjugal de Neuilly-Plaisance, autour d'une coupe de Champagne. Après quelques jours assez orageux et encore très mouvementés...

Que Dieu vous garde tous. Quel que soit votre religion ! 

Bien cordialement,

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine 

Représentant du Lys Royal de France en Seine-Saint-Denis


Une nouvelle dédicace personnelle à mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek mais aussi à une autre pierrefittois d'origine polonaise: Alexandra Rosinski:

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Une promenade à travers les ruines de Varsovie, 1944.

Panorama de la rue Panska en ruine

Varsovie - autrefois le cœur vibrant de la Pologne - est devenu en 1944 un cimetière silencieux de pierres et de rêves. Sur cette photo, nous ne voyons pas une rue, mais une blessure qui s'étend au centre de la ville. Chaque brique, chaque balcon démoli, chaque trou dans le toit est une marque de la vie de quelqu'un - d'enfants qui courent à l'école, de mères qui cuisinent des dîners, de conversations, de rires, d'amour et d'espoir

De ces fenêtres, plus personne ne pouvait regarder. Au lieu des voitures et des routes - des débris. Au lieu de la vie - un silence qui n'a été interrompu que par l'écho des pas d'une poignée de survivants traversant cet enfer sur Terre. Ce n'était pas qu'une rue, c'était le cri d'une ville en ruine. Un témoignage de ce à quoi conduit la haine, la chaussure et l'insuffisance.

Varsovie est ressuscité de ces bidonvilles. Mais cette vue - ce moment - devrait rester dans nos mémoires pour toujours.

Varsovie n'a pas été détruite par le temps ou le hasard. Il a été systématiquement démoli, avec préméditation par les allemands, qui voulaient l'effacer de la carte et de la mémoire.

📸Sylvester "Kris" Brown | photo. Musée de Varsovie 


Une nouvelle dédicace personnelle à mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek 

Le 24 avril dans le ghetto de Varsovie…

6e jour de combat dans le ghetto.

Stroop déclenche une offensive générale, annonçant l'achèvement des opérations au plus tard le 26 avril.

La majorité des juifs encore présents dans le ghetto, sans doute au moins 40 000 personnes, est réfugiée dans des dizaines de bunkers aménagés dans les caves des immeubles. 

Dans le secteur des ateliers Toebbens-Schutz les combattants du ZZW et de la ZOB tiennent leurs positions face à l'offensive SS.

Aperçu de l’image

Miriam Heinsdorf, 30 ans, militante de l'Hachomer Hatzaïr, membre du comité central de la ZOB, morte au combat dans le secteur des ateliers Toebbens-Schutz