17 juillet 2025
JE SUIS LE REPRESENTANT DU LYS ROYAL DE FRANCE POUR LA SEINE SAINT DENIS
JEAN-PIERRE RENARD
ANCIEN CONSEILLER MUNICIPAL GAULLISTE DE PIERREFITTE SUR SEINE
JE SUIS LE REPRESENTANT DU LYS ROYAL DE FRANCE POUR LA SEINE SAINT DENIS
JEAN-PIERRE RENARD
ANCIEN CONSEILLER MUNICIPAL GAULLISTE DE PIERREFITTE SUR SEINE
JE SUIS LE REPRESENTANT DU LYS ROYAL DE FRANCE POUR LA SEINE SAINT DENIS
JEAN-PIERRE RENARD
ANCIEN CONSEILLER MUNICIPAL GAULLISTE DE PIERREFITTE SUR SEINE
Une nouvelle dédicace personnelle à mon ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek
Soulèvement de Varsovie 1944
Deux des garçons. Avec un sourire sur mon visage. Tellement pleine de vie.
Jerzy Tyczy zyski "Jur" et Vladimir Radajevski "Rataj".
En regardant cette photo, c'est dur de croire qu'ils seront tous les deux partis dans un instant. Que leur jeunesse, leurs projets, leurs rêves, finissent tous dans les décombres de Varsovie bombardée.
Jur avait 21 ans. Il a combattu dans la compagnie "Koszta", a participé à la victoire du commandement de police près de la banlieue de Cracovie, a combattu pour le PAST. Il est mort balayé sous les débris. Ce n'est pas une chance. Sans aucun au revoir.
Guerre - 20 ans. Le commandant de peloton. Participant à la tentative d'assassinat sur des criminels allemands. Il a combattu, il a mené, il a aidé. Il est mort le 7 septembre à New World. Il a été assisté par un sanitaire - Dr Danuta Staszewska "Marta". Elle est morte avec lui.
Ces bois ne sont pas morts de vieillesse. Ils ne sont pas morts après des années de vie.
Ils ont été déchirés par des bombes, abattus, enterrés vivants au cœur de leur propre ville🤍💔
Voilà la photo qui fait mal Parce que ça montre à quoi ressemblait la jeunesse perdue.
Ils sont morts parce qu'ils voulaient être libres. Aujourd'hui, il est de notre devoir de se souvenir.
Auteur de la photo : Eugeniusz Lokajski "Brok"/Musée de l'insurrection de Varsovie
Le 16 Juillet 1555.
En Belgique, bataille de Gimnée.
Les Français sont battus par les Impériaux aux combats de Gimnée et de Givet, à la frontière des Pays-Bas, et doivent se retirer.
La Chapelle Notre-Dame-de-la-Croix de Gimnée.
Le 15 Juillet 1815.
L'Empereur français Napoléon Ier se rend à bord du Bellerophon, où il se rend aux Anglais.
Napoléon on Board the Bellerophon (1880) par William Quiller Orchardson. Orchardson dépeint le matin du 23 juillet alors que Napoléon regarde le rivage français s'éloigner. Les personnes qui l'accompagnent sont, de gauche à droite : Nicolas-Louis Planat de la Faye, Charles-Tristan de Montholon, Louis-Pierre Maingault, Emmanuel de Las Cases, Anne Jean Marie René Savary, François Antoine Lallemand et Henri Gatien Bertrand. Dans le fond, le fils de Las Cases est également visible.
Bonsoir très chers ami(e)s,
D'abord j'espère que vous allez tous bien ?
Ensuite, en ce qui me concerne, pour ceux qui ne sont pas encore au courant. Samedi dernier, après avoir reçu de nouveaux SMS très insultants et diffamatoires (voire même, à la limite des menaces), de ma belle-mère (de son lieu de vacances). C'est la seconde fois que j'ai reçu des SMS de ce genre de ma belle-mère !!! Comme mon épouse vénère sa mère (malgré le passé…!!!), j'ai été obligé de la quitter une nouvelle fois. De rentrer chez moi à Pierrefitte Sur Seine auprès de ma mère. C'est aussi à cause de ma cohabitation avec les deux plus jeunes enfants de mon épouse, qui ont 22 et 21 ans, qui devenait de plus en plus impossible !!!
La procédure du divorce va être remise en place...Cette fois-ci, mon épouse et moi, nous sommes d'accord pour la conclusion définitive de cette histoire qui a commencé il y a 19 ans et demi.
Le 12 juillet 2025 restera pour moi, un jour de deuil !!! Car, je voulais très sincèrement, réussir mon mariage. J'étais encore beaucoup plus déterminé cette fois-ci. Depuis mon retour auprès de Nawal, il y a presque 6 mois !
Contrairement aux ignobles allégations (à vomir) de ma belle-mère, j'ai fait de mon mieux pour bien m'occuper de mon épouse. Notamment depuis ces 6 derniers mois…!!!
Comme vous le savez tous, je suis un Monarchiste. Donc pour moi, le 14 juillet n'est absolument pas une fête. Mais un jour de deuil ! C'est l'anniversaire de la mort du premier Général de l'armée catholique et royale de Vendée: Jacques Cathelineau. Nous les royalistes français, nous avons aujourd'hui perdu notre plus grand représentant au niveau de la télévision 📺 : l'animateur et le présentateur: Thierry Ardisson.
Aujourd'hui, c'est aussi l'anniversaire de la mort du Roi de France: Philippe II Auguste, le 14 juillet 1223.
Ce 14 juillet 2025 a encore été une journée très difficile. Car, j'ai dû me battre contre une nouvelle très très forte migraine.
Très bonne soirée et très bonne semaine à tous.
Que Dieu vous garde tous, quel que soit votre religion !
Bien cordialement,
Jean-Pierre Renard
Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine
Représentant du Lys Royal de France en Seine-Saint-Denis
14 juillet, prise de Jérusalem par Godefroy de Bouillon. Le reste RAB. Je ne fête pas le même 14 juillet que vous. Je ne fête pas une prise faite par des bourgeois misérables contre la France et contre le peuple. Aujourd'hui je fête la prise de Jérusalem par les croisés. Vive la France. Vive les croisades et mort aux bourgeois !!!“Je ne fêterai pas votre révolution.
On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.
Mais je prendrai le deuil de vos pauvres victimes.
Elles seules ont droit à ma vénération.
Je ne fêterai pas l’espérance trahie
Du peuple demandant l’arbitrage royal
Jusqu’alors rendu juste, équitable et loyal
Mais au nom d’une foi par votre orgueil haïe.
Je ne célèbrerai pas votre intolérance.
Ni vos sacrilèges, ni vos profanations.
Ni les grands mots ronflants de vos proclamations
Prônant la liberté dont vous priviez la France.
Je ne fêterai pas l’infâme Cordelier
Faisant assassiner, par sa triste colonne,
En l’église du Luc, près de six cents personnes
Dont cent cinquante enfants réunis pour prier.
On ne pardonne pas les Oradours-sur-Glane
Et vous seriez fondés d’en tarer les nazis
Si vous n’aviez, chez nous, fait pire aussi
Vous êtes précurseurs, Messieurs, et non profanes.
Quand vous jetiez aux fours, par vous chauffés à blanc,
Les mères, les enfants, les vieillards, les mystiques,
Vous disiez faire le pain de la République…
Mais Amey, mieux qu’Hitler, les y jetait vivants !
Car c’est bien cet Amey, de sinistre mémoire,
L’un de vos généraux prétendu glorieux,
Qui fut l’instigateur de ce supplice odieux…
Vous avez, aussi vous, eu vos fours crématoires.
Et Turreau trouvait tant de plaisir à ces jeux
Qu’il faisait ajouter, quand manquaient les dévotes,
Et malgré tous leurs cris, les femmes patriotes…
Votre fraternité les unissait au feu.
Je ne fêterai pas vos tanneries humaines
Dont votre chirurgien, Pecquel, fut l’écorcheur,
Ni son ami Langlois, de Meudon, le tanneur…
Ni votre grand Saint-Just disant qu’en ce domaine
Peau d’homme vaut bien mieux que celle du chamois
Que celle de la femme plus souple et plus fine…
Vous étiez sans culottes, alors ça se devine
Vous vous en fîtes faire en peau de villageois.
Quand vous abominez les gardiens sataniques
De l’affreux Buchenvald écorchant de leur peau
Nos morts, les laissant nus en leurs chairs en lambeaux
Avez-vous des remords ou restez-vous cyniques ?
Je ne fêterai pas les enterrés vivants
Dans les puits de Clisson et ceux de mon bocage
Ni du fameux Carrier les célèbres mariages
Voulus républicains mais surtout révoltants.
Attachant l’un à l’autre, une fille et son père,
Une mère et son fils, un prêtre et une sœur,
Et nus, bien entendu, pour que leurs massacreurs
Aient, humiliant leur mort, à rire et se distraire.
Quand, en les entassant dans barques à sabords
On les faisait sombrer dans les eaux de la Loire.
Et le fleuve royal garde encore leur mémoire,
Il apparaît plus triste à l’approche du port.
Je ne fêterai pas, non plus, la guillotine,
Ce symbole attitré de la révolution.
Ce moyen fraternel d’abreuver nos sillons,
Comme vous le chantez d’un sang que moi j’estime.
Je ne chanterai pas votre révolution.
Elle a fait trop couler de sang, de pleurs, de larmes.
De notre vieux royaume elle a rompu le charme
Et fait perdre, au pays, sa noble vocation.
Vous avez tout brûlé, chez nous, châteaux, chaumières,
Etables et clochers. Vous traîniez les enfers
Pour faire du bocage un immense désert
Sans une âme qui vive et sans pierre sur pierre…
Vous n’aviez pas pensé que tout le sang versé
Au terroir de l’amour serait semence vive.
Il germe en attendant nos prochaines métives ;
Il fleurira, demain, épi de liberté.
La liberté de croire en un Dieu qui pardonne.
En un ordre qui met, au sommet, le devoir
Le courage et la foi. Qui veut que le pouvoir
Ne dépende jamais du nombre et de la somme…
Pierre d’ANGLES Janvier 1989
Le 14 juillet 2025
Pour moi et comme d'habitude, est d'abord dédié au Saint d'Anjou, Jacques Cathelineau premier généralissime de la " grande armée catholique et royale" , mort le 14 juillet 1793 et inhumé à Saint Florent le Vieil.
Requiescat in pace.
Puis, à l'anniversaire de la mort du Roi de France: Philippe II Auguste, le 14 juillet 1223.
Non à la Commémoration de la prise de la Bastille et non au 14 juillet comme fête nationale française !
Vive le Roy Louis XX !!!
Jean-Pierre Renard
Représentant du Lys Royal de France en Seine Saint Denis
Groupe UDR : un an au service des Français !
Chers amis, chers compagnons, Il y a un an, nous avons fait le choix du courage : celui d'une droite libre, de l’union des amoureux de la France, de l’alliance pour l’alternance. Nous avons dépassé le politiquement correct et le pseudo « front républicain » pour bâtir l’Union des Droites pour la République. Depuis douze mois, nos députés défendent la France silencieuse : celle des Français qui travaillent, qui entreprennent et qui transmettent. L’UDR s’est constituée pour porter leur voix. Nous avons agi en leur nom, tout au long de cette année à l’Assemblée nationale et dans le débat public. Ce sont d’abord nos trois éditions du Grand Forum des Libertés : à chaque rendez-vous, des invités prestigieux ont enrichi nos débats, comme l’ex-Président du Medef Pierre Gattaz ou l’ancien directeur du FMI Jacques de Larosière. Nous y avons porté des propositions audacieuses : réduction du périmètre de l’État, baisse de la fiscalité, et retraite par capitalisation (vous pouvez retrouver l'intégralité de nos propositions en cliquant ici). Ce sont aussi nos « RDV de l’UDR » organisés chaque mois avec les interventions de personnalités reconnues et engagées : les accords franco-algériens avec l’ancien ambassadeur Xavier Driencourt, la relance économique avec l’économiste Christian Saint-Etienne, la fin de vie avec la Présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs Claire Fourcade ou encore l’éducation avec la spécialiste Anne Coffinier. Mais l’UDR, c'est surtout un combat permanent à l’Assemblée nationale pour défendre les Français face aux folies de la gauche et aux lâchetés du bloc central. L’UDR ne se contente pas de proposer ; l’UDR agit ! En décembre dernier, aux côtés de nos alliés du Rassemblement national, nous avons conforté notre solide alliance et fait reculer le gouvernement en empêchant l’adoption du pire budget de la Ve République. Grâce à cette action, nos compatriotes ont échappé à plusieurs mesures inacceptables : la désindexation des pensions de retraite sur l’inflation, le déremboursement de médicaments essentiels, l’augmentation du malus automobile et la flambée des prix de l’électricité. En commission et dans l’hémicycle, avec notre intergroupe UDR-RN, nous avons également obtenu l’abrogation des absurdes ZFE, la mise en place du test TPE/PME pour que chaque nouvelle norme soit désormais examinée à l’aune de son impact sur nos petites entreprises et la suppression du très bureaucratique et très coûteux « Haut Commissariat à la simplification ». Un an d’initiatives. Un an de combats parlementaires acharnés. Un an au service des Français. Avec votre soutien, l’UDR poursuivra sa mission : porter haut les couleurs d’une droite fidèle et enracinée. Adhérez, renouvelez votre engagement, faites un don, parlez de l'UDR autour de vous, chaque soutien et chaque action compte. Merci pour votre confiance. Éric Ciotti |
Le 13 juillet 1380 :
Mort de Bertrand du Guesclin Connétable de France
Bertrand Du Guesclin meurt d'une maladie au cours du siège de Châteauneuf-de-Randon.
Ayant entendu dire que le Connétable de France s'apprête à rendre l'âme, le capitaine Anglais de la place de Châteauneuf vient lui-même lui remettre les clés de la ville.
Profondément affecté par la mort de son Connétable, le Roi Charles V lui accorde l'insigne honneur d'être enseveli en la Basilique des Rois de France à Saint-Denis ; honneur partagé dans l'histoire avec Arnault Guilhem de Barbazan et le Maréchal de Turenne.
Il participe à de nombreuses batailles : guerre de Cent Ans, guerre de Succession de Bretagne, première guerre civile de Castille, etc. au service de la Navarre et de la France.
Né en 1320 à La Motte-Broons, en Bretagne, fils de Robert II du Guesclin, vassal du Duc de Bretagne, Bertrand du Guesclin a pour devise : « Le courage donne ce que la beauté refuse ». Elle s'explique par sa laideur, qui lui vaut le surnom de «Dogue Noir de Brocéliande». Dans la Guerre de Succession de Bretagne, Bertrand du Guesclin prend fait et cause pour le camp français contre le parti breton pro-Anglais de Jean de Montfort. Il sert donc d'abord Charles de Blois, cousin du Roi de France, prétendant à la couronne du Duché de Bretagne.
Il soutient le siège de Rennes en 1357. L'un de ses faits d'armes les plus célèbres est la prise de la forteresse du Grand-Fougeray, non loin de Rennes après y avoir pénétré avec plusieurs compagnons déguisés en bûcherons. Efficace et novateur, du Guesclin utilise de nouvelles techniques de combat rompant avec la guerre chevaleresque : pratique la guérilla, coups de mains, embuscades et sièges de forteresses. Le « Dogue Noir de Brocéliande » interdit tout pillage et violence contre les non-combattants, tout en s'assurant que ses hommes soient bien rétribués après les combats.
En 1364, il bat les Anglo-Navarrais à Cocherel ; puis est fait prisonnier à la bataille d'Auray la même année ; une fois libéré par Charles V, contre rançon, il libère le Royaume des grandes compagnies de mercenaires ou écorcheurs, en les menant en Castille pour se placer au service de Henri de Trastamare, alors en guerre contre Pierre le Cruel. Bertrand du Guesclin a porté de nombreux titres : Chevalier de Pontorson, Capitaine de Normandie et du mont Saint-Michel, Seigneur de La Motte-Broons, Duc de Longueville, Chambellan, Connétable de France et Connétable de Castille, roi de Grenade et duc de Molina, etc.
Charles V le Sage, grâce à son Connétable de Bretagne, a récupéré presque toutes les terres françaises prises par Édouard III après le Traité de Brétigny et laisse un Royaume de France unifié et pacifié.