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de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République
Président de l'Académie du Gaullisme
 
www.nationetrepublique.org
 
Le 20 AVRIL 2023
 
Voluptueuse Descente aux enfers
 
Nous venons de vivre des moments de vives tensions avant que ne tombent à l’Assemblée nationale le couperet du 49-3, puis la décision du Conseil constitutionnel qui devait mettre fin aux turbulences et violences des manifestations engendrées par le projet de loi sur les retraites, un texte mal rédigé, défendu, et débattu au pas de charge par des ministres dépassés, malmenés et même insultés.
 
L’Assemblée a toujours été un lieu de joutes et d’invectives, parfois même d’empoignades : les huissiers s’interposent, suspension de séance puis le calme revient, les adversaires d’un instant se réconcilient à la buvette.
 
Ciceron relevait avec réalisme « Les Sénateurs sont des hommes sages, le Sénat est une sale bête ! »
 
Donc, rien de nouveau sous le soleil, les assemblées parlementaires sont de nature éruptive. Toutefois, si jadis la réconciliation se scellait à la buvette, les nouveaux députés répugneraient à trinquer et s’adonneraient à cette boisson innommable, inventée par les anglo-saxons qui ruine l’estomac et donne mauvais caractère... alors que « In vino veritas » !
 
Au-delà des tribulations parlementaires, des manifestations, des vitrines brisées et surtout des multiples blessés, parmi les manifestants et les forces de l’ordre, la France est percluse de ruptures ; nos concitoyens rejettent les politiques, les journalistes, ils ne décolèrent pas, fulminant contre tout.
 
Désabusés, les Français se replient sur eux-mêmes, s’enferment dans une vision égocentrique de la société, reniant tout destin collectif. La France devient un « archipel » de velléités individuelles, souvent antagonistes, comme l’a analysé justement Jérôme Fouquet.
 
En parallèle, de multiples forces centrifuges alimentées par des courants idéologiques et politiques, dont le prosélytisme salafiste, remettent en cause l’unité nationale et aggravent le désarroi, ruinant la cohésion nationale.
 
Pour accélérer le désarroi, oubliant le solennel avertissement de Montesquieu  « Ne toucher aux lois que d’une main tremblante » , le Président de la République charge un Comité national d’éthique - non élu, mais choisi- de donner un avis sur un accès à une aide active à mourir ; en d’autres termes il s’agit de légaliser l’euthanasie.
 
Le débat est vif, provoque une forte réprobation des soignants, du corps médical en particulier qui considère que légaliser l’euthanasie n’est pas une simple loi, mais une remise en cause civilisationnelle, en dépit d’exemples étrangers, en Suisse ou en Belgique, qui ont adopté une disposition législative en ce sens.  
 
Face à ces ruptures qui engendre un délabrement sociétal, le père de la nation enfermé dans son Olympe n’a cure des récriminations et des clameurs des Français.
 
Psychorigide, il se drape dans sa dignité de monarque, pensant être hors d’atteinte, rabâchant ses slogans et certitudes, sourd et aveugle à la décadence du pays. Il préfère fuir en Chine ou tenir un discours d’eurobéat en « globish » chez les Bataves - la langue française est, à l’évidence, une langue morte pour celui qui assénait qu’il n’y a pas de culture française...
 
Une telle posture rappelle quelques souvenirs : Rome brûle, Néron chante ; plus près de nous, comment ne pas méditer Hermann Hesse :
 
« L’homme puissant périt par la puissance, le cupide par l’argent, l’humble par la servitude, le jouisseur par la volupté».
 
C’est au choix…
 
Sur la scène internationale, Rudyard Kipling ( 1865-1936 ) écrit en 1896 ces vers prémonitoires dans « Hymn before action » 
 
« La terre est pleine de colère,
Les mers sont noires de courroux,
Les nations harnachées
Se dressent sur notre chemin ;
Avant de lâcher les légions,
Avant de tirer l’épée  »
 
L’histoire va-t-elle repasser ses plats préférés ?
L’histoire avance-t-elle masquée, faisant fi de la volonté des hommes et des Nations, aveuglées, enivrées d’hubris et de vaines gloires ?
 
Ayons également à l’esprit que si tu veux la paix, prépare la guerre.
 
Depuis des lustres, la planète nourrit une multitude de conflits, des guerres froides, des guerres chaudes, des guerres préemptives ou par proxy.
 
Aujourd’hui les dieux de la guerre sont au travail et s’activent avec zèle pour reprendre leur divine mission : en Ukraine, en Palestine, en mer de Chine, entre le Pakistan et l’Inde, au Maghreb, en Afrique ; ils attisent avec gourmandise les tensions internes de nombreux pays fragilisés par des rivalités idéologiques et extrémismes religieux.
 
Ah que la guerre est  fraiche et joyeuse, la fleur au fusil, qu’il est doux de suivre avec servilité le mécanisme implacable des alliances, le monde somnambule court à son destin tragique...
 
« Des guerres plus que civiles, l’apparence du droit donnée au crime lui-même, le crime se revêtant du droit, toutes les forces mélangées du monde s’affrontent   dans un commun désastre. »  Lucain, La Pharsale.
 
Sommes- nous capables de maitriser les engrenages des alliances justement dénoncés par Henri Guaino ?
 
Après un coup d’État en Amérique latine, notre ambassadeur sur place télégraphia au Département – Département est le nom du Ministère des Affaires, du temps où il y avait une politique étrangère de la France indépendante et non vassale comme aujourd’hui – , et son message diplomatique était le suivant :
 
« La situation évolue rapidement, dans une direction, que je ne connais pas » !
 
J’ai le profond sentiment que cette citation d’humilité sied parfaitement à notre village planétaire d’aujourd’hui.
 
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MESSAGE
de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République
 
Le 9 MAI 2023
 
Allocution du 8 Mai 2023
 
La bataille de France de mai-juin 1940 fut une très grande bataille, une bataille formidable où 60 000 soldats français périrent au champ d’honneur, bataille perdue par l’incurie de l’Etat major français enfermé dans ses convictions stratégiques de 14-18, alors que les généraux allemands avaient compris les mutations stupéfiantes des blindés, tout comme un jeune colonel français Charles de Gaulle l’avait lui aussi compris, sans avoir pu en convaincre le haut commandement français.
 
La bataille de France est survenue après la drôle de guerre, alors que les Alliés avaient la supériorité militaire sur le Reich engagé en Pologne.
Le Généralissime Gamelin attend l’attaque allemande en Belgique et aux Pays-Bas.
 
Le 10 janvier 1940, un Messerschmitt Taifun s’écrase près de Malines sur Meuse en Belgique.
A bord, un officier allemand est porteur de documents ultra secrets du Plan jaune approuvé par Hitler qui annonce une attaque sur la Belgique et les Pays-Bas, pays neutres.
Le Roi des Belges Léopold III en informe Maurice Gamelin, sans dévoiler ses sources, Gamelin estime que c’est l’occasion de convaincre la Belgique de laisser les armées françaises pénétrer en Belgique.
 
Après de multiples péripéties, Léopold III refuse et réaffirme la neutralité de la Belgique.
Accusé de trahison, Léopold III abdiqua en 1951, le 16 juillet, après de fortes tensions.
 
Gamelin applique le plan Dyle-Breda, le 10 mai à 10h la 7ème armée française franchit la frontière franco-belge.
Les combats sont furieux les 15, 16 et 17 mai, le plan Dyle-Breda est un échec.
 
Le 17 mai le Colonel de Gaulle décide une contre-attaque à Montcornet dans l’Aisne, c’est un succès moral qui ne prospère pas sur le plan militaire, en raison de l’absence de couverture aérienne.
 
Les 10 et 12 mai 1940, au nord de Sedan, les Allemands traversent le massif forestier des Ardennes, jugé difficilement franchissable par l’Etat major français.
C’est là le plan de Erich von Manstein approuvé par Hitler en février : il s’agit de percer le front français entre deux secteurs de la ligne Maginot.
• Le secteur stricto sensu de la ligne Maginot, bien défendu.
• Et le secteur défensif des Ardennes avec des fortifications, insuffisantes.
 
L’Etat major français installé à Vincennes analyse mal la percée de Sedan, il a toujours les yeux fixés sur la Belgique et la manœuvre Dyle-Breda.
Le Blitzkrieg allemand prend à revers, en faucille les armées françaises et alliées, elles sont acculées à Dunkerque, les Anglais rembarquent.
Vichy signe l’armistice le 22 juin 1940.
 
La France est à genoux, vaincue, l’immense effort national de 14-18 est remis en cause, anéanti !
 
Les Français éprouvent alors le sentiment inexpliqué d’une « étrange défaite » fort bien décrite par Marc Bloch.
• Une « étrange défaite » imputable au seul commandement de l’Etat major enfermé à Vincennes, mais surtout dans ses conceptions obsolètes des stratégies de 14-18.
• Une « étrange défaite » des politiques qui refusèrent de comprendre, pour beaucoup de responsables, la vraie nature de Hitler, qui se moque du droit, mais exige de ses généraux d’être les plus forts pour vaincre, vae victis.
• Une « étrange défaite » mais glorieuse pour nos soldats qui ont combattu avec courage, pied à pied, détermination, face à un ennemi mieux armé.
 
La France est à genoux, mais nombreux sont les patriotes qui ne courbent pas la tête.
« Quand la société est dissoute, l’Homme est tout. » Lamartine
L’Homme est tout, oui l’Homme est tout !
« La défense de la France montait du plus profond de soi-même, non motivé, impératif, sans réplique. » Philippe Viannay
 
« Vos fils résistent victorieusement à l’armée allemande.
N’écoutez pas les paniquards...
Il faut que chacun soit à son poste, les élus et les fonctionnaires se doivent de donner l’exemple.
Je connais les qualités de patriotisme des populations de ce département.
J’ai confiance, nous vaincrons. »
Début juin 1940. Le Préfet d’Eure et Loire, Jean Moulin.
 
« En temps de guerre, celui qui ne se rend pas est mon homme, quel qu’il soit, d’où qu’il vienne et quel que soit son parti. Il ne se rend point. Celui qui se rend est mon ennemi. »
17 juin 1940 Edmond Michelet.
 
Alors vint de Londres, le 18 juin, un appel à la résistance, diffusé par la BBC, un appel d’un général nommé à titre provisoire, quasi inconnu, Charles de Gaulle.
« L’espérance doit-elle disparaître ?
La défaite est-elle définitive ? Non !
Cette guerre n’est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale.
Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas. »

 

Les Panzer de la Wehrmacht défait l’armée française en Blitzkrieg.
Mais Hitler ne savait pas que la France a toujours eu des forces supérieures aux forces matérielles.
Elle bénéficie des forces spirituelles de son âme, qui surpassent le destin tragique de la nuit des malheurs, des sacrifices engendrés par une brutale occupation.
 
« La liberté, ce n’est pas seulement un bien dont on jouit, un capital dont on touche les intérêts, mais une réalité vivante que nous entretenons de notre substance et qui est animée d’un principe spirituel dont la source est notre âme. »
Georges Bernanos, août 1941 Le chemin de la croix des armes.
 
• Cette force d’âme, tous les hommes de l’Ile de Sein l’ont chevillée au cœur, ils gagnent tous l’Angleterre pour s’engager dans les forces françaises libres dès le 24 juin 1940.
 
• Pierre Mesmer et Jean Simon, après avoir entendu le discours d’un maréchal à la gloire perdue qui a décidé de déposer les armes, rallient Marseille, embarquent à bord du navire italien « Capo Olmo », ils s’en emparent et le déroutent avec l’équipage vers Liverpool, en juin 1940.
 
• Le Général Jean Simon que j’ai eu l’insigne honneur de connaître, avec lequel j’ai rallumé la flamme de l’Arc de Triomphe, me confia :
« Lorsque nous nous sommes présentés au Général de Gaulle à Londres, il nous demanda sans autres commentaires sur notre action, Dans quelle unité voulez-vous servir ? »
Fin de l’entretien.
 
Devant la gravité de la défaite, les Patriotes savaient au plus profond de leur âme qu’ « obéir » à Vichy c’est trahir, mais « Désobéir, c’est servir. Servir jusqu’au sacrifice. »
 
« Le convoi s’ébranle de la prison de Fresne à l’aube du 29 août 1941, en direction du Mont Valérien. Dans l’autocar...les condamnés assis sur leurs cercueils sont encadrés par des soldats de la Wehrmacht. Les condamnés descendent de l’autocar. Ils rejoignent l’abbé Stock, un prêtre catholique allemand, une dernière bénédiction. »
 
« Bekanntmachung, Avis
Le lieutenant de vaisseau, Henri Louis Honoré Comte d’Estienne d’Orves...
L’Agent commercial Maurice Charles Emile Barlier
Le commerçant Jean Louis Guillaume Doornik
ont été condamnés à mort à cause d’espionnage. Ils ont été fusillés aujourd’hui.
Paris 29 août 1941
« Der Miltärbefehlshaber in Frankreich. »
(Le commandement militaire allemand en France)
 
Ernst Jünger, l’auteur d’Orage d’acier, prit connaissance des lettres d’Adieu du Comte d’Estienne d’Orves. Il note dans son journal parisien :
« Ces lettres constituent une lecture de haute valeur et j’avais le sentiment de tenir entre mes mains un document qui demeurera. »
 
Ils sont plus d’un millier à avoir connu leur destin tragique dans la clairière du Mont Valérien,
Ils sont des milliers à être tombés sous les balles de l’occupant, au combat dans les maquis, le Vercors, les Côtières l’Ain,
En représailles, victimes innocentes, choisis au hasard, fusillés de Chateaubriand ou massacrés à Oradour-sur-Glane.
Résistants de l’intérieur, ils ont sauvé l’honneur de la France, avec les combattants des Forces Françaises Libres, en Syrie en 1941, à Koufra le 31 janvier 1941, à Bir Hakeim en juin 1942, en Libye.
 
Ces « hommes, ces FFL, partis de rien » dit d’eux René Cassin, ont rappelé au monde la valeur des soldats français.
Ils ont rallié à eux les hommes de toute origine de l’Empire colonial français.
 
Le 26 août 1940 à Fort Lamy au Tchad, Félix Eboué, Gouverneur du Tchad, avec le Colonel Pierre Marchand proclame son ralliement à de Gaulle.
« Cet homme d’intelligence et de cœur, ce noir ardemment français, répugnait de tout son être à la soumission de la France au triomphe du racisme nazi. » Charles de Gaulle
 
Félix Eboué est la preuve historique que la France coloniale n’a pas commis de crime contre l’Humanité.
Félix Eboué entre au Panthéon le 20 mai 1949 en compagnie de Victor Schoelcher.
 
Résistants de l’intérieur, combattants des FFL sont du même sang.
A Koufra, les FFL sous le commandement du Colonel Leclerc font le serment, le 2 mars 1941
« Jurez de ne déposer les armes que lorsque nos couleurs, nos belles couleurs, flotteront sur la cathédrale de Strasbourg. »
Le 24 novembre 1944 le Général Leclerc signe l’ordre du jour n°73
« Le serment de Koufra est tenu...Vous avez chassé l’envahisseur de la capitale de l’Alsace rendant ainsi à la France et à son armée son prestige d’hier. Nos camarades tombés sont morts en héros.
Honorons leur mémoire.
Strasbourg 24 novembre 1944. »
 
Le 9 mai 1945, le Général de Lattre de Tassigny cosigne à Berlin la reddition des Armées allemandes avec nos Alliés américains, anglais et russes, au grand dam du Général nazi Wilhelm Keitel.
 
L’« étrange défaite » fut alors oubliée dans l’enthousiasme de la fin de la guerre.
L’« étrange défaite » expiée par les sacrifices qui ne parviennent pas à effacer les douleurs des pères, des mères, disparus, tombés sous les balles de l’occupant.
L’« étrange défaite » taraude toujours notre mémoire collective.
L’« étrange défaite » nous revient lancinante à l’esprit, elle nous rappelle l’incurie des chefs :
 
« Il ne nous manque pas un bouton de guêtre » Edmond le Bœuf Ministre de la Guerre 1870
« Août 1914, c’est le temps des moissons, la guerre sera rapide.
Nous ne sommes pas disposés à laisser Strasbourg sous le feu des canons allemands »
Albert Sarraut 7 mars 1936, à la suite de la remilitarisation de la Rive Gauche du Rhin, la Rhénanie.
« Le croquemitaine se dégonflera. » Paul Claudel le 14 août 1939, la veille de l’agression nazie sur la Pologne.
« Nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts. » Paul Reynaud 10 septembre 1939.
 
Ces déclarations de nos chefs sont pour toujours gravées dans nos mémoires, elles sonnent en avertissement, dénonçant les illusions des naïfs.
 
Seul Winston Churchill a tenu le langage de la vérité, le 13 mai 1940, aux Communes
« Je n’ai rien d’autre à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. »
 
Nous savons que l’Histoire est à jamais tragique.
 
Pourquoi alors avoir accepté d’engranger les prétendues, les illusoires dividendes de la Paix ?
Engranger les dividendes de la Paix, c’est désarmer la Nation.
Engranger les dividendes de la Paix rappelle le goût amer de l’inéluctable  « étrange défaite. »
L’Histoire n’est jamais un long fleuve tranquille, l’Histoire exige plus que jamais lucidité, détermination et efforts.
 
« Si vis Pacem, Para bellum »
demeure la loi de la Raison pour assurer l’indépendance nationale, notre liberté.
 
Vive nos Héros tombés au champ d’honneur
Vive nos Alliés
Vive la République
Vive la France.
 
Jacques Myard
Maire de Maisons-Laffitte
Membre Honoraire du Parlement

Le 14 mai 1610 :

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Le Roi de France Henri IV est assassiné par Ravaillac rue de la Ferronnerie à Paris .

Je crois de mémoire qu'il partait ou allait chez son Premier ministre Sully qui habitait non loin d'ailleurs …

Et de nos jours dans cette rue Parisienne, on peut voir ces deux plaques souvenirs .


Une nouvelle dédicace personnelle à mon ex ami pierrefittois d'origine polonaise: Michel Swiatek et à mon amie pierrefittoise: Alexandra Rosinski:

Le 11 mai Commémoration l’élection d’Henri de Valois au trône de Pologne en 1573. 

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Henri est le troisième fils de Henri II ( fils de François Ier) et de Catherine de Médicis.

Il est né le 19 septembre 1551 au  Château de Fontainebleau. 

Il est le favori de sa mère. Étant troisième dabs l’ordre de succession, elle pense qu’il n’a aucune chance de régner. Elle lui trouve donc un trône vacant ce sera celui de Pologne.

Moins d’un an après Charles IX son frère meurt et il devient Henri III de France et doit s’échapper de Pologne.


Le drapeau russe a 140 ans.

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Les trois couleurs blanc, bleu et rouge ont été arborées dès 1668 au mat du tout premier navire de guerre russe appelé Oriol (Aigle).

Le prototype a été repris par Pierre le Grand sous la forme de trois bandes horizontales (sans doute par imitation du pavillon hollandais) puis, après pas mal de tergiversations, Alexandre III établit le modèle actuel par un décret en date du 10 mai 1883 pour l'ensemble des usages à terre, hors marine.

Au final, c'est un des drapeaux les plus anciens encore utilisé, avec celui de l'Espagne je pense :)


Sainte Jehanne d'Arc, revenez !

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Ils sont devenus fous !

Sainte Jehanne d'Arc, il y a de nouveau grande pitié dans le Royaume de France !

Hâtez-vous de nous secourir !

Sainte Jeanne d'Arc, Sauvez la France !


Le Point culture de Karim Ouchikh 

‪« La France était pour les nations un magnifique spectacle. Un homme la remplissait alors et la faisait si grande qu’elle remplissait l’Europe. […] Il était au-dessus de l’Europe comme une vision extraordinaire. »‬ 

(Victor Hugo‬)

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5 mai 1821 : mort de Napoléon à Sainte-Hélène.‬


Le Point culture de Karim Ouchikh 

‪« La France était pour les nations un magnifique spectacle. Un homme la remplissait alors et la faisait si grande qu’elle remplissait l’Europe. […] Il était au-dessus de l’Europe comme une vision extraordinaire. »‬ 

(Victor Hugo‬)

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5 mai 1821 : mort de Napoléon à Sainte-Hélène.‬