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Le 26 Novembre 1892:

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Mort du cardinal Charles Lavigerie, archevêque d'Alger.

Charles Lavigerie est le fondateur de la Société des missionnaires d'Afrique (Pères blancs), à la fin des années 1880, il se fait le champion de la lutte contre l'esclavage dans le monde. 

Le cardinal Lavigerie joue un rôle important de négociateur dans la crise de 1880 consécutive aux décrets sur les congrégations religieuses, et dans le conflit scolaire de 1883. De connivence avec Léon XIII, il s'expose personnellement en portant en 1890 le  retentissant toast d'Alger, destiné à obtenir le ralliement des catholiques français à la République.


Le Billet politique de Jean-Pierre Renard: 

Honte à ces députés, voilà pourquoi les catholiques ne feront jamais confiance à cette classe présente à l'Assemblée-Nationale lors de cette mandature, parmi les femmes qui ont été obligées de recourir à l'avortement comment et combien aujourd'hui, vivent avec ce traumatisme ? Honte à ces Députés élus par le peuple français ! 

Est-ce cela une victoire ? Plus de 230000 avortements par an, alors que la contraception est gratuite, autorisée pour les mineures, qu'il existe la pilule du lendemain et même abortive. 

la proposition de loi constitutionnelle de la députée LFI Mathilde Panot visant à protéger et à garantir le droit fondamental à l'interruption volontaire de grossesse a été adoptée à une large majorité, avec 337 voix pour et 32 voix contre.

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine 

Adhérent de RECONQUETE ! 


Le 25novembre 885:

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Les Vikings , peuple du Nord , envahissent notre capitale et commencent le siège de Paris ! Une flotte impressionnante de 700 Drakkars apparaît sur les eaux sombres de la Seine ! Les navires sont remplis de guerriers Danois venus piller la France Occidentale ! Le siège de Paris a duré deux ans et c’est Charles le Chauve qui accepte de payer un tribut monumental pour sauver ce qui reste de la Cité et obliger les Vickings à repartir ! Tribut estimé à environ 2,5 tonnes d‘ argent, métal précieux !


Le 25 novembre 1177:

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A Montgisard 4 000 chevaliers du Temple ont combattu et vaincu  30 000 cavaliers de l’armée de Saladin sous le commandement du jeune Roi de Jérusalem Baudouin IV alors âgé de 16 ans.

 


La 2ème circonscription de la Seine Saint Denis:

Très chers habitants de St Denis, très chers compagnons et très chers ami(e)s. Demain aura le traditionnel repas annuel de la section de l'UNC de St Denis. Je n'y serai pas. Car, j'ai l'année dernière j'ai démissionné de cette association mémorielle car son Président de l’époque, mon ancien collègue au Conseil municipal de Pierrefitte Sur Seine: Ferdinand Bramoullé avait refusé alors que j'étais membre du bureau que je postule à un poste plus élevé étant donné que j'étais beaucoup trop catalogué à Droite et qu'il avait peur 😱 d'une réaction négative de la mairie socialiste...!!!

J'ai été candidat suppléant de la candidate UMP aux cantonales en 2008 à St Denis. Candidat suppléant de la candidate LR aux législatives de 2017 sur la 2ème circonscription. Mon arrière-grand-père et ma grand-mère Simone Renard reposent au cimetière Communal de St Denis. Mon Grand-père Louis Renard est né à St Denis. 

Je reproche aux associations d'anciens combattants de St Denis d'être beaucoup trop proches de la mairie communiste et maintenant socialiste...!!! Ils ne veulent pas faire de politique, mais ils en font quand même !!! Surtout que l'UNC à sa création au début du siècle dernier, était catalogué très à Droite !!! Elle a été créé par des anciens combattants de la Droite nationale française qui ont combattu lors de la Première Guerre Mondiale !!!

Toutes les Droites doivent être respectées aussi sur l'ensemble des communistes de la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis !!!

Amitiés,

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine 

Adhérent de RECONQUÊTE !

Membre de L'Alliance Royale

Membre du Cercle d'Action Légitimiste 

Membre des Amis de la Fondation Charles de Gaulle 

Ancien membre bureau de la section UNC de St Denis 

Membre du Souvenir Français 

Membre du Souvenir Vendéen

Ancien Vice-président du Comité de Jumelage de Pierrefitte Sur Seine 


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Première réunion mensuelle sur zoom en vidéo 📹 conférence, ce soir  des adhérents du parti royaliste: "ALLIANCE ROYALE" que j'ai rejoint il y a quelques mois. Avec comme thème ce mois-ci: "l'Avenir de l'Union Européenne".

Jean-Pierre Renard 

Ancien Conseiller municipal gaulliste de Pierrefitte Sur Seine 

Membre de L'Alliance Royale 

Adhérent de RECONQUÊTE !

Membre du Cercle d'Action Légitimiste 

Membre du Souvenir Vendéen

https://allianceroyale.fr/


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Aujourd’hui 24 novembre , nous fêtons Sainte Flora ! Elle est considérée comme la Patronne des personnes abandonnées ou victimes de mauvais traitements ! Le nom joue sur la «  floraison » car à cette époque de novembre , les fleurs ne poussent plus à cause du froid ! Chrétienne du IXe siècle , elle perdit la vie pour avoir refusé de devenir musulmane . Timide et réservée, sa grande capacité d’écoute


Affaire Obono : le jour où j'ai été relaxé par la justice.

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par Geoffroy Lejeune, Directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles

Permettez-moi de vous faire goûter un instant l’enfer qu’est l’affaire Obono.

Tout a commencé un jour d’août 2020. Retour de vacances, fin de confinement. Douceur de l’été, lecture d’une excellente fiction de notre série plongeant la députée insoumise dans l’horreur de l’esclavage intra-africain au XVIIIème siècle. L’idée ? Dans le contexte des insurrections menées par le clan Traoré après l’affaire George Floyd, mettre la députée Obono (présente dans les manifestations interdites protestant contre le prétendu racisme systémique entretenu par les institutions françaises) face aux contradictions de son discours, et montrer que les africains ont été davantage martyrisés par les arabes que par l’Occident au cours de l’histoire.

Maladroit ? Salutaire, plutôt. A l’époque, le discours indigéniste est si puissant que le ministre de l’Intérieur, l’irremplaçable - mais facilement remplacé - Christophe Castaner envisage de s’agenouiller dans la cour de l’hôtel de la place Beauvau, en gage d’extrême docilité adressé aux séides de la famille Traoré.

Je vous passe le récit complet de cette affaire, ainsi résumée: tollé sur les réseaux sociaux, tollé médiatique, condamnation unanime de la classe politique à l’exception des rares élus ayant pu lire le texte incriminé, coups de fil larmoyant du président de la République à la députée prétendument outragée, tweet compassionnel du Premier ministre de l’époque, désormais chargé de gérer les retards des métros - mieux vaut utiliser les gens à leur bonne place.

Oukase généralisé, chasse à l’homme, ou plutôt chasse au journal qui dérange, gardes du corps, guérilla judiciaire. Nous nous retrouvons donc un beau matin de l’été 2021 au palais de justice de la porte de Clichy, attendus par une cohorte d’ « insoumis », pour écouter treize heures de réquisitoire contre votre journal. Il faut savoir que l’enceinte d’un tribunal protège ceux qui y profèrent des horreurs, qui ne peuvent être tenus pour responsables de leurs injures. On y entend les explications confuses d’un Lilian Thuram peu habitué à être confronté à son racialisme, les saillies infectes des avocats des parties civiles, leurs allusions gênantes, leur manière de compter les noirs et les blancs dans la salle, leur obsession pour la race, la couleur de peau, etc.

Bis repetita en septembre dernier, devant la cour d’appel. Entre temps, votre journal a écopé d’une condamnation qu’il n’entend pas laisser passer, et défend à nouveau son honneur au tribunal. Tout y passe : le texte de la fiction, le dessin prétendument raciste (en réalité, il s’agit d’une photo, ce qui gênera un des témoins cité contre nous). Mais surtout : Valeurs actuelles. Leurs interrogations trahissent une obsession réelle contre votre journal. Ils passent au peigne nos articles, nos couvertures, questionnent nos idées, traquent nos arrières pensées, croient nous débusquer…

Les choses seraient infiniment plus simples s’ils nous lisaient, nous écoutaient, tentaient de nous comprendre. Mais tout ce jeu de dupes ne ressemble qu’à une énième instrumentalisation de la justice à des fins politiciennes servant, in fine, la propagande indigéniste de la France insoumise.

Sauf que, cette fois, ça n’a pas aussi bien marché que prévu. Le verdict est tombé hier, le 17 novembre. Sachez pour comprendre la claque que cela représente pour eux qu’il est rarissime qu’un directeur de journal soit trainé au tribunal avec l’auteur de l’article incriminé et le directeur de la publication. N’étant ni l’un ni l’autre à l’époque des « faits », ma modeste personne n’aurait jamais dû siéger sur les bancs de la XVIIème chambre ni de la cour d’appel, mais en me visant ainsi, les parties civiles avouaient leur volonté de liquider un journal plutôt que d’éventuellement faire condamner un simple article. Nous sommes donc condamnés en appel. A quoi ? A rien. 1000 euros avec sursis. Condamnés pour le principe, comme si le jugement était une relaxe qui ne s’assume pas. Mais le pire, c’est que ma petite personne est relaxée. Pour un motif purement juridique, parce que la justice française a estimé que le cas de Valeurs ne justifiait pas de créer un précédent qui permettrait que des quidams embarquent dans les prétoires tous les directeurs de journaux que compte notre beau pays.

C’est donc une défaite pour eux, mais pas encore une victoire pour nous. Valeurs se pourvoit évidemment en cassation, et défendra son honneur jusqu’au bout, car nous comptons bien faire triompher la vérité. Nous serons aux côtés de Laurent Dandrieu pour faire taire définitivement l'idée qu'une quelconque arrière pensée raciste ait pu se nicher dans son texte. Ils pensaient nous faire taire. Ils ont décuplé nos forces. Grâce à vous, grâce à votre soutien, nous sommes toujours là. Nous serons toujours là pour défendre vos idées. Nous ne céderons jamais. Vous êtes des milliers à avoir rejoint le mouvement #JesuisLapourVA et à nous renforcer par votre abonnement. Continuez ainsi, et convainquez vos proches, ce n’est qu’ainsi que nous gagnerons vraiment. Merci à vous, et à très vite pour d’autres victoires.

Geoffroy Lejeune

Directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles