Cette Europe qui veut notre mort
L’entrée de la Turquie dans l’Europe est toujours sur le feu. Cela en ferait le premier pays d’Europe en termes de population, sans compter ses millions de migrants, le tout avec un gouvernement musulman tendance radicale, dont le président ne cache même pas sa volonté de conquête européenne. Alors qu’il n’est géographiquement pas en Europe. On se demande donc ce que cherchent les institutions européennes avec cet "accord politique" du 02 juin, portant sur un budget de 14,16 milliards d'euros, destiné à aider des pays candidats à l'adhésion, dont la Turquie. Pas encore adopté, l'accord politique doit être traduit en textes juridiques et approuvé par le Parlement et le Conseil européens. On sent le problème de la construction : on ne fait pas entrer des pays qui ont le niveau, mais on donne de l’argent à des pays qui ne l’ont pas pour qu’ils entrent tout de même et appauvrissent la moyenne. Cela au détriment des populations des pays riches et sans vrais avantages pour le pouvoir d’achat des populations des pays pauvres. Les seules résultantes sont, l’islamisation, le moins disant salarial qui génère délocalisations et détricotages des tissus industriels d’Europe de l’Ouest. Cette Europe là, veut notre mort, il faut la changer ou en sortir.
Pierre Duriot
Porte Parole du Rassemblement du Peuple Français.
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