Violences faites aux femmes : une certaine gêne
Les élus se grattent la tête après le meurtre de Stéphanie Di Vincenzo, dans la nuit, ce week-end, à Hayange. Le problème est qu’ils ne devraient pas, car l'affaire est déjà bien connue. L’élu RN, Laurent Jacobelli, candidat à la région du Grand Est, estime que l'auteur présumé des faits, un ressortissant kosovar de 23 ans, disposant du statut de réfugié politique, aurait dû être « expulsé ». Il n’y a pas besoin d’être au RN pour connaître les statistiques : En région parisienne, 52% des viols sont commis par des étrangers et l’âge moyen des agresseurs est de 34 ans. Près de 45% d’entre eux sont sans-emploi et 48% étaient déjà connus des services de police, dans 20% des cas pour agression sexuelle. La victime type est une femme de 30 ans, « avec une forte représentation de la catégorie cadres et professions intellectuelles supérieures ». Au RPF, nous préconisons que ce soit l’homme qui soit déplacé, en cas de violences conjugales et pas la femme et les enfants, qui en plus d’être victimes, subissent la perte des repères du quotidien. Et que soient expulsés, sans ménagement, ces 52 % d’hommes dangereux extérieurs. Nous y verrions déjà plus clair pour traiter le problème, avec des peines dissuasives et des mesures d’éloignement.
Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français
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