Le Point culture de Karim Ouchikh:
« Peu importe à cette prudente qui redoutait les contacts corporels de l’amour, l’imprudence du dévergondage lyrique. Dans le domaine de la poésie, la pudeur n’existait plus pour elle ni l’exhibitionnisme. Elle ne craignait pas de dévêtir son âme, quels qu’en fussent les défauts. »
Magnifique portrait d’Anna de Noailles dressé par Jean Cocteau.
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