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"Christophe Castaner veut rapatrier les djihadistes car, nous dit-il, « ils sont Français avant d’être djihâdistes ».

Non M. le Ministre !

En partant combattre avec un État (islamique) ennemi de la France, ces djihâdistes ont changé de patrie et choisi la leur. Les rapatrier c’est les laisser là-bas !

Faut-il de surcroît vous rappeler, M. le Ministre, que le premier acte symbolique de ces djihâdistes français une fois sur le territoire de Daesh, était de brûler face caméra leurs cartes d’identité française ? Dès lors pourquoi voulez-vous les forcer à être ce qu’eux mêmes considèrent qu’ils ne sont plus, c’est-à-dire Français ?

Concrètement c’est très simple et inscrit dans notre code civil : « Le Français qui se comporte en fait comme le national d'un pays étranger peut, s'il a la nationalité de ce pays, être déclaré, par décret après avis conforme du Conseil d'Etat, avoir perdu la qualité de Français ». (Article 23-7 du Code civil).

Alors qu’attendez-vous M. le Ministre pour prendre cette mesure de bon sens pour sauvegarder la sécurité des Français ?"

Nicolas Dupont-Aignan 

Député français 

Tête de liste aux élections européennes 

Président de Debout La France 


Le 28 janvier 814  décès de l'Empereur  Charlemagne  à Aix-la-Chapelle

 Le 24 septembre 768, Charles 1er et son frère Carloman succèdent à leur père Pépin le Bref à la tête du                  

« Royaume des Francs » qui s’étend de part et d’autre du Rhin. Après la mort de Carloman, trois ans plus tard, Charles entame une ascension qui lui vaudra le surnom glorieux de Charlemagne (du latin Carolus Magnus, Charles le Grand.

Au terme de quarante-six années de règne, dont 44 à la guerre, il va étendre son royaume de l'Èbre (Espagne) à l'Elbe (Allemagne) avec le souci de restaurer un semblant d'État centré sur sa résidence d'Aix-la-Chapelle (Rhénanie).

Ses compagnons ou comtes quadrillent le territoire. Ils sont l'amorce de la société féodale à venir. Les clercs qui entourent l'empereur consolident quant à eux l'autorité de l'Église, représentée par les évêques. Ils réhabilitent l'usage de l'écrit, avec le latin pour langue véhiculaire.

Après la soumission des Saxons en 804, Charlemagne entreprend ses dernières campagnes militaires : contre les Arabes d'Espagne, les Avars ou les Bretons, mais aussi les Slaves, les Sarrasins, les Grecs et les Danois. En 812, l'empereur romain d'Orient Michel Ier reconnaît Charlemagne comme empereur romain d'Occident. Charles pense alors à sa succession :

De tous ses fils, l'un Pépin le Bossu avait tenté de le renverser, il fut enfermé dans un monastère.

Charles le Jeune, qui avait reçu l'onction du pape lors du sacre est destiné à la succession mais il meurt en 811.

Le second fils de Charlemagne, Pépin était roi d'Italie, il se distingua en capturant le trésor des Avars, « le Ring », il meurt en 810.

C'est alors Louis (le Pieux ou le Débonnaire) qui succédera à Charlemagne, il est sacré en 813, du vivant de son père.

Charles était fort et robuste, il ne fut malade que durant les quatre dernières années de sa vie, il se mit à boiter et à souffrir de la fièvre. En 814, il meurt de pleurésie, il est inhumé à la basilique d'Aix-la-Chapelle. L'unité de l'Empire qui était déjà difficile à maintenir à cause de l'immensité d'un territoire s'étendant de la Baltique à l'Adriatique et à cause du système des comtés et des marches, source de morcellement, put être sauvegardée aussi longtemps que Charlemagne fut en vie, mais ne devait guère survivre à la disparition du « ciment » que représentait son autorité et son prestige.


Le 27 janvier 1967: Mort du Maréchal Juin

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A 78 ans, Alphonse Juin, dernier Maréchal de France, s'éteint à l'Hôpital du Val-de Grâce à Paris. Il s'était notamment distingué à la tête des forces françaises libres d'Afrique du Nord lors de la libération de l'Italie et du débarquement en Provence. Maréchal de France en 1952 et membre de l'Académie Française, ses obsèques donnent lieu à un grand moment de ferveur gaulliste et télévisée.


Info Pierrefitte:

Très chers ami(e)s, voici, en en avant-première mon prochain article pour le Journal Municipal de Pierrefitte pour le mois de février 2019, qui sera diffusé à 13.000 exemplaires :  

 

Le pourquoi et le comment.

J’ai quitté le parti politique dont j’étais membre depuis sa création il y a 19 ans : Les Républicains. Je rejoins le gaulliste Nicolas Dupont-Aignan. Le gaullisme dont mon Grand-père Louis Renard était fervent et je suis son chemin. Nicolas Dupont-Aignan représente tout ce que la France a besoin en cette période très difficile. Je préfère désormais me battre à ses côtés ! 

En tant que Conseiller municipal de Debout La France, je vous présente les idées suivantes : Il est temps que Macron prenne des mesures pour rétablir la justice et relancer le pouvoir d’achat. Depuis deux mois de protestation, le peuple se lève contre sa façon de diriger la France. Un référendum est nécessaire pour faire repartir le pays, or Macron reste inflexible, pas de changement de cap ! A faire : les autoroutes de France doivent être rendues aux français. Il faut rétablir l’école de la République, un grand plan pour l’instruction publique. Les enseignants français sont les plus mal payés d’Europe. Le savoir doit être bien rémunéré. Depuis 2012 Nicolas Dupont-Aignan demande l’instauration du référendum d’initiative citoyenne. A savoir que la fraude des cartes vitales couterait 14 milliards d’euros aux contribuables. La lettre aux français de Macron coutera 10 millions d’euros.

Jean-Pierre Renard 

Conseiller municipal DLF de Pierrefitte

Mail : [email protected]   Blog : https://jprenard.typepad.fr/a/