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Le 10 décembre sera le premier jour de la refondation

Depuis l'élection d'Emmanuel Macron, une forme de torpeur s'est abattue sur la politique française. Toute critique du gouvernement semble un affront à la bien-pensance. Les plus opportunistes, à gauche et à droite, se drapent des couleurs présidentielles. Il n'y a plus de débats. Comme si tout allait bien dans la France de 2017.

Tout ne va pas bien. Notre pays est menacé par le terrorisme islamiste, par les revendications communautaristes, par l'explosion de la délinquance, par les ravages du chômage, par les dérives de l'assistanat, par l'accumulation des taxes.

Face à la volonté d'Emmanuel Macron de réduire à néant tout ce qui existe entre lui et les extrêmes, les Français attendent qu'apparaisse enfin une véritable opposition, capable de montrer une autre voie pour le pays.

La France a besoin de la droite et il faut que la droite soit vraiment de droite.

Le 10 décembre, c'est vous, adhérents des Républicains, qui aurez le destin de notre famille entre les mains. A nous de tourner la page des divisions. A nous de reconstruire notre famille. A nous de redonner à la France sa fierté et son honneur.

Pour cela, j'ai besoin de vous. Cette élection doit être celle de la refondation.

Le 10 décembre, chaque voix compte. J'ai besoin que vous soyez nombreux à voter pour redonner une parole forte à la droite.

Le 10 décembre, je veux que nous reprenions ensemble notre drapeau pour montrer aux Français que notre famille est de retour.

Laurent Wauquiez

Adresse : 93, rue de l’Université 75007 Paris
Site Internet : https://www.wauquiez.net/ 
Email : [email protected]
Facebbok : facebook.com/laurentwauquiez
Twitter : @laurentwauquiez


Info Pierrefitte:

Chers ami(e)s,

J étais hier soir en tant qu' élu municipal et pour représenter l ensemble de la Droite républicaine pierrefittoise à la remise des diplômes des médailles d honneur du travail 2017 du secteur privé à la mairie de Pierrefitte. Alors que le Délégué LR, toujours complètement absent sur le terrain au quotidien, qu' on nous a imposé sur notre circonscription, n a qu' un but me bouter hors du Conseil municipal lors des prochaines municipales... ! Quel programme ! Moi, je me battrai jusqu'au bout et ne lâcherai rien , pour l'intérêt général ainsi que la continuité du renouveau de la Droite républicaine pierrefittoise (en espérant que cela se fera aussi bientôt sur St Denis...). Un travail quotidien et que j'ai commencé en mars 2014. Comme le fit jadis un certain Louis Renard sous et pour le Général de Gaulle dans les années 50. Bonne journée à tous. 

Amitiés,

Jean-Pierre Renard

Conseiller municipal LR de Pierrefitte sur Seine

Vice-président du Comité de Jumelage de Pierrefitte

Membre du Comité départemental LR du 93

Membre du CA du CCAS de Pierrefitte

Membre du CA du Centre Culturel et Communal de Pierrefitte

Délégué suppléant du SIPPEREC pour la ville de Pierrefitte

Ex Délégué de Ville UMP pour Pierrefitte

Candidat suppléant LR/UDI pour les législatives sur la 2ème circonscription du 93, en juin 2017

 

Blog: http://jprenard.typepad.fr/a/

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Communiqué : Dérives régionalistes !

COMMUNIQUE DE PRESSE de Jacques MYARD
Maire de Maisons-Laffitte
Membre Honoraire du Parlement
Président du Cercle Nation et République

Le 5 Décembre2017


A/S : Dérives régionalistes

 

Le succès des nationalistes corses aux élections territoriales du 3 décembre doit nous interpeller sans nous amener à sur-réagir. Toute sur-réaction ne ferait que donner des arguments supplémentaires à ceux qui se sont engagés sur un chemin qui conduit à une impasse.

Ayons le courage de regarder les choses en face. L’Etat, c’est-à-dire les gouvernements successifs, sont largement responsables des dérives régionales susceptibles à terme de remettre en cause l’unité de la République. Georges Pompidou estimait à juste titre que le régionalisme était le retour du Moyen-Age. La formule est juste et frappée au coin du bon sens.

L’Etat n’a pas su se décentraliser et a laissé dans les mains des régions des compétences qui ne peuvent relever que du niveau national. Il en est ainsi des bureaux que les régions ont ouverts à Bruxelles qui sont devenus de petites ambassades, menant leur propre politique avec l’Union Européenne.

Il s’agit là d’une double lâcheté de l’Etat.

Il a sous-estimé, en premier lieu, la logique institutionnelle de ce processus régionaliste qui petit à petit a conduit les hobereaux locaux à s’ériger en rival de l’Etat-roi.
En second lieu, l’Etat, en difficulté financière, fut trop heureux de voir ses compétences assumées par d’autres sans réaliser que celui qui paye commande.

Mais on ne saurait enfin oublier les encouragements de la Commission de Bruxelles qui a toujours vu dans ces Etats-Nations des ennemis sinon à détruire, du moins à réduire en les contournant ou en les supplantant.

La constitution du Comité des régions en 1994 par le Traité de Maastricht a élevé au rang de statut international et européen les régions, leur offrant par là même une reconnaissance juridique d’ampleur.

Cette logique des institutions européennes est imparable : elle a conduit à la crise catalane, et toutes proportions gardées, donné des ailes aux nationalistes régionaux comme en Corse.

Mais dans le cas de la Corse, il convient d’être plus sévère encore pour les gouvernements successifs qui ont fait preuve d’un laxisme irresponsable pour rechercher les auteurs des attentats, préférant parfois trouver des arrangements douteux avec eux et en cédant aux revendications. Il eût été nécessaire de changer radicalement de politique et d’empêcher de laisser les choses se dégrader.

Il faut désormais avoir le courage de reprendre les choses en main et refuser de laisser ce romantisme insulaire mener la Corse dans le mur. Cependant, au-delà des lâchetés sécuritaires et de la logique institutionnelle du régionalisme qui porte en lui ses propres dérives, il existe une dimension politique majeure que nous avons oubliée.

Cessons de parler de la France à l’aune des critères de Maastricht et des normes en tout genre, cessons de ramener la France au jugement des technocrates ! La France s’enseigne que l’on soit corse ou antillais, parisien ou breton, la France, c’est une culture vivante, n’en déplaise à E. Macron. La France est, comme le disait RENAN, une Nation.

"La nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n’en font qu’une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. [...] Une nation est donc une grande solidarité, constituée par le sentiment des sacrifices qu’on a faits et de ceux qu’on est disposé à faire encore. [...] Je me résume, Messieurs. L’homme n’est esclave ni de sa race ni de sa langue, ni de sa religion, ni du cours des fleuves, ni de la direction des chaînes de montagne. Une grande agrégation d’hommes, saine d’esprit et chaude de cœur, crée une conscience morale qui s’appelle une nation. »

Cette solidarité de la Nation qui fait l’âme de la France, les Corses, sans doute plus que d’autres, l’ont construite, l’ont défendue de leur sang, l’ont gouvernée. Les Corses ont fait la France, elle est leur, et les nationalistes corses, s’ils remettent en cause ce pacte national, c’est leur propre histoire qu’ils renieront pour leur propre malheur.

 

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