Communiqué : Migrants : Gestion calamiteuse du gouvernement !
COMMUNIQUE
DE PRESSE
de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République
Le 30 Août 2017
A/S : Migrants : Gestion calamiteuse du gouvernement !
En matière de contrôle budgétaire, on connaissait la méthode "rabot" qui effectue des coupes de manière aveugle dans les budgets des ministères et provoque une unanimité de réprobations: l'actuel gouvernement vient d'en connaitre les mérites...
Mais sous l'impulsion de Macron Jupiter, les Français découvrent la méthode " Je sème à tout vent" les migrants !
C'est ainsi que nombre de communes - notamment dans les Yvelines - voient arriver des centaines de migrants que le gouvernement installe après réquisition dans des hôtels ou résidences, après les avoir priés de force de quitter les lieux de la Porte de la Chapelle à Paris !
Arrivés dans les villes, livrés à eux-mêmes en attente d'examen de leur condition juridique au regard d'une éventuelle et longue demande d'asile ils s'égaient dans la nature et retournent à Paris où le processus va pouvoir recommencer ...
Cette politique calamiteuse est une politique de l'autruche , le gouvernement est idéologiquement installé dans une lâcheté aveugle !
Cette politique crée toute les conditions de l'appel permanent , chaque évacuation de la porte de la Chapelle est connue de tous les candidats aux migrations, ils savent qu'après une période difficile ils seront relogés et ne repartiront pas !
La première mesure est de proclamer haut et fort que tout migrant sera reconduit à la frontière,
La deuxième est d'organiser avec une grande publicité le retour par avion dans un pays donné d'une centaine de migrants afin de mettre un terme à l'appel que les ONG ont sciemment entretenu au nom de leur idéologie irresponsable,
La troisième mesure est de regrouper dans des zones de rétention fermement contrôlées les migrants aujourd'hui entrés illégalement afin d'organiser leur retour de manière progressive !
Cette nouvelle politique - à coupler à une aide forte pour les pays d'émigration -est la seule capable d'enrayer ce processus qui commence à provoquer de sérieux affrontements locaux .
" Je sème à tout vent " est la devise du Larousse , ce n'est pas une méthode pour maîtriser les flux de migrants, sauf à être irresponsable comme ce gouvernement !
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@JacquesMyard
Lettre ouverte au Président de la République française:
Monsieur le Président de la République,
C’est avec sens des responsabilités et empreint de gravité que je choisis de m’adresser directement à vous, au nom de la fédération COORACE.
COORACE, ce sont 550 entreprises de l’économie sociale et solidaire réparties sur l’ensemble du territoire et plus de 70 000 salarié-e-s. Des entreprises et des militant-e-s qui s’engagent au quotidien pour l’emploi, la dynamisation des territoires et le renforcement du lien social. Des entreprises qui s’engagent pour faire vivre la solidarité dans un pays où, vous le savez, la cohésion sociale et le vivre ensemble sont soumis à rude épreuve.
Les fondateurs de notre fédération ont connu l’illégalité, il y a maintenant plus de 30 ans, quand, en tant que simples citoyen-ne-s, elles/ils ont décidé d’agir, envers et contre tout, pour protéger leurs semblables de la précarité face à la montée du chômage.
En 1987, Philippe Seguin, alors Ministre des affaires sociales, en donnant un cadre juridique aux associations intermédiaires, posa les premières pierres de ce que l’Etat allait nommer la politique active de l’emploi.
Déterminées, nos entreprises associatives ont dû, depuis, se réinventer pour faire face au déclin des territoires et au chômage de masse installé durablement ; trouver des solutions, innover, coopérer, en conjurant les baisses de financement et les incertitudes liées aux alternances politiques.
Ces incertitudes ne faiblissent pas depuis votre élection M. le Président de la République, notamment depuis les annonces des premières mesures portées par votre gouvernement. Nous avons été interpellés par la baisse des APL, que nous avons dénoncée comme un arbitrage technocratique ; interpellé-e-s également par les coupes budgétaires sur le logement très social, la politique de la ville, l’égalité femmes-hommes.
Certes, des hauteurs de Bercy, soustraire ne reste qu’une opération comptable incapable de mesurer les conséquences de ses choix sur le maintien de notre pacte social, de fait de notre contrat républicain.
Une nouvelle étape vient d’être franchie qui va mettre en péril de nombreux adhérent-e-s de notre fédération et plus généralement l’ensemble du tissu associatif national. En 2 minutes de discours à l’Assemblée Nationale, pas moins, la ministre du Travail, Mme Pénicaud, annonce la suppression des contrats aidés, jugés « trop chers, pas efficaces ».
Ces contrats aidés, permettez-moi de vous le rappeler, Monsieur le Président de la République, participent à la redynamisation de l’emploi dans nos territoires ruraux et urbains, dans des contextes économiques extrêmement tendus, où la cohésion sociale est mise à mal chaque jour. Ils réarment les personnes qui réussissent, grâce à ces dispositifs, à sortir du chômage de longue durée. Ils agissent comme un tremplin vers l’emploi, par les effets conjugués de l’activité professionnelle, de l’accompagnement et de la formation. Ils répondent, aussi, permettez-moi de vous le rappeler Monsieur le Président de la République, à des besoins forts d’utilité sociale, non couverts par le marché et l’État. Ils sont destinés, permettez-moi de vous le rappeler Monsieur le Président de la République, aux plus fragilisé-e-s par le chômage de masse : personnes privées d’emploi sans qualification, jeunes des quartiers, personnes âgées et handicapées.
Comment, en quelques semaines, les entreprises de notre réseau pourraient-elles réinventer leurs modèles économiques pour faire face à cette baisse des ressources humaines, sans mettre en péril leurs actions voire leur existence ?
Le tissu associatif dans notre pays est plongé dans l’incertitude. Incertitude qui touche également les milliers de personnes qui attendent actuellement le renouvellement de leur contrat pour retrouver le chemin du travail.
Une évaluation des contrats aidés, comme toute politique publique, est nécessaire. Cette évaluation, ainsi que les mesures qui permettront plus d’efficacité vers l’emploi durable, ne pourront être menées à bien qu’en y associant l’ensemble des acteurs/trices, notamment les bénéficiaires de ces contrats.
Ce n’est pas la voie de la concertation que votre gouvernement a choisie.
La méthode retenue est brutale et déstabilise nos structures. Devons-nous considérer que nous sommes à un point de rupture ? Avons-nous définitivement dépassé le stade où nous pouvons, entre la politique que vous menez, et nos actions au quotidien, trouver le moindre commun ? Nous souhaiterions, Monsieur le Président de la République, que vous nous éclairiez sur les voies qui pourraient encore nous mener collectivement à une plus société plus fraternelle, inclusive, solidaire, quand la cohésion sociale est à ce point ébranlée par les orientations de votre gouvernement.
Monsieur le Président de la République, nous vous invitons à écouter les sans voix, à regarder les sans visages et à leur prouver qu’une histoire commune est encore possible.
Avec mes très respectueuses salutations.
Monsieur Jean Burneleau,
Président de la fédération COORACE
Du blog: http://www.gaullisme.fr/
Info Pierrefitte:
Voici, pour vous, en avant-première et en exclusivité, mon article pour le Journal Municipal de Pierrefitte (diffusé à plus de 13.000 exemplaires) pour l'édition de septembre/octobre 2017.
JPR
Silence criant, revendiquons !
Nous allons aborder les problèmes qui nous heurtent : en tant que gaulliste et représentant de la Droite républicaine au Conseil Municipal de Pierrefitte, je suis naturellement aux côtés de nos soldats, donc contre le fait de la volonté du nouveau Président de diminuer 850 millions d’euros d’économies prélevés sur le budget du ministère des armées, s’ajoutent 520 millions d’euros annulés au ministère de l’intérieur et 160 millions ponctionnés au ministère de la justice. L’Etat régalien perd, ainsi, cette année 1 milliard 536 millions d’euros. Devant ces décisions absurdes pour les corps militaires, policiers et celui de la justice. La démission, un acte d’immense courage, du Général Pierre de Villiers est salué par nous tous qui ont toujours eu tant de respect pour l’Etat régalien. Le Général de Villiers a fait sienne la devise du Maréchal de Lattre de Tassigny : « Ne pas subir » ! Un grand bravo pour le Général.
A partir du 1er octobre, le Gouvernement va baisser 5 euros par mois des aides au logement (APL) pour les 6,5 millions de bénéficiaires. Qu’en pensons-nous ??? En premier lieu, ce sont les plus pauvres qui doivent subir les conséquences, dont un grand nombre des habitants de notre commune. Cette décision met à mal la solvabilité des locataires, mais, aussi le pouvoir d’achat (le pain quotidien d’une semaine). Les 5 euros en moins par mois pour les pauvres qui ont besoin de l’aide sont très significatifs.
Suite au vote à l’Assemblée-Nationale concernant la suppression de la réserve parlementaire. Pourtant cette réserve a été nécessaire pour la vie locale sur l’ensemble de notre circonscription. Quelques exemples : réfection du préau de l’école Anatole France, renouvellement des instruments de musique du Conservatoire de Pierrefitte, achat du matériel informatique pour les anciens combattants de St Denis etc…
Le Gouvernement vient encore d’annuler 300 millions de dotation locale : mairies ; départements et régions. Avec ce décret, les villes les plus pauvres dont Pierrefitte seront lourdement pénalisées.
Jean-Pierre Renard
Conseiller municipal Les Républicains de Pierrefitte
Mail : [email protected] Blog : http://jprenard.typepad.fr/a/ Twitter : @jp_renard
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