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Le 7 mars 1884: La poubelle devient obligatoire pour les immeubles de Paris

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Le Préfet Eugène René Poubelle impose aux habitants l'usage de réceptacles fermés pour l'évacuation des ordures. Ces réceptacles, qui immortalisent bientôt le nom de leur inventeur, se généralisent dans toutes les grandes villes, réduisant considérablement la saleté habituelle aux voies publiques depuis le Moyen Âge, et facilitant le travail des éboueurs.

C’était un système de trois boîtes à ordures ménagères, avec déjà un souci de tri sélectif : une pour les papiers et chiffons, une autre pour les matières putrescibles et la dernière pour le verre, les faïences et les coquilles d’huîtres.

Les « poubelles » sont peu à peu adoptées par toutes les villes. À Angers, Le Patriote de l’Ouest publie le 28 juin 1898 une lettre d’un de ses lecteurs qui en préconise l’emploi : « L’hygiène des villes, qui n’est que l’extension de l’hygiène privée, ne paraît pas en grand honneur dans notre ville, qui serait cependant appelée à être une résidence charmante, si certaines précautions hygiéniques étaient observées. Une de ces précautions consisterait dans l’enlèvement des immondices dans des poubelles, au lieu de les laisser séjourner dans la rue. Ce mode de pratiquer cet enlèvement est non seulement appliqué à Paris, mais encore dans les principales villes de France »


Le 7 mars 1936: L'Allemagne viole le traité de Versailles

Les troupes de la Wehrmacht occupent la zone démilitarisée de Rhur, la Rhénanie. Le chancelier allemand, Adolf Hitler, déclare caduques les dispositions du Traité de Versailles par lesquelles l'Allemagne s'engage à démilitariser la Rhur. Si les puissances occidentales s'insurgent face à cette violation du droit international, elles ne prennent aucune mesure concrète pour contrer l'Allemagne. Le service militaire obligatoire avait déjà été rétabli illégalement un an auparavant. En 1938, les accords sur les frontières seront à nouveau bafoués quand le Fürher ordonnera l'invasion de l'Autriche.

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FILLON PRESIDENT:

Message envoyé ce matin aux membres et sympathisants LR ainsi qu aux responsables de toute la 2ème circonscription de la Seine Saint Denis. A l'intention de tous ceux d'entre vous qui habitez l'Ile de France, samedi 11 mars 2017 à 10h à Pierrefitte, j'ai ou plutôt, François Fillon a besoin de vous ! Afin de réaliser une démonstration de force...

Tares chers ami(e)s

  
Je vous propose de nous retrouver(J espère autour des autres tètes LR de notre circonscription: notre Délégué Patrick Saunier; Georges Melane et Evelyne Nicol de St Denis sans oublier de notre candidate aux législatives Hayette Hamidi) samedi 11 mars 2017 devant la mairie de Pierrefitte a 10h pour une 4eme opération de tractage sur notre circonscription (!!!) en 3 semaines dans le cadre de la campagne présidentielle de notre candidat François Fillon. Non pas simplement pour lui mais surtout pour nous tous et donc pour l Avenir de l ensemble du peuple Français...! C est notre dernière chance...! J espère que le plus ancien filloniste du 93, notre Président: le Sénateur/Maire Phillippe Dallier pourra être des nôtres ?!...D avance merci a tous. N ayez pas peur de venir combattre car après le 7 mai il sera trop tard...! Bonne semaine a tous.


Amitiés,  
Jean Pierre Renard
Conseiller municipal LR de Pierrefitte
Président de l association "Les Amis de François Fillon"


FILLON PRÉSIDENT:

Discours du Trocadéro

"Mes chers amis, merci.

Oui, merci de tout cœur pour votre présence vous qui avez su braver les injonctions, les caricatures et parfois même les invectives en vous présentant ici, en cette place, si forte en symbole.

Merci, à vous qui ne baisserez jamais les bras.

A vous qui refuserez toujours d’entendre les sirènes du découragement.

Vous êtes une « certaine idée de la France », cette idée éternelle est plus grande que moi, plus grande même que cette élection, oui, c’est cette haute idée française que je voulais inviter, ici, à Paris, au Trocadéro.

Je voulais l’inviter car dans cette campagne présidentielle où je suis devenu la cible de tous, cette campagne où le dénigrement de ma personne sature l’information, on vous vous a oubliés, on a oublié ce que vous aviez sur le cœur, ce pour quoi vous vous battiez.

A cet égard, même si toute cette charge contre moi est injuste, révoltante, instrumentalisée, je vous dois des excuses, dont celle de devoir défendre mon honneur et celui de mon épouse alors que l’essentiel est pour vous comme pour moi de défendre notre pays.

Hommage devait être rendu aux militants de la France que vous êtes.

Vous êtes la France qui vient de loin, héritiers d’un passé toujours présent.

La France des paysans, la France des cathédrales, des châteaux et des sans culottes, la France qui a brillé et qui continue de briller dans les arts, les sciences et les technologies, la France qui oppose aux terroristes et aux tyrans sa force morale et militaire.

Vous êtes la République, qui fait de chacun de nous le compagnon de l’autre.

La République est née de siècles de combat pour faire triompher l’intérêt général.

Elle est une révolte face aux facilités, face aux échecs.

Elle n’est que mouvement. Si elle tombe, elle se relève telle Gavroche sur sa barricade.

Elle se relève toujours et c’est la faute à Voltaire, à Rousseau, c’est aussi pour nous la faute à Victor Hugo, à Clémenceau, aux héros de 20 ans de la Résistance.

 » Vivre, c’est ne pas se résigner ! « , écrivait Camus.

Sans cesse dans son histoire, la France a cru au mouvement.

Jamais elle n’a fait bon ménage avec le statu quo et les arrangements à la petite semaine, ce que le Général de Gaulle qualifiait en son temps de  » petite soupe sur son petit feu, dans sa petite marmite « .

Oui, vous êtes libres, et avec vous je parle de la première valeur de notre devise, la Liberté, et j’en parle pour les courageux que le système décourage, les intrépides qu’il étouffe, les audacieux qu’il suspecte, bref, ceux pour qui la liberté est une opportunité de prendre leur destin à pleines mains.

Et celui, mes amis, qui la prend, s’engage pour réussir sa vie et pour prouver qu’il existe en lui une flamme ; et de fil en aiguille, de flamme en flamme, c’est tout un peuple qui se redresse et retrouve le goût du bonheur.

Oui, pacifiquement et patiemment, vous êtes ensemble le peuple qui tous les jours est au travail, qui croit à la famille, à l’ordre juste, qui respecte le drapeau tricolore, le peuple qui ne fait pas de bruit, qui a du bon sens.

Vous êtes les électeurs de la droite et du centre, bien décidés à faire de l’élection présidentielle le point de départ d’un pays qui renaît, un pays dont vous et vos enfants seraient fiers, un pays qui affirme sa volonté d’être une puissance gagnante, la 1ère puissance européenne d’ici 10 ans.

 

Vous êtes la preuve vivante que rien de grand ne peut se faire sans vous.

A vous mes amis, je dois la vérité.

On m’attaque de toutes parts et je dois en conscience vous écouter, écouter cette foule immense qui me pousse vers l’avant, mais je dois aussi m’interroger sur ceux qui doutent et fuient le navire. Leur responsabilité est immense et la mienne aussi…

Vous savez que je suis un homme pudique mais je dois vous faire une confidence. Je ne me suis pas réveillé un matin en me disant : « Tiens, je vais être candidat à la présidence de la République ».

Je n’ai jamais été dans le schéma de ceux qui sont animés par une ambition personnelle dévorante et qui calculent le moindre de leurs actes, le plus anodin de leurs propos et qui tissent inlassablement, dès leur plus jeune âge, des réseaux en fonction de ce seul objectif.

A chaque étape de ma vie politique ce qui n’a cessé de m’animer, c’est, la possibilité de réaliser, d’être utile, de rendre service à mon pays.

Mes amis, vous savez mon diagnostic : je crois que notre pays décline et que l’heure est à un dépassement collectif.

Je comprends votre inquiétude.

Elle s’est amplifiée depuis cinq ans. Cinq longues années durant lesquelles notre République a été mise à mal.

Cinq ans pendant lesquels nous avons vu notre pays, petit à petit, descendre dans un long hiver historique, se replier sur lui-même, perdre son rang économique, sa place en Europe et notre tissu social se déliter à la vitesse d’une pelote.

Et pendant ce temps-là, qu’ont-ils fait tous ces socialistes qui auraient dû uniquement se consacrer à l’intérêt national ? Rien.

Ils étaient trop occupés par une seule obsession : mettre en place une série d’accommodements déraisonnables et de démissions camouflées, selon les vieilles règles de la   IVe République.  Des arrangements d’appareil. Toutes les décisions lourdes, importantes, reportées. La nomination des amis parce qu’ils sont des amis et non pour ce qu’ils valent. Le mépris de la vérité qui dérange. L’oubli des réalités qui fâchent. Tout cela nous l’avons vu, nous le voyons encore, alors que le monde se fait, autour de nous, plus dangereux, plus incertain chaque jour.

Au dehors c’était la guerre, et l’on réduisait le budget de nos armées. La dislocation de l’Europe, et l’on nommait Harlem désir pour s’en occuper.

Au-dedans c’était la crise, et l’on continuait à dériver comme un bâton au fil de l’eau.

Six millions de chômeurs, neuf millions de pauvres, une jeunesse en déshérence, un pays qui doute, des Français qui se divisent, la haine qui s’installe.

Une génération sacrifiant la suivante, abaissant son éducation, la condamnant a ployer  jusqu’à la fin sous le fardeau d’une dette insoutenable, au sein d’un pays déclassé, au milieu des ruines de notre industrie, de notre économie, sans rêves réalisables, sans argent, sans emploi, sans avenir.

Notre pays n’a pas été gouverné, il a été géré par le premier secrétaire du parti socialiste.

Dès le début, le hollandisme a montré son vrai visage : ces synthèses impossibles, cette alternance d’attentisme et d’activisme poussif et brouillon, cette crainte constante d’affirmer clairement un cap, préférant caboter le long de l’actualité.

Il paraît qu’il ne faut pas parler de cela, que le droit d’inventaire nous est refusé. Une élection chasse l’autre. Les commentateurs ne s’intéressent qu’à cette course d’obstacles des prétendants, qu’à la tactique. C’est un mauvais feuilleton. Dans ce récit effarant la France a comme disparu et les Francais aussi. Or moi, c’est de la France et des Français que j’ai voulu, que je voudrais toujours me soucier. Et je crois que les millions de voix qui se sont portées sur moi à la primaire veulent dire simplement ceci : nous autres Français n’en pouvons plus de vos calculs, de vos carrières, de vos histoires.

Je vais vous faire une confidence. Si par magie les Francais avaient pu assister a ce que j’ai vu ces dernières semaines, une vague de dégout les submergerait. La fuite en canard, d’un camp a l’autre, d’un hiérarque l’autre, vers la circonscription, le portefeuille. La désertion assumée, sans honte et aussi sans orgueil. Se sauver soi-même. Oui, là aussi, la France et les Français avaient disparu.

Mais je doublerai cette confidence par une autre. Je sais bien, croyez-le, quelle est ma part de responsabilité dans cette épreuve. Au delà des trahisons, du calendrier judiciaire, de la campagne de dénigrement, c’est bien par ma faute que ce projet que je porte, auquel je crois, auquel vous croyez, rencontre de si formidables obstacles. J’ai commis la première erreur autrefois, je vous l’ai dit, en demandant a ma femme de travailler pour moi, parce qu’elle connaissait le terrain, parce que c’était commode. Je n’aurais pas du le faire. Et j’ai commis la seconde en hésitant sur la manière d’en parler, de vous en parler, d’en parler aux Français. Je ne vous demanderai pas de vous mettre à ma place. Mais croyez-le, lorsqu’on est, ce que je crois être profondément, un honnête homme, lorsqu’on a passé sa vie au service de l’intérêt général, essayant, un jour après l’autre, de prendre les décisions qu’on croit justes, il est difficile de faire face à une telle campagne. Par un côté, par le désir de moralité qu’elle comporte, elle vous parait juste. Par tout un autre, par l’excès, par la disproportion, par la haine, elle vous parait injuste. J’ai fait ce que j’ai pu entre ces écueils. Je me suis souvent raffermi en me disant que le jour où je serai reconnu comme innocent par une justice dont je ne désespère pas, quelles qu’aient été mes réserves sur ses premiers actes, mes accusateurs trop rapides auraient honte à leur tour.

Le problème, voyez-vous, c’est que ce jour là il sera trop tard. L’élection aura été faussée. Elle n’aura pas permis de mettre un terme aux deux scandales qui défigurent le pays beaucoup plus sûrement, plus profondément que mes propres erreurs.

Quels sont ces scandales ?

Le premier scandale, c’est la manière, insidieuse, molle, hésitante mais terrible dans ses conséquences, dont François Hollande a œuvré au déclassement de notre pays.

Son terrible bilan n’a malheureusement pas été effacé comme par un coup d’ardoise magique. Il demeure, plombant notre croissance et hypothéquant l’avenir de nos enfants.

Et qu’importe si par un tour de joueur de bonneteau, c’est son ancien porte-serviette, M. Macron, qui prend maintenant le relais, adoptant son programme pour le plus grand bonheur des marchands d’illusions.

La faute est là et aucun artifice ne peut l’effacer.

Le second scandale, c’est celui de tous nos concurrents qui, indifférents à toutes les réalités économiques, ignorant tous les défis du monde, n’hésitent pas à promettre les 32 heures, le retour du franc, l’augmentation des dépenses publiques. Et qu’importe la faillite !

Cette démagogie devrait se heurter à un mur de raison, mais non, le boulevard est ouvert à tous les illusionnistes et les extrémistes.

Ce qui se passe actuellement donnerait presque à croire que nous sommes dans une comédie si durant ces cinq années ne s’était pas dressé un des plus terribles dangers auquel la France n’a jamais été confrontée depuis des décennies.

Je veux parler du totalitarisme islamique.

Toulouse, Charlie, l’Hypercacher, le Bataclan, les terrasses parisiennes, Nice…

Nous sommes en état d’urgence mais à en écouter certains il est urgent de ne pas en faire état.

Moi j’en parle et j’en parle fort. Contrairement à ceux qui temporisent et qui hésitent, je suis d’une détermination totale.

Parce que je crois que toute personne coupable d’intelligence avec l’ennemi doit être condamnée ; parce que la France ne peut pas servir de sanctuaire, de base arrière à l’islamofascisme ; parce qu’il faut extirper de notre corps social cette tumeur qu’est l’antisémitisme. ; parce que nous ne pourrons jamais accepter que sur notre sol, comme partout dans le monde, les femmes soient assignées à résidence et traitées comme des citoyennes de seconde zone.

A votre inquiétude légitime s’est ajoutée la colère envers cette chasse à l’homme qui me vise et qui, au-delà de ma seule personne, cherche à briser la droite, à lui voler son vote.

Je ne parle pas seulement pour moi, mais parce que la démocratie vous appartient, à vous !

Mais mes amis, vous ne devez pas céder à l’inquiétude où à la colère. Vous devez les transformer en une formidable énergie pour célébrer et chérir cette France que nous aimons par-dessus tout.

Il n’y a pas de plus belle et de plus juste querelle que celle-ci.

Le meilleur service que nous puissions rendre à notre pays mais aussi au monde, c’est de nous engager résolument sur la voie du redressement, c’est de restaurer la cohésion nationale et l’autorité de l’État.

Dans cette affaire éminemment politique, le véritable et le seul débat oppose donc, d’un côté, ceux qui tiennent la nation pour un simple marchepied à leurs ambitions et, de l’autre, ceux qui s’en font une certaine idée.

Je veux vous faire partager ce sentiment trop souvent caché, parfois moqué, un sentiment qui pourtant devrait tous nous habiter, ici et partout dans notre beau pays : la fierté.

A l’heure où certains histrions parlent de crimes contre l’humanité, je veux rappeler que la France est avant tout un pays de liberté, que les Français ont dans le monde répandu l’esprit des Lumières et que dans les pires heures de son Histoire elle a toujours su retrouver les voies exemplaires du courage et de la réconciliation.

La France est une terre d’accueil pour tous ceux qui en comprennent la richesse.

Venus d’horizons proches ou lointains, des groupes d’hommes et de femmes sont arrivés ici. Ils ont su renforcer sa cohérence et sa puissance.

La diversité est un bien précieux quand elle sait se conjuguer avec nos traditions. Car plus haut est l’arbre, plus profondes sont ses racines.

Alors ne nous laissons pas berner par ces modernes gourous qui sont revenus de tout sans être allés nulle part, ne nous laissons pas leurrer par les prophètes de la décadence qui prévoient la fin de notre monde quand c’est du leur qu’il s’agit.

Pendant ces années où j’ai préparé ma candidature j’ai sillonné le pays à votre rencontre et j’ai vu des hommes et des femmes qui n’acceptaient pas de se voir diluer dans une mondialisation vide de sens.

J’ai rencontré d’innombrables compatriotes qui se sentent français. Et comme tels, prêts à relever tous les défis qui se présentent à nous.

La France est belle de ses innovations.

Dans leur tour d’ivoire les commentateurs tournent en rond autour des mêmes constats négatifs, des mêmes renoncements, du même pessimisme tarifé, fasciné par la critique et le besoin de détruire, de salir.

Pendant ce temps-là, les initiatives fleurissent sur tout le territoire. Accompagnant la révolution numérique ou appuyés sur la richesse de notre patrimoine artisanal ou industriel des entrepreneurs inventent le monde de demain.

Non, messieurs les socialo-centristes, non, mesdames et messieurs les extrémistes de tous bords et de toutes obédiences, il n’y a pas de fatalité.

La France compte parmi ses citoyens des milliers et des milliers d’entrepreneurs, d’inventeurs, de volontaires pour entrer dans la nouvelle résistance.

Car résister c’est aussi résister à l’envie de dire « à quoi bon ».

Je sais mes amis que nous sommes là, ensemble, pour affirmer haut et fort notre conviction qu’un monde meilleur est à construire, pour nos enfants, pour les générations à venir.

Être fiers d’être français, être fiers de la France voilà un programme qui doit vous mobiliser, vers lequel vous devez tendre sans relâche.

Oui, l’entreprise doit pouvoir libérer ses forces, se sortir de la peur d’être laminée par la mondialisation, étranglée par la règlementation, privée de dialogue.

A Nîmes, comme à Lille, à Strasbourg comme à Rennes, à Paris comme à Toulouse,  mais aussi dans les bourgs, les villages il faut redonner l’envie de créer, l’envie d’être un acteur du redressement, chacun dans notre rôle.

Car contrairement à ce que certains observateurs voudraient nous faire croire nos concitoyens ont du cran et du talent.

Même si on leur rabâche trop souvent la litanie des mauvaises nouvelles et des plaintes, nos compatriotes se sentent appartenir à un pays dont le potentiel est immense.

C’est pour moi un point essentiel de cette élection : faire en sorte que les clivages absurdes soient dépassés, pour que revienne notre sentiment d’appartenance à un pays unique ou chacun est libre, avec ses envies, son besoin de se retrouver avec sa communauté, de protéger sa famille, mais aussi où chacun a conscience d’appartenir à une communauté nationale, un tout qui s’appelle la France, un pays dont nous sommes légataires et que nous laisserons à nos enfants, avec la même exigence et le même respect que ceux qui nous ont précédés lui ont témoigné.

Mes chers amis, la fierté est un bien précieux, un moteur pour la France.

Créons, imaginons, travaillons la main dans la main, innovons ensemble, faisons de la France un pays leader en Europe, une zone de développement et d’harmonie qui fasse de chacun de ses citoyens un porte-parole dont la fierté sera la plus belle des cartes de visite.

Nous vivons des temps difficiles.

Nous ne surmonterons les épreuves qu’à la condition de nous hisser à la hauteur des enjeux et non en nous égarant dans des affrontements dérisoires.

L’heure est au dépassement. Les plus grandes victoires ne sont pas seulement arrachées à l’adversité, elles le sont aussi sur nous-mêmes.

Notre pays a toutes les qualités pour se reprendre et surprendre le monde à condition que nous ouvrions en grand les portes de la liberté.

Fini le temps des dogmes, fini le temps des idéologies mortifères ; fini celui des illusionnistes.

Dites-vous bien que les chimères politiques sont appelées un jour ou l’autre à se fracasser sur la réalité.

Il ne faut jamais désespérer de la France parce qu’il ne faut jamais désespérer, je le sais, des Français.

La France se réveillera et elle se redressera.

C’est animé par cette conviction qui est aussi la vôtre que je veux a présent m’adresser, avec vous, aux responsables politiques de la droite et du centre.

Mon examen de conscience, je l’ai fait, et croyez-le je ne souhaite à personne d’avoir à le faire dans de telles circonstances. Aux hommes politiques de mon camp je dirai à présent ceci :  il vous revient maintenant de faire le vôtre. Laisserez-vous les passions du moment l’emporter sur les nécessités nationales ? Laisserez-vous  les intérêts de factions et de carrière et les arrière-pensées de tous ordres l’emporter sur la grandeur et la cohérence d’un projet adopté par plus de quatre millions d’électeurs ? Vous laisserez-vous dicter par l’écume des choses ce choix décisif qu’une part de notre peuple a remis entre vos mains, le désir profond d’un renouveau, d’une fierté nationale enfin retrouvée ?

Je continuerai à dire a mes amis politiques que ce choix à la fois leur appartient et ne leur appartient pas. Parce que ce choix est le vôtre, celui de vos suffrages et à travers eux de vos espérances. Il sera, j’en suis sûr, celui de la France toute entière si nous nous ressaisissons tous ensemble dans un ultime effort.

Vive la République et vive la France."

François Fillon


 

FILLON PRÉSIDENT:

COMMUNIQUÉ DE PRESSE À L’ISSUE DU COMITÉ POLITIQUE DES RÉPUBLICAINS DU 6 MARS 2017

François FILLON a confirmé devant le Comité politique des Républicains sa candidature à l’élection présidentielle.

Le Comité politique, après un large échange, a renouvelé à l’unanimité des participants son soutien à François FILLON et s’engage à œuvrer au rassemblement des familles politiques de la droite et du centre autour de lui et du projet qu’il porte pour le redressement national.

François FILLON a indiqué qu’il prendra des initiatives pour porter ensemble nos valeurs.

Les Républicains sont rassemblés pour la Victoire.

Les participants du Comité politique du jour : Gérard LARCHER, Bernard ACCOYER, Christian JACOB, Bruno RETAILLEAU, Laurent WAUQUIEZ, Isabelle LE CALLENNEC, François BAROIN, Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, Thierry SOLERE,  Jean-Frédéric POISSON, Jean-François COPE, Annie GENEVARD, Luc CHATEL, Daniel FASQUELLE et Jean-François LAMOUR.


Info Pierrefitte:

Mes interventions du Conseil municipal du 2 mars 2017

  1. APPROBATION DU DEBAT D’ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2017
  2. RAPPORT ANNUEL DE PRESENTATION DE LA DETTE COMMUNALE

 

  1. le Maire et Conseiller départemental Michel Fourcade se félicite de la baisse de l'endettement or celui-ci reste extrêmement préoccupant, a 40 millions d'euros, avec une charge financière de 1,4 millions d'euros par an, laquelle est susceptible d'augmenter fortement dans les années a venir en raison de la hausse des taux d'intérêt.

 

Dans ces conditions, au lieu de recruter cinq nouveaux employés municipaux, ne serait-il pas préférable de réduire la dette? Il y a 150 commerçants à Pierrefitte. Ceux-ci acquittent  une « contribution économique territoriale » (CET) composée de :

 

qui représente un total de 270.000 euros en 2015.

 C'est à dire que ça représente 5 fois la CET versée par les commerçants qui est consommée par le service de la dette.

Une gestion plus rigoureuse permettrait de faire respirer un tant soit peu nos commerçants, qui sont accables d'impôts, et d'éviter cette terrible surmortalité de nos commerces a Pierrefitte.

 Par ailleurs je suis extrêmement inquiet par cette garantie de la commune de Pierrefitte-sur-Seine à hauteur de 100 % pour le remboursement d’un prêt d’un montant total de 2 034 208 euros souscrit par l’OPH Val d’Oise Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations, selon les caractéristiques financières et aux charges et conditions du contrat de prêt n° 53645.

En termes comptables cela s'appelle un engagement hors-bilan.

C'est ce qui a coulé des municipalités tel qu’Angoulême, etc.

 C'est l'une des premières choses que regarde un banquier.

 Cet engagement risque de nous couter très cher en termes de prime de risque, et donc de taux d’intérêt.

 Valérie Pécresse notre présidente de région recommande de ne pas multiplier ces garanties de la part des municipalités aux offices d'HLM.

 

Voila ce que je voulais dire au nom des Républicains. "

  1. IMPLANTATION D’UNE SURFACE COMMERCIALE AVENUE ELISEE RECLUS – INSTITUTION D’UNE PARTICIPATION DU PETITIONNAIRE POUR LA REALISATION D’UN EQUIPEMENT PUBLIC EXCEPTIONNEL

« M. le Maire et Conseiller départemental Michel Fourcade

Le projet de requalification complète de l’ilot entre l’avenue sacco et Vanzetti et la villa des Joncherolles est une bonne chose. Et l’implantation commerciale d’une surface commerciale sous l’enseigne O’ Marché Frais pourrait s’avérer dynamique pour le quartier.

De plus la réalisation de logements et la venue de commerces ne peuvent que valoriser l’ilot, c’est pourquoi je préfèrerai que d’emblée des commerces soient prévus au pied des immeubles et non pas « le cas échéant » comme il est écrit dans le rapport.

Par ailleurs, nous aimerions que cette transformation puisse bénéficier tant au niveau de l’emploi, qu’en matière de stationnement à des Pierrefittois.

En matière d’emploi vous allez m’objecter qu’il n’est pas possible de réserver la création d’emploi qu’à seulement des Pierrefittois du fait de la Charte existant au niveau de Plaine Commune c’est pourquoi je vous pose aujourd’hui la question de savoir à combien de Pierrefittois cette charte a-t-elle bénéficié depuis sa création ?

En matière de stationnement qu’est-il prévu pour l’ensemble des riverains ?

Je vous remercie »

 

  1. MISE EN ŒUVRE D’UNE POLITIQUE RENFORCEE EN TERME DE LUTTE CONTRE L’HABITAT INDIGNE VIA LES NOUVEAUX OUTILS PROPOSES PAR LA LOI ALUR

 

« M. le Maire et Conseiller départemental Michel Fourcade

Cette affaire est complexe et pas très claire.

Il ne faudrait pas que ce qui paraît être à l’avantage des locataires se retourne contre eux, notamment pour les familles nombreuses tant les règles sont strictes en matière de location. En effet les critères à prendre en compte doivent bien être des critères d’ordre public de salubrité et de sécurité. Quels sont-ils exactement ? ces critères ne sont pas donnés dans le texte.

Et vous nous dites que l’autorisation préalable ne se substitue pas à l’arsenal juridique existant néanmoins il s’agit d’un outil supplémentaire de contrôle des mises en location pouvant aboutir à de lourdes amendes, outil qui serait plus rapidement mis en œuvre et réagirait plus rapidement que les tribunaux condamnant les marchands de sommeil ce qui serait une bonne chose pour empêcher les bailleurs indélicats mais qui doit être encadré de façon stricte..

Rien est dit sur le fonctionnement, la mise en place et le contrôle. Y aura-t-il un nouveau service dédié à cette autorisation. Combien d’agents municipaux seront concernés ? Iront-ils sur place se rendre réellement compte de l’état de la location ? Rien n’est dit dans le rapport

Concernant les logements d’avant 1948, chacun sait que la loi de 1948 imposant des loyers modestes n’a pas permis aux petits propriétaires d’entretenir comme il l’aurait fallu leur bien mais depuis la création de l’ANAH certains logements ont pu être rénovés et être à nouveau conforme aux normes en vigueur ; Il faut également aller dans ce sens et aider les petits propriétaires à améliorer leur bien plutôt que les condamner d’emblée et faire valoir une

opération de réhabilitation des quartiers anciens dégradés auprès de l’ensemble des Pierrefittois puisque vous mettez l’ensemble du territoire communal comme périmètre de référence de ce nouvel outil.

Enfin concernant la division pavillonnaire ou encore la « découpe » il est grand temps d’agir, et la mise en place d’un permis de diviser est également satisfaisant mais comme on dit, s il n’est jamais trop tard pour bien faire cela reste encore à prouver…

Mais je me demande pourquoi vous excluez à chaque fois les propriétés des bailleurs sociaux ?

Je vous remercie au nom des Républicains »

Jean Pierre Renard

Conseiller municipal Les Républicains de Pierrefitte


FILLON PRÉSIDENT:

Message envoyé a Philippe Dallier ce matin après la nouvelle opération militante que j ai organise ce matin pour François Fillon sur la 2eme circonscription du 93:

Cher Président LR 93
Cher Sénateur
Cher Philippe
Une fois de plus le seul elu municipal LR de toute la 2eme circonscription du 93: Jean Pierre Renard n aura pas manque de courage... ce matin ! Pendant une heure avec notre compagnon de St Denis: Herve Zarka nous avons tracte (tous seuls face a 12 militants de la Gauche!!!) sur le marche de St Denis sous une tres forte pluie et un fort vent, pour le meilleur d entre nous tous: François Fillon. Merci d entre prendre acte et de t en souvenir lorsque cela sera le moment...!


Bien amicalement et surtout bien fidèlement,


Jean-Pierre Renard
Conseiller municipal LR de Pierrefitte

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FILLON PRÉSIDENT:

Apres avoir tracté ce matin sur le Marché de ma ville de Pierrefitte sous la pluie pour la campagne présidentielle du meilleur d entre nous: François Fillon avec mes compagnons: Michel Swiatek et Patrick Saunier et mon amie: Do Quyen puis un moment festif a la guinguette de Pierrefitte me voici avec mon amie Do Quyen et une militante historique de St Denis: Christine Perchaud a Aubervilliers a la réunion publique de la Société Civile avec François Fillon...Je ne lâcherai et nous ne lâcherons rien ! François Fillon a aussi besoin de vous demain matin sur le Marche de St Denis (la première ville de la Seine Saint Denis). Non pour lui et non pour Jean-Pierre Renard mais pour la France et pour l Avenir des dyonisiens ! N ayez pas peur !


Amitiés,


Jean Pierre Renard

Conseiller municipal LR de Pierrefitte

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