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Notre Tribune du mois d’octobre 7 jours à Stains‏

Le retour de l’école le samedi

Mais de qui se moque-t-on ? Les parents et les enfants de notre ville ne sont pas des girouettes. Alors qu’une majorité de parents et de professeurs des écoles n’étaient pas d’accord, Monsieur le Maire a pris la décision de ce retour, sans aucune justification sérieuse.

En Conseil municipal, l’Adjoint au Maire en charge des écoles, Monsieur le Thomas, répondra à Julien Mugerin qui l’interrogeait sur le poids de la réforme des rythmes scolaires : « avant les enfants allaient à l’école cinq jours sur sept, y compris le samedi toute la journée et n’étaient pas plus fatigués ». Mais avant, Monsieur, les enfants écrivaient avec une craie sur des ardoises, utilisaient de l’encre avec une plume pour écrire, doit-on aussi y revenir ?

Autre réponse choquante donnée par l’Adjoint, le lever 6 jours sur 7 aux aurores pour nos bambins ne concernerait que 5% des enfants. A entendre son ton méprisant utilisé en séance, 5%, c’est négligeable… Si l’on en croit Monsieur le Thomas seuls 5% des parents stanois auraient une activité professionnelle les obligeant à placer leurs enfants en centre de loisirs le mercredi. Pauvres 5% !!

En réalité, la Municipalité applique brutalement ses choix, sans véritable consultation et sans prise en compte de l’intérêt des familles et des enfants. Si vous refusez ce mépris, faites-vous entendre, menez des actions, nous vous soutiendrons.

Vous leur direz alors, que dans certaines classes de primaire, un matelas est mis à la disposition des élèves qui sont fatigués.

Mais les vraies raisons de ce retour, c’est que beaucoup trop d’enfants fréquentaient les centres de loisirs le mercredi après-midi ce que la municipalité n’avait pas prévu ni en terme d’encadrement formé, ni de financement.

Autre opposition avec la Municipalité, son soutien à la cause palestinienne. Comme vous avez pu le lire dans le « 7 jours à Stains » de la semaine dernière, au dernier Conseil municipal, notre groupe a présenté un vœu pour le retrait de la banderole en l’honneur de Monsieur Marwan BARGHOUTI. La gauche à l’unanimité a rejeté notre vœu. Malgré ce rejet, notre groupe maintiendra sa demande de retrait appuyé par une pétition menée par le collectif « Touche pas à ma Mairie » et signée par plus de cent personnes.  Nous n’acceptons pas que le conflit israélo-palestinien soit importé sur notre territoire déjà difficile. Occupons-nous d’abord des problèmes des Stanois ! Et, contrairement à ce qui est noté dans le dernier « 7 jours à Stains » (Un vœu qui fait pschitt), le contraire s’est produit puisque des internautes ont multiplié leurs signatures sur notre pétition en ligne.

Marie-Claude GOUREAU

Conseillère municipale Les Républicains de Stains


La chronique du Député.

« PAS DE PANIQUE, MAIS VIGILANCE ET, SURTOUT ENGAGEMENT POUR LE SEUL VRAI COMBAT : CELUI DU SURSAUT FRANÇAIS !! »

Est-ce pour faire peur ? pour inciter ? ou « tout simplement » pour informer ? 
Voilà que le JDD nous donne les résultats d’un sondage qui indique que 31 % des français seraient prêts à voter en faveur de Marine Le Pen.

N’ayant aucune sympathie, ni personnelle ni politique pour cette personne à la fois désagréable, au ton agressif et au discours creux et très certainement dangereux pour notre pays, j’essaie de comprendre ce qui pousse nos concitoyens à envisager un tel vote, et surtout ce qui pousse nos journalistes à y donner un tel écho au point d’en faire la une des plus gros tirages de la presse.
Et ceci me conduit à analyser de plus près, plutôt qu’à divaguer dans des jugements faciles et aussi populistes que les discours de la dame en question.

Et je remarque que le socle, celui des électeurs prêts à voter pour elle à coup sûr n’a pas changé depuis un certain mois d’avril 2002 : 16%, c’est le score de son père face à Jacques Chirac..
Et que ceux qui s’ajoutent à cette hypothèse, soit 15% de nos concitoyens, y sont prêts sans en être certains.
Ce qui veut précisément dire que, à force de diaboliser la dame comme on l’a fait pour son père, on a désinhibé ceux qui en ont marre de tout et qui n’osaient pas jusqu’à maintenant envisager un tel geste.

Est-ce bien ? Est-ce « pas bien » ? Ne prétendant pas détenir la vérité révélée, je ne me prononcerai pas catégoriquement, préférant inviter à la vigilance, pour mieux éviter la panique qui, comme la colère irraisonnée, est toujours mauvaise conseillère.

Le Front national et la famille qui l’incarne a été fabriqué, dans l’ampleur qu’il a prise depuis, par Mitterrand. Sa première apogée date de l’ère Jospin ; la seconde, que nous serions sensés vivre, est contemporaine de Hollande : rien de neuf sous le soleil de la débâcle socialiste qui, par la désespérance qu’elle induit, pousse de plus en plus à manifester (les sondages) puis à exprimer (le vote) un ras le bol de tout et, par la même occasion, à croire trouver refuge dans un suffrage dont beaucoup savent eu fond qu’il est inutile, probablement malsain, tout en maintenant fermement le désir profond de mettre un grand coup de pied dans la fourmilière.

Au point de « contraindre » et conduire les partis que l’on dit de «gouvernement» à se lancer à la poursuite de ce parti fantôme qui fait la course en tête, au risque d’y perdre leur « âme » peut-être mais à coup sûr leur bon sens et la crédibilité qui leur reste encore.

Que les socialistes et la gauche en général, dont les électeurs évadés forment désormais les gros bataillons du vote FN, s’évertuent à souffler sur les braises et à lancer d’impertinentes mais surtout dérisoires mises en garde, ne me surprend guère : ces gens, complètement à l’ouest, n’ont ni chef véritable, donc pas de cap ni de boussole, ni troupes convaincues et ardentes, donc pas de capacité de mobilisation populaire : ils sont en échec absolu et se débattent dans les eaux boueuses de leur calvaire politique, qui n’en finit pas.

Mais que nous, la droite et le centre responsables, nous nous laissions prendre à ce petit jeu du « sauve qui peut » au point de lancer des messages contradictoires à une opinion de plus en plus déboussolée, ceci me navre car nous avons autre chose à faire, et surtout de fortes capacités à le faire, que de passer notre temps à faire la courte échelle à certaines idées tout en tirant frénétiquement le tapis sous les pieds de tous ceux qui, à l’instar de mon ami François Fillon, mais d’autres s’y consacrent également, construisent patiemment, sérieusement, et surtout ! dans la cohérence, le projet dont les français ont besoin pour tourner la page Hollande dans l’enthousiasme d’une énergie retrouvée et d’un courage reconquis.

C’est pourquoi l’épisode « Morano » est délétère.

Qu’elle dise ce qu’elle « pense », en usant à mon sens un peu exagérément de la référence gaullienne, qu’il conviendrait de ne pas trop mettre à toutes les sauces, ceci m’importe peu : je la connais bien et je préfère garder d’elle l’image d’une Ministre en charge du droit des femmes qui a chaleureusement accompagné mon travail parlementaire, ce qui a conduit à cette belle loi du 9 juillet 2010, votée à l'unanimité du Parlement, qui a considérablement fait progresser la lutte contre les violences faites aux femmes et à leurs enfants.
Qu’elle soit « tancée » pour son « hors sujet » récent venant de la part d’une candidate aux élections régionales me semble utile, sans qu’il soit nécessaire d’en faire tout un plat, sauf si, bien sûr, on a rien d’autre à dire ni à faire.

Sinon c’est le bourbier et Nicolas Sarkozy est en train de vivre un de ces curieux moments où l’empressement désiré par certains côtoie l’enlisement dans lequel d’autres se désespèrent de nous voir englués.

C’est pourquoi il faut se consacrer à l’essentiel qui est de dénoncer avec vigueur ce qui tue notre pays et de proposer avec gravité ce qu’il faut faire pour sauver notre malheureuse patrie.

Dénoncer par exemple cette schizophrénie qui consiste, dans la même journée, jeudi dernier, à ce que la gauche accepte ma proposition, présentée avec mon ami Marc Le Fur, de réintroduire dans notre droit l’autorisation de sortie du territoire pour éviter que de jeunes adolescents mineurs quittent leur famille, sans son consentement, pour se préparer au jihad, et refuse avec une logorrhée d’arguments fallacieux, l’interdiction que nous proposions, avec mon ami Philippe Goujon, de la détention de téléphones portables….en détention !

Et méditer sur le jugement porté par l’opinion sur l’éviction de Nadine Morano, comme si au fond de ses entrailles, le peuple savait qu’elle avait plutôt fait une connerie mais qu’il ne fallait pas pour autant se parer soi-même du goudron et des plumes….

Et surtout élever le débat, refuser que la gauche et une grande partie de la presse nous maintiennent dans le caniveau de leurs idées reçues et éculées et de leurs échecs consommés.

Construire avec vaillance et, si possible dans l’unité que devrait nous inviter à privilégier la pléthore de vrais talents que contient notre famille politique, le projet que les français attendent pour mieux évacuer de leurs sombres pensées d’aujourd’hui la perspective àquoibonnniste d’un vote extrême qui ne leur ressemble pas mais que seule la veulerie d’un trop grand nombre d’entre nous les conduit à envisager comme manifestation de leur désespérance.

La France a un avenir : il n’est pas à gauche, parce que la gauche est morte d’un siècle et demi de mensonges et de renoncements ; il n’est pas dans les extrêmes, qui –signe des temps- se rejoignent de plus en plus derrière la face cachée de notre démocratie, et qui nous envoient dans le mur de nos désillusions.

C’est à nous de l’incarner, comme de Gaulle l’avait fait car la résistance à la lâcheté collective est un vrai combat et constitue, comme le disait le plus grand dirigeant démocrate et républicain de l’ère moderne, une « ardente obligation ».

Encore un petit effort et, tous ensembles, nous allons sauver la France

 

Guy GEOFFROY

Député/Maire Les Républicains de Combs La Ville


La 2ème circonscription de la Seine Saint Denis:

Ce matin, en tant que seul élu municipal de nos 3 villes portant les couleurs des Républicains, je suis allé aider mes ami(e)s de St Denis sur le marché de la commune dans le cadre de la campagne de Valérie Pécresse pour les élections régionales de décembre prochain en Île de France. Nous avons reçu un bon accueil. 

JPR 

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Le futur Délégué des Républicains pour la 2ème circonscription, le meilleur d'entre nous, celui qui va nous ramener vers la lumière...mon frère de cœur: Stanislas Francina

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Le futur Délégué des Républicains pour la 2ème circonscription, le meilleur d'entre nous, celui qui va nous ramener vers la lumière...mon frère de cœur: Stanislas Francina

 

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Le 11 Octobre 1804:

Naissance de Napoléon-Louis Bonaparte à Paris, second fils de Louis Bonaparte et d'Hortense de Beauharnais, portant d'abord le titre d'altesse impériale puis de prince royal de Hollande en 1806 après le couronnement de son père, porta également le titre de Grand-duc de Berg de 1809 à 1815 et fut brièvement roi de Hollande du 1er au 13 Juillet 1810, date à laquelle son oncle Napoléon annexa les Pays-Bas.
Le 23 Juillet 1827, il épouse sa cousine Charlotte Bonaparte, fille de Joseph et de Julie Clary, mariage qui restera sans descendance.
Affilié aux Carbonari italiens, il tenta avec son frère Louis-Napoléon, futur Napoléon III de contribuer à unifier l’Italie et participa à un complot contre l'autorité papale à Rome en 1830 qui provoqua son expulsion du pays en 1831.
La même année, il prit part au soulèvement des duchés de l'Italie centrale où il trouva la mort face aux autrichiens et aux troupes du souverain pontife à Forli.
Cependant les causes de sa mort ne sont pas clairement élucidées car il fut victime au même moment d'épidémie de rougeole qui atteignit aussi son frère Louis-Napoléon.
Il est enterré à Saint-Leu-La-Forêt.


Vendredi dernier, c'était la Saint Denis 


Saint Denis de Paris
et ses compagnons, martyrs à Paris (3ème s.)

Denis et ses compagnons, Eleuthère et Rustique, martyrs à Paris.
Le Patron de Paris et de la Seine-St Denis fut le premier évêque de la capitale de la France. Il meurt martyr vers 250 ou 270 et est enseveli là où s'élève la basilique de Saint Denis. C'est tout ce qu'on sait de lui avant le IXe siècle. Le récit parle également de ses deux compagnons Eleuthère, le prêtre, et Rustique, le diacre, ainsi que du portement de tête du saint après sa décapitation depuis Montmartre jusqu'à St Denis. Les faits sont les suivants: Le nom de saint Denis apparaît vers 520 dans "la Vie de Sainte Geneviève" qui témoigne de la dévotion de la sainte envers l'évêque martyr, son père dans la foi. Elle obtint du clergé parisien l'érection d'une église sur sa tombe au "vicus Catulliacus" situé à huit kilomètres au nord de la Seine, l'actuelle basilique Saint Denys, rue Catullienne. Elle se rendait également et souvent dans une église de la Cité dont il était le titulaire. Un demi-siècle plus tard, le martyrologe hieronymien mentionne la déposition de saint Denis et de ses compagnons au 9 octobre et saint Venance Fortunat atteste la diffusion de son culte jusqu'à Bordeaux. Dans les mêmes années, l'historien Grégoire de Tours raconte que vers 250, le pape de Rome avait envoyé Denis en Gaule avec six autres évêques pour y porter l'Évangile. Celui-ci se fixa à Lutèce où il ne tarda pas à être mis à mort. On pense en effet qu'il subit le martyre sous la persécution de Dèce (250) ou de Valérien (258). Près de la basilique où reposait le premier évêque de Paris, une abbaye fut fondée au VIIe siècle et elle devint prestigieuse grâce aux largesses royales depuis Dagobert. Saint Denis, diocèse de Paris Elle contribua au rayonnement de son saint patron en le dotant d'une merveilleuse légende. A partir de 835, Hilduin, abbé du monastère, se mit en effet à propager en Occident un récit selon lequel Denis de Paris ne ferait qu'un même personnage avec Denys l'Aréopagite, converti par saint Paul. Ce Denys l'Aréopagite serait lui-même l'auteur des célèbres ouvrages de théologie attribués à Denys le Mystique. L'obscur et courageux fondateur de l'Église de Paris devenait, ainsi et pour des siècles, un grand de la sainteté.
Octobre 2012 autour de l’exposition Saint Denis: à en perdre la tête - Conférences gratuites chaque mardi d'octobre à 19h dans la nef de la basilique cathédrale Saint-Denis.
Vers 250, Denys est envoyé par le pape en Gaule avec six autres évêques missionnaires. Il s’établit à Paris dont il devient le premier évêque et y subit le martyre par le glaive. On le représente en général portant sa tête décapitée, signe que la tête du Christ ne peut être séparée de son corps, l'Église... (diocèse de Paris)
Voir aussi Saints parisiens.
Mémoire de saint Denis, évêque, et de ses compagnons, martyrs. Selon la tradition, saint Denis fut envoyé en Gaule avec six autres compagnons par le pape de Rome vers 250, et, devenu premier évêque des Parisiens, il subit le martyre avec le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, sans doute sous la persécution de Valérien, en 258.


Info Pierrefitte:

Je viens de vivre 24 heures assez chargées sur le plan politique ou j'ai encore largement fait mon devoir d'élu municipal et ou mes collègues et ou mes ennemis (pourtant pour ces deux là, deux des rendez-vous ont lieu dans leur propre quartier. Ce qui prouve leur réelle abnégation et leur sincérité pour notre commune "Il est de faux dévots ainsi que de faux braves." Molière - Le Tartuffe. Il serait grand temps que les dirigeants des Républicains du 93; les membres et sympathisants de la section de Pierrefitte et Valérie Pécresse comprennent certaines choses...et ouvrent les yeux ! Car ils ne peuvent et n'ont pas le droit de fermer les yeux et de rester dans l'erreur encore plus longtemps !) de la Droite républicaines furent encore une fois complètement absents ! D'abord, le vernissage d'une exposition du Photo-club de Pierrefitte à l'Espace Culturel Utrillo. Elle a lieu jusqu'au 17 octobre et je vous l'à conseille tout particulièrement. Puis, avec l'association PRIM de mon ami et collègue: Benoit Menard, nous nous sommes réunis dans la salle du Conseil Municipal de la mairie de Pierrefitte afin de faire le point sur la première journée citoyenne du 26 septembre dernier. Puis, ce matin, il y a eu la marche annuelle contre le cancer du sein, à travers toute une partie de la ville pour finir au complexe sportif Roger Fréville avec ceux de Stains. L'émotion fut encore une fois très intense. Pour finir, cet après-midi, il y a eu un grand moment de solidarité et de convivialité au fameux Quartier des Poètes (qui a bien changé et positivement. Mais cette fois-ci, ça n 'interesse malheureusement pas les médias !) lors de la présentation de l'oeuvre artistique monumentale de Yo Yo Gonthier. À chaque fois, j'ai eu un bon contact assez chaleureux avec les pierrefittoises et les pierrefittois. Retrouvez ci-dessous, quelques photos de ces 24 heures assez intenses... Bonne nuit à tous.

Bien amicalement,

JPR

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C'était il y a 332 ans:

Dans la nuit du 9 au 10 octobre 1683, Louis XIV épouse secrètement Françoise d'Aubigné, veuve du poète Scarron, devenue Madame de Maintenon.
Le mariage est organisé dans le plus grand secret, au château de Versailles, avec de rares témoins de cette cérémonie, comme le ministre Louvois ou bien le valet de chambre du Roi, Bontemps.