04 septembre 2015
LA CITATION DU JOUR
« L'exploitation des imbéciles ? Mais les imbéciles ont toujours été exploités, et с'еst justiсе. Lе jοur οù ils сеssеrοnt dе l'êtrе, ils triοmрhеrаiеnt, еt lе mοndе serait perdu. »
Alfred Capus
LA CITATION DU JOUR
« L'exploitation des imbéciles ? Mais les imbéciles ont toujours été exploités, et с'еst justiсе. Lе jοur οù ils сеssеrοnt dе l'êtrе, ils triοmрhеrаiеnt, еt lе mοndе serait perdu. »
Alfred Capus
Halte à l'ignominie !
Je soutiens avec honneur et convictions, Bernard Henri Levy (le digne successeur de Malraux) contre Onfray, contre certains tous petits bien penseurs et contre les fascistes ! Cela me rappelle la période la plus sombre de notre Histoire...!
JPR
Régionales 2015 :
Valérie Pécresse à la rencontre de la célèbre chef cuisinière et animatrice sur France 5 qui s'engage à soutenir notre candidate de la Droite républicaine en région Île de France:
Harmonie du soir
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige,
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
Charles BAUDELAIRE (1821-1867)
Après le 19 septembre 2015 à 19h au Centre Communal Ambroise Croizat à Pierrefitte, au 58 rue Nungesser et Coli, pour ma 2ème rentrée d'élu municipal, réservez votre Soirée du 29 septembre: La République au Cœur du Projet !
JPR
Voici, un nouveau livre que je me permets de vous conseiller:
« Le monde selon Napoléon »
Prochaine parution du livre « Le monde selon Napoléon » dont voici un descriptif : « Napoléon a parlé, écrit, dicté, tout au long de sa vie, abordant tous les sujets de son temps. Ses jugements et ses opinions ont été soigneusement recueillis par les contemporains. Ils conservent encore une brûlante actualité : le droit du sol, la femme, Dieu, l’emprunt, la guerre, le Coran…
Il lui arrive même de se contredire, notamment sur l’esclavage. Ce recueil fournit une masse de citations dont l’origine a été soigneusement contrôlée et dont l’authenticité ne semble pas douteuse. On ne sera pas étonné par la hauteur de vue et par le bon sens dont fait preuve Napoléon. »
« Le monde selon Napoléon », Jean Tulard, Tallandier, 2015, 352 p.
Le 3 septembre 1792 :
À Paris, au cours des massacres perpétrées par la Révolution dans les premiers jours du mois, décès tragique de Madame la princesse de Lamballe, tuée atrocement en sortant dans la cour de la prison de la Force. Sa tête tranchée fut promenée au bout d’une pique jusqu’à la tour du Temple, où les assassins voulaient la montrer à la Reine. Madame de Lamballe était née Marie Thérèse Louise de Savoie-Carignan dite Mademoiselle de Carignan le 8 septembre 1749 à Turin au royaume de Sardaigne. Mariée en 1767 au prince de Lamballe, fils du duc de Penthièvre (lui-même fils du comte de Toulouse fils légitimé de Louis XIV et de Madame de Montespan) et héritier d'une branche légitimée de la famille royale de France, elle resta veuve l'année suivante à 19 ans. Devenue amie de la dauphine Marie-Antoinette et surintendante de sa maison, elle fut supplantée par Yolande de Polastron, duchesse de Polignac qui, par ironie de l'Histoire, était née le même jour et la même année qu'elle. Malgré cela, la Révolution éclatée, elle resta l’un des derniers soutiens de la reine tandis que la Polignac émigrait. Elle suivit le sort de la Famille royale, mais en fut séparée dix jours après l’incarcération de celle-ci dans la tour du Temple. La princesse fut conduite à la prison de la Force où son destin fut scellé.
COMMUNIQUE:
Je refuse et vais résister contre la tentative d OPA des partisans de Alain Juppé au niveau de ma circonscription, la 2ème de la Seine Saint Denis. Moi, l un des plus fidèles du Président Nicolas Sarkozy. J appelle à la résistance, moi le petit fils d un grand combattant gaulliste ! Si certains soi-disant bien penseurs avaient toujours raison, alors Balladur aurait été élu Président en 1995 ! Je suis effrayé par cette pensée unique qu'on veut nous imposer ! Après la personne qu'on nous imposé pendant 4ans et demi, ça suffit ! Pour le poste de Délégué de circonscription, je ne souhaite plus être candidat, je préfère me consacrer à 100% à ma commune de Pierrefitte, je dévoilerai très prochainement la personne à qui j'apporterai mon soutien total et le plus sincère, pour ce poste...
JPR
« Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l'inspire aussi bien que la raison. Ce qu'il y a en moi d'affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle.
J'ai d'instinct l'impression que la Providence l'a créée pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S'il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes,... j'en éprouve la sensation d'une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la patrie.
Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n'est réellement elle-même qu'au premier rang : que seules de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; que notre pays tel qu'il est, parmi les autres, tels qu'ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit.
Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans grandeur. »
Charles de Gaulle, Mémoires de guerre, tome 1 : L'Appel
A un maître inconnu
Du temps que j'étais écolier sauvage En un vieux collège aux livres moisis, S'en vint jusqu'à moi, s'en vint une page D'un recueil tout frais de « Morceaux choisis ».
Comme l'eau d'avril au creux des fontaines, Ainsi le printemps riait dans ces vers. Je lus - et je vis, aux brumes lointaines, S'ouvrir les yeux neufs d'un autre univers.
Je n'étais plus seul dans ma solitude : Un soleil ami, voilé de langueur, Dorait les bancs noirs de la sombre étude Et de sa tendresse inondait mon cœur.
Oh ! les beaux vers francs, et de quelle flamme, Intimes et chauds, comme le foyer!... Leur chant vous entrait si profond dans l'âme Qu'en le récitant on croyait prier.
De qui étaient-ils ? Je l'ai su peut-être, Mais je t'en demande humblement pardon : O maître inconnu qui fus mon vrai maître, L'enfant que j'étais oublia ton nom.
En devenant homme, il oublia même Le rythme des mots qui l'avaient charmé... Mais l'accent secret, le son du poème, Je l'entends toujours, comme sublimé.
A sa caressante et souple musique Si vieilli soit-il, mon cœur fond encor, Et je bénis l'heure où ta main magique Suspendit en moi ce théorbe d'or.
Anatole LE BRAZ (1859-1926)