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 Alerte à la bombe dans une ecole juive de Paris 19, juste un mois après la tuerie antijuive à l'école juive de Toulouse,et le jour de commémoration de la SHOA‏H

 

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L' ANTISEMITISME
8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 
Le Président
Sammy GHOZLAN
Drancy le 19/4/12

Le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme salue les services de police de Paris qui ont rapidement réagi aux menaces anonymes d'alerte à la bombe à l'école juive de la rue Petit Paris 19e, ce 19/4/11 à 8h20.

Selon nos informations un individu a appelé depuis deux cabines différentes , du 19eme et du 20 eme arrondissement de Paris, et déclaré " IL Y A UNE BOMBE"
L'établissement réouvert depuis lundi 16/4/12 a du évacuer les élèves , le quartier a été bouclé par la police qui a procédé à une fouille minutieuse, y compris dans le parking du groupe scolaire.
L'alerte a été levée vers 10h30 et les élèves ont pu regagner leur classe.
Le BNVCA qui condamne ces appels anonymes observe que ces menaces ont été faites précisémment un mois après la tuerie antijuive de Toulouse , devant l'école juive Ozar Hathora., comme si l'auteur voulait terrorise les enfants juif en choisissant ce jour qui correspond aussi à la commémoration  de la Shoah
Nous demandons à la police de tout mettre en oeuvre pour identifier  l'auteur de ces appels anonymes malveillants.
Depuis cet attentat de TOULOUSE et l'élimination du tueur,le BNVCA recense un nombre croissant de faits de nature antisémite accompagnés de messages de soutien  à l'assassin Mohamed MERAH;considéré comme un héros qui a voulu venger les enfants palestiniens.

 

 


Le BNVCA dénonce et condamne l'agression à caractère antisémite commise devant la synagogue de Garges Les Gonesses,95 le 9/4/12 à 20h50‏

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L ANTISEMITISME
8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 
Le Président
Sammy_ghozlan

Sammy GHOZLAN
Le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme dénonce et condamne l'agression antisémite commise le 9/4/12 à 20h50 devant la synagogue de Garges Les Gonesses.-95-
Selon la victime qui s'est adressée au BNVCA, alors qu'elle sortait de l'office religieux avec d'autres fidèles  ,un individu décrit comme d'origine maghrébine, âgé d'une quarantaine d'années,a proféré avec haine et violence ,depuis le trottoir face à la synagogue,des injures antisémites " SALES JUIFS...JE VAIS VOUS CREVER ... SALE RACE" . Les fidèles dont la victime n'ont pas voulu attacher d'importance à cet incident , mais l'homme a brusquement traversé la rue,se dirigeant vers des petits enfants âgès de 3 ans .La victime et son père ont voulu s'interposer pour protéger les gamins.L'agresseur poursuivait ses injures antisémites et a craché au visage de la victime.Le père de la victime a eu la présence d'esprit d'appeler la police au moyen de son téléphone portable,ce qui a fait fuir l'agresseur.
Selon notre correspondant qui a déposé plainte l'auteur serait connu et domicilié à proximité du lieu de culte.
Nous demandons à la police de tout mettre en oeuvre pour interpelle l'agresseur antisémite et le mettre à la disposition de la justice afin qu'une peine exemplaire et dissuasive lui soit infligée.


 


Photos : DR © 2012

ISRAEL
Israël va envoyer une lettre au président palestinien Mahmoud Abbas pour tracer les grandes lignes d'un futur plan de paix et lui proposer des négociations au plus haut niveau, a annoncé mercredi le cabinet du Premier ministre israélien dans un communiqué. Selon le texte, Benyamin Netanyahou va "proposer de relever le niveau des discussions pour qu'elles se tiennent directement avec Abbas", ce que le président palestinien a jusqu'à présent refusé tant qu'Israël ne gèlera pas la construction en Judée Samarie Le Premier ministre israélien entend proposer la reprise des négociations directes lors d'un entretien programmé avec des responsables palestiniens la semaine prochaine, ajoute le communiqué. Benyamin Netanyahou doit rencontrer le Premier ministre palestinien Salam Fayyad, selon des sources des deux camps.

 




Pessah, symbole de mon sionisme


DR 2012 Femsohn
Pessah, qui célèbre la sortie d'Egypte, symbolise le sionisme, c'est-à-dire le peuple juif libéré retournant sur sa Terre, telle est, tout au moins l'interprétation que j'en fais. Mais, à titre personnel, cette fête revêt une signification supplémentaire, celle de la véritable prise de conscience sioniste d'un petit Juif français après avoir été victime d'une agression antisémite au début du printemps 1967.
 
J'étais alors élève interne de 4ème dans un lycée de l'est de la France. Je venais juste de faire ma Bar Mitzva.
 
Un jeudi, peu avant Pessah, alors que nous étions en train de jouer au ping-pong au foyer, la cloche de 18H20 sonna pour nous avertir de nous mettre en rang afin d'aller au réfectoire pour le dîner. Mes trois camarades et moi-même ne voulions pas arrêter la partie en plein milieu et nous avons donc continué de jouer, en dépit de l'heure. Le pion, qui s'était aperçu que 4 élèves manquaient à l'appel
(un peu comme à l'Umschlagplatz d'Auschwitz…bon d'accord, j'exagère !!!), arriva furibond au foyer, car il avait entendu le son caractéristique de la balle.
"Toujours les mêmes, j'en ai marre", hurla-t-il, puis, s'adressant particulièrement à moi, il me dit : "et j'en ai surtout marre de toi, vous auriez dû tous brûler dans les fours !!!"
Je n'ai pas répondu, je n'avais pas encore 14 ans, mais j'étais sous le choc.
J'attendais avec impatience le samedi midi lorsque mon père vint me chercher pour la sortie du week-end et, encore tremblant d'émotion, je lui racontais immédiatement l'incident.
Mon père, plutôt du genre à aller flanquer une raclée au pion, décida finalement d'attendre dimanche matin pour téléphoner au Hazan et au président de la Communauté de la ville. Pourquoi le Hazan ? Parce qu'il n'y avait pas de rabbin dans cette ville, mais surtout parce qu'il était le professeur de religion juive dans mon lycée. En Moselle et dans les deux départements d'Alsace, il n'y a pas de séparation entre l'Eglise et l'Etat, les cours de religion dans les écoles publiques sont donc obligatoires et les curés, pasteurs, rabbins et imams sont des fonctionnaires de la République française.
Me voilà donc, le dimanche matin, après l'appel de mon père, comparaissant dans une salle attenante à la synagogue devant les responsables de la Communauté pour raconter mon histoire. Je me rappelle avoir ri dans mon for intérieur lorsque le Hazan, un tout petit monsieur chétif que j'adorais, déclara, avec son accent de l'est, qu'il voulait aller "casser la gueule du pion". Le président de la Communauté lui demanda de se calmer et décida de contacter dès le lendemain le proviseur du lycée. Ce qui fut fait.
Je fus convoqué en compagnie de mes trois autres camarades qui confirmèrent mes dires. J'appris quelques jours plus tard par le Hazan que le proviseur avait expliqué "ne rien pouvoir faire dans l'immédiat", car ce pion était le neveu d'un ministre du gouvernement Pompidou, mais qu'il demanderait néanmoins qu'il ne soit pas réadmis au lycée l'année scolaire prochaine.
 
Dès la semaine suivante, j'attendis que nous soyons tous en rang pour apostropher le fameux pion, brisant tous les tabous du respect à l'autorité en le tutoyant et en le menaçant devant les élèves ébahis : "regarde-moi bien, si dans quelques années je te croise, je te ferai ta fête". Il sourit d'un air pincé, mais ne dit pas un mot.
J'avais gagné la guerre psychologique et je fus un "héros" pour tout l'internat.
Moins de deux mois plus tard éclatait la guerre des Six-Jours et je séchais les cours pour écouter dans les toilettes du lycée les reportages de Julien Besançon sur Europe 1 (j'avais ramené en cachette une radio). J'étais le seul Juif de l'internat.
Au fur et à mesure de la semaine et de l'avancée de Tsahal sur tous les fronts, cette victoire devenait MA victoire et je paradais fièrement dans le lycée avec la complicité admirative de mes camarades, provoquant du regard le pion antisémite qui faisait profil bas.
 
Dans mon lycée, il y avait beaucoup d'enfants de militaires des FFA (Forces françaises en Allemagne) frustrés par la Guerre d'Algérie dont les plaies étaient encore toutes fraîches. Pour eux, je symbolisais celui qui avait "mis la raclée aux Arabes", alors que moi je n'en avais jamais vu un seul, sauf lors de ma première visite en Israël en 1965.
Je découvrais à la télé et dans les revues ces jeunes Israéliens dont certains n'avaient que 4 ou 5 ans de plus que moi, se battant pour les Juifs, c'est-à-dire pour moi, défendant un Etat dans lequel un enfant ne vivrait jamais la mésaventure qui venait de m'arriver quelques semaines plus tôt.
Le foyer de l'internat fut recouvert, par mes soins et ceux de mes camarades non juifs, de posters de Moshé Dayan, de la fameuse photo des soldats devant le Kotel, de drapeaux israéliens.
Une autre époque, totalement inimaginable aujourd'hui.
Les derniers jours de l'année scolaire 66/67 furent un enchantement, la prof d'histoire me demanda de faire une conférence sur Israël pour toutes les 4èmes, bien que ce ne fût pas au programme. Etre pro-israélien était "in", aujourd'hui on dirait "politiquement correct".
 
L'année suivante, le pion antisémite ne fut pas réintégré. Je poursuivais mon cheminement sioniste ayant compris que mon judaïsme ne pourrait s'accomplir que par l'Alyah que je ne fis cependant qu'une dizaine d'années plus tard après les classiques séjours au kibboutz pendant les vacances.
Je fus fier et ému de scander "nous sommes tous des Juifs allemands" pour Danny Cohn-Bendit, mais troublé de voir aussi apparaître des slogans pro-palestiniens et les keffiehs des feddayines qui signifiait la fin de "l'interlude pro-israélien".
 
L'année de mon bac, alors que je sortais du lycée avec des copains, je croisais sur un trottoir de la ville le fameux pion à qui j'assénais deux gifles sous le regard médusé de mes amis ne comprenant pas pourquoi j'agressais quelqu'un qui ne m'avait rien fait.
Je dis au pion : "tu ne m'as pas reconnu, mais voilà qui je suis, maintenant tu as des raisons d'être antisémite !!!". Il ne porta pas plainte car j'aurais alors expliqué la raison de mon geste et le scandale risquait d'éclabousser son oncle toujours ministre.
J'avais tenu ma promesse.
Aujourd'hui, en France, on tue des enfants parce qu'ils sont juifs.
Il est peut-être temps pour nos frères de France et d'Europe de respecter littéralement Pessah, c'est-à-dire de sortir de "l'esclavage cérébral" afin de vivre en Juifs libres dans leur pays, Israël.
 
  

 


Le BNVCA salue la decision du Tribunal de Bordeaux,qui a condamné l'auteur d'une vidéo antisémite,CLIP HATIKVA incitative à la haine d'Israel .Plainte BNVCA C/SORO juin 2011.‏

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L'ANTISEMISTE
8 Boulevard Saint Simon 93700 DRANCY 0609677005
Le Président
Sammy GHOZLAN 
DRANCY LE 12/4/12
LE BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L’ANTISEMITISME, salue la decision du Tribinal de Bordeaux, qui dans son audience correctionnelle du 11 avril 2012 a condamné le sieur SORO Daniel, contre  lequel le BNVCA avait deposé plainte en juin 2011  pour les faits suivants. 
 

En juin 2011 Le dénommé SORO  a mis en ligne une vidéo sur YOUTUBE le  CLIP HATIKVA mettant en scène deux jeunes portant la kippa menaçant un enfant arabe d’une arme posée sur sa tempe, un rabbin portant une pancarte « Israël est un cancer » et dont les paroles sont les suivantes :

« Ecoutez cet hymne magnifique, cet air de retour si innocent, la mélodie des sionistes, cette chanson qui évoque le sang, colonise inégalement la Palestine en massacrant tous ces pauvres gens, exterminant ce qui sont différents »

 Entre autres insanités il a déclaré “Les sionistes sont au pouvoir, ils sont dans nos gouvernements. Ils peuvent ainsi peu à peu contrôler tout ce qui est stratégique. A la radio, à la télé, oui, c’est la cavale médiatique. Et lentement, ils se resserrent et ils découvrent le serpent”

 De même “Ils sont derrière toutes les associations antiracistes afin de mélanger les peuples pour ne pas qu’on leur résiste. Un grand merci pour les lobbies homo et pro-avortement. Y’a qu’en Israël qu’on peut choisir tous ces immigrants.  On en a marre, il faut qu’ils partent avec leur propre mondialisme. Commnunisme. Capitalisme, ils ont rendu le monde bien triste. Si nous voulons la liberté, il faut qu’on fasse les terroristes. Il faut vraiment en venir à bout de cette racaille sioniste.”

  Le Tribunal a jugé en Chambre du Conseil ( huis clos) et a condamné SORO à une amende de 2 000 €assortie d’un sursis de 1 500 €,

 SORO a été condamné à payer au BNVCA la somme de 1 € de dommages et intérêts pour son préjudice moral et la somme de 500 e au titre de l’article 475-1 du Code de Procédure pénale.

 Le BNVCA rappelle qu'il est à l'origine de toutes les plaintes déposées contre les opérations qui appellent au boycott , ainsi que contre sites hostiles, antisémites, incitatifs à la haine d'Israël qui pousse à l'acte antijuif.

C'est pourquoi que bien qu'ayant préféré une mesure plus sévère, dissuassive et exemplaire, Le BNVCA se contente de cette décision puisque les faits incriminés par le BNVCA sont condamnés par la justice.

 

 


Le BNVCA salue l'actiondaes policiers de Vanves qui ont interpellé l'auteur de propos antijuifs proférés en direction de fidèles sortant de la synagogue de Vanves le 7/4/12 à 21h30

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L' ANTISEMITISME

8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy
Le Président
Sammy GHOZLAN
Sammy_ghozlan

Drancy le 9 avril 2012


Le BNVCA salue l'action des policiers  des Hauts de Seine qui dans un temps très proche de l'agression ont identifié et interpelle , à hauteur du 25 rue Diderot à Vanves,un individu qui le samedi 7 avril 2012 vers 21h30, avait crié "SALES JUIFS" en direction des fidèles qui sortaient de la synagogue de Vanves .92 
L'auteur des propos antisémites a été arrêté par les policiers chargés d'assurer la sécurité de l'oratoire. Il  a été relâche avec convocation de justice.
Le BNVCA déposera plainte contre l'auteur des propos antisémites.
Le BNVCA demandera une peine sévère , expemplaire et dissuassive, comme celle infligée par le Tribunal de Marseille, le 6/4/12 à l'auteur d'une agression antisémite . Lors de sa comparution immédiate , le délinquant antijuif , un étudiant libanais à été condamné à 1 an de prison ferme.


Tous des ingrâts !

Je suis démoralisé et écoeuré: dans ma recherche d'emploi, trois Mairies UMP m'ont répondu négativement. Voilà toute leur reconnaissance dans le travail que j'ai accompli depuis plus de 20 ans pour la Droite ! L'un d'entre eux m'a même conseillé d'aller voir le Maire de ma commune qui est de gauche !!!! Drôle de façon de faire en pleine campagne présidentielle ! 


Patrick Bruel : «Taxer à 75%, c'est limite spoliateur»


«Les gens qui ont de l'argent sont aussi des gens qui génèrent du travail», estime 

Patrick Bruel. 

Bien que soutien de François Hollande, le chanteur taille en pièces la 

mesure phare du candidat socialiste à la présidentielle.


Françoise Hardy, Bruel : face à la "taxe Hollande", certains chanteurs déchantent