16 novembre 2011
Service de presse
Paris, le 15 novembre2011
Fraudes sociales : Le Président agit, la gauche est dans le déni
Bruno Beschizza, Secrétaire National de l’UMP, salue le discours lucide et responsable prononcépar Nicolas Sarkozy aujourd’hui en Gironde.
Alors que la CNAM constate que plus d’un arrêt maladie contrôlé sur dix est abusif, BrunoBeschizza dénonce l’absence des élus socialistes lors du discours du Président de la République.
Ce boycott révèle leur déni de la réalité de cette fraude. L’attachement idéologique de la gaucheà la culture de l’excuse la rend aujourd’hui complice des abus courageusement dénoncés par lePrésident de la République.Face à ce déni, mais aussi face aux amalgames du Front National, le Président de la République achoisit une « fermeté protectrice ». La fraude sociale est bien une atteinte à la solidarité nationale.Voler la Sécurité Sociale est bien une trahison nationale. Afin de protéger notre modèle socialgénéreux, il nous faut aujourd’hui combattre du plus simple abus à la fraude organisée.
Sauver notre modèle social, exige responsabilité et crédibilité.
Bruno Beschizza
Secrétaire national de l’UMP à l’emploi des forces de sécurité
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