Pierrefitte@Venir

Probalité inversée

Pendant les Hakafot, le Rabbi se sent mal.Son visage devient pale et le Rabbi « tombe » sur sa chaise.(c’est une des rares fois ou le Rabbi s’appuie sur le dossier de sa chaise).
On fait venir les médecins d’urgence et ils diagnostiquent une crise cardiaque.Mais le rabbi tient a terminer les Hakafot.
Il demande ensuite a faire le Kidouch… dans la Soucca … sur du vin malgré son état de santé.Etant donné la gravite de la situation, il faut emmener le Rabbi a l’hôpital, mais ce dernier refuse.Apres de longues discussions, on décide d’ installer tous les appareils nécessaires sur place et les meilleurs médecins se relayent au chevet du Rabbi.
Le Rabbi demande qu’on l’informe avant chaque intervention afin qu’ il donne (ou non) son accord.En échangeant de courtes paroles avec le Rabbi, les médecins ont l’impression de parler avec un professionnel dans le domaine cardio-vasculaire.
Chaque fois que le Rabbi est en contact avec ses Hassidim, les médecins constatent que son état de sante s’améliore !
Le Rabbi restera dans sa chambre pendant plus d’un mois pour n’en ressortir que le jour de Roch-H’odech Kislev.
Depuis, chaque année, Roch-H’odech Kislev est fêté par des dizaines de milliers de H’assidim a travers le monde.Pendant la période de convalescence, ou le Rabbi habite au Seven-Seventy, les secrétaires du Rabbi se mettent d’accord pour épargner au Rabbi tous soucis inutiles. On décide alors de ne plus laisser passer le courrier afin de ne pas fatiguer le Rabbi.
Le Rabbi comprend bien vite ce qui se passe et fait savoir que cela n’est pas logique. En effet, lorsqu’il ira mieux, il aura énormément de courrier en retard, ce qui le fatiguera encore plus. Les secrétaires décident alors de ne laisser passer que les bonnes nouvelles. Une fois de plus, le Rabbi réagit en ces termes. « Il arrive qu’une personne arrive a la fin de sa mission, et doive donc retourner près d’H’, mais parfois, cette personne se voit donner une seconde mission. Or si on ne le laisse pas accomplir sa mission, . . . .
Les lettres ne tardent pas a arriver par milliers dans le bureau du Rabbi, qui en éprouve une grande joie. Les médecins constatent que le contact du Rabbi avec les Hassidim lui procure une grande satisfaction, et une nette amélioration de son état de santé. Lorsque les médecins voulurent faire une piqure au Rabbi, un des médecins demanda l’autorisation de Rabbi. Celui-ci répondit que cela n’était pas nécessaire. Un Hassid présent s’emporta contre le médecin et lui fit remarquer « C’est aujourd’hui Yom-Tov, or il n’est permis de faire une piqure que sur ordre du médecin. Si vous posez la question au Rabbi, il est évident qu’il refusera ».
Le médecin dit alors au Rabbi « En tant que médecin, j’ordonne au Rabbi de faire cette piqure car l’intensité des douleurs met le Rabbi en danger ! » Immédiatement, le Rabbi accepta !
Lors d’une visite ordinaire, un médecin expliqua au Rabbi que s’il ne faisait pas attention a sa sante, il y avait 25 pour cent de chances que cela revienne. Le Rabbi ne réagit pas et lorsque le médecin demanda au Rabbi s’il avait bien entendu, le Rabbi lui répondit « Oui, si je ne fais pas attention a ma sante, il y a 75 pour cent de chances pour que cela ne revienne pas !!!

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"Celui qui se tait le premier dans une dispute est le plus digne de louange"

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Shabbat chalom et n'hésitez pas à inviter vos ami(e)s.