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Gilles Bourdouleix élu Président du CNI !


Gilles BOURDOULEIX, Député et Maire de Cholet a été élu,à l'unanimité Président du Centre National des Indépendants et Paysans par les membres du Comité Directeur.

Il succède ainsi à Annick du Roscoät, Présidente du CNI depuis 2000, nommée Présidente d'Honneur du mouvement.

Le nouveau Président du CNI a rendu un hommage appuyé à l'action menée par Annick du Roscoät qui depuis 2000 à aujourd'hui, a su garantir, malgré des temps difficiles, non seulement l'indépendance du CNI mais tout simplement sa survivance.

Il a précisé les priorités de son mandat : impulser un dynamisme nouveau et affirmer le rôle incontournable du CNI à être une force de proposition en définissant une stratégie politique identifiée.

Gilles BOURDOULEIX a, par ailleurs, proposé Bruno North au poste de Secrétaire Général du CNI. Elu à ce poste, Bruno North aura une double mission : les relations avec les fédérations mais aussi l'administration du mouvement. Bruno North est actuellement Président de la Fédération de Paris.

Enfin, l'équipe nationale et notamment le Bureau Politique seront renforcés.


www.cni.asso.fr


"Faites ce que je dis, pas ce que je fais !"



Gilles BOURDOULEIX, Président du CNI, juge inacceptable et insupportable les dépenses dispendieuses engagées par la France lors de sa Présidence de l’Union Européenne.

« Ces dérives scandaleuses en période de crise et inédites depuis la création de l’Union Européenne démontrent, si besoin était, que nos dirigeants marchent sur leur tête. Les dépenses somptuaires et arrogantes du sommet de l’Etat sont incompréhensibles. La France entrait dans l’une des crises économiques les plus importantes de son histoire et se devait de montrer l’exemple.

Après avoir lourdement critiqué la gestion financière des banques, les mêmes se sont autorisés à exploser les budgets d’apparats. Le candidat Sarkozy ne prônait-il pas, lors de sa campagne à la présidentielle, que la France devait être gérée en bon père de famille ? C’est : « faites ce que je dis et pas ce que je fais » explique le Président du CNI et Député, Gilles BOURDOULEIX.

« Les déficits publics se creusent, les dépenses de l’Etat ne cessent d’augmenter alors que la pression fiscale française est la plus lourde du monde. Arrêtons les dépenses extravagantes, retrouvons une politique de bon sens. Les Français ne sont pas des vaches à lait de l’Etat ! » conclut-il.

http://www.cni.asso.fr




ISRAËL


Le Chef d'état-major de Tsahal, Gabi Ashkenazi a, pour la première fois, lundi, évoqué l'éventuelle création d'une commission d'enquête israélienne sur l'offensive israélienne de Gaza, lors de sa visite en Allemagne. ''Toutes les possibilités sont examinées et Tsahal participe aux discussions. C'est une bonne chose que le gouvernement étudie la question énergiquement''


Réponse à la polémique sur le coût de la présidence française de l’Union Européenne.

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Dans la polémique sur le coût de la présidence française de l’Union Européenne, il faut distinguer le rapport de la Cour des Comptes de l’exercice de malhonnêteté intellectuelle auquel se livre René DOSIERE !


Rappelons ce que souligne la Cour des Comptes : ce budget global est comparable à celui de la Présidence Allemande ; il est même inférieur, alors que les six mois ont été particulièrement chargés en rencontres dues notamment à la crise financière, ou à la crise en Géorgie, et avec quel succès, est-il encore besoin de le rappeler !

Pour ce qui est du...

Retrouvez l'intégratilité de cet article sur votre site internet :

www.ump-rodez.com


De Villepin : le retour !


ddv271009 Rassemblant ses soutiens à Paris quelques jours après la fin du procès Clearstream, Dominique de Villepin a présenté mardi 27 octobre les grandes lignes de son projet de « force alternative » pour une France « républicaine, solidaire et indépendante ».

« La politique, ce n’est pas se battre contre quiconque. C’est se battre pour les Français, qui ont l’impression que rien ne change. Quand une politique n’est pas suffisante, il faut lui adjoindre une force alternative. C’est cette alternative que nous voulons préparer. Une alternative, cela ne se construit pas en un jour, cela demande de la patience, de la détermination, du courage. Il faut réinventer quelque chose. Sans doute avons-nous oublié que la politique est faite d’humilité, de proximité, d’une capacité à corriger sa copie au jour le jour. L’entêtement, j’en sais quelque chose, n’est pas toujours de bon conseil », a lancé hier soir Dominique de Villepin . Et de conclure : « En politique, on peut connaître des hauts et des bas. Il suffit d’avoir des idées justes, des idées fortes. Les idées comme la vérité cheminent. Il suffit d’un peu de patience pour que le grain lève.

Visant l’actuel locataire de l’Elysée, l’ancien Premier ministre a proposé « un retour à l’esprit de la nation », pour que « la politique retrouve ses lettres de noblesse ».

« Plus le pouvoir est concentré, moins il est efficace, et plus nous vivons à l’heure des polémiques, à l’heure d’une démocratie d’opinion où, jour après jour, ce sont les polémiques qui font l’actualité ».

La maison de l’Amérique latine, à Paris, ressemblait à une étuve. La salle est comble. Plusieurs dizaines de personnes sont même restées à la porte. Les organisateurs attendaient à peine 750, finalement ils étaient près d’un millier. Une longue ovation, un club politique prêt à en découdre, et un Dominique de Villepin déterminé. Les supporters de Dominique de Villepin se sont rassemblés à l’occasion d’une soirée organisée autour de l’ex-Premier ministre par le «Club Villepin».

«Certains expliquent que tu es un homme seul, ils se trompent, assure Brigitte Girardin à Dominique de Villepin arrivé sous les acclamations. Voici le moment privilégié où nous allons pouvoir t’aider.» Autour de la tribune, une dizaine d’élus jouent des coudes. Les grognards du villepinisme (Georges Tron, Jacques Le Guen, Hervé Mariton, François Goulard*…) ont été rejoints par des élus en rupture avancée avec l’UMP, comme Marie-Anne Montchamp, ou consommée, à l’instar de Daniel Garrigue, de Jean-Pierre Grand**, député de l’Hérault ou de Nicolas Dupont-Aignan***, le Président du mouvement gaulliste « Debout la République », certainement le plus organisé et percutant opposant à Nicolas Sarkozy. Devant son épouse, Marie-Laure, et son père, Xavier de Villepin, l’ancien premier ministre a présenté pendant une demi-heure «l’alternative à la politique menée» qu’il souhaite incarner.

 

* François Goulard qui s’était dit « certain », la semaine dernière, de voir Villepin candidat à la présidentielle de 2012, se réjouit : «C’est un point de départ important, quelque chose est né dans le paysage politique français»

** Jean-Pierre Grand y voit «un discours d’un homme d’Etat, on n’allait pas lui demander de prononcer un discours de conseiller général de Trifouillis les Oies!»

*** Pas de ralliement du président de Debout la République – «je n’ai pas rompu avec Sarkozy pour me jeter dans les bras de Villepin» – mais le constat d’une convergence de taille : «Il a franchi le Rubicon, il a dit « je ne peux plus supporter ce système ». Je suis heureux de ne plus être seul!» Reste, selon le député gaulliste, à proposer «un projet alternatif, sérieux et crédible». «Mais avoir posé, ce soir, le premier étage de la fusée, ce n’est pas si mal.»

Source et article: Gaullisme.fr


Je viens de créer mon 16ème groupe sur facebook: "Comité de Soutien à Jacques Chirac" ! Déjà 280 personnes l'ont rejoint !

Tous ceux qui refusent que celui qui dirigea le parti Gaulliste pendant plus de 33 ans. Et qui fut un Maire de Paris exceptionnel, soit trainé dans la boue et traduit en justice pour quelque chose qui n'en vaut pas la peine !

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