Ma citation de la semaine:
"La parole a été donnée à l'homme pour déguiser sa pensée."
Charles-Maurice Talleyrand de Périgord
Ma citation de la semaine:
"La parole a été donnée à l'homme pour déguiser sa pensée."
Charles-Maurice Talleyrand de Périgord
"Je me suis pâmé devant un campement de bohémiens (...) L’admirable c’est qu’il excitaient la HAINE des bourgeois, bien qu’inoffensifs comme des moutons. (...)- Cette haine là tient à quelque chose de très profond et de complexe. C’est la haine ...
que l’on porte au Bédouin à l’Hérétique, au Philosophe, au solitaire, au poète - Et il y a de la peur dans cette haine."
Flaubert lettre à G.Sand 12 juin 1867
Messe à Pierrefitte
Je reviens de la Messe à ma Paroisse St Gervais St Protais de Pierrefitte.
J'ai prié pour ce qu'un homme qui était depuis 19 ans (aprés un intermède trés malheureux de 2 ans et demi et une trés regrettable trahison, pour une trés sombre et funeste histoire d'amour !) mon père spirituel en politique et mon héros (Le Député/Maire du Raincy: Eric Raoult) m'a refusé !
C'est à dire: m'offrir une deuxième chance (professionnelle) ! Je n'ai pas eu droit à la rédemption, parce que politiquement, je ne représente plus rien !
Comme disait l'Empereur Napoléon Ier, aprés la bataille des nations à Leipzig:"Ils ne me laisserons pas un clou !".
Que Dieu accepte lui de me l'accorder ! Et de remettre enfin un peu de bleu dans mon ciel plein de nuages gris !
Journées 2009 du Patrimoine
Hier aprés-midi, à l'occasion des Journées 2009 du Patrimoine, j'ai visité: L' ex-Immeuble du RPF du Général de Gaulle au 5 rue Solférino et le Secrétariat d'Etat à la défense et aux anciens combattant à l'Abbaye de Pentemont à Paris. Voici, quelques photos que j'ai prises:
Tandis que les violences redoublent en Afghanistan, les opinions publiques européennes semblent se lasser. C’est tout particulièrement vrai en France. En 2008, 55 % des Français déclaraient souhaiter le retrait des troupes d’Afghanistan. Ils sont désormais 68 %, soit plus des deux tiers de la population, à désapprouver la décision de Nicolas Sarkozy d’envoyer de nouvelles troupes à Kaboul. Cette position est même majoritaire (53 %) dans le propre parti du président – les sympathisants du Front national étant les seuls à se singulariser, en étant pratiquement aussi nombreux à approuver la guerre américaine qu’à s’y opposer.
Lors de la création, le 20 décembre 2001 par le Conseil de Sécurité de l’ONU, de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS), la tâche de l’armée française se bornait à assurer la sécurisation de Kaboul et de ses environs, à lutter contre les narcotrafiquants et à participer à la « reconstruction » du pays, tout en permettant à certaines de ses forces spéciales de participer à des missions ciblées de lutte antiterroriste. Mais très vite, le conflit s’est transformé. Au départ, deux opérations distinctes se juxtaposaient : une opération multinationale sous contrôle européen, celle de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS), et une opération américaine. Cette distinction s’est ensuite effacée. Le tournant a eu lieu en août 2003, lorsque la FIAS est passée sous le commandement de l’OTAN, c’est-à-dire de fait sous l’autorité de Washington, ce qui a eu pour effet d’élargir le mandat de la Force internationale.
Progressivement, la situation a été de moins en moins maîtrisée. Sur place, la confusion s’est instaurée, du fait d’une absence totale de concertation et de stratégie globale, tant en matière d’objectifs que de moyens. A Paris, alors que Jacques Chirac avait limité la participation des troupes françaises au strict minimum, Nicolas Sarkozy a voulu faire du zèle pour satisfaire ses amis américains. Au sommet de l’OTAN de Bucarest, en avril 2008, l’envoi d’un contigent supplémentaires de 700 soldats a été annoncé. Peu après, la France décidait de réintégrer l’OTAN, que le général de Gaulle avait quittée en 1966.
Il y a maintenant 12 500 militaires français déployés en Afghanistan et dans la région (un chiffre supérieur à celui des contingents allemand et italien). Ces troupes sont engagées dans de très mauvaises conditions de cohérence opérationnelle, du fait que leurs actions dépendent de l’appui et du renseignement tactique de moyens de la coalition. 26 soldats français ont été tués, dont dix dans une embuscade tendue dans la vallée d’Uzbin le 21 août 2008.
Les adversaires de la guerre avancent deux raisons : cette guerre n’est pas la nôtre, et elle ne peut pas être gagnée.
Alors que le gouvernement répète sans convaincre qu’un désengagement favoriserait le retour d’un régime taliban à Kaboul et la réimplantation d’Al-Qaïda dans une région géopolitique sensible, les Français constatent que les Talibans, expression de l’identité tribale patchoune, la principale ethnie du pays, ne sont pas des exportateurs de violence, et que la France et les Afghans n’ont aucun objet de litige.
Ils constatent surtout que, sur le terrain, jamais la situation n’a été aussi mauvaise : les forces internationales ont plus perdu d’hommes en juillet dernier qu’en aucun autre mois depuis le début de la guerre. Le président Karmid Zaraï, chef d’un gouvernement faible et corrompu, ne bénéficie que d’une légitimité douteuse et d’un contrôle très réduit de son propre pays (quelques grandes villes et axes stratégiques). Ben Laden n’a toujours pas été capturé. La population afghane vit dans l’insécurité permanente, à la merci des exactions des chefs de guerre, des Talibans, des forces officielle et de militaires américains peu regardants sur le choix de leurs cibles. La vaste majorité des Afghans éprouvent en fait un violent sentiment de rejet vis-à-vis de l’étranger installé sur leur sol. Quant à la lutte contre le narcotrafic, principale source de revenus des Talibans, elle s’est soldée par une augmentation de la production du pavot, qui touche aujourd’hui 195 000 hectares, soit une surface supérieure à celle consacrée en Amérique latine à la culture de la coca.
Alors que la stratégie américaine vise maintenant à étendre la guerre dans l’ouest du Pakistan, extension qui contient en germe une probable déstabilisation de ce pays, il apparaît chaque jour un peu plus qu’il n’y a pas de solution militaire à ce conflit aux allures de bourbier.
Au cours de sa visite à Washington en novembre 2007, Nicolas Sarkozy déclarait : «La France restera engagée en Afghanistan aussi longtemps qu’il le faudra, car ce qui est en cause dans ce pays, c’est l’avenir de nos valeurs et celui de l’Alliance atlantique». Des «valeurs» qui semblent se confondre avec la possible ouverture d’un gazoduc qui, passant par l’Afghanistan, devrait un jour relier la mer Caspienne à la côte pakistanaise de l’océan Indien.
Source : Géostratégie.com
Message du Président de l'Etat d'Israël, son excellence Shimon Peres, aux communautés juives de la Diaspora, à l'occasion du Nouvel An Juif 5770
Espérons que le Nouvel An sera marqué par la réalisation de nos aspirations : atteindre la paix, accroître la sécurité, promouvoir la croissance économique, protéger l'avenir du peuple Juif et renforcer les liens entre Israël et nos frères Juifs de la Diaspora.
L'opportunité d'atteindre la paix est tentante et doit être saisie, même au prix de concessions douloureuses. La position intransigeante du monde arabe consistant à dire « Non » aux négociations, « Non » à la reconnaissance d'Israël et « Non » à la paix, a été remplacée aujourd'hui par le triple « Oui » à l'initiative Saoudienne. La communauté internationale est favorable au soutien des efforts pour faire avancer le processus de paix et je suis confiant dans la capacité de réaliser la vision d'une paix complète grâce à des efforts concertés. Cela va créer la stabilité, la tranquillité, la sécurité et la prospérité pour nos enfants et leurs enfants.
Les armes nucléaires en possession d'extrémistes fondamentalistes présentent un danger pour l'ensemble de l'humanité et non pas seulement pour Israël. Une position large et consolidée de la part de la communauté internationale contre l'Iran s'impose. Je prie pour que cette menace terrible soit éliminée de toute l'humanité et que le monde puisse jouir d'une nouvelle ère de paix et de sécurité.
L'économie israélienne présente les premiers signes de reprise et de sortie de la crise économique mondiale. Les indicateurs macro-économiques sont prometteurs et se reflètent dans l'expansion des investissements, le secteur des hautes technologies reprend vie et de nouvelles entreprises sont en train d'éclore. Il est temps de saisir l'opportunité. Il est temps d'investir en Israël dans des domaines comme les énergies de substitution, la production d'eau, les infrastructures de sécurité nationale, les outils d'éducation et d'enseignement et le secteur des cellules souches. Tout cela constitue l'avenir et il est entre nos mains.
Il est vital de bâtir avec nos frères de la Diaspora des liens basés sur des fondations solides de partenariat et d'éducation. En effet, le rôle de l'éducation Juive de la Diaspora ne peut pas être sous-estimé. Elle sert de blocs de construction des ponts qui connectent les communautés juives à l'étranger et en Israël. Elle sert de termes d'engagement entre la jeune génération de la jeunesse Juive et notre nation et de clef de voûte d'une plus grande prise de conscience de l'importance des relations entre Israël et la Diaspora. Elle sert à préserver notre riche patrimoine et nos traditions.
L'esprit de partenariat doit être renforcé dans chaque domaine des relations entre Israël et la Diaspora. Nous faisons face à des défis considérables, ce qui souligne encore la nécessite de nous réunir dans les moments difficiles, en étant responsables les uns envers les autres, comme nos Prophètes nous l'ont dicté. En effet, toute menace contre le bien-être des communautés Juives dans le monde constitue une menace contre Israël, et le destin de la Diaspora Juive est au cœur-même de l'existence d'Israël.
Chers Amis, alors que nous entrons dans cette Nouvelle Année, je souhaite faire part de tous mes vœux les plus sincères de bonheur au peuple juif de la Diaspora, en vous souhaitant à tous une bonne et heureuse année.
Prions pour que tous les otages et les soldats portés disparus au combat rentrent sains et saufs à la maison.
Shana Tova U'Metukah,
Shimon Peres
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