Des catophobes qui affichent leur haine du pape Benoît XVI et de l'Eglise !
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A qui faire confiance ?
Le 23 mars 2009 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Les catophobes qui, pendant quelques jours, se sont montrés partout avec leur petit ruban rouge à la boutonnière pour se donner bonne conscience (chaque dictature fabrique ses suivistes), ces catophobes qui auront vomi publiquement leur haine de l'Eglise et du pape grâce à la complicité des media français, n'auront trouvé en face d'eux que peu d'opposition.
Les fidèles s'attendaient à ce que les évêques fassent bloc autour du Saint-Père et répondent de façon claire, ferme, nette et courageuse à tous les professionnels du mensonge et de la désinformation qui font l'opinion publique dans notre pays. Les fidèles auront attendu vain.
Il apparaît que la clarté de langage et le courage ne soient pas les plus grande vertus de pasteurs qui passent le plus clair de leur temps à "cheminer", à "être à l'écoute" et à "être interpellés". Pour une fois qu'ils auraient pu "oser une parole forte" - comme ils disent - on ne les a guère entendus.
On sait qu'en petits comités, certains évêques se sont montrés contents de voir le pape être critiqué et contesté: car au fond, ils n'aiment pas Benoît XVI.
Un tel "désamour" de celui qui, avant d'être Joseph Ratzinger devenu Benoît XVI, est le Successeur de Pierre, n'est-il pas le signe que beaucoup de nos évêques n'ont, au fond, qu'une approche passablement approximative de l'Eglise?
Lorsque qu'une certaine presse annonce que "pour 49% des catholiques, le pape défend mal leurs valeurs", Mgr Dagens écrit: "Je souffre et j'espère pour l'Eglise" et ajoute "si nous imposons des principes moraux, nous créons un déséquilibre grave".
Après de tels propos - probablement partagés par de très nombreux prêtres -, les catophobes n'ont plus rien à ajouter: ils savent désormais qu'ils ont toutes les chances de ne trouver en face d'eux qu'un clergé mous ou sans envergure qui leur balise une vaste avenue.
Il est devenu légitime de penser que les fidèles de France ont le sentiment qu'ils ne pourront guère compter sur le courage de leurs pasteurs pour les guider. N'est-il pas tout aussi légitime de penser que Benoît XVI sait, de son côté, qu'il ne pourra guère compter sur la mobilisation d'un épiscopat pour redresser la situation de l'Eglise dans notre pays. Une situation calamiteuse qui avait déjà poussé Jean-Paul II à demander: "France, fille aînée de l'Eglise, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême?"
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Le vrai voyage de Benoît XVI en Afrique, un triomphe !
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Le voyage « mitonné » par les mass media et celui qui a vraiment eu lieu
Le 22 mars 2009 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - On pouvait tout attendre du premier voyage en Afrique de Benoît XVI, mais pas qu'au final, il y aurait deux voyages. Le vrai et celui rapporté par une grande partie des media occidentaux.
Cela commence avant même de toucher le sol africain. À bord de l'avion, le Pape parle de la foi joyeuse des africains, des problèmes économiques mondiaux qui risquent de couler encore plus le continent déjà durement éprouvé par la pauvreté. Mais tout se concentre sur une phrase : « Le Sida ne se combat pas en distribuant des préservatifs, qui au contraire aggravent le problème ». Rien de nouveau sur le plan du magistère de l'Église, mais les réactions des habituels milieux "radicaux chics" sont très dures. « Le Pape condamne à mort des millions d'africains », telle est plus ou moins la vulgate de son discours, destiné en réalité à rappeler combien le préservatif ne sert à rien, si en amont il n'y a pas une authentique éducation sexuelle et si on ne concentre pas les ressources sur le soin des malades. Au contraire, à l'arrivée à Yaoundé Benoît XVI demande expressément des médicaments gratuits pour tous. Mais là-dessus, naturellement, les mass media du "premier monde" restent muets.
De même qu'il est presque impossible de trouver trace de l'accueil triomphal que les africains (les mêmes qu'il voudrait « condamner à mort ») lui ont réservé dans toutes les phases de la visite.
Les journaux de Yaoundé, le lendemain de l'arrivée, ont des titres du type "En triomphe!", mais dans l'UE, plusieurs chancelleries descendent même dans l'arène et le chœur habituel des supporters du business du préservatif se déchaîne. « Le Pape est un irresponsable », est le commentaire le plus bienveillant, et plusieurs interventions sont vraiment à la limite de l'offense personnelle. Toutefois les auteurs de ces déclarations appartiennent au groupe de ces Pays riches qui, à la Conférence de Doha ont promis de transférer 0,7% du PIB à l'aide au développement et ne l'ont jamais fait ; qui réalisent une colonisation économique qui fait regretter jusqu'à la colonisation politique d'il y a quelques décennies; et qui oublient systématiquement les guerres, famines et maladies (Darfour et malaria, par exemple), à cause desquelles, par contre, les gens meurent vraiment.
Le Pape non. Il n'oublie pas. Il parle des problèmes de l'Afrique, demande le respect des engagements pris à Doha, dénonce la corruption politique, les guerres fratricide, les violences sur les femmes et sur les enfants, il visite les malades et refuse les conflits au nom de Dieu.
Mais il fait à nouveau parler lorsqu'il stigmatise que sous le concept de "santé reproductive des femmes", on veut faire passer l'avortement comme moyen de régulation des naissances. Et de nouveau les polémiques éclatent, le fond étant touché par ceux qui interprètent les paroles du Pontife comme un soutien à l'évêque de Recife et à son excommunication hâtive vis-à-vis de la fillette brésilienne forcée d'avorter après la violence subie de la part de son beau-père.
Incroyable mais vrai.
C'est arrivé aussi dans le voyage médiatique de Benoît XVI.
Le vrai, c'est tout autre chose. C'est la réponse de ceux qui savent que le vrai espoir ne vient pas de ceux qui veulent vendre des quantité industrielles de préservatifs pour leurs intérêts économiques, mais d'hommes et de femmes, comme de nombreux prêtres, religieux et laïcs qui chaque jour sont aux côtés des pauvres. C'est cela que fait l'Église, c'est de cela que le Pape est venu témoigner. Et les africains l'ont compris. Contrairement à beaucoup de commentateurs occidentaux.
Mimmo Muolo, envoyé à Luanda (Angola)
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Mgr le Cardinal André Vingt-Trois - " La polémique actuelle est une occasion de se payer le Pape"
Serge Salfati
59ème Salon du Raincy
Hier soir, j'ai assisté au vernissage du 59ème Salon des Beaux Arts du Raincy-Villemomble, au Raincy. Un trés trés grand cru ! Il y avait: le Député/Maire UMP de Villemomble: Monsieur Patrice Calmejane et le Conseiller Général UMP du Raincy: le Docteur Ludovic Toro. Voici, quelques photos que j'ai prise de cette soirée:
Il y a eu un temps, il y a longtemps, au temps des colonies, du temps de l'esclavage, dans les savanes, les maisons coloniales ou les champs de cannes.
Il y a aujourd'hui, dans nos villes et dans nos campagnes de France et il y aura demain sans doute.
Encore surgira d'endroits insolites, des regards, des sourires, des désirs de deux personnes que rien n'aurait du réunir. Que tout aurait du séparer.
Des Roméos et des Juliettes de toutes les couleurs. Des Dominos de l'amour.
On pourra y mettre toute la bêtise et tous les interdits possibles, rien n'y fera.
Car rien ne peut contrôler les sentiments.
C'est un poème pour les différents, ceux d'hier des colonies, ceux d'aujourd'hui de nos cités et ceux de demain.
Il n' y a pas toujours eu que de la haine dans les regards même si elle fût souvent majoritaire dans les comportements.
Domino.
Je ne sais où tu es ma douce d’ébène.
J’en sais le terrible ennuie de toi.
Tu es si loin de mon corps si Reine.
Toi qui fût mon refuge, mon toit.
Se souvenir de ces profonds instants.
Ces moments intenses et si violents.
Souvenir!
Te voir enfin et je respire!
Retour du rire, fin de l’ire.
Dans mes bras tu étais si chaude
J’étais si bien. Princesse, mon Ode.
Tu me donnais tant d’Amour.
Souvenir!
De ton visage qui me hantait
De ta peau brune qui luisait
Tes longs et doux soupirs que j’aimais
Quand sur moi, tu venais te planter.
Tes seins lourds pour moi dansaient,
Échappant à mes mains accrochés.
Et ta main curieuse d’affamée.
Et tes lèvres qui me prenait,
Si chaudes que mon désir s’affolait.
Insatiables désirs de te combler.
Souvenir!
Où est donc ce chaud et noir doux ventre,
Où je me posais, hier doucement.
Écoutant l’harmonie de tes mots tendres,
Qui me berçaient et me rassuraient tant.
Où es-tu donc ma douce d’ébène?
Toi qui fût longtemps ma reine.
Gérard Brazon
Rachida Dati mariant l'héritier de la maison de France. Le symbole en dit long sur l'évolution de la société française. Jeudi après-midi, c'est la ministre de la Justice qui, dans sa mairie du VIIe arrondissement de Paris, a recueilli le consentement mutuel du prince Jean d'Orléans, duc de Vendôme, et de sa fiancée, Philomena de Tornos y Steinhart.
Né le 19 mai 1965 à Boulogne-Billancourt, le duc de Vendôme est le fils de l'actuel comte de Paris et de sa première épouse, Marie-Thérèse de Wurtemberg, duchesse de Montpensier. «Je pense en prince chrétien, j'agis en prince français», affirme ce des cendant de Louis-Philippe. Apparenté aux principales monarchies européennes, le prince Jean est considéré par les orléanistes comme l'héritier du trône de France, le Dauphin. Une position contestée par les légitimistes qui soutiennent les droits du prince Louis de Bourbon d'Espagne.
Quant à la mariée, d'origine espagnole par son père et autrichienne par sa mère, elle est la petite-fille de Juan de Tornos y Espeliu, qui fut le chef du secrétariat personnel du comte de Barcelone, père de l'actuel roi d'Espagne Juan Carlos.
Dans la salle des mariages, avait pris place la famille du marié : sa mère, la duchesse de Montpensier ; son père, le comte de Paris, accompagné de sa deuxième épouse, la princesse de Joinville, duchesse de France ; son frère, Eudes, duc d'Angoulême et son épouse, Marie-Liesse ; sa sœur, la princesse Marie de Liechtenstein.
Le duc de Vendôme était également entouré d'oncles et de tantes comme le duc d'Orléans et son épouse, la pianiste Gersende de Sabran, ou la princesse Chantal de France. Sans compter quelques-uns de ses très nombreux cousins et cousines.
Un bouquet de pivoines dans les mains, la mariée portait un ensemble blanc crème en voile brodé de motifs floraux. Après la cérémonie, le jeune couple a posé dans les jardins de la mairie avec Rachida Dati, ceinte de son écharpe tricolore de maire, et avec leurs familles.
Le mariage religieux se déroulera le 2 mai à Senlis (Oise), haut lieu de la dynastie capétienne, puisque c'est là qu'Hugues Capet fut élu premier roi des Francs en 987. La messe de mariage sera célébrée en la cathédrale Notre-Dame et suivie d'une réception privée au château de Chantilly, qui fut la demeure du duc d'Aumale, l'un des fils de Louis-Philippe.
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