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"Mon Gardien de But préfèré en football !"

Jean-Pierre Renard


05/02/2009

Samedi, Jérôme Alonzo retrouvera l'un de ses clubs de coeur. Si les sept années passées dans la capitale compteront toujours, le portier du FC Nantes ne veut pas "d'interférences" dans sa préparation d'un match qui doit permettre à la maison jaune de stabiliser sa situation au milieu du tableau. Car si le regain de forme des dernières semaines a pris corps un peu plus encore au Mans, Jérôme Alonzo n'en oublie pas que l'objectif de la saison sera de maintenir le club en Ligue 1.

As-tu regardé le match du Paris Saint-Germain face à Bordeaux ?

Jérôme Alonzo :

Oui, maintenant la vérité, c'est qu'il n'y a pas de vérité. On va voir comment Paris va réagir à cette défaite. Mais je ne pense pas que ça influera sur le match de samedi. C'est une équipe forte, mentalement.

Jouer Paris est-il toujours spécial pour toi ?

Jérôme Alonzo :

C'est moins chargé que mon retour au Parc des Princes. Là, c'est à la Beaujoire et six mois ont passé. Je suis plus dans la normale. Je suis toujours attaché au club de Paris, je leur souhaite de finir dans les trois premiers, mais à partir de lundi. Regardez ! Yoann Poulard aime Le Mans. Ca ne l'a pas empêché d'avoir envie de gagner et de marquer !
Je ne sortirai peut-être pas sur la pelouse avant match car j'ai envie d'être bien dans ce match. C'est une belle affiche, mais je ne veux pas d'interférences.

Est-il difficile de passer sur cette période parisienne ?

Jérôme Alonzo :

J'y ai passé sept ans ! Aujourd'hui, ça se passe mieux depuis que je joue. Je suis passé à autre chose.

"Je veux être plus régulier au plus haut niveau"

Comment expliques-tu le regain de forme du FC Nantes ?

Jérôme Alonzo :

C'est surtout un gain en maturité. C'est le travail du coach qui commence à payer. Il avait prévu un travail à moyen et long terme. On manquait de régularité.

Quelle est la force de l'équipe ?

Jérôme Alonzo :

C'est plus de confiance. L'équipe est jeune. Et quand les cadres engrangent de la confiance, ça rejaillit sur les jeunes.
Je tiens à souligner que tout le monde a joué le jeu, y compris les joueurs qui ont été écartés. Ils n'ont jamais rien fait pour dégrader l'ambiance au sein du groupe.

Comment juges-tu ta propre saison ?

Jérôme Alonzo :

J'arrive à plus de régularité, j'arrive à rassurer mes partenaires. Je suis globalement satisfait, même si je peux encore progresser. Je veux être plus régulier au plus haut niveau.

L'avenir pour Nantes ?

Jérôme Alonzo :

Il faut d'abord penser à ces 42 points ! Ce n'est pas fait. Et si on le pense, on est morts ! Je suis optimiste, mais il ne faut pas penser que c'est fait !
Après, pour la saison prochaine, il y a deux modèles : Nice et Lille. ce sont deux récents promus qui, avec des moyens limités, sont présents entre la sixième et la troisième place. Nantes a tout pour être une belle équipe des trois prochaines saisons. Mais ce sont les trois prochains mois qui seront cruciaux !

En parlant d'avenir, comment juges-tu William Vainqueur et Filip Djordjevic ?

Jérôme Alonzo :

Je ne suis pas étonné pour William. Je le vois tous les jours à l'entraînement. Après, il a su saisir sa chance quand elle lui a été proposée.
Pour Filip, c'est un peu différent. Il sent les coups d'attaque. Mais il est très jeune et il a besoin de coups de pied au derrière.
Il y a aussi le jeune Ronny Rodelin. Ce sera du très lourd ! Mais il ne faut pas le lui dire (rire).


Propos recueillis par F.C. - Photos fcnantes.com


Les agresseurs de Louise Thorigny bientôt en prison ????

« Raf », c’était une pizzeria bien sympathique rue Catulienne, à St Denis une bonne odeur de feu de bois, un endroit que j’affectionnais au début des années 80. Ce lieu de convivialité est devenu « maison du crack »….équipé de vidéo-surveillance…commerce illégal vidéo-protégé !!!
Ce que la municipalité n’a toujours pas appliqué à sa population (cf. budget 2009 inepte en débat le 12 février 2009 en conseil municipal), les délinquants l’appliquent depuis longtemps, et bien au-delà de la rue Catulienne, pour prospérer et pourrir l’existence des riverains (je ne vais pas revenir sur mes nombreuses interventions, voir mon blog).

Je ne boude donc pas mon plaisir de voir ce « commerce » disparaître et prodigue soutien et encouragements au commissaire divisionnaire de Saint-Denis ainsi qu’à son équipe. Je lui ai d’ailleurs laissé un message : « Il est essentiel que (cela va sans le dire mais c’est mieux en le disant), à la faveur de cette opération de police, une relation puisse être faite avec les agressions sur personnes, voitures cassées (non-exhaustif) à proximité de cette « maison du crack » et rechercher (une trentaine de personnes a déjà été auditionnée) des responsables »…

Un exemple ? N’est-ce pas dans cette rue Catulienne que vivait Louise Thorigny 102 ans, assassinée à l’automne dernier pour 30 euros ???

IMGA0114_DIEPPE_2007


Communiqué de Mgr Fellay, Supérieur Général de la Fraternité St Pie X  

Ne jetons pas trop vite la pierre sur la Fraternité en les accusant d'être tous des intégristes-extrémistes-négationnistes... Il ne faut pas généraliser un cas !
Merci Sophie de m'avoir fait suivre ce texte !

"Nous avons eu connaissance d'une interview accordée par Monseigneur Richard Williamson, membre de notre Fraternité Saint Pie X, à la télévision suédoise. Dans cette interview, celui-ci s'exprime sur des questions historiques, en particulier sur la question du génocide juif par les national-socialistes.


Il est évident qu'un évêque catholique ne peut parler avec une autorité ecclésiastique que sur des questions concernant la foi et la morale. Notre Fraternité ne revendique aucune autorité sur les autres questions. Sa mission est la propagation et la restauration de la doctrine catholique authentique, exposée dans les dogmes de la foi.

C'est pour ce motif que nous sommes connus, acceptés et estimés dans le monde entier.

C'est avec une grande peine que nous constatons combien la transgression de ce mandat peut porter tort à notre mission. Les affirmations de Mgr Williamson ne reflètent en aucun cas la position de notre société. C'est pourquoi je lui ai interdit, jusqu'à nouvel ordre, toute prise de position publique sur des questions politiques ou historiques.

Nous demandons pardon au Souverain Pontife, et à tous les hommes de bonne volonté, pour les conséquences dramatiques d'un tel acte. Bien que nous reconnaissons l'inopportunité de ces propos, nous ne pouvons que constater avec tristesse qu'il atteignent directement notre Fraternité dans le but de discréditer sa mission.

Cela nous ne pouvons l'admettre et nous déclarons que nous continuerons de prêcher la doctrine catholique et de dispenser les sacrements de la grâce de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

Menzingen, le 27 janvier 2009

+ Bernard Fellay

Supérieur Général "